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Un cheval pas comme les autres – Chapitre 1




J’ouvre la porte. La pièce est déserte. Je hume quelques instants la fragrance qui embaume l’air. C’est le parfum des étés chauds, celui des fleurs de mille couleurs, celui du foin calciné par le soleil brûlant. J’avance. Devant moi, le sol de béton est illuminé de la douce lueur de l’astre solaire. Il remue.

  "N’aie pas peur, Francis, ce n’est que moi."

Je m’approche. Je laisse glisser ma main contre la table de bois, sur le tas de foin frais, sur la barrière métallique. Je n’ai pas besoin d’allumer la lumière pour le voir : il est là, superbe étalon blanc, à la crinière argentée parsemée d’étranges étoiles d’or. Cependant, j’active la lanterne électrique posée sur la petite table en bois contre le mur. Je veux voir son pelage immaculé, son regard pur. Je m’approche de lui lentement. Il se laisse caresser.

  "On est jeudi, Francis, lui susurre-je à l’oreille. Et tu sais ce que l’on fait tous les deux, le jeudi."

Il hennit doucement. Oui, il sait.

  Je m’allonge sur une botte de foin. J’ai bien pris le soin de ne pas mettre de petite culotte le matin même. Cela fait maintenant presque trois ans que ça dure. Moi et Francis. Union étrange de l’humain et l’animal. Je dégrafe ma jupe courte et la laisse glisser au sol, le long de mes jambes frêles de gamine. Jambes si souvent souillées de la semence de l’animal que j’aime. Car oui, je l’aime. Je n’ai jamais éprouvé autant d’amour pour un homme que pour lui. Il me rend heureuse, peut m’importe ce que les autres puissent en penser. Je caresse mon clitoris, déjà humide. Ma veste et mon soutien-gorge viennent rejoindre ma jupette dans le coin de notre lieu secret. Ça y est, me voilà entièrement nue devant mon bestial amant. Lui, calme, a pourtant une verge de plus en plus grosse. Je m’accroupis à ses côtés, lui caressant le cou, puis le flanc, puis la croupe, jusqu’à finalement terminer sur ses testicules. Il est secoué d’un frisson. Je lui lèche le flanc. Il hennit.

  "Ne soit pas si impatient."

Mais je ne tarde pas à céder à ses infinies supplications. Bientôt voilà son gland rendu dans ma petite bouche de jeune femme, faisant des va-et-viens le long de l’énorme braquemart de l’équidé. J’empoigne son pénis à deux mains, et commence lentement à le branler. Sa peau n’est plus rugueuse, il est habitué à ce genre de pratiques. Il accompagne le mouvement de mes lèvres par de petits mouvement de la croupe. Malgré tout il finit par s’impatienter. Je comprends.

  J’amène une botte de foin dans l’enclos. Je la place sous son corps musclé. Je choisis moi-même ces modèles, pour être exactement à la bonne hauteur sous son ventre. Nue, je m’allonge sur le foin. Cela fait bien longtemps que je ne mets plus de serviette sous mon dos pour protéger ma peau. J’aime sentir la nourriture de mon amant dans mon dos. Je me positionne. Installe mon sexe bien dans l’axe du sien qui mesure maintenant une bonne trentaine de centimètres.

  "Tu peux y aller, lui dis-je."

Il ne se fait pas prier. Une goutte de liquide perlant déjà de sa verge, il emboîte son sexe directement dans le mien. Depuis le temps, il a pris l’habitude. L’énorme engin s’enfonce parfaitement dans mon corps. Je le sens venir frapper le fond de mon vagin. Il ressort. Rentre. Ressort. Ma chatte ruisselle de bonheur. Ma mouille imprègne le foin, le sol, se répand jusqu’à la porte. Francis accompagne mes gémissements par de petits hennissements. À cet instant, lui et moi forment l’équilibre parfait. Nous profitons de ce divin instant, puis, dans un orgasme fulgurant, il se vide à l’intérieur de moi-même. Sa semence remonte dans mes entrailles, j’ai l’impression d’en avoir le goût dans la bouche. Il se retire, il sait ce qu’il va se passer maintenant. La chatte ruisselante, j’écarte la botte de foin, et m’agenouille sous son ventre. Son énorme sexe est à quelques millimètres devant moi. J’engloutis goulûment le gland géant, tandis qu’il relâche les dernières gouttes de jus. Je reste plusieurs minutes dans cette position, à laper la divine semence, mon sexe égouttant lentement sur le sol le jus de Francis. Alors, je me relève.

  "C’est bien, Francis. Bon cheval."

Je ne prends même pas la peine de le seller. Nue, je lui grimpe sur le dos, et me voilà partie, moi et mon amant, pour la chevauchée la plus romantique du monde.

En espérant que mon histoire vous aura plus.

Jenny Starks et Francis sont des personnages de fiction. Toute ressemblance avec la réalité est purement fortuite.

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