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I.S.A.N, une boite qui vous change… – Chapitre 2




Les 1er jours de travail

Le lendemain, Julien mit son réveil à 6h30 pour être sûr darriver à lheure. Il avait certes une heure de transport en commun mais cela devrait normalement lui laisser tout le temps de se préparer et darrivée à lheure à son premier jour de travail. Il mit son plus beau costume se rasa impeccablement la figure, mis son parfum puis une fois quil avait finis de se préparer fila vers la station de RER la plus proche de son studio. Il arriva devant lentrée du bâtiment, 12 minutes avant lheure demandée. Il savança devant le comptoir de laccueil ou trônait derrière lhôtesse le sigle de la compagnie. Les lettres I.S.A.N. trônaient fièrement en lettre dorée sur le mur.

Une jeune femme dune vingtaine dannées brune aux cheveux long et lisse laccueilli et avec un large sourire.

— Bonjour, bienvenue chez ISAN, que puis-je faire pour vous ?

— Euh, oui bonjour, je suis M. Rolland, je commence aujourdhui. On ma dit de madresser à vous ce matin à 9H.

A lentente de mon laïus lattitude de lhôtesse se figea une seconde puis avec un sourire encore plus insistant elle me demanda dattendre dans un des canapés de lentrée, le temps quune personne vienne me chercher. Ce que je mefforçai dexécuter le plus naturellement du monde. Ce qui ne létait absolument pas. Jétais stressé comme pour mon premier jour décole ! Apres quelques instants, je vis Laurène arrivée par lascenseur. Elle était encore plus sublime que hier. Elle sétait attaché ses cheveux en formant une queue de cheval. Elle était habillée avec une blouse en satin rouge et une jupe courte noire. La jupe mettait en évidence ses magnifiques jambes élancées et galbés dans des bas sombres. Au fur à mesure quelle avançait vers moi je pu deviner la encore la présence dune porte jarretelle au travers de la fente de la jupe. Javais toujours été fasciné par les belles femmes et la lingerie. Je trouvais que cela dégageait chez elles une attirance irrésistible. Malheureusement mon ancienne compagne ne partageait pas ces même affinités ce qui, je pense avait entre autre contribué à notre séparation

Je me levis et me tint juste devant elle. Sa poitrine me parut alors encore plus imposante que la fois précédente. Jen étais presque mal à laise tant quelque chose de sexy ressortait delle. Je mapprêtais à lui tendre la main, quand je la vis se pencher vers moi et me fis 2 bises. Je ne pus me retenir de rester scotcher 2 secondes. « Oh oui ici nous faisons la bise, tu fais maintenant partie de la grande famille dISAN. Tu verras nous sommes tous très chaleureux. Suis moi je taccompagne à ton nouveau bureau. » Là encore, je fus surpris par cette familiarité mais cela nétait pas pour me déplaire Je me pressais de la suivre dans lascenseur ainsi que dans les couloirs. Je la suivais religieusement. Je ne pouvais arrêter de contempler ses fesses qui se dandinaient devant moi. Je me posai même la question si elle ne le faisait pas exprès pour mémousser ! Et ça marchait. Je sentais une érection venir en moi. Pulsion que je me forçais de refouler mais cela était difficile au vu du spectacle qui soffrait à moi. Nous arrivâmes enfin à un bureau, assez grand mais qui ne contenait que peu de mobilier. Il y avait toutefois au fond une porte qui communiquait avec un autre bureau. Cétait celui dIsabelle

« Bien je vous laisse vous installer, vous trouverez sur votre PC la liste des taches que vous devez réalisés. Vous ne verrez malheureusement pas aujourdhui votre patronne, Isabelle est en déplacement cette semaine. Toutefois vous avez beaucoup de travail à abattre et ce serait bien que tout cela soit traité avant son retour. »

Laurène séclipsa rapidement et je minstallai à mon nouveau bureau. Je passai ma première journée à me familiariser avec leurs outils et leur codification. Je ne fis pas déçu de ma première journée. Je pensais avoir fait du bon travail. Je ne vis personne à lexception de Laurène qui repassa vers 18H pour me demander si tout cétait bien passé. Je quittai le bureau vers 19H et arriva sommes toutes un peu fatigué à 20H30 à mon domicile.

Le lendemain, Julien arriva à 8h30 voulant ainsi montrer son implication. Il croisa, Cécile la réceptionniste, toujours aussi impeccablement maquillé et avec une longue crinière brune qui lui donnait une certaine sensualité. Julien se dirigea directement vers son bureau ou il eut une surprise. Son bureau avait été entièrement décoré. Il avait maintenant de belles plantes vertes ainsi que de nombreux tableaux représentant des nues. De plus sur le bureau était disposé des petites plantes ainsi que de lencens diffusant une odeur douce. Une grande armoire, avec un coté penderie trônait maintenant sur le mur de droite. Julien resta ébahit devant un tel changement. Le bureau était devenu beaucoup plus chaleureux tout dun coup. Encouragé par ces transformations, il sattela à trier les mails et à éditer les différents courriers de ces 2 patronnes. A lheure de la pause déjeuné, il se décida a allé chercher un sandwich pour manger rapidement à la salle de pause. En si dirigeant, il fut surpris de voir une petite dizaine de femmes toutes aussi jolies les unes que les autres, mais ce qui le surpris le plus fut leur tenue vestimentaire. Elles étaient toutes habillées de la même façon. Elles portaient toutes un chemisier blanc et une jupe noire. Il ne se rendit pas compte immédiatement mais son arrivée dans la salle de pause avait provoqué des regards amusés et des chuchotements à son égard. Il alla sassoir à une table après avoir acheté un sandwich au distributeur et commença à manger. Apres quelques instants, une jeune femme châtain dune vingtaine dannée sasseye à sa table. Elle sétait déjà assise quelle lui demanda : « Je peux massoir ? » Julien content de pouvoir échanger acquiesça dun mouvement de tête alors quil avalait rapidement sa bouchée.

— Bonjour je mappelle Julien, je viens de commencer hier.

— Salut moi cest Clara. Je bosse à la compta.

Ca voix était douce, son visage lui donnait à peine 20 ans mais elle semblait de par son attitude en avoir bien plus. Elle devait mesurer dans les un mètre 75, ce qui avec ces talons de 8 cm la faisait apparaitre plus grand que julien.

— Tu travailles pour Isabelle cest ça ? senquerra-t-elle.

— Oui, mais je ne lai pas encore vu. Je crois savoir quelle doit rentrer la semaine prochaine

— Humm, oui cest ça. Dit-elle dun air amusé. Tu verras ici cest une chouette boite. Tout le monde sapprécie et sentraide. Cest un cadre privilégié.

Julien ne put sempêcher de lui demander ce quil en était à propos de la tenue vestimentaire…

— Y a-t-il un code vestimentaire dans cette boite ?

Clara lui répondit dun air assez surpris :

— Oui, tu nas pas lu ton contrat ? Le chemisier et la jupe sont obligatoires. Apres en fonction des jours les couleurs changes. Et le vendredi cest robe pour tout le monde mais couleur au choix. Ça fait un peu moins scolaire ainsi ! souri-t-elle. Enfin, ça cest vrai pour les employées, les membres du co-dir nont pas cette restriction

Julien fut très surpris de cette règle très particulière. Une question lui vint très rapidement à la tête :

— Et quen est-il pour les hommes ???

— Je ne sais pas, tu es le premier qui bosse ici. Dailleurs cela nous a toute surprise de te voir arriver travailler ici.

Julien sarrêta un instant de parler et contempla la salle. Effectivement il était le seul homme dans cette pièce. Cela ne lavait pas dérangé jusquà présent mais cela commença à linquiéter

Clara sexcusa peu de temps après et quitta la pause pour retourner à son poste. Julien en fit de même mais emplie de doute. Il scruta lors de son retour à son bureau sil voyait un autre employé masculin, mais il ne vit que des femmes dans les différents bureaux. Certes lentreprise était de taille très modeste, pas plus de 12 personnes mais la probabilité quil ny ait aucun homme était très faible

Le soir en quittant son bureau il se dirigea vers le bureau de la RH, mais Laurène était absente. Il se résigna donc à rentrer à son domicile. Le soir, il éplucha le contrat et trouva différentes références à des uniformes et effectivement il y trouva un alinéa précisant les différents codes couleurs de la semaine. Il y trouva également stipulé le type dhabit que le personnel devait porter : jupe, chemisier, robe. Mais rien ne faisait référence à des habilles dhomme. Il pensa que cétait un oubli et se mit en tête déchanger demain sur ce sujet avec Laurène.

Le lendemain, toujours habillé de son costume noir et de sa chemise blanche, Julien se dirigea vers son bureau. Il constata effectivement quaujourdhui, toutes les femmes portaient des hauts parmes et des jupes blanches. Il est vrai que cela donnait une ambiance particulière dans le bureau. A 10h il se rendit au bureau de Laurène. Elle était assise derrière son bureau dans un tailleur bleu turquoise qui mettait en valeur ses yeux marron. La veste était ouverte et le chemisier blanc nétait pas boutonné sur les 2 premiers boutons laissant apparaitre le soutien-gorge en dentelle supportant sa lourde poitrine. Quand il entra dans son bureau il eut du mal à rester concentrer. Son esprit était figé sur cette image délicieuse. La voix de Laurène stoppa les rêveries de Julien.

— Ah, bonjour Julien !

Tout en parlant, elle se leva et se dirigea vers lui. Elle était magnifique dans cette tenue. Ses cheveux blonds ondulaient sur ces épaules. Ses talons de 7 cm, lui affinait encore plus ses jambes qui étaient déjà parfaite. Elle posa sa main sur son dos en lui faisant deux bises chaleureuses sur les joues. Ce contact fit comme une décharge électrique à Julien, ce qui lui provoqua une érection immédiate. Cela faisait tellement longtemps quil avait été loin des contacts charnels quil était devenu hyper sensible. Une bosse se forma dans son pantalon. Il eut un moment de doute se demandant si Laurène sen était rendu compte.

— Que puis-je faire pour toi ?

Gêné, il ne savait pas comment exposer le sujet du code vestimentaire. Puis il se lança :

— Jai remarqué que tout le monde était habillé de la même façon. Y a-t-il un code vestimentaire ?

Laurène répondit sur un ton un peu surpris :

— Oui pourquoi ?

Dun air encore plus gêné

— En lisant le contrat je nai rien trouvé lié à cela.

— « Tu as du mal le parcourir, le contrat me semble pourtant assez clair à ce sujet. Mais comme mentionné, ne tinquiètes pas, nous laissons tous les nouveaux arrivants une semaine pour se mettre en conformité. » Répondit elle avec un grand sourire.

— « Mais quen est-il pour les hommes ? Il ny a des références qua des vêtements de femme» sinquiéta julien.

Laurène recula dun pas et fronça les sourcils.

— Comment cela tu sous entends que nous soyons sexiste ? je suis offensée et blessée par tes propos !

— Non, non vous, vous méprenez, je dis juste que vous navez pas précisé la tenue adéquate pour un homme.

— « Oui cest bien cela ! » Elle devint rouge de colère, comme si je venais de linsulter. « Tu nous considère comme des myosines cest ça ! Nous avons justement mis ça en place pour faire en sorte que tout le monde se semble faire partie dun tout, dune grande famille. De notre grande famille. Et voilà que tu veux remettre cela en cause !?

Julien était estomaqué devant autant de colère et de répartie devant ce simple oublie. Il ne savait plus quoi dire.

Laurène ajouta :

— Soit tu te plis aux valeurs de lentreprise qui nous sont chères, à savoir le partage, léquité et luniformité ou alors tu ten vas ! mais tu ten vas tout de suite et en nous réglant les pénalités de rupture de préavis !

La colère de Laurène avait ameutée quelques salariées dans le couloir. Cette présence mis encore plus mal à laise Julien.

— Des pénalités ? répondit julien, comment ça ?

— Oui pour toute rupture du contrat dans les 2 premières années tu dois à lentreprise 250000.

— Mais je ne les ai pas ! rétorqua julien affolé.

— Je men moque répondis Laurène, quand on attaque ma famille je la défends bec et ongle

Un long instant de silence se passa dans le bureau, Laurène était debout bras croisés jambes écartées devant julien. Lui avait les épaules affaissé et lair abattu par cette dernière nouvelle.

Laurène, se rapprocha à nouveau de lui et lui dis sur un ton plus doux :

— Tu te plais ici non ? cela ne fait que 3 jours que tu es là mais les personnes semblent tapprécier. Jai regardé ton travail, il est bien fait. Ne laisse pas tes préjugés machistes tempêchés de faire ton travail, de tépanouir et de pouvoir ainsi continuer à subvenir à ta famille

Julien alla répliquer quand Laurène se rapprocha encore plus près de lui afin de nêtre plus quà quelques centimètres de sa bouche. Elle lui apposa son index sur ses lèvres et ajouta tout doucement.

— Je tapprécie Julien, ta détresse ma émue à notre première rencontre. Cest pour cela que jai voulue te donner cette chance. Saisie là. Ne gâche pas tout. Penses aux conséquences, tas vie a déjà été un véritable fiasco par le passé. Fait en sorte que cela ne se reproduise pas. Tu as un vrai avenir ici. Crois-moi.

Julien ne sus que répondre à cela. Cest à ce moment précis que Laurène en profita pour lui faire un baiser sur son front. Un baiser tellement sensuelle quil faillit éjaculer.

— Reste, lui glissa-t-elle à loreille avant de reculer dun pas.

Julien était complétement désorienté. Il pensait avoir enfin trouvé un job, un vrai voir même un avenir. Est-ce que ce simple problème de tenue aller tout gâchée ? Mais comment allait-il être perçu par les autres ? Comment allait-il gérer cela ?

Comme si Laurène pouvait lire dans ses pensées, elle ajouta : « Ne tinquiètes pas, ici nous sommes une famille, nous nous soutenons mutuellement et personne ne porte de préjugée envers quiconque. » elle lui passa à nouveau la main dans le dos en linvitant à sassoir sur un fauteuil.

Julien se rappela des propos rassurant de Clara, la comptable et prononça doucement un mot :

— OK.

— Comment julien ?, insista Laurène comme si cette parole aussi dure à sortir pour Julien navait pas été assez explicite.

Julien reprit : « Je me conformerai à la clause du contrat. » Dit-il dun ton son inflexion, tel un vaincu.

Laurène reprit son air souriant et ajouta. « Ne tinquiètes pas, nous allons taider avec ces menus détails ». Menus détails pensa Julien, pour une femme oui, mais pour un homme

— Ce que je te propose pour te simplifier la vie cest que tu trouveras tous les matins dans larmoire de ton bureau ta tenue du jour. Ainsi tu nauras pas en ten soucier. Je men chargerai personnellement si cela peut te rassurer.

Julien restait sans mot et ne faisait quacquiescer avec la tête. IL était un peu perdu mais il essayait intérieurement de se convaincre que cela avait en fait peu dimportance. Laurène linterrompit à nouveau dans ses pensées. Elle se positionna derrière lui et posa ses 2 mains sur ses épaules.

— « Tu as bien fait de venir dans mon bureau. Il vaut mieux tout de suite échanger dès quon a un doute. » Puis elle glissa délicatement ces mains sur son corps afin de se retrouver face à lui. Et elle lui dit à quelque centimètre de son visage : « Allez, je te laisse reprendre ton poste »

Julien se leva machinalement et retourna à son bureau. Il nen sortit pas de la journée. Sa discussion avec Laurène avait fait grand bruit dans lentreprise et de nombreuses personnes passèrent devant son bureau en jetant des regards curieux à lintérieur. Il quitta son poste à 17H. Et rentra directement à son studio.

Le lendemain, Julien ne se leva pas pour aller au travail. Il resta toute la journée dans son lit à se demander ce quil allait faire. Le soir il reçut un appel du boulot lui demandant sil était malade et sil serait présent demain. Il laissa le répondeur prendre lappel.

Le lendemain, il sextirpa du lit, mis sa chemise blanche et son costume et pris le chemin du travail mais sans la conviction des premiers jours. Il était arrivé très tôt afin de ne croiser personne. Il senferma dans son bureau et sassit sur sa chaise. Il resta fixer pendant quelques minutes larmoire qui lui faisait face. Puis il décida de se lever et daller louvrir. Il le fit comme si il allait découvrir un cadavre. Une fois la porte de la penderie ouverte, il découvrit une blouse en satin de soie crème et une jupe évasée mi longue. Elle était dune couleur rose poudrée et son satin la faisait briller à la lumière. Sur létagère de gauche reposait des bas crèmes autos fixant ainsi quun ensemble de lingerie en dentelle. Il était composé dune culotte et dun soutient gorge sans armature. Son premier réflexe fut de refermer le placard mais il se retint. Il resta devant à contempler sa tenue. Cest à ce moment quil entendit quelquun frapper à la porte. Il ne sut que faire. Puis, en reprenant son calme, il dit « oui ?» Cétait Clara. Elle portait un chemisier à jabot beige et une minijupe rose. Le tout était fini par des bas blancs et des escarpins roses. La beauté de la jeune femme était une fois de plus mise en valeur par sa tenue. Elle semblait vraiment inquiète pour Julien

— Ça va ?

— Non

— Tu as trouvé une tenue ?

— Oui

— Veux-tu de laide ?

Julien ne sattendait pas à cette proposition et ne sus quoi répondre.

— Si tu nes pas en tenue aujourdhui jai cru comprendre que lon risquait de te virer.

— Oui je sais.

— Allez changes toi ce nest pas bien grave. Dis-toi que cest une soirée costumée.

La sollicitude de Clara toucha Julien. Elle se rapprocha de lui. Julien se déshabilla enlevant sa veste et sa chemise. Puis il défit son pantalon. Il se retrouva ainsi en boxer. Clara lui tendis les sous-vêtements mais il refusa de la tête. Et montra avec son doigt la tenue. Clara alla la chercher et aida Julien à enfiler la blouse. Elle lassa dans le dos les 2 boutons qui fermaient lencolure puis tendis à Julien la Jupe. Il lenfila. La sensation du satin sur sa peau le fit frissonner. Etait-ce une réaction de dégout ou de plaisir. Il se mit à douter. Puis sans un mot il alla sassoir à son bureau et commença à travailler. Clara le regarda dun air compatissant puis le laissa.

Il était à peine 10 heures quand Laurène entra dans le bureau. Elle portait un chemisier noir en tulle qui laissait apparaitre une magnifique guêpière rouge et noir. Sa minijupe évasée, ne faisait quune fois de plus mettre en valeur ses jambes interminables. La Jupe était tellement courte quelle laissait apparaitre les rubans de satin tenant les bas noirs. On aurait cru une star de film X mais sans la vulgarité. Elle était juste une icône. Il y avait une sensualité presque animale qui émanait delle. Cette apparition avait fait lever Julien de derrière son bureau. Permettant de voir ainsi la magnifique blouse et jupe quil portait.

— Bonjour Julien, je suis ravie de voir que tu vas mieux. Nous, nous sommes inquiétez hier.

Puis après un court instant ces yeux se plissèrent en remarquant que Julien ne portait pas lintégralité de la tenue quelle lui avait préparée.

— Je vois que tu suis les règles de notre grande famille, je suis fière de toi.

Et tout en disant cela elle sapprocha de lui et lui fit un baiser sur les joues. Elle se colla à lui, en lui faisant sentir sa poitrine mise ainsi en évidence. Là encore il ne put réprimer une pulsion érotique qui le fit avoir une érection immédiatement. Le boxer ne put contenir son désir, et une grosse bosse apparue sous la jupe évasée en satin. Laurène souri en voyant la protubérance et continua dimposer sa présence en lui caressant délicatement le torse au travers du satin de la blouse. Julien était à la fois tétanisé et au bord de lextase. Laurène le sentit et retira ses mains.

— Mais à ce que je vois tu nas pas mis lintégralité des habits que je tai préparé ?

Julien répondit difficilement mais articula quand même quelques mots :

— Je me suis conformé aux normes de lentreprise. Je porte bien un chemisier et une jupe.

Laurène fut surprise dune telle insolence puis elle finit par répondre :

— Oui cest vrai toutefois comme il est également stipulé, nous nous devons de rester avec une tenue correcte. Or il nest pas admissible de porter une telle tenue sans les sous-vêtements adéquats Imagine-moi sans guêpière, avec juste un string. Ma poitrine serait alors exposée et rien ne tiendrait mes bas. Je ressemblerai à quoi ?

Ne voyant pas julien répondre, elle se déshabilla devant lui, baissant sa jupe et enlevant son chemisier. Julien put alors admirer sa responsable des ressources humaines en guêpières, string et bas juste devant lui. Elle avait vraiment un corps de déesse et elle en jouait. Cen fut trop pour Julien qui ne put retenir son éjaculation. Ce petit moment dabsence néchappa pas à Laurène qui eut un petit rictus. Elle continua comme si de rien nétait sa démonstration. Elle enleva ensuite sa guêpière défaisant ainsi les accroches des bas qui glissèrent le long de ces cuisses. Puis retira intégralement la pièce de lingerie. Elle se retrouva sein nu avec juste son string qui couvrait à peine son sexe et des bas à mi cuisses. Elle se tint ainsi pendant quelque seconde devant lui puis réenfila sa jupe et son chemisier. Le chemisier transparent ne cachait rien de la sublime poitrine et les bas pendant le long des cuisses laissaient imaginer une femme abusée.

— Est-ce que je suis présentable ainsi ?

Julien marmonna un non à peine audible

— « Pardon je nai pas compris. » Insista dune voix douce mais ferme Laurène

— Non, cette tenue nest pas correcte.

— Je suis ravie de te lentendre dire. Allez viens je vais finir de thabiller.

Devant cette femme il était comme hypnotisé. Il ne pouvait rien lui refusé. Il se rapprocha delle et resta debout à côté delle.

Elle se positionna derrière lui et défit les boutons que Clara lui avait mis. Elle eut une seconde de réflexion pendant quelle laidait à enlever sa blouse. Puis elle lui baissa la jupe et la lui enleva. Il était ainsi en boxer ou son sexe était encore en pleine érection. Il était complétement souillé de sperme de sa précédente érection.

— Tu ne peux vraiment pas rester comme ça. Ton slip est tout dégoutant. Enlève-le.

Sans réfléchir Julien obéis. Il se retrouva ainsi nu devant Laurène. La seule différence cest quil était toujours en pleine érection. Elle prit alors la culotte quelle lui fit enfiler et prenant soin de laisser le pénis de Julien sortir de cette dernière. Puis elle lui fit enfiler le soutien-gorge et le lui accrocha délicatement. Julien était telle une poupée entre ces mains. Puis elle retroussa les bas afin quil puisse les enfiler et les fis glisser très sensuellement le long de ses jambes. Elle prit un malin plaisir à effleurer à chaque fois son pénis qui restait ainsi aussi tendu que possible. Elle lui fit ensuite remettre la jupe et la blouse. Elle se recula et contempla son uvre. Julien se tenait au milieu de la pièce figé. Laurène En profita pour se rhabiller rapidement et remis sa guêpière ainsi que ces bas en place. Elle se trouva ainsi devant lui. Son érection lui occasionnait une bosse énorme sous sa jupe. Elle sapprocha de lui et lui dis dune voix extrêmement sensuelle.

— « Cest bien ce que je pensais. Le satin te va à ravir. Il fait ressortir ta féminité. Cest décidé, tu porteras exclusivement des tenues en satin. Jadore le soyeux de cette matière. » Et en joignant les paroles aux actes elle caressa lentrejambe de julien.

— Veux-tu que je te soulage ? Tu sembles en souffrance ?

Julien navait pas dit un mot depuis de longues minutes. Il resta murer dans son silence mais son regard trahi son désir. Comme si son corps nen disait pas déjà assez Laurène se mit alors à côté de lui et commença à lui caresser doucement le pénis à travers la jupe. Le satin ne fit quamplifier la sensation de bien-être. Il ne fallut pas longtemps à Laurène pour arriver à ses fins. Julien éjacula une nouvelle fois mais cette fois ci dans la jupe. Tachant ainsi le tissu en laissant une marque sombre au niveau de son sexe. Julien ne put retenir un râle de satisfaction. Laurène semblait se délecter de la situation. Cette fois ci son pénis se rétracta enfin comme si il avait atteint son objectif. Laurène se retira puis dans lencadrement de la porte ajouta :

— Je te laisse travailler. Je passerais demain massurer que tout est également en ordre. Tu dois être prêt pour le retour dIsa A demain

Puis elle sen alla comme si de rien était en laissant julien dévasté parce quil venait de se passer. Il venait de comprendre que cette femme le possédait intégralement et quil ne pouvait rien lui refuser. Il se rassit à son bureau en prenant soin de plier sa jupe sous ses fesses. Puis croisa les jambes et sentit le nylon frotter contre le satin de la jupe ce qui lexcita à nouveau. IL finit sa journée à 18H. Remis son boxer, sa chemise et son costume et rentra chez lui tel un mort vivant.

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