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Une nuit à l'hôtel – Chapitre 2




Après notre saillie sauvage, place à la douceur. Nous voilà allongés sur le lit, nus tous les deux. Je suis collé tout contre le dos de la Belle, mon corps imbriqué dans le sien. J’aime cette position. Je goûte sa peau. Bisous dans le cou, sur ses épaules. Caresses légères et langoureuses. Je parcours ses cuisses, son ventre, ses seins. Je m’amuse à glisser mes doigts sur sa bouche. Elle les embrasse, les lèche, les aspire délicatement. J’imagine ma queue à la place. Peut-être que elle aussi

Nous passons de longues minutes ainsi, lovés l’un contre l’autre. Jaime la chaleur de son corps. Ses fesses sont fermes et mon sexe tellement bien entre elles. Mon excitation est en train de revenir. Je me frotte sur sa peau si douce, joue avec ses tétons, frôle son pubis, la mordille tout en lui murmurant mes pensées lubriques.

Je lui décris mon début d’érection à regarder ses fesses lorsqu’elle était devant moi à la réception de l’hôtel, mon envie de glisser ma main entre ses cuisses dans l’ascenseur jusqu’à découvrir sa belle chatte mouillée. Je lui détaille mon état d’excitation lorsque je suis entré dans ma chambre en sachant que j’allais la revoir très vite. Et bien sûr, la manière dont je me suis astiqué sous la douche en pensant à elle. Ma main qui glissait de haut en bas. Mon gland gonflé. Les veines de mon dard gorgées de sang. Mon envie de gicler sur elle, d’étaler mon sperme chaud sur son corps.

Mon envie de sexe se fait plus forte. Ma raideur revient peu à peu. Elle se développe juste entre ses fesses. Quel endroit merveilleux pour se masser la bite. Je vais et viens, ondulant du bassin, montant et descendant. Mon pieu atteint rapidement sa dureté optimale. Je ne me lasse pas de le branler ainsi. Ma coquine, quant à elle, a d’autres envies.

«Tu me rends folle. Prends-moi s’il te plaît. Je veux te sentir en moi. Je veux que tu mempales. Allez, viens. »

Mais je suis un coquin. Imperturbable, je continue à glisser entre ses fesses tout en malaxant sans retenue ses généreuses mamelles. Je veux quelle mouille encore. Et puis je continue à lui parler.

« Madame est bien pressée. Et puis moi, je suis particulièrement bien là où je suis, pourquoi m’en irais-je ? »

« Espèce de salop. Tu n’as pas le droit ! » Sa voix ne laisse pas de place au doute. Malgré son envie de se faire empaler, elle aime ce jeu où je me fais désirer. « Allez, viens. Je veux sentir ta queue s’enfoncer en moi. Elle va être bien, tu verras. Je n’en peux plus. S’il te plaît J’ai tellement envie de sentir. Prends-moi. Devant. Derrière. Comme tu veux. Mais prends-moi ! »

Je ne m’attendais pas à de telles paroles de sa part. Elle est effectivement plus qu’excitée. Et moi, d’entendre cela Il est vrai que j’ai un gros faible pour ce genre de pratique. Enfoncer mon membre dans un petit anus serré. Le voir se dilater. Sentir mon dard coulisser dans cet endroit particulièrement étroit. C’est un plaisir immense.

Mais en même temps, j’ai envie d’autre chose. J’ai envie que les choses durent. J’ai envie de regarder son visage pendant que je la prends. J’ai envie de lui faire l’amour et pas seulement de la baiser. Alors sans précipitation, je la retourne sur le dos, grimpe sur elle, me cale entre ses cuisses, l’embrasse à pleine bouche, goûte sa langue, lèche ses lèvres. Je lui plaque les mains de chaque côté de sa tête. Nos doigts sentremêlent. Un mouvement de bassin vers le bas puis je remonte. Ma queue n’a même pas besoin d’être accompagnée pour trouver toute seule l’entrée de ce sexe trempé qui n’attendait que ça.

Le regard que me lance la Belle au moment où je m’enfonce en elle est absolument fantastique. Cest une telle délivrance pour elle de se sentir pénétrée après cette attente que je lui ai faite subir. J’aime voir son visage si expressif grimacer de plaisir à chaque mouvement de va et vient. Je la prends très lentement avec des mouvements amples pour qu’elle profite de chaque centimètre de mon sexe gonflé.

Elle se cambre au maximum pour que je la pénètre au plus profond. Je décroche mes mains des siennes pour m’emparer de ses cuisses. Je les soulève tout en continuant à la pilonner. Elle se retrouve bientôt les jambes tendues de chaque côté de ma tête. Je lui tiens les chevilles. Ses fesses sont totalement décollées du matelas. Moi aussi j’ai envie de m’enfoncer aussi loin que je le peux.

Nos regards ne se quittent pas. Nous transpirons à grosses gouttes. Je ne varie pas le rythme de mes pénétrations. J’adore prendre tout mon temps, savourer les sensations intenses que me procure ce lentes descentes dans son antre torride et mouillé. Nous ne nous disons plus un mot.

Nos doigts se sont de nouveaux emmêlés. Elle les serre de plus en plus fort. Ses yeux noisettes pétillent de plaisir. Sa bouche cherche de plus en plus d’oxygène. Elle se mordille les lèvres puis ouvre à nouveau se lèvres pour aspirer de grandes bouffées d’air frais.

« Ouiiiiii. Je jouiiiiiis. C’est tellement »

Elle est si belle et moi si heureux encore une fois. Son sexe coule, littéralement. Mon dard plonge encore et encore. Et je la rejoins dans sa jouissance. Mon foutre se mélange à sa cyprine. Ma queue baigne dans ce jus de plaisir. Encore quelques allers et retours puis je me laisse retomber sur le corps de ma maîtresse. Je lui caresse le visage, l’embrasse avec tendresse. Des gouttes de sueur perlent au bout de mon nez et tombent sur ses pommettes.

« Je crois qu’une bonne petite douche ne serait pas superflue. »

C’est très sagement que nous nous sommes mutuellement savonnés. Quel délicieux moment nous avons passés sous cette douche à nous caresser sensuellement, puis, une fois nettoyés, dans les moindres recoins à nous essuyer délicatement.

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