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Révélations incestueuses – Chapitre 5




Pour ceux qui n’ont pas lu les épisodes précédents, j’ai 60 ans, et fréquente les salles ciné des sex-shop. Je viens d’y rencontrer Guillaume, 19 ans, et on s’est aimé tout l’après midi. Il m’a confié ses vacances incestueuses avec son cousin (Mathieu, 18 ans) et son grand-père (Daniel, 62 ans) chez celui-ci, et son regret de devoir attendre longtemps avant de remettre ça. Je lui propose alors d’organiser une rencontre chez moi, et de les héberger tous les trois .Ils sont étudiants lui et son cousin, ne rentrent pas chez eux tous les weekends, et leurs parents ne sauront pas qu’il sont descendus tout prêt de chez eux.

Je lui donne mon numéro de téléphone, pour que son grand-père me contacte s’il est intéressé.

On se sépare en échangeant un petit baiser, et je vais attendre de coup le fil de papy.

Quelques jours se passent et mon téléphone sonne enfin; c’est lui.

Il sait par Guillaume que l’on est aussi vicieux l’un que l’autre, mais il m’avoue que contrairement à moi qui multiplie les partenaires, lui n’en a plus, à part ses petits fils, et il a hâte de les retrouver. Il accepte donc ma proposition pour baiser à nouveau avec eux, et avec moi bien sûr. On discute cul, on s’imagine toutes les bonnes choses que l’on se fera, on se fait déjà des plans, et on bande. On se fait une branle au téléphone, on échange des insultes, des obscénités, on s’attend pour jouir en même temps et bouffer notre sperme; moi c’est sûr, et je n’ai aucun doute qu’il en fasse autant.

On raccroche et il me rappellera pour me confirmer sa venue.

Ses petits enfants arriveront le vendredi soir, mais lui viendra dès la veille pour nous laisser le temps de faire connaissance.

Jeudi 17 heures, je vais le chercher à la gare. On s’est décrit l’un et l’autre pour se reconnaître, on se fait la bise, et je l’emmène chez moi. Je n’ai que deux chambres et il dépose ses affaires dans la mienne, puisqu’on va laisser l’autre aux jeunes. Il a eu chaud durant le voyage et souhaite prendre une douche. Il se déshabille et j’en fait autant pour me doucher moi aussi.

On est sous la douche et on se nettoie l’un l’autre, prétexte à des caresses intimes. On s’essuie, on est face à face, on bande. On se rapproche, nos bouches se soudent tandis que nos mains s’activent entre les cuisses de l’autre. On se roule une longue pelle vorace et on se tripote le manche et les boules. Nos lèvres se dessoudent enfin:

— Tu es un chaud toi, c’est bon!

— Toi aussi mon salaud, j’adore. Et ces couilles que tu as, elles sont trop belles!

— Merci, les tiennes aussi. Tu as fait comme on a dit?

On avait en effet prévu au téléphone de ne pas jouir jusqu’à notre rencontre, ce qui explique qu’on les aient bien grosses, bien lourdes, bien pleines.

Il a envie de se faire sucer, mais encore plus de sucer, et c’est pareil pour moi. J’ai réservé un resto pour 21 heures, il à peine 18 heures, et on a tout notre temps.

On revient à la chambre et on s’allonge sur le lit, en 69 sur le côté. On se turlutte goulument, on se félicite sur nos queues, aussi belles l’une que l’autre, comme des bites jumelles. On se suce passionnément, on se fait reluire le gland, on se gobe le manche entier en gorge profonde, avec des pauses pour ne pas jouir trop vite. On en profite alors pour échanger des mots orduriers, se brouter les couilles, se bouffer le cul.

Au bout d’une longue séance on se décide pour se laisser aller, éjaculer, décharger, l’un après l’autre, afin de s’adresser chacun son tour les mots que l’on aime dire et entendre:

— Ouiii, je viens, prends tout salope, avales, avales grosse pute. Hummm, tu l’aimes mon foutre, putain de chienne, bois salope, bois………………

On jouis en abondance l’un après l’autre, et on se désaltère de nos bonnes sauces, jusqu’à la dernière goutte. On s’est tout donné, et on cesse notre double fellation, on se roule à nouveau des pelles, puis on s’habille et on sort prendre un verre et diner.

De retour on s’installe au salon et on se masturbe devant un porno gay. Le film est terminé et on va se coucher, se faire l’amour, comme des gros porcs. On se caresse, on s’embrasse, on se bouffe, on s’encule, tant qu’on peut. On s’endort en prévoyant que si un des deux a des envies dans la nuit, il peut réveiller l’autre sans problème; c’est ce qui se passe.

On reste sage le vendredi matin, mais à quatorze on repend nos petits jeux. On passe tout l’après midi à poil, on baise comme des bêtes, on s’offre à l’autre chacun son tour pour reprendre des forces pendant qu’il s’active. Une fois avoir joui, on se branle sauvagement pour rebander quand reviendra notre jour. On parvient à jouir trois fois chacun, dans la bouche, dans le cul, et sur la gueule de l’autre, et on récupère tout pour ne rien laisser perdre.

20 heures, on est sur les rotules, et on se prépare pour aller manger.

On a terminé et on va chercher ses petits fils à la gare pour 23 heures. On est trop fatigué, nous les vieux, pour faire encore des folies, et on leur propose d’attendre le lendemain. On couche à nouveau ensemble, et les jeunes prennent l’autre chambre. Il y a longtemps qu’ils n’ont pas eu l’occasion de se retrouver entre cousins, et nul doute qu’ils vont passer une nuit très chaude.

Nous on se contente de caresses et bouffage de gueule, on se félicite encore pour nos queues, nos couilles, nos culs, nos bouches, et surtout d’être aussi vicieux. Puis on se fait un petit plan pour le lendemain, que l’on soumettra aux minets pendant le petit déjeuner:

Daniel adore se travestir, il me l’avait dit au téléphone, et a amené quelques affaires pour lui et pour moi. Il y a un petit bois prêt de chez moi, un lieu de rencontre, et on va se déguiser en pute, et demander aux jeunes de nous accoster. Ils veulent nous faire plaisir, à lui parce que c’est leur grand-père incestueux, et à moi qui leur permet de se retrouver.

On s’est vêtu avec des bas résilles, jarretelles, petite culotte, mini jupe en cuir, chemisier, chaussures à talons, une perruque. On est au bord du bois, et on attend. Deux voitures s’arrêtent et on les dissuade, disant que l’on attend quelqu’un, mais pourquoi pas une autre fois. La troisième est la bonne, et on s’approche du passager, Mathieu, qui nous apostrophe:

— Salut les belles, vous êtes libres?

— Toujours pour des beaux et jeunes hommes. Mais autant vous avertir de suite, on est des travestis, et pas des femmes.

— Pas de problème, on sait qu’il n’y a que des hommes ici. Vous faîtes quoi en amour?

— Tout, il n’y a pas plus salopes que nous.

— Et vous prenez combien?

— En principe c’est cent euros chacun, mais vous êtres si mignons que l’on pourrait peut-être s’arranger.

— Comment ça?

— Vous pourriez nous payer en nature! C’est pas souvent que l’on voit des beautés comme vous.

— Ok, mais on ne paie pas d’avance, on veut d’abord vos services.

— D’accord mes choux, vous n’allez pas le regretter.

On remonte dans ma voiture et ils nous suivent jusque chez moi.

On leur propose une pipe pour commencer, et ils nous laissent faire. J’ai Mathieu face à moi, je le prends par la taille, remonte son teeshirt et l’enlève. Il est beau, mince, musclé, je caresse son torse et je l’embrasse dans le cou. Ma bouche descend rapidement sur sa poitrine, ses seins, son ventre, et je m’accroupis devant lui. Je défais son pantalon, l’enlève, et admire son boxer gonflé par son paquet. Je le caresse à travers le tissu, sens sa bite grossir et durcir, et je baisse son dessous pour libérer son sexe.

Il a une super jolie queue, mignonne et bien calibrée, et je me jette dessus pour la gober.

Je le pompe activement et je jette un coup d’il sur le côté. Daniel n’a pas perdu de temps lui non plus, et il est dans la même position que moi, à sucer son petit fils. On est côte à côte, il me regarde aussi, et me propose la queue de Guillaume. Je l’embouche quelques secondes, lui offre celle de Mathieu à mon tour, et on reprend chacun la notre. On recommence nos échanges, puis on suce la même tous les deux ensemble. Nos langues se rejoignent sur leur glands, s’enroulent dessus. Je lève la tête pour voir si ça leur plait, et je les vois se galocher sans retenue.

On continue nos turluttes, ils s’entendent pour jouir en même temps, et ils éjaculent puissamment dans nos bouches. On n’avale pas, on garde tout, et quand ils ont fini de se soulager, on se relèvent pour se rouler une pelle gourmande. On mélange leur jus de couilles, on le fait circuler de l’un à l’autre, puis on le boit en essayant de partager. Les jeunes s’embrassent toujours, et on les sépare pour les embrasser fougueusement.

On leur demande de nous payer pour cette première partie, en attendant la suite. On se déshabille, on ne garde que les bas jarretelles, et ils nous gobent la queue sans hésiter. Ils sont doué ces petits salauds, ils nous pompent tous les deux, à merveille, à fonds, ils avalent tout.

Ils ont repris des forces, se tiennent à nouveau une belle trique, et on va à la chambre pour s’offrir à eux comme les grosses putes que l’on est. Je suis à quatre patte sur le lit, face à Daniel en place lui aussi. Nos jeunes queutards nous fouillent vite fait, et nous embrochent sauvagement. On gueule, mais putain que c’est bon.

Du coup ils sont face à face eux aussi, et ils s’encouragent pour bien nous baiser, nous faire reluire la rondelle:

— Elles est bonne cette vieille trainée, elles a dû en prendre des bites dans le cul cette cochonne, pour être aussi ouverte.

— La mienne aussi, un vrai garage à bites. On va les défoncer ces putes, on va se les faire toutes les deux.

Je les entends, et je pense qu’ils vont se relayer pour nous sodomiser tous les deux. Cela fait un bon moment que Guillaume m’encule et que Mathieu encule son grand-père, et ils ne semblent pas vouloir changer de partenaire; tant pis, j’aurais bien aimé. Ils nous liment toujours, à grands coups de reins, nous la mettent bien profond, jusqu’à ce que j’entende mon amant gémir, jouir, et que je le sente se répandre dans mon cul. En suivant j’entends Mathieu jouir lui aussi dans le fion de Daniel.

Ils se retirent, en nous intimant de ne pas bouger, qu’ils n’en ont pas fini avec nous.

Ils ont vite fait d’inverser les places et je sens un bon chibre m’envahir à nouveau. Il est bon ce Mathieu, mieux monté que son cousin, plus fougueux, et je sais que je vais passer un merveilleux moment. Daniel a l’air satisfait de Guillaume, et on va grimper aux rideaux à se faire saillir par ces jeunes et beaux étalons. Ils nous matraquent, nous cassent le cul, nous insultent, et se déversent entre nos reins de salopes accueillantes.

Ils se retirent et on s’accroupit pour les sucer, les nettoyer. Leurs foutres dégoulinent de nos vides couilles anaux, et font deux flaques sur le parquet. On se met à quatre pattes et on lape tout comme des chiens.

Ils vont devoir maintenant s’acquitter de leur dette.

A suivre……………..

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