Marié, 44 ans je vis en Haute-Corse, bisexuel chose que j’ai dévoilée à ma femme, en lui promettant que c’était une chose qui m’avait passé.
Depuis que nous nous connaissons, elle me fait confiance chose quelle ne devrait pas faire car je suis toujours attirer par le sexe entre homme.
Mais ce que je vais vous conter est arrivé par le plus grand des hasards ; j’avais pris un jour de congé car j’avais un problème de compteur électrique, le technicien devais venir entre 14h00 et 18h00 je patientais en surfant sur internet disons que je regardais un film à caractère pornographique mettant en scène plusieurs hommes et une femme.
Je surveillais la venue du technicien par la fenêtre de la salle à manger, elle donne sur l’entrée du portail de la maison et en même temps je regardais l’écran de mon Pc portable.
Malheureusement ou heureusement je n’ai pas vu son arrivée , je pense qu’il à franchi le portail au moment ou une scène particulièrement chaude ce déroulait, je bandais terriblement ; un gros plan des deux hommes , le premier frottait son sexe tendu au bord du trou de son compagnon pendant que la femme allongée en-dessous suçais celui qui n’allais pas tarder à sentir en lui cette verge tendue , au moment ou ce beau sexe entrais lentement en dilatant cette petite rondelle, des coups retentissait à la porte , mince le type D’ E.D.F.
Pensais je en essayant de baisser le son de l’ordi, dans la précipitation je suis bien arriver à couper le son et de mettre en pause le film.
Je décale mon ordi au bout de la table de la salle à manger de façon à ce que mon intervenant ne puisse pas voir mon écran et je le reçois comme il ce doit.
Il était assez typé ; mat de peau, cheveux raser, barbe naissante, environ 50 ans, une voix grave.
Je lui propose un café, il me répond par l’affirmative dans un signe de tête et en marmonnant, un oui bouche presque inaudible, je lui fais signe de prendre place au bout de la table de façon à ce qu’il ne puisse rien voir sur mon ordi, en plus il étais en pause donc aucun risque , je me déplace à la cuisine je prends le thermos de la cafetière et prends deux verres afin de lui tenir compagnie ; nous échangeons quelques mots ; bref le temps qu’il fait aujourd’hui et depuis quelques mois enfin un échange verbal de courte durée . Il me demande de le conduire au compteur qui ce situe dans la buanderie à l’angle du couloir, je lui demande si il va en avoir pour longtemps et surtout s’il va couper le jus, une réponse non attendue et à la quelle sur le moment je n’avais pas fait la relation.
_ Pourquoi vous avez besoin de jus ?
Moi bête lui réponds
_ Non ! C’est simplement pour couper la clim.
Lui
_ Vous avez chaud ?
_Non, en plus on est en hiver, c’est simplement que je préférerais couper le groupe clim qui fait chauffage afin de ne pas l’abimer.
_ Non laisser monsieur me dit t’il, je ne couperais pas le jus ; je reprogramme juste le compteur, je n’en ai que pour quelques secondes.
Effectivement il en avait que pour quelques instants car une minute après il avait terminé.
Nous nous retournons vers la salle à manger et il me demande s’il pouvait abuser de mon hospitalité et me redemande un autre café,
_ Bien sur sans problèmes, je prends le thermos et je vous ressers.
Je récupère le thermos dans la cuisine et m’en retourne à la salle à manger, ma surprise lors de mon retour il était devant mon ordi, rien d’alarmant jusqu’à là car j’avais couper le film.
Mais je le trouvais juste un peu gonflé et sans gène.
Il me dit, vous aimez ce genre de film ?
_ Quel genre de film ?
_Ben celui que vous regardez !
_Oui les sciences fiction, action.
_Non celui là
Je devins rouge de confusion, et lui dit
_C’est un hasard, je viens de tomber dessus.
Et là il me dit
_J’ai vu votre écran dés que je suis arrivé ; vous n’avez pas fait attention mais l’image était figer sur une scène assez hard ; je l’ai vue dans le miroir au fond de la salle à manger.
Mince pensais-je quel idiot je n’ai même pas vu que l’on voyait l’écran du Pc dans le miroir poser sur le buffet.
Un blanc, je n’arrivais plus à dire quoi que ce soit j’avais les jambes qui tremblaient des bouffées de chaleurs, je ne maitrisais plus la situation.
D’une voix soudain devenue douce il me dit.
_ Je suis aussi adepte de ce genre de film et je pratique assez rarement ; je dois l’avouer la relation entre homme car je suis moi aussi marié.
_ Ah bon ? (réponse idiote)
N’ayez pas peur me dit il ; je suis un homme discret et très doux.
_ Ah, heu, oui (réponse encore idiote)
Vous avez déjà eu des relations homos ?
_ Heu oui je crois (encore une réponse idiote) bien sur pensais je, que j’avais déjà eu des relations entre hommes.
_Et là il me dit, le clicher film américain
_J’ai fini mon service, on pourrait passer un moment agréable ensemble si vous le souhaitez bien entendu.
Timidement, Heu … Oui, si vous voulez
Je n’arrivais plus à aligner deux mots j’étais pris au dépourvu enfin presque car il ne ma laisser le temps de continuer à ânonner stupidement des heu. oui
Il c’est approcher de moi, ma prit par la taille d’un bras et a coller ses lèvres sur les miennes, lentement sa langue à forcer ma bouche, nous étions entrain d’échanger nos salives nos langues jouais une valse endiablée ; je sentais mon érection prendre son essor ainsi que la sienne au travers de son vêtement de travail.
De sa main libre il me prit la nuque et augmenta la pression sur ma bouche j’avais les bras ballants et inertes tel un pantin, je tremblotais.
Il se dégagea et me dit tu n’a pas envi ?
Non, pas du tout mais je suis un peu timide
N’ai pas peur ; laisse toi aller ; je veux que tu profite du moment, car je pense que ce seras la seule fois que nous pourrons faire l’amour ensemble ; tu travaille et moi aussi nous sommes marié, des enfants, une occasion comme celle là ne se représenteras pas de si tôt alors laissons place à nos phantasmes et dit moi ce que tu désire.
_Ce que je désire je ne sais pas !
_Dit moi n’est pas peur laisse toi allez !
Là après un petit moment de réflexion je me suis laissez allez ; il m’inspirait confiance, je pouvais laisser libre cours a mes désirs
Je lui dis que j’avais envi de lui que je voulais qu’il me fasse l’amour, comme il pourrait le faire à une femme, qu’il me prenne qu’il me fasse jouir, qu’il me fasse crier de plaisir, je voulais être sous son contrôle.
Je ne me reconnaissais plus, je me suis mis à rougir et à trembler de plus belle.
Il contrôlait la situation et me serras tendrement entre ses bras en approchant sa tête de mon oreille et me dit.
_ Voila ce que je voulais entendre, je vais te câliner, te faire l’amour, laisse toi allez, tu seras combler.
Je me sentais bien entre ses bras, mes tremblements n’avais pas cessez, mais la situation devenais enivrante, je me sentais comme une poupée de chiffon que l’on peu ballotter dans tout les sens.
Il commença à mordiller mon oreille, puis descendis sa bouche le long de mon coup pour atteindre ma bouche là ;il commença à lécher mes lèvres du bout de sa langue ; je sentais comme une petite décharge électrique sur mes lèvres ; je frissonnais.
Il me dit ensuite.
_Si nous allions dans ta chambre nous serions plus à l’aise.
Je le pris par la main et le conduisis dans la chambre ; et lui dit je suis à toi fait ce que tu veux de moi.
Son regard c’est mis à pétiller ses yeux brillais, il me dit déshabille moi.
Mon cour battais la chamade je sentais mon rythme cardiaque jusque dans ma gorge ;
Je me mis assis su le bord du lit et commença à déboutonner son pantalon il me dit
_Non, retire ma chemise allons doucement.
Je ne tenais plus je voulais qu’il me prenne immédiatement sans ménagement qu’il me fasse crier, ce n’était pas dans son scenario, il voulait vraiment que ce moment soit unique ;
Je me suis plier à ses exigence, qui au départ étais les miennes.
Je me suis lever j’ai approché ma bouche de la sienne de petits baisés sur la bouche tout en déboutonnant lentement sa chemise, j’ai écarté les pans de sa chemise pour découvrir un torse velu et bien développer, j’ai glissé mes main sur les flancs je sentais la force dégager de cet homme, mes mains glissaient sur tout le torse, il me dit cela suffit maintenant que tu es prêt je vais m’occuper de toi ;
Il me repoussa sur le lit en dégageant sa chemise, il m’allongea et retira lentement mes vêtement uns à uns, retira son pantalon et son caleçon
Je vis apparaître une superbe queue tendue je n’en pouvais plus je voulais cette chair en moi je voulais la sentir fouiller mes entrailles,
Non il voulait prendre son temps faire durer le plaisir, il me mordillait le bout de mes tétons me les léchais ; par moment descendais au creux de mon ventre je sentais que mon sexe allais exploser, il s’allongea sur moi en se frottant je sentais cette toison frotter contre moi j’étais aux anges, puis il s’assit sur mon torse en me présentant sa verge devant ma bouche par de petit coups de langue je m’activais de lécher le nectar qui coulais lentement de son sexe.
Puis se relevant il me força les lèvres par de léger vas et viens jusqu’à entrer à moitié puis ses aller retour se firent plus rapides, je le sentais prêt a déverser son jus dans ma bouche il se contractait par moment, puis soudain je sentis un liquide chaud envahir ma bouche, ne se dégageant pas et continuant ses allez retour, je fus forcer d’avaler son jus, je me sentais frustrer car je souhaitais qu’il jouisse dans mon intimité.
Lentement il se dégagea de ma bouche pour m’embrasser, je partageais le peu de semence qu’il me restait dans la bouche, puis me dis à l’oreille sa ta plu ?
Heu… Oui (réponse idiote encore une fois)
Menteur me dit il, ne t’inquiète pas je n’en est pas fini avec toi le meilleur reste à venir.
Ah.bon
Oui, je vais pouvoir te limer plus longtemps.
Effectivement, il est revenu sur mon torse en me présentant son sexe maintenant mou, et me dit ensuite fais le revivre et tu ne seras pas déçu , je me remis à entreprendre de lente léchouilles je le prenais en bouche c’était un délice je le sentais gonflé dans ma bouche, quand sa proportion eu atteins son apogée il se retiras pris mes jambes les posas sur ses épaules et d’une main pris son sexe le faisais glisser sur ma rondelle une fois bien positionner il poussas lentement , je le sentais à présent me dilater il glissais enfin en moi je me mis encore à trembler , tout doucement il glissas entièrement en moi quelques aller retour en douceur puis plus prononcer, je sentais une jouissance jamais atteinte jusqu’à ce jour je voulais jouir plus ses vas et viens étais fort plus je sentais ma sève monter , après quelques minutes je jouissais , je lui dit je veux que tu jouisse en moi vas y je suis à toi baise moi défonce moi , je ne reconnaissais plus les paroles sorties de ma bouche je me sentais pute , quelques instant après il déversa en moi sa sève , et resta figer dans mon cul je sentais les contractions de sa queue dans mes entrailles, lentement il se retira, puis commença à me sucer , j’ai joui encore une fois dans sa bouche , nous avons partager cette semence par un long baiser.
Puis nous prîmes une douche bien méritée, nous avons échangé nos numéros de tel sait ton jamais ça peu servir un électricien…..
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