Récit de Julien
Mon nom est Julien, je suis un étudiant universitaire en médecine en quatrième année, mais de part mon passé, les réponses médicales de l’uni ne m’ont pas convaincu entièrement, un peu trop axées sur l’acquis occidental. J’essaye aussi d’élargir mes connaissances sur des approches hors de la faculté.
J’ai fait un stage d’une année à Pékin pour connaître et apprendre le point de vue chinois, j’ai été relativement déçu car le régime matérialiste communiste à pris à bras le corps l’apport de l’occident, rejetant le savoir millénaire. C’est alors que j’ai rencontré Chang Yu, un médecin traditionnel et mes connaissances du chinois mâtiné d’anglais de part et d’autre nous a permis un dialogue très fructueux. Là dessus, j’ai fait un stage d’un mois dans une officine de massages japonnais.
Après ces pérégrinations, sur conseil de Chang yu, j’ai repris mes études, mais j’ai eu la chance de devenir en parallèle professeur associé pour faire profiter de mes expériences. Bien de mes étudiants sont aussi attirés par ce coté un peu inconnu et souvent la proie des Charles attends ! (vas pas trop vite)
Quand je suis rentré, malgré nos liens fréquents avec la famille, ce fut le retour de l’enfant prodigue, muni d’un certificat de médecine chinoise et de massage japonais, mais heureusement, on a pas tué le veau gras et la Migros a fourni ce qu’il fallait.
Père qui approchait les huitantes ans (qu’est-ce que c’est ce Suisse qui nous emm… avec ces huitantes alors que quatre-vingts, c’est tellement plus beau simple et logique etc) , avait des problèmes avec les raideurs dans les jambes entre autre et un certain diabète. Mais cela ne l’empêchait pas de passer toutes ses journées dans les bistrots.
Mère de vingt-cinq ans de moins avait moins de problème, mais elle avait régulièrement des problèmes avec les jambes, notamment des crampes douloureuses qui la clouait au lit, avec pas mal de cellulite dans les cuisses. À part ceci, elle était assez bien conservée, dû à une bonne hygiène de vie. Voyant ses problèmes (et pour ne pas perdre la main), je lui proposais de bénéficier de mes nouvelles connaissances acquises.
— On va le faire dans ma chambre, tu viendras en ce que l’on appelle « tenue légère », autrement, j’ai tout ce qu’il faut.
-Oui, je suis impatiente de bénéficier de ton savoir.
Quelques minutes plus tard, elle apparaît dans ma chambre en culotte et soutien-gorge. Je ne me souvenais pas qu’elle était aussi attrayante quand elle est un peu dénudée. Ses cheveux cendrés, sa taille encore fine, son ventre plat où on devinait un forêt ardente sous-jacente au niveau du pubis. Il faut que je me tienne et ne sois pas trop vite excité, sinon, c’est rappé.
Je la fais s’installer sur le lit.
— Je vais en premier essayer de te masser les jambes pour essayer de diminuer l’apparition des crampes, puis je vais essayer de m’occuper de ta cellulite qui rend tes cuisses disgracieuses.
— J’ai plus besoin d’avoir des cuisses gracieuses, me dit-elle
Mais c’est aussi pour la santé, les amas de graisse passive empêche une bonne circulation.
Je mets une alèse étanche puis je la place à plat ventre dessus, je me mets à genoux dans le prolongement de son corps, pas tout à fait comme au Japon où les patientes sont sur une table de massage et le masseur est à coté, mais bon on fait avec les moyens du bord. Je prends un bonne dose d’huile et commence à masser, comprimer, détendre son mollet pour assouplir les tendons. Je fais de même à l’autre jambe.
— Voila, il faut laisser un peu reposer avant d’en remettre une couche, je vais maintenant te faire un petit massage du dos, détends toi bien.
Je commence à lui masser les épaules, le cou, les vertèbres cervicales et doucement elle commence à ronronner comme une chatte qu’on caresse. J’appuie bien mes massages, détends quelques muscles et tendons que je sens trop tendus.
— Maintenant, je vais m’occuper de tes lombaires, puis de tes fesses.
Je sais d’expérience que certains points, proche des embranchements sciatiques agissent comme des désinhibiteurs sexuels, longuement, je masse ses fesses et elles ont tendance à rougir sous la force que je mets à les malaxer.
— Tu peux te mettre sur le dos, je fais faire aussi le devant
Je continue à lui oindre les cuisses et en prenant une jambe, je la mets à la verticale et j’ouvre en grand son compas, là à nouveau, je masse, triture fort l’intérieure des cuisses, remontant jusqu’à la fourche, à force, je vois qu’une certaine excitation commence à apparaitre au niveau de sa culotte. J’arrête avant qu’elle me dise de le faire, ne voulant pas trop vite aller en besogne. Me plaçant derrière elle, je reprends le massage de ses épaules et des bras, J’en prends un et le croise et le met sur l’autre épaule de manière à comprimer un peu ses seins et avec son bras, je m’amuse à lui masser les tétons qui commencent à leurs tours de jaillir.
— Mam, me permets-tu de palper ta poitrine, ne serait-ce que pour détecter d’éventuels nodules ainsi que de raffermir les tissus.
— Fais, j’adore ton massage, même un peu trop.
— J’enlève alors ton soutien-gorge ! Dis-je en le décrochant et laissant apparaître cette poitrine que je n’avais plus vu depuis mon sevrage.
— Ils sont encore pas mal fermes pour mon âge, non ?
— Ils sont tout à fait beaux, que je lui réponds en lui prenant à pleine main le sein gauche et palpant à droite à gauche, il ne me semble pas remarquer de nodule, je vais maintenant le raffermir un peu.
Je prends son sein dans mes deux mains et le masse contre en haut en essayant de concentrer la masse musculaire vers le téton qui se dresse de plus en plus.
— Hum c’est bon quand tu me les raffermis, Cela me rappelle que ton père à huitante ans et que cela fait longtemps qu’il ne s’en est pas occupé.
— Je ne vais pas faire de jaloux, je vais m’occuper de son jumeau.
Je constate que la culotte ressemble de plus en plus à un torchon mouillé et un mouvement du bassin indique que ma mère est très excitée. Par la même occasion, sentant l’odeur de sa moule chatouiller mes narines, je ne reste pas insensible. Comme je suis à genoux derrière elle, je lui prends les bras pour les tirer en arrière, afin de remonter encore un peu sa poitrine et me la livrer à mes attouchements. Par un faux mouvement dont je suis pas sûr qu’il fut involontaire, sa main effleure ma cuissette tendue.
— Dis, j’ai l’impression que cela t’excite de peloter ta vieille mère. Dit-elle en rendant son geste plus direct.
— Je m’excuse, mais c’est vrai, la situation de caresser ton corps m’induit des idées que réprouverait le Vatican.
— Tu ne vas pas me dire que tu envisages d’avoir des relations sexuelles avec moi, me répond-elle choquée.
— Non, mais toi-même, ton corps me semble très excité et tu envoies des signaux auquel mon corps n’est pas insensible. J’ajoute assez faux-jeton.
— C’est vrai que je suis aussi bien excitée et d’un coté, j’aimerai bien que tu précises et d’un autre, ma morale me l’interdit.
— On est les deux adultes, c’est vrai, mais on pourrait se limiter à quelques caresses pour se faire plaisir.
— C’est une bonne idée, me dit-elle en précisant son toucher de tout à l’heure, j’aimerai bien voir ton sexe, à part celui tout flapi de ton père, cela fait un moment que je n’ai pas vu une bite d’un homme qui me rende hommage.
— Fais !
Sans attendre sa permission, je me mets à lui masser sur la culotte son sexe qui est dégoulinant, je passe mes doigts sous le tissus et recherche son bouton d’amour qui vient à ma rencontre, je continue mon exploration et longe les lèvres de son sexe qui sont toutes humides pour ne pas dire trempes.
— C’est bon, caresse moi comme cela !
— Que dirais-tu si on se mettait dans le plus simple appareil et vu l’odeur que ton sexe dégage, j’aimerai bien le déguster, cela fait aussi longtemps que je suis à jeun. Mais pour bien l’apprécier, j’aimerai l’avoir dans ton prolongement pour déguster ton élixir.
— Tu peux bien me faire minette, mais à condition que je puisse aussi me gargariser de ton bâton de berger.
Récit de mère.
Mon fils est rentré de Chine, Dieux qu’il m’a manqué, mais il revient auréolé d’un nouveau savoir, il a même été nommé professeur associé, c’est incroyable si jeune. Je suis sure qu’il ira loin.
Il m’a proposé de s’occuper de moi, car souvent j’ai des crampes qui sont très invalidantes. Par moment, je ne sais vraiment plus quoi faire et je souffre horriblement.
Il m’a dit de venir en petite tenue, cela me gêne un peu, mais je vais m’imaginer que c’est monsieur le Docteur, (je sais qu’il ne l’est pas encore, bien que son professeur lui a dit qu’avec ce qu’il avait récolté pendant une année, il avait assez de matières pour soutenir une thèse bien intéressante.
J’ai choisi une tenue que je n’ai pas remise depuis longtemps, quand mon mari me regardait encore, un Tanga et un soutien-gorge pigeonnant.
Il prépare son lit avec une alèse, il me précise que c’est pour que l’huile de massage ne tâche pas tout le lit. Je m’allonge donc sur le dos et il commence à me triturer les mollets, c’est presque douloureux, mais je sens quand même que c’est efficace, cette gêne permanente et cette attente du blocage des muscles a pratiquement disparu, il a vraiment des mains en or.
Maintenant, il s’occupe de mes cuisses, je sens des fois ses mains qui me massent, triturent broient ma cellulite, c’est aussi assez douloureux, mais cerise sur le gâteau, quand je sens ses mains à l’intérieur de mes cuisses, je sens un émois que je n’ai plus ressenti depuis très longtemps. D’un coté je prie pour que ses doigts effleurent ma culotte pour détendre un peu la tension qui habite mon sexe et d’un autre, je n’ose même pas y penser.
Heureusement avant qu’il y ait quiproquo il s’occupe de mon haut et je sens à nouveau ses mains puissantes me pétrir les épaules, les bras. Il me dénoue les nuds que j’ai dans le dos, c’est tellement bon, j’ai l’impression que quand je sortirai de ses mains, je vais être comme un sous neuf.
Oups, voila qu’il me masse comme un forcené mes fesses. Je sens ses pouces pétrir mon arrière train comme si sa vie en dépendait, mais cela me crée dans le ventre un appel au viol, je n’arrive plus à contrôler mon excitation. Il faut que cela explose, ma culotte est complètement trempe.
Il me demande de pouvoir aussi traiter ma poitrine, je sens que cela ne va pas me calmer, cela fait si longtemps qu’on s’en est plus occupé que je n’ose lui refuser. Effectivement, ce qui n’était qu’une envie légère se transforme en un besoin de jouissance impérieux. Comment est-il, j’aimerai bien savoir si il a la gaule ou si c’est moi qui me fait un cinéma. Il me tire les bras en arrière pour pouvoir profiter de mes seins à fonds, j’en profite pour passer ma main sur son bas ventre et je constate qu’il est bien tendu.
J’en peux plus, il faut que je le décide à me calmer et non pas à continuer à me faire monter la pression, je lui saisi dans ma main son sexe à travers le tissus, il est tout palpitant. Je sens qu’il a besoin de mes soins.
Finalement il se décide que l’on ait une relation sexuelle soft, cad des caresses, des bisous, mais pas plus loin. En attendant, c’est déjà toujours ça.
Suite du récit de Julien
C’est ainsi qu’on a commencé de manière soft à se faire plaisir avec maman. Juste des caresses. Tous les deux jours pendant la partie de carte de mon père, je lui prodigue un massage médical qui se termine en massage non médical.
Mais voila, les cours reprennent et je quitte le cocon familiale pour rejoindre ma chambre d’étudiant-professeur et ce n’est que le week-end que je reviens faire une visite à mes parents. Évidement, à chaque fois que Papa allait jouer aux cartes, on se lançait dans un petit massage et une gâterie pour finir, mais il me semblait qu’il manquait quelque chose.