Le pouvoir de lInceste : Saison 3 Un harem de femelles soumises.
Cela faisait déjà un mois que la sur de Claire avait emménagé chez elle. Elle avait été ravie de la recevoir et de laider dans lépreuve quelle traversait, mais maintenant elle commençait à trouver le temps long. Au début elles avaient beaucoup papotées de tout et de rien, Sophie semblait avoir le moral et de se retrouver avec sa sur la rendait joyeuse, elles avaient fait du shopping, des soirées ciné, restau, des sorties, elles avaient rigolé et sétaient amusées comme au bon temps pas si lointain de leur adolescence. Mais quand Claire abordait le sujet de sa séparation elle restait très évasive et se refermait comme une huitre. Elle lui avait tout juste expliqué quelle ne sentendait plus avec son mari, quen fait ils navaient rien en commun et quelle ne laimait plus. Après quatre ans de mariage elle ne supportait plus Paul et lavait quitté, voila tout ce quelle avait pu savoir.
Sophie est ravissante, une jolie blonde élancée et élégante, lainée de quatre ans, ses yeux azurs sont aussi captivant que ceux de Claire. Un peu plus grande que sa sur, sa poitrine est aussi légèrement plus volumineuse, mais en les voyants on ne doute pas un seul instant de leur proche parenté.
Sophie navait pas de travail car après ses études de droit elle avait été entretenue par son époux. Ayant plusieurs fois affirmé quil était hors de question de retourner vivre chez elle, malgré les supplications régulières de son mari, qui semblait malheureux et désarmé, Claire sentait maintenant que sa sur allait sincruster pour du long terme.
Elle adorait sa sur, mais elle lempêchait maintenant de vivre pleinement sa vie et sa toute nouvelle et si merveilleuse sexualité. Elle ne voyait plus Damien et Elisabeth que par intermittence, pour de brèves soirées ou après-midi. Il était hors de question quelle passe une nuit chez eux, sa sur la croyant célibataire, découcher aurait provoqué un raz-de-marée de questions auxquelles elle navait aucune envie dinventer des réponses dans lesquelles elle se serait embrouillée.
Après le temps de laccueil et du réconfort, de lépaule sur laquelle se reposer et de lamour partagé et échangé, Claire sentait que le moment de lancer Sophie sur une nouvelle voie était venu. Damien lui avait aussi fait comprendre quil fallait quelle se débarrasse delle, il commençait simpatienter de son absence et bien que compréhensif il souhaitait savoir pourquoi sa frangine restait si longtemps.
Claire avait un plan pour tout remettre en ordre. Tout dabord il fallait quelle sache exactement ce qui sétait passé. Sa sur ne sétait jamais pleinte de son mariage et du jour au lendemain elle quitte Paul sans jamais lui avoir dit quoi que ce soit sur ce sujet au préalable. Il y avait une chose cachée là-dessous, elle le sentait, elle connaissait bien sa sur et elle devait découvrir ce que cétait. Pour cela il y avait un moyen assez simple, faire boire Sophie, lalcool lui avait toujours délié la langue et même parfois un peu trop. Une fois quelle connaitrait son secret, il suffirait darrondir les angles, de faire un peu de social entre mari et femme et tout sarrangerait.
En rentrant des cours, sa culotte remplie de la semence de Damien qui lavait baisée dans un coin de la bibliothèque du collège, elle sarrêta à la superette pour acheter une bouteille de whisky et une autre de bon vin, deux breuvages quappréciait particulièrement sa sur.
Elle retrouva Sophie allongée sur son sofa en train de somnoler devant une série allemande. Une fois leuphorie des retrouvailles passée, sa sur était devenue de plus en plus morose et elle était désormais pas loin de la déprime, doù lurgence de la secouer et de lui faire réintégrer sa vie.
Claire prépara un bon petit repas et déboucha sa bouteille de bordeaux, puis servit un bon apéro pour sa sur et pour elle aussi, il lui faudrait du courage pour insister sur le sujet qui fâche.
Sophie émergea rapidement de sa torpeur, inspirée par lidée de boire un peu dalcool. Au bout de deux verres elle était plus joyeuse et la fin du troisième intarissable sur la nouvelle garde robe de sa sur quelle trouvait très à son goût. Claire la fit passer à table elle ne voulait pas non plus la soûler totalement et la voir seffondrer. Elle mangea dun bon appétit tout en dégustant le vin qui augmenta légèrement son taux dalcoolémie. Claire grisée elle aussi se dit quil était temps de passer à loffensive.
« -Alors tu vas me dire finalement pourquoi tu las quitté Paul ? »
« -Cest pas tes affaires, tes une vilaine curieuse petite sur. »
« -Allez, cest quoi ces cachotteries, on cest toujours tout raconté, tu las chopé au pieu avec une autre femme, cest ça ? »
« -Mais non, il est trop amoureux de moi, ce con est incapable de faire un truc pareil. »
« -Tu es sûre, on ne sait jamais avec les hommes. »
« -Justement cest pas un homme, il est bien trop faible, lâche et crédule. »
«- Alors cest toi qui tes faite chopper » Siffla Claire quelque peu étonnée des qualificatifs quemployait sa sur pour son mari.
«- Si ça navait été que cela »
« -Donc cest toi qui la trompé ! »
« -Ah tu es une peste quand tu ty mets, sers moi du vin au lieu de membrouiller. »
« -Ca me met sur le cul que ce soit toi, tu étais raide dingue de lui, comment cest arrivé ? » Questionna Claire en remplissant le verre de Sophie.
« -Tu ne sauras rien de plus, surette. »
« -Allez soit pas vache, tu mas lâché le plus gros, tu peux bien me raconter les détails. »
« -Non parce que cest loin dêtre le plus gros ma grande et cest une histoire trop glauque, je ne veux pas te dégoûter de moi »
« -Tu racontes vraiment nimporte quoi, que veux-tu que tu ais fait qui me dégoûte ? Tu es ma sur, ma confidente, mon amie, tu sais que tu peux tout me dire. »
« -Non je ne peux pas, ce que jai fait tu ne pourrais pas le comprendre et pour toi je deviendrais un monstre, tu ne sais pas de quoi jai été capable. » Conclut Sophie en vidant dun trait son verre.
Claire ne se démonta pas et se dit quelle naurait pas dautre occasion de crever labcès, surtout quelle commençait à être sacrément intriguée par sa sur.
« -Tu ne me connais pas si bien que ça toi non plus, jai moi aussi un secret assez inavouable, voire carrément inavouable. »
« -Ah oui ? Cest quoi ? »
« -Je te le dirais quand tu mauras dit le tien et pas avant. »
« -Tu me dis ça pour que je te raconte mon histoire, mais si cest pour me dire après que tu as piqué une culotte dans un magasin, cest pas la peine. »
« -Je te promets que cest un truc vraiment sordide, je te le jure sur la tête de maman. »
Sophie regarda Claire avec stupéfaction, sa sur ne jurait sur la tête de leur défunte mère que pour des choses très sérieuses.
« -Ok mais, je te préviens ce que je vais te dire risque de te choquer et devra rester entre nous. »
« -Je nen parlerais à personne promis. » Jura Claire en resservant un verre à sa sur.
« -Bon ok, de toute façon il fallait bien que jen parle à quelquun cest en train de me bouffer, alors autant que ce soit toi. » Claire resta silencieuse tandis que sa sur la fixait intensément. Sophie inspira et le visage tendu lâcha tout de go : « – Jai couché avec René, le père de Paul. »
Claire haussa les sourcils sous leffet de lannonce mais ne montra rien dautre.
« -Effectivement avoir des relations sexuelles avec son beau-père cest pas banal, mais franchement je mattendais à pire. »
« -Ferme la et écoute comment ça cest passé, tu feras tes commentaires après. » Dit sèchement Sophie avant de plonger ses lèvres dans le nectar violacé.
« -Ok, je técoute. »
« -Alors voila, tout a commencé quelques mois après ma rencontre avec Paul à la fac. Jétais très amoureuse de lui on avait vingt deux ans tous les deux et notre histoire commençait à être sérieuse. Il ma donc emmenée chez lui pour me présenter à ses parents. Là jai vraiment été surprise, lui qui était si raffiné, avait des parents vraiment à son opposé. Comme tu le sais ils étaient ouvriers tous les deux, sa mère une femme plutôt jolie mais vraiment effacée, quant à son père… Jai de suite senti son regard attentif, presque pesant. Putain il a toujours eu comme un effet électrique sur moi quand jy pense. »
« -Tu veux dire que tu es tombée sous son charme à la première rencontre ? » Se stupéfia Claire.
« -Non, mais ne dit pas nimporte quoi, tu sais comment il était, il ma carrément repoussée oui. Un monstre immense avec son ventre bien rebondi, un visage de porc, il puait la sueur et la bière, une horreur. Je me demande comment je me suis pas enfuie aussitôt, enfin à lépoque jétais très amoureuse de Paul et lamour rend aveugle à ce quon dit. »
« -Mais alors comment as tu pu coucher avec lui ?! »
« -Oui comme ça cela parait impossible hein ? En fait cest un enchainement de situations et dévolutions de comportements et de mentalités. »
« -Je sens que ton histoire va être longue. »
« -Tu es trop impatiente, cest pour te faire comprendre comment jen suis arrivée là que je veux tout texpliquer. »
« -Ok, cest vrai que tu adores les détails toi. »
« -Bon tu veux savoir ou pas ? Sinon je ne te raconte plus rien! »
« -Ok, ne te fâche pas, je ne tinterromprais plus. »
Sophie fit une moue, avala une gorgée de vin et reprit.
« -Au bout de quelques mois, on avait été plusieurs fois chez eux. Je le haïssais, son physique me révulsait et il était si méprisant envers Paul, mais malgré ou à cause de cela il exerçait aussi sur moi comme une sorte de fascination. Je ne sais pas pourquoi, jétais partagée entre lenvie de le gifler et celle de lui plaire. »
« -De lui plaire ? »
« -Oui cest fou hein ? Cest peut-être comme il maimait bien, alors pour arranger ses relations avec Paul tu vois? Je me suis dite sois gentille il sera plus conciliant avec lui. Mais en y réfléchissant je me demande si inconsciemment je recherchais son attention. Cétait une personne qui ne te laissait pas indifférente, qui avait quelque chose danimal, dun peu dangereux et dont tu préfères avoir les bonnes grâces plutôt que linverse. Admit Sophie en baissant les yeux avant de se reprendre.
Enfin on a réussi nos exams de droit, Paul avait même été directement recruté par un cabinet davocats. Ce jour là il ma dit quelque chose qui ma marquée, je lentends encore dire : Cette fois-ci je vais vraiment impressionner mon père, il sera vraiment fier de moi, déjà avec toi jai vu quil a été surpris que je sorte avec une fille aussi jolie et intelligente alors maintenant avec mes diplômes et mon travail il va enfin être fier de moi, oui vraiment fier.
Ca a été une révélation, Paul désirait par-dessus tout la reconnaissance de son père. Plus le temps passait et plus je remarquais que René avait un fort ascendant sur lui. »
« -Comment ça ? »
« -Tu vois, il lécoutait presque religieusement, comme si sa parole était incontestable. Dailleurs il ne le contredisait jamais et obéissait toujours à ce quil lui disait de faire ou de ne pas faire. Ca ménervait franchement parfois, en sa présence Paul semblait perdre tout libre arbitre. »
« -On voyait bien quil nétait pas très affirmé, mais je ne pensais pas que cétait à ce point. »
« -Hé bien si, cétait même à un point inimaginable. Alors jai voulu léloigner de son influence, quil vole de ses propres ailes, quil devienne indépendant. Mais cétait peine perdue, loin de son père Paul perdait confiance en lui et navait de cesse de sen rapprocher de nouveau. On sest beaucoup disputés à cause de ça, alors pour ne pas le perdre jai accepté de déménager dans la ville où ils habitaient à deux rues de chez eux dans un appartement quils possédaient. »
« -Je croyais que vous aviez fait ça pour économiser de largent parce quils vous le louaient pas cher. »
« -Cest ce quon a dit à lépoque et cétait vrai dune certaine façon. Mais cest à partir de là que tout a vraiment changé. Deux mois après notre emménagement on fêtait mes vingt quatre ans chez eux, une soirée sympa avec des potes à nous. Ses parents sétaient fais discrets pour une fois, ils nous avaient prêtés la maison pour quon profite de la piscine, on était en été, il faisait chaud on navait même pas hésité à dire oui. Jétais avec quelques copines en train de me baigner quand jai surpris René en train de nous mater depuis sa chambre à létage. Il devait se régaler parce que plusieurs dentres elles étaient bien foutues et lui faisaient un véritable défilé en plongeant et en sortant de la piscine, moi y comprise. Je me suis dite quil nétait pas fou le vieux davoir laissé organiser la soirée chez lui. »
« -Cétait sans doute un vieux frustré par sa femme. Dailleurs cest vrai quil était vieux, quel âge il avait à ce moment là ? »
« -Soixante-cinq, ses parents lon eut tard. Sophie vide son verre lentement, puis reprend. A la fin de la soirée il ne restait que moi et un couple damis, Paul était déjà au lit depuis un moment. Alors que je les saluais pour leur départ, René est descendu. On a discuté un peu, il voulait savoir comment sétait passée la soirée »
Claire constata que sa sur avait le regard perdu dans le vide, elle revivait ce qui sétait passé.
« -Je lui ai dit que tout avait été parfait et je lai encore remercié de nous avoir prêté leur maison
« -Cétait avec plaisir Sophie, tu sais je naurais pas pu rêver une meilleure belle-fille que toi, tu es intelligente, charmante et vraiment très belle, cest à ce demander comment Paul a pu se débrouiller tout seul pour te séduire. »
« -Allons René, vous ne devriez pas sous-estimer autant votre fils, il a de grandes qualités.»
« -Si tu le dis, mais je crains quun jour tu ne découvres sa vraie nature. Cest un faible, si je nétais pas là il serait à peine lacer ses chaussures. »
« -Ne soyez pas cruel, vous savez que je naime pas quand vous parlez de lui de la sorte. »
« – Pardonne-moi, tu as raison. René avala le verre de whisky quil sétait servi, la chaine stéréo diffusait encore le cd de chansons romantiques que Sophie avait programmé pour la fin de soirée. Accorderais-tu une danse à ton beau-père pour clôturer ta soirée danniversaire ? »
« -Bien sûr René, avec plaisir » répondit Sophie en forçant un aimable sourire. Il lenlaça et ils entamèrent quelques pas dun slow. Sophie avait un peu bu et se sentir si près de cest homme qui lattirait et la repoussait tout autant la troubla. Il avait une telle présence écrasante, et il faut le reconnaitre un certain charisme, une personnalité si dominante quelle comprenait parfois que Paul se sente diminué face à lui. Cela la fascinait quon puisse avoir une aura si puissante mais elle enrageait que son fils en soit si atteint. Elle sentait son souffle dans son cou, latmosphère se fit nébuleuse, les mains de René posées sur ses hanches se mouvaient indiciblement vers la cambrure remarquable de ses fesses, elle se sentit transportée ailleurs, dans une autre réalité. Cet homme si puissant la tenait entre ses mains, ses lèvres se posèrent sur son cou, elle blêmit. Il était si répugnant si abject et pourtant il lattirait comme un insecte vers une ampoule allumée en pleine nuit, elle sentait quelle allait se blesser mais ne pouvait y résister.