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Ma drôle de famille… – Chapitre 15




Je me penche vers elle, prend ma queue en main et la dirige vers sa chatte. Je rentre doucement en elle et je commence à faire des va et vient. C’est délicieux son antre est chaude et humide. Délicieuse. J’essaye d’aller de plus en plus vite, et fort. Elle met ses jambes autours de ma taille et me donne un rythme de baise. Elle gémit très fort, elle jouit violemment. On doit l’entendre dans tout l’appartement, voire plus. Dix minutes sont passées dans son vagin quand je sens que la purée arrive. Je me donne à fond pour la fin, j’y vais violemment, elle hurle et voilà le moment qui devait arriver. Je jouis sauf que qu’au moment de lâcher, j’oublie qu’on ne sait pas protégé ! J’espère que ma tante prend toujours la pilule… Elle me sert fort dans ses bras, je tombe sur elle.

Quelques secondes passent puis je me lève, commence à allumer l’eau. Je me lave, me rince le sexe puis vint le tour de ma tante. On se sèche, s’habille sans se regarder puis on va chacun dans nos chambres respectives. Il règne une ambiance bizarre depuis qu’on soit passés à l’acte…

Je retrouve mon cousin dans la chambre

— Alors raconte ! Me dit-il

— Bah après que tu sois parti, on a baisé ensemble, elle a voulu que je la prenne, elle s’est couchée sur le dos et je suis venu au-dessus d’elle mais j’ai lâché tout en elle, sans protection…

— Ah merde… pourquoi tu ne t’es pas retiré d’elle ?

— Je ne sais pas, c’est arrivé et j’étais tellement bien que voilà je suis resté. Tu ne sais pas si elle prend la pilule des fois ?!

— Euh je crois bien qu’elle la arrêté…. Attends on va aller voir ça et si on trouve rien, j’irai lui demander.

— Ça marche….

On descendit à la cuisine pour commencer à chercher, les placards, les meubles, la pharmacie tout y passe mais on ne trouve rien… Je commence à avoir peur, on cherche dans le salon, toujours pas de pilule, dans la salle de bain rien non plus. Je suis inquiet et ma tante qui n’est pas dans l’appartement, elle a dû partir. J’ai peur…

15 minutes plus tard après avoir fouillé vraiment partout, toujours aucunes traces de pilule… On entend un bruit de clé dans la serrure, ma tante qui rentre.

— Venez dans le salon s’il vous plait, faut que je vous parle c’est important !

On se regarda sans comprendre de quoi elle voulait nous parler mais on s’en douter un petit peu, on avait une petite idée. On s’y rendit, on s’assit dans le canapé, ma tante se mit devant nous.

— Alors voilà ce qu’on a fait toute à l’heure, ce n’est vraiment pas bien. Je suis ta mère et toi ta tante. Je vous ai vu me regarder toute la semaine et ça m’a fait un drôle d’effet. J’ai voulu voir jusquoù vous pouviez aller et j’ai eu ma réponse. C’était très bien et surtout bon; ça faisait longtemps que je ne l’avais pas fait, encore plus avec deux hommes. J’en ai profité pour vous faire du bien et en recevoir avec toi quand tu m’as prise. Mais on a oublié une chose importante, enfin deux. Normalement on na pas le droit de le faire légalement mais la tentation était trop forte et on recommencera surement un jour et l’autre chose importante c’est qu’on s’est pas protégé !

— Oui on y a pensé, on voulait te demander tu prends la pilule ?

— Non je la prends plus, c’est pour ça que je suis parti à la pharmacie chercher une pilule du lendemain au cas où.

— Ah ouf parce que j’y ai pensé fortement à ça…j’ai eu peur !

— Ne t’inquiète pas !

On finit de parler de ce qui sest passé, ma tante nous fait comprendre par la suite que pour elle, il n’y aurait aucun soucis pour que l’on continu nos parties de jambe en l’air, à une seule condition que l’on se protège tous le temps pour éviter les problèmes par la suite. Et nous sommes tous d’accord sur ce point. On retrouve tous assez vite nos sourires, l’ambiance revient dans l’appartement. Quand le téléphone nous coupe, mon cousin y va. Il décroche, se retourne et me dit que c’est pour moi. Je prends le téléphone.

— Allo ?

— Oui chéri, c’est maman, c’est pour te dire que je viens te chercher cette après-midi alors prépare tes affaires. Ça marche ?

— Déjà ?

— Oui ça fait plus d’une semaine que tu es là, maintenant retour aux devoirs,…

— Roooooh…

— Aller je te laisse, à toute à l’heure.

Ça y est l’heure de retourner chez moi est arrivé. Je redoutais ce moment surtout maintenant. Je le dis à ma tante et mon cousin. Ma tante me dit qu’elle viendra me voir à la maison et que je pourrais revenir quand je le souhaitais chez elle. Que je serais toujours la bienvenue surtout dans sa salle de bain.

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