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du peu que je sais… – Chapitre 1




Ma première fois…

Que celui ou celle qui n’a jamais frémi devant l’appel du loup me lance la première Pierre.

Il s’appelait Pierre comme dans cette histoire que je lisais le soir quand j’étais enfant.

J’ai toujours aimé me faire peur……….

J’habitais au pied des montagnes dans mes Pyrénées natales et mon voisin avait un fils.

Depuis notre naissance, je ne connais pas un seul jour où nous n’avons pas joué ensemble.

Nous ne jouions jamais à des jeux de fille……..j’étais trop garçon manqué malgré mes cheveux très long.

Ils descendaient plus bas que mes petites fesses et ils faisaient la fierté de mon père.

Quand nous nous disputions, ce qui arrivait rarement, Pierre d’un geste vif, tirait sur ma longue natte et s’en servait pour me fouetter.

Je n’étais jamais en colère après lui, tout n’était que prétexte à jouer.

Un jour où nous étions allé nous baigner, il me regarda d’un drôle d’air, pris ma natte dans une main, tira un peu pour pencher ma tête en arrière et je dois vous avouer cher lecteur, que ça me fit un drôle d’effet.

J’avais un peu peur (mais puisque j’ai toujours aimé ce sentiment particulier…) je le laissais faire.

J’étais curieuse, anxieuse, et pour toujours, joueuse.

Je me retrouvais dos à lui.

Je sentais son torse de petit homme, frais et mouillé, le soleil me chatouillait, la montagne brillait là-haut, j’étais heureuse.

Il me demanda si j’avais peur.

"Bien sûr, mais toi aussi" lui dis-je.

"Moi j’ai peur de rien" me répondit-il avec son drôle d’air.

"Alors moi non plus".

Et c’est comme ça que tout a commencé.

Nous savions ce que nous ne savions pas encore, et nos jeux d’enfants nous avaient emmenés lentement à cet instant là.

Je sentis mes cheveux s’enrouler autour de mes poignets.

C’était doux et fort, je me sentais belle et je me vis belle quand enfin il osa me regarder.

Mes mains liées et entravées par ma tresse, ça nous a fait pouffer de rire.

Je lui demandais d’arrêter sinon j’allais me faire pipi dessus.

Il me répondit qu’il m’avait déjà vue.

Je crois que j’ai eu honte, mais en même temps je sentais un drôle de "truc" (je n’ai pas d’autre mot) dans mon ventre.

"Allez, pisse devant moi, en vrai, tu es belle quand tu pisses".

Nous étions encore des enfants alors ça devenait un nouveau jeu.

Je m’accroupis, j’écartais un peu mes jambes et je laissais faire la nature.

J’ai aimé qu’il me regarde faire pipi, c’était tellement intime que j’ai eu l’impression d’offrir le meilleur de moi ce jours là.

Je me souviens de m’être dit que jamais il ne pourrait poser sa langue sur moi comme nous l’avions vu dans un livre que l’on avait piqué a son père…

Mais quand je croisais son regard je sus qu’il n’attendait que cette dernière goutte.

Il me renversa lentement, mes poignets toujours liés me faisaient mal mais qu’importe, ce petit truc dans mon ventre occupait encore plus mon esprit.

Il écarta largement mes cuisses, et se mit à me renifler, comme son chien lorsqu’un voisin ou ami entre dans la cour de la maison.

Toujours en riant je lui dis ce à quoi je pensais.

Il me répondit que je n’étais qu’une cochonne et que si je continuais à rire il appellerait son chien Quinze (son père l’avais trouvé tout bébé un 15 janvier).

Mais je voyais bien qu’il avait ce "truc" lui aussi dans le fond du regard.

Il me renifla de plus belle, je sentais (j’imaginais) sa truffe froide et humide sur mon sexe.

Mes pensées filaient à mille à l’heure. Je levais un peu la tête et je nous vis lui entre mes jambes écartées, son visage tout près de mon sexe luisant, mes tout petits seins presque pas formés encore mouillés de la rivière, mon ventre qui se soulève et qui appelle sa langue.

Dieu que Je la voulais cette langue. Je l’imaginais douce et râpeuse en même temps, léchant mon entrejambe comme il me léchait la main quand je rentrais chez Pierre

Je me laissais aller et dans un soupir je murmurais "oh vas-y Quinze lèche moi bien, tu es un bon chien.

Pierre me traita de jolie petite chienne et se jeta sur mon sexe la langue tendue.

C’était la première fois. Il faisait sur moi ce que nous avions lu et relu dans les livres de son père.

Je sentais l’orage dans mon ventre et il me lécha encore plus vigoureusement tout en me disant qu’il était un chien et que je sentais la femelle.

Il rentra sa langue profondément en moi et enfin je sus ce qu’était jouir.

Mes caresses solitaires n’étaient en rien comparables à cet instant. Il but mon sexe à n’en plus finir et je me tordais de plaisir.

Quand enfin il s’arrêta, tout mon corps s’était ouvert, je voulais encore plus, mais sans un mot il se leva, se rhabilla et me laissa là, les poignets solidement liés et endoloris.

Je criais pour le rappeler, je le suppliais et je me mis à pleurer.

Là, je vous avoue cher lecteur que j’avais vraiment peur.

Nous n’étions qu’à 2 km du village et n’importe qui pouvait avoir l’idée de faire un tour à la rivière.

J’aurais voulu hurler mais j’avais peur que quelqu’un ne vienne.

Alors tout en gémissant, j’essayais de me détacher mais le coquin avait si bien fait le lien que plus je tirais plus je m’emmêlais.

J’en étais à le maudire, à maudire mon père qui aimait mes cheveux longs à maudire la terre entière, quand j’entendis quelqu’un s’approcher en sifflotant.

Je ne sais pas ce qui fut le pire pour moi :

être soulagée qu’il soit revenu, entendre Quinze aboyer en me voyant, avoir attendu ainsi à la merci de n’importe qui, ou bien d’être encore attachée.

Malgré moi je sentais à nouveau mon ventre frémir.

Il me prit doucement dans ses bras et je me mis à sangloter.

Quinze se rapprocha, jappa doucement et se mit à lécher mon visage.

Il léchait chaque larme qui coulait et semblait attendre la suivante.

C’est un brave chien ce Quinze me dit Pierre, il te lèche bien mieux que moi n’est-ce pas ?

Je savais qu’on ne jouait plus mais son sourire était là.

Alors lentement il s’assit derrière moi, détacha mes mains, frotta doucement mes poignets tout en me murmurant des douceurs à l’oreille.

Nous savions ce que nous ne savions pas….avant.

"Reste bien contre moi, laisse faire Quinze pour qu’il te lèche aussi bien qu’à moi".

Ainsi donc Pierre était en avance sur moi, et tout en sentant la truffe humide du chien, il me raconta sa première fois quelques jours avant.

C’était l’après-midi où j’étais allée chez le docteur. Il s’ennuyait de moi et s’était mis à caresser son chien.

De caresses en caresses il avait découvert la douceur de son ventre, sa chaleur, son odeur aussi.

Profitant de mon abandon, Quinze (qui se faisait houspiller par son maître lorsqu’il léchait un peu trop les visiteurs),continua de passer sa longue langue sur mon visage, puis sur mes bras, mes mains, et celles de Pierre ; je l’entendais soupirer chaque fois un peu plus fort ; il me demanda si j’étais prête.

Je crois que oui mais je ne savais pas pour quoi ou même pourquoi. Je ne savais plus rien. Je ne pensais plus, je n’étais plus, et comme j’avais fermé les yeux, je ne voyais plus.

Pierre se pencha un peu en arrière et écarta doucement mes jambes ; Je le laissais faire.

Il caressa doucement mon sexe humide lentement sans appuyer, c’était une caresse de papillon.

"Tous les animaux de l’arche vont venir te caresser"

Je me remis à mouiller de plus belle à cette idée…..

Malgré moi je sens l’odeur de mon sexe qui monte vers moi comme à cet instant où je te raconte cher lecteur.

T’imaginer en train de me lire me procure un sentiment de plénitude absolue.

J’aime à te savoir imaginer mon odeur et ma saveur …….mais revenons à nos moutons si je puis dire.

Les doigts de mon Pierre se font plus insistants. Il s’introduit lentement dans mon sexe juste un peu et tout en tournant me raconte l’odeur de ma chatte mouillée de pipi.

Délicieuse honte qui monte à nouveau. Je me sens rougir et je le lui dis :

"n’ai pas honte ma belle chienne, je te connais par cour, et tu aimes que j’aime ton odeur".

Il remonta sa main jusqu’à mes narines et me fit sentir ses doigts mouillés de mon plaisir. Je ne connais rien de plus enivrant que ce mélange de mouille, de pipi et de vice.

Oh oui cher lecteur, le vice a une odeur et c’est celle que je sens là maintenant en t’écrivant.

Quinze toujours auprès de nous en profita pour sentir lui aussi. Il se mit à japper en remuant sa queue.

"Tu vois me dit Pierre, il aime lui aussi " et de lui donner son doigt à lécher…

Le bon chien ne jappait plus mais cherchait la source de saveur et d’odeur.

Pierre remit son doigt et Quinze pas "bête" sut qu’une friandise s’écoulait de mon entrejambe.

"Tu vois il te sent maintenant comme moi tout a l’heure ; il va bien te lécher et sa langue rentrera en toi sans jamais s’arrêter. Il peut te lécher longtemps, tout comme à moi"

Je la sentais bien sa langue, chaude longue douce baveuse, tout mon sexe y passait, les mains de Pierre continuaient de me caresser, puis tiraient délicieusement mes petites pointes de seins, redescendaient lentement sur mon ventre, sur mon sexe.

Il prit alors les lèvres entre ses doigts et m’écarta de plus en plus à la limite de la douleur. J’étais écartelée du con et j’aimais ça.

Il ne me parlait plus, il ne parlait qu’à Quinze "Lèche la bien c’est ta femelle, je te l’offre, ensemble on va bien la préparer et dans quelques semaines quand les chiennes des alentours seront en chaleur c’est celle-là que tu pourras saillir".

J’avais la sensation de n’être rien et d’être tout.

Je n’étais rien qu’une chienne et j’étais toutes les femelles.

Mes deux mâles rien que pour moi, Pierre m’écartant et promettant à son chien une saillie, Quinze me léchant de plus en plus profondément.

Tout ne fit plus qu’un et dans un hurlement de plaisir (tant pis pour les voisins) je jouis pour la seconde fois.

Je n’étais plus que transe, vice et volupté.

Pierre me tient encore fermement quelques longues minutes jusqu’à ce que le chien s’arrête de lui même.

Je n’en pouvais plus, je n’en peux plus cher lecteur et tu sais que maintenant j’en veux encore plus, je veux rendre au centuple ces coups de langue, je veux japper en sentant ton sexe se durcir, je veux voir Quinze te lécher, je veux le lécher aussi je veux jouer au vice….

"Encore quelques semaines me dit Pierre et les chiennes seront en chaleur ; alors tu seras prête"

Comment te dire cher lecteur que j’ai hâte d’être à ce jour là mais que j’ai très peur aussi.

Pierre restera t-il mon ami, ne pensera t-il plus qu’à ces moments ?

J’ai peur, mais puisque j’ai toujours aimé ce sentiment particulier…………..

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