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Esclave sexuelle de mon ex – Chapitre 1




L’histoire que j’ai envie de vous raconter s’est passée il y a plusieurs années. J’étais divorcée de mon mari depuis cinq ou six ans déjà mais comme nous avions un enfant ensemble, il venait régulièrement à la maison pour discuter de son éducation et de la conduite commune que nous étions censés adopter avec notre progéniture.

J’avais alors trente ans et lui, trente et un. Nous avions chacun de notre côté retrouvé quelqu’un plus pour combler notre besoin de compagnie plus qu’autre chose car je dois dire que pour ma part, il était et restera sans doute pour longtemps le seul grand amour de ma vie.

Mon nouveau compagnon n’habitait pas avec moi et c’était d’ailleurs bien pratique lorsque mon ex débarquait chez moi sans crier gare.

Nous avions vécu de nombreuses années ensemble et bien sûr, il connaissait tout de moi et en particulier mes préférences sexuelles un peu particulière il est vrai.

En amour, j’aime être forcée ce qui peut me mettre dans des situations plus qu’embarrassantes à certains moments. Je n’aime pas la brutalité mais une contrainte physique modérée n’est pas pour me déplaire bien au contraire. L’homme qui arrive à comprendre çà est pratiquement sûr de pouvoir me baiser s’il sait s’en servir judicieusement et surtout au moment opportun.

Parfois je peux être un peu chiante voire carrément désagréable lorsque quelque chose ou quelqu’un me contrarie et c’est ce qui s’était passé lors de cette soirée où nos relations de parents ont brusquement basculé pour faire de moi l’esclave sexuelle de mon ex.

Jusqu’à cette fameuse soirée, il n’avait jamais tenté quoi que ce soit avec moi mais j’avais sans doute un peu trop exagéré et il était passablement énervé.

Quand il se lève et s’avance vers moi, je comprend qu’il est en train de sortir de ses gongs. Je le connais trop bien pour savoir qu’à ce moment, mieux vaut ne pas en rajouter et laisser passer l’orage afin d’éviter que la situation ne dégénère et prenne une tournure que nous regretterons certainement après coup mais qui malheureusement sera arrivée. Son air menaçant me fait croire l’espace d’une seconde qu’il va me gifler aussi, consciente que j’ai exagéré, je m’excuse en baissant les yeux adoptant mon air de jeune fille toute penaude regrettant ce qu’elle a fait. Mon attitude fait retomber la tension d’un cran, il me regarde en me disant :

— Et tu crois que tu vas t’en dire comme çà. Avec de simples excuses ?

— Je m’excuse. Je sais que j’ai exagéré voilà, c’est dit. Qu’est-ce que tu veux de plus ?

— Dans le temps tu te serais excusée d’une autre manière bien plus convaincante non ?

— C’est vrai mais on n’est plus ensemble et nous avons maintenant tous les deux quelqu’un.

— Personne n’en saura jamais rien.

— Qu’est-ce que tu veux ?

Il s’approche de moi et me pousse en arrière pour me plaquer contre le dossier de mon fauteuil puis ouvre lentement sa braguette en me regardant bien droit dans les yeux, une de ses mains toujours plaquée sur ma poitrine pour m’empêcher de bouger. Il est bien plus costaud que moi. Je n’aurais de toute manière aucune chance de me dégager par la force et de me sentir tout à coup sous sa coupe me procure immédiatement à la fois de la peur et de l’excitation impossible à contrôler. Je sens mes forces m’abandonner tandis qu’il m’ordonne de le sucer en me disant que contrairement à ce que je pensais, il n’est plus en couple depuis un moment et que n’ayant plus personne pour calmer sa libido, c’est moi qui allait m’en charger.

J’essaie de balbutier quelques mots qui s’étranglent rapidement dans ma gorge. Je sais qu’il ne faut pas, qu’il n’a pas le droit de me faire çà mais c’est plus fort que moi, mon cerveau ne commande déjà plus, c’est mon instinct de femelle aimant être dominée qui prend le dessus.

Dans un dernier élan de lucidité j’essaie de le convaincre de renoncer mais il m’ordonne une nouvelle fois en me présentant son sexe déjà raide d’excitation :

— Je t’ai donné un ordre. Ne discute pas. Suces-moi !

Je sens ma chatte se liquéfier, ma culotte devenir toute poisseuse en moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire. Son gland est à quelques centimètres de mon nez, je sens son odeur de transpiration mêlée à celle de sa dernière miction qui me monte aux narines. Ça m’excite. Ma volonté m’échappe. J’ouvre la bouche. Il en profite pour enfoncer entre mes lèvres son gros chibre qui réagit aussitôt au contact velouté de ma bouche. Un spasme le transperce, le faisant grossir encore.

— Allez suces ! Tailles-moi une bonne pipe comme tu savais si bien le faire avant.

Je n’essaie même plus de résister. Ma langue entre en action. Je me mets à le lécher, sa hampe majestueuse, son énorme gland circoncis, je descend jusqu’à ses testicules que j’imagine pleines à craquer de son épaisse semence. Il se met à gémir, m’encourage en me traitant d’adorable salope, me demande si je suces aussi mon nouveau copain.

Comme je ne lui réponds pas il insiste, m’ordonne de lui répondre. Je lui dis que oui mais que ça ne se passe pas comme çà. Il sait ce que je veux dire par là et me demande si c’est bien comme çà que je préfère. Je n’ai d’autres solutions que de lui répondre pas l’affirmative. Il me félicite et m’ordonne de m’appliquer à lui faire la meilleure pipe de sa vie.

— Oui, comme çà. Tu n’as pas perdu la main ou la bouche devrais-je dire. Tu suces toujours aussi bien. Il aime çà ton copain ?

— Oui il adore.

— Tu avales aussi son sperme ?

— Pas toujours, ça dépends.

— Aujourd’hui tu avales tout jusqu’à la dernière goutte.

Je ne réponds pas.

— Tu entends ? Jusqu’à la dernière goutte.

— J’entends mais…

— Il n’y a pas de mais. Je veux que tu me fasses jouir dans ton adorable petite gueule et qu’ensuite tu me regardes bien dans les yeux en avalant tout mon jus de couilles.

Je finis par lui dire que oui, je le ferais.

— Oh putain que c’est bon de se faire sucer comme çà. Heureusement que tu es là. Il te fait bien jouir ton copain ou c’est moyen, moyen ?

— Ça serait plutôt moyen moyen comme tu dis.

— Je vais te faire jouir comme tu aimes.

— Ce n’est bien de faire çà. Je sais que t’en es capable mais ce n’est bien. Je suis en train de le tromper, je me sens sale.

— Arrêtes donc de te plaindre. Je sais ce que tu aimes et ce que tu veux au fonds de ton ventre, de tes tripes et je vais te faire jouir comme tu aimes.

Notre conversation l’excite. Je sens ses bourses se durcir, sa verge grossir de plus en plus et les spasmes qui la traversent de plus en plus rapides. Le ton de sa voix change. Il approche de la fin. Quand il me prend la tête à deux mains, je sais qu’il va jouir. Il me crie de tout prendre, de tout bien garder précieusement dans ma bouche pour avaler quand il me l’ordonnera. Son sperme gicle, envahit ma bouche. Son éjaculation est énorme, sa semence abondante et épaisse comme dans mes souvenirs. Les spasmes sont moins puissants. Son orgasme se termine. Je sens une quantité impressionnante à l’intérieur de ma bouche. Il se retire, m’ordonne d’ouvrir ma bouche.

— Oui, comme çà, ouvre encore. Ouaissssss. J’avais une grosse envie hein ? Allez avales maintenant et montres-moi ensuie qu’il ne reste plus rien.

Je m’exécute sans protester. Il jubile.

— Allez montres-moi.

J’ouvre la bouche toute grande. J’ai tout avalé, reconnaissant le goût de sa semence, un goût que je croyais oublié à jamais.

— C’est bien. T’es une gentille petite salope. Allez, nettoies ma queue maintenant.

Je m’exécute encore. Quelques gouttes de sperme perlent au bout de son méat. Je les englouti sans hésiter. Il sourit, satisfait. Il n’a pas débandé. Je me souviens alors comme il était endurant lorsque nous étions ensemble. Quand c’est fini, il m’ordonne de me lever et de me désaper devant lui. Mes vêtements tombent à mes pieds un à un. Il ne me reste plus bientôt que mon soutien-gorge et un minuscule string maculé de mouille. Il s’en aperçoit et sourit. Je me sens toute bête, humiliée mais j’aime çà et il le sait. Il me faut tourner sur moi-même, pencher en avant les fesses tournées vers lui de longues secondes, m’ordonne d’écarter la ficelle de mon sous-vêtement pour qu’il voit mieux mes trous. Je m’exécute à chaque fois docilement. Je suis tellement excitée que ma mouille coule maintenant le long de mes cuisses.

— ça t’excite d’être domptée comme çà hein ?

— T’es qu’un sale profiteur !

— Je m’en fous complètement. J’aime ton cul et j’ai envie de baiser alors je vais te baisser petite dévergondée perverse.

— S’il te plaît !

— Tu ne penses même pas ce que tu dis. Je sais que dans le fonds, tu n’attends que çà.

— Oui mais je ne devrais pas. On n’est plus ensemble maintenant.

— Justement. C’est çà qui t’excite encore plus. Allez. Dis-le que çà t’excite !

Je ne veux pas répondre à çà mais il insiste.

— Dis-le je te dis. T’es trempée comme jamais.

— T’es vraiment qu’un gros pervers de profiter de moi comme çà.

— Tais-toi maintenant et écartes bien les jambes que je puisse te la mettre bien profonds en un seul coup de reins.

Il me fait mettre à genoux en appui sur le bord du canapé et s’installe derrière moi. Je sens le bout de son sexe glisser dans ma raie, se frotter sur mon anus, descendre plus bas vers l’entrée de ma vulve, remonter dans ma raie pour se poser à nouveau sur ma rosette.

— Non pas là. Je ne suis pas propre.

— Tu perd rien pour attendre. La prochaine fois t’aura intérêt à bien l’être sinon tant pis pour toi.

— Comment çà la prochaine fois ?

— Tu ne crois quand même pas qu’il n’y en aura pas d’autre quand même.

— Mais j’suis pas libre.

— Et alors, en ce moment aussi t’es pas libre et pourtant tu m’offres ton petite chatte sur un plateau. Tu crois qu’il aimerait apprendre çà ton copain ?

Je comprend tout à coup qu’il ne va pas en rester là. L’émotion m’étreint, ma poitrine est le point d’exploser tandis qu’ignorant mon désarroi, il s’enfonce doucement dans ma vulve, écartant doucement mes chairs pour plonger toujours plus loin et buter enfin contre ma matrice. Ça y est. Il est en moi. Il me possède. Je ne suis plus qu’un pantin de chair entre ses mains agrippées fermement à mes hanches.

— Hummmmm ! Je n’ai jamais oublié à quel point tu étais bonne.

— T’es qu’un salaud. Tu me forces. Tu profites de ma faiblesse.

— Oui je profite oui, je suis un salaud. Je suis un salaud mais t’aimes çà. Ta chatte me serre tellement fort que je pourrais jouir sur le champ si je me laissais aller.

— Non, non. Ne jouis pas. Pas déjà.

— Ah ben tu vois que t’en as envie toi aussi.

— Maintenant que tu es arrivé à tes fins, tu ne vas pas me laisser en plan n’est-ce pas ?

— Tu sais bien que non mais j’ai envie de t’entendre me demander de te faire jouir.

Je n’ai pas le choix. Il est en moi. Il me possède. Son dard profondément enfoncé dans mon ventre. Il commence à bouger doucement. Non, je n’ai pas le choix.

— Fais-moi jouir. Oui, fais-moi jouir comme avant.

— Bien ma petite perverse adorée. Et pour après ?

— Quoi pour après ?

— Tu sais très bien ce que je veux entendre. Ne te fais pas plus bête que tu ne l’es.

— Oui, oui. D’accord je ferais ce que tu attends de moi.

— Bien. J’préfère çà.

Il s’anime maintenant franchement en moi. Je sens son vit m’ouvrir le ventre à chaque aller-et-retour, déclenchant en moi des spasmes incroyablement bons. Le plaisir est en moi, m’agresse, détruit une à une toutes les barrières censées au nom de la morale, de profiter complètement de cet accouplement illégitime. L’adrénaline envahit mes veines, remonte vers la base de mon cerveau, je ne suis bientôt plus qu’un sexe, un énorme sexe sur le point de jouir. Ses coups de boutoir me secouent, me font crier, hurler parfois. Il me défonce et s’acharne à extirper de mon être la plus petite parcelle de plaisir existante. Je lui crie que je vais venir. Il exulte.

— Oui, oui. Laisses-toi aller. Jouis. Jouis pour moi.

— Haaaaaaaa !!! salaud. Salaud. Je vienssssssssssssssss. Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii.

L’orgasme est là, il m’emporte, je m’envole puis je tombe dans un puits sans fin. Ma tête explose en un millier d’étoiles. Mon dieu que c’est bon de jouir. Je surfe sur la vague du plaisir. Les endorphines se répandent dans mes veines pour calmer peu à peu, ce déchaînement des sens et apaiser ce corps dont les spasmes s’éloignent doucement. Je ne sais combien de temps s’est passé lorsqu’enfin j’ouvre les yeux. Il est là, toujours figé dans mon ventre, raide comme du bois. Il n’a pas joui. Je sais que ce n’est pas fini. Mes souvenirs de nos exploits passés ressurgissent dans ma tête. Il me retourne et m’allonge sur le dos, soulève mes jambes pour les replier de chaque côté de mon corps alangui. Je le laisse faire ce qu’il veut. Je n’ai pas le choix.

— Tu le laisses t’enculer aussi ?

— Non pas par là. Je te l’ai dit je ne suis pas propre.

— C’est vrai tu me l’as dit. Tu ne m’as pas répondu.

— Non. Plus personne ne m’a prise par ici. Il n’y a eu que toi et personne d’autre.

— La prochaine fois alors ?

— Peut-être qui sais !

— Moi je sais !

— Caresses-toi pendant que je vais me faire jouir en te prenant.

Il s’enfonce facilement dans mon ventre puis commence à me limer doucement. Je sens son mandrin prendre peu à peu de l’ampleur. Il est gros, de plus en plus gros. Mon majeur flatte mon clito en tournant et en le titillant comme j’adore le faire lorsque je suis seule.

— C’est bon ?

— Oui. Continues je vais venir.

— Moi aussi, ça vient.

Il accélère ses coups de reins. Nous essayons de nous regarder dans les yeux comme autrefois pour ne rien perdre de la montée du plaisir dans le corps de son partenaire. Son regard se fige doucement, il est au bord, tout au bord du grand saut. Je m’active moi aussi pour exploser en même temps. Ses yeux basculent, les miens les suivent. Nous sommes en train de jouir en même temps, comme avant. C’est incroyablement bon. Il y a longtemps que je n’avais pas joui plusieurs fois d’affilée et surtout aussi fort. Je récupère doucement. Mes pensées s’égarent et je sais que lorsqu’il viendra la prochaine fois, je le laisserais me baiser et me faire jouir comme il sait si bien le faire même si tout en fonds de moi je m’en voudrais de me conduire comme une catin.

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