Jimmy et Rachid ressortirent de la maison, tenant des bières à la main en rigolant fort. Rachid avait une corde à la main et ils se dirigeaient tous les deux vers moi. La laisse déliée du poteau, je passais sur une sorte de plateau qui devait servir de table pour peu que l’on y mette des sièges autour. Ils s’appliquèrent à lier mes jambes avec mes tibias et mes avant-bras à hauteur de mes biceps. Jétais saucissonnée et les cuisses complètement offertes par l’introduction d’un spéculum, tout comme mes seins pointus qui me faisaient encore mal, recevaient des pinces à linge sur les bouts.
Je comprenais vite que les moments qui allaient suivre seraient difficiles. J’avais tout d’abord droit à une nuée de coups portée par les deux hommes sur ma fente grande ouverte et sur mes seins bandés pour faire sauter les pinces. Dessus, dessous, sur les côtés, à plat, avec le tranchant, en triturant, en tournant, les chasses mouches étaient partout à la fois.
Mes lèvres étaient rouges, mes seins, mes cuisses, même ma figure y avaient droit. Mon clitoris me brûlait, je le sentais énorme et complètement sorti de sa gangue de chair. Je ressemblais à une vacancière qui aurait trop abusé du soleil, toute ma peau me brûlait. Jimmy abandonna le plat de la tapette à mouches pour m’enfoncer le manche dans mes deux trous exposés et grands ouverts, je sentais le manche toucher le fond de mon vagin sans le sentir sur les bords à cause du spéculum en place, mais sans doute n’était-il pas satisfait, car ses doigts rugueux prirent le relais pour une double pénétration à un rythme effréné qui me faisait pisser mon jus et crier à en perdre haleine. Je fus délivrée de l’écarteur de chatte après moult inspections et commentaires sur l’intérieur de mon sexe, son rose tendre, son humidité et les replis intérieurs.
Le résultat est qu’ils étaient encore plus excités et me prirent ensemble sur la table, Rachid sous moi, m’enculait et Jimmy me baisait a fond en tordant mes tétons. Les pinces avaient disparu laissant dans un premier temps comme endormis les endroits où elles se trouvaient, mais très vite c’est encore plus de sensibilité qui se déclarait. J’avais mal et honte de me faire prendre par deux hommes devant Laurent, mais j’étais folle de plaisir et anéantie de fatigue, quand enfin ils lâchèrent leur sperme en moi. Ils me laissèrent sur la table et je pensais en avoir terminé pour un moment.
C’était sans compter avec Rachid qui décidait de me faire nettoyer la chatte et le cul par la langue de Laurent, qui avait dû faire la toilette des deux bites pleines de foutre avant, à grands coups de langue et subir les quolibets des deux hommes.
Je dois reconnaître que là aussi, je gémis durant tout le temps que Laurent me suçait, sa langue furetait à tout endroit, m’envoyant des décharges électriques et je pissais mon jus intime. Jimmy le fessait en même temps, le masturbant violemment ensuite pour lui faire cracher son foutre sur ma chatte endolorie et bien sûr lui faire aspirer.
J’étais enfin délivrée de mes entraves et les deux hommes durent me remettre debout pour que je puisse retrouver une allure normale, les marques des cordes striaient mes bras et mes cuisses. Nous étions tous très fatigués et nos tortionnaires nous firent pénétrer dans la cabane, mais sans nous y attarder, nous les suivions dans l’escalier central qui menait à une trappe pour enfin accéder à la plateforme d’observation et à l’échelle qui montait au sommet de la tour.
Rachid mit de la musique sur son smartphone et m’ordonnait de danser, je m’exécutais maladroitement, ce qui me valut des coups de tapette à mouches sur les fesses, Laurent fut invité également à danser, sa bite sautait a la mesure de la musique, et les deux hommes tournaient en même temps que nous, pour nous frapper et nous faire aboyer. La plateforme était à l’air libre et en hauteur, j’imaginais que quelqu’un pouvait nous voir, ou au moins nous entendre, mais pas âme qui vive.
Les mouvements imposés à mes seins firent bander mes tétines et par la même je me liquéfiai littéralement de la chatte, mon clitoris commençait à pointer le bout de son nez.
La situation n’échappait à personne, Laurent avait son sexe à l’équerre et Jimmy l’immobilisait pour lui frapper la verge et les bourses, non plus avec la tapette à mouches, mais de ses mains puissantes. Rachid, ne voulant pas être en reste, saisit les deux tapettes à mouches pour me les introduire dans le vagin par les manches et me faire danser avec.
Le soleil commençait à descendre et Jimmy parla dans une langue qui m’était inconnue en tapotant sa montre et ils nous attachèrent chacun à un bout de la plateforme avec un bâillon sur la bouche et nous souhaitèrent bonne nuit. Ils nous quittèrent, non sans nous avoir maltraités encore une fois et surtout mes seins qui semblaient retenir toute leur attention, ils ne sont pourtant pas très gros et sont encore en devenir, une fille termine sa croissance à 20 ans, j’avais l’espoir que mon tour de poitrine pourrait obtenir un 95 C. Mon rêve de fille.
Nous nous résignions à passer la nuit à la belle étoile. Le sommeil fut long à venir, mais nous étions fatigués de toutes les sortes de « gymnastiques » que nous avions faites dans la journée et finissions par nous endormir.
Nous étions encore dans notre sommeil quand la trappe s’ouvrit et laissa entrevoir le visage de Rachid. Nous n’avions pas le temps de nous étonner qu’il était déjà sur moi à me délier et me tirer par la laisse vers l’escalier pour accéder à la maison de bois. J’apercevais un couple d’âges mûrs très élégamment habillé, me fixant avec attention. Rachid m’entraîna dehors après m’avoir fait mettre à quatre pattes et rappeler les règles du oui et du non. J’obéissais et à la question si j’avais envie de pisser, je répondais par un aboiement.
Placée sur un rondin de bois et les cuisses écartées au maximum, il fallait que j’attende le feu vert de la dame pour relâcher ma vessie. Je pensais à Laurent, seul et entravé sur la plateforme. Je devais tirer mes lèvres en les écartant pour « que l’on voit mieux ». Je suivais les instructions à la lettre, le couple et Rachid (qui me filmait) m’observaient uriner, je devais arrêter le flux aux ordres du Monsieur. Je faillis, ce qui m’a valu une paire de gifles.
Je reprenais mes lèvres sexuelles et les étiraient pour les ouvrir au maximum, pour le plus grand plaisir de Madame. Au signal, je recommençais à pisser, mon jet rebondissait sur le sol éclaboussant les bottines de Madame, ce qui me coûta une fessée par Rachid et l’ordre de Monsieur de lécher les chaussures que j’avais salies. Rachid jouait les maîtres et vantait la marchandise (moi en l’occurrence). Je comprenais qu’il me louait à ce couple pour la journée. Je n’étais pas en mesure de me rebeller, j’avais, à vrai dire, ressenti ce qui pouvait m’attendre.
Il se comportait comme un maquignon, soupesant mes seins pour faire admirer leurs fermetés, triturant mes tétines pour éprouver leur réactivité, écartant mes limbes sexuels, comme on fait pour voir si les poissons sont frais en soulevant leurs ouïes sur les marches. J’étais ramenée au rang de marchandise, de bétail. J’avais honte d’aimer ça et de me prêter à son jeu. Le couple semblait satisfait de mes dispositions et j’embarquais toujours nue sur le quad entre Monsieur qui conduisait et Madame derrière moi.
Nous roulions un long moment sur un sol inégal, ce qui me faisait bouger les seins, bientôt soutenus par les mains de Madame, pour gagner un parking ou une grosse limousine Mercedes était en stationnement. Madame me dirigeait par la laisse, elle m’avait dit :
Allez cou-couche au sol, sans la protection de Rachid j’avais mal aux paumes des mains et aux genoux. Elle voulait me faire faire pipi, mais j’avais beau me mettre en position ’de chienne ’ et pousser, rien n’y faisait, ma vessie était vide. J’avais droit à un :
Méchante chie-chienne à sa maman qui ne veut pas faire ses besoins.
Elle me prenait vraiment pour son animal de compagnie. Je montais sur la banquette à l’arrière du véhicule prestigieux avec elle, mais c’est sur le sol qu’elle m’installait.»
Comment va-t-on l’appeler notre petite chienne ? » demandait-elle à Monsieur.
Médor, disait-il.
Non, voyons, ce n’est pas un chien, tu as bien vu qu’elle a une chatte ».
S’en suivait une recherche de nom entre eux deux, j’écoutais en rigolant intérieurement, elle arrivait même à me demander mon avis, je répondais bien évidemment par un simple ou un double aboiement suivant le code établi. Durant le voyage, elle me flattait le dessus de la tête, je devais également aller faire la fête à Monsieur en passant à l’avant pendant que le véhicule roulait. Ses mains, au contraire de Madame, ne se limitaient pas à mes cheveux, mais une fois agenouillée sur le siège avant, fesses tournées vers lui, ses doigts s’introduisaient dans mon corps pour tripatouiller tout ce qui se présentait à sa portée, heureusement que la voiture avait une boîte automatique et que seule sa main gauche était occupée à la conduite, ce qui laissait tout loisir à sa main droite pour m’explorer. Il me pinçait le clitoris quand la lumière jaillit.
Clitorine, voilà un nom super pour une chienne,
Madame était enthousiasmée et moi je jappais, non pas pour cette bonne idée, mais par ce que me faisait subir Monsieur.
Ils prenaient cela pour un consentement de ma part, donc j’étais baptisée Clitorine. Madame prononçait mon prénom à tout va, le faisait chanter dans la voiture. Elle était tellement contente qu’elle demandait à Monsieur de s’arrêter à l’espace Emeraude de Challans qui avait un rayon animalerie énorme, disait-elle. Monsieur lui faisait remarquer que j’étais bien Clitorine, la petite chienne, mais que je ne pouvais pas rentrer nue dans le magasin. Elle me prenait réellement pour son animal de compagnie, j’étais sidérée, à mon avis elle avait un grain, ce n’était pas possible autrement.
Elle semblait découvrir, le temps d’un instant, que j’étais une jeune femme et qu’à ce titre, je devais me vêtir aux yeux des autres.
Oui, c’est vrai, les gens sont ignorants, il y a des vêtements dans le magasin, je vais acheter une bricole pour pouvoir l’emmener avec nous, mais elle garde son collier.
Monsieur était d’accord avec Madame et s’arrêtait dans la zone commerciale non loin du magasin en question. Elle descendait de la voiture, non sans m’avoir donné un baiser sur le nez (sur le museau devrais-je dire), je restais tapie sur le sol, aux pieds de Monsieur devant le siège passager. Il me tripotait à deux mains et mes tétines n’étaient pas laissées pour compte, elles me faisaient mal, tendues et raides, Monsieur se délectait de me voir réagir à ses pincements, j’étais en eau, mon vagin coulait et mes cuisses étaient mouillées de mon jus de fille en chaleur.
Moi qui étais plutôt réservée et introvertie, on me faisait me conduire comme la dernière des chiennes. Madame ne tardait pas à revenir et je passais au salon d’essayage à l’arrière du véhicule. J’étais anxieuse de découvrir ce qu’elle avait trouvé dans un magasin de jardinage, bricolage, animalerie et agricole. A part des bottes en caoutchouc et des chapeaux de paille, je ne voyais pas ce qu’il pouvait y avoir. Mais c’était sans compter sur son imagination.
Je regardais abasourdie le gilet jaune extirpé du sac en papier recyclé. Je protestais en disant que je ne pouvais pas sortir habillée avec cet accoutrement et je recevais de la part de Monsieur des baffes en série et il me criait dessus en hurlant des insanités. J’étais complètement scotchée et me rapetissais sur la banquette en n’osant rien dire, comme un chien pris en faute. J’avais enfreint la loi de la parole et Monsieur me le faisait payer cher.
Madame me cajolait en me débitant des phrases que l’on dit à un bébé, tout en m’appelant ma petite Clitorine adorée. Monsieur se calmait et je reprenais pied grâce à Madame qui me caressait les seins. Je devais faire avec et passais le gilet jaune, trois fois trop grand pour moi et nous sortions de la voiture. Une fois debout, le bas du gilet arrivait au raz de ma chatte et de mes fesses,ça pouvait passer pour une mini-robe éventuellement, si je ne me penchais pas trop,ça pouvait faire illusion, mais le haut n’avais pas de manches et l’on voyait ma poitrine, tellement les emmanchures étaient échancrées. Le tableau devait être réjouissant à voir, car j’avais conservé mon collier-de-chien autour du cou.
Nous entrions dans le vaste magasin où le jardinage tenait la plus grande partie, il y avait peu de monde de ce côté, nous allions vers l’animalerie et mon soulagement de voir peu de personnes s’estompait. Des badauds étaient devant les cages de chiens, chats, rats, oiseaux et autres poissons rouges. Madame me parlait toujours de la même façon et personne ne pouvait ignorer mon prénom. Les regards masculins étaient très appuyés et quelques femmes entraînaient leur compagnon hors de ma vue.
Pour autant, il ne restait qu’un couple et trois ou quatre hommes. Jétais devenue le centre d’intérêt du rayon au détriment de mes congénères les chiens des cages. Monsieur choisissait un os et me le faisait essayer en le mettant dans ma bouche, me lançait un jouet qui faisait pouet pouet et je devais faire du bruit avec en le tenant dans ma bouche, ma gueule, devrais-je dire. Bien sûr, je continuais à répondre en aboyant, suivant le code en vigueur.
Madame nous entraînait dans un endroit plus à l’écart du rayon où le couple et les hommes pouvaient assouvir leur part de voyeurisme. Il commençait même à y avoir un dialogue pour savoir ce que Clitorine savait faire.
Elle défaisait les scratchs qui tenaient attachés autour de moi les deux pans du gilet et je me retrouvais dépoitraillée et la chatte offerte aux regards de tous. Je baissais les yeux de honte, un reste de pudeur sans doute, mais qui s’estompait vite devant la fierté que j’avais d’être admirée par tant de personnes en même temps. Mes tétines étaient au mieux de leur forme et si jamais je devais écarter les cuisses, mon clitoris serait fier d’apparaître rose et humide sortant de son capuchon ourlé.
Je faisais la belle, donnait la pa-patte, tirais la langue, mimais une envie de pipi, rognais un os en caoutchouc, me mettais sur le dos. Toutes ces postures avaient pour but de faire voir le plus possible de mon anatomie, orchestrée par Monsieur et par Madame, j’avais droit à une séance de martinet devant notamment le couple qui encourageait mes maîtres à me frapper sur des zones sensibles.
Monsieur lançait une invitation au couple pour le soir même.
Je crois que Monsieur était un peu inquiet et ne souhaitait pas attirer plus l’attention, nous regagnions la voiture, alors que Madame se dirigeait vers la caisse pour régler les nombreux achats pour mon confort. Le couple nous suivait jusqu’à la Mercedes et se mettait d’accord avec Monsieur pour l’invitation a la soirée. L’homme et la femme qui semblaient libertins en profitaient pour tester la texture de mes seins et l’humidité de mon vagin. La femme ne put s’empêcher de dire que j’étais un bon toutou a sa mémère tout en introduisant deux doigts dans mon anus et en imprimant un petit mouvement de va-et-vient.
Madame arrivait avec tous les achats qu’elle étalait sur le siège arrière et chacun y allait de son commentaire, Madame et Monsieur étaient ravis d’apprendre que le couple avait lui aussi un chien, un bas rouge, et qu’il se ferait un plaisir de me le présenter si mes maîtres les y autorisaient. Non, je n’y croyais pas…
Ce fut une explosion de joie de la part de mes maîtres et j’étais aussitôt interrogée sur le plaisir et la chance qui m’étaient offerts. Je protestais en double aboiements, mais rien n’y faisait et j’avais à nouveau droit au martinet pour le refus que j’avais osé émettre. Monsieur disait :
mais pour qui nous fais-tu passer auprès de nos nouveaux amis qui nous proposent gentiment de te faire rencontrer un compagnon de jeu ?
Je prenais l’option de me taire pour ne plus recevoir les lanières qui me fendaient la chatte en deux.
Je devais comme châtiment pour avoir manifestée mon mécontentement lécher les mains du couple et l’homme en profitait pour m’introduire trois doigts dans la bouche, comme si je suçais sa bite, le message était clair. La femme me faisait donner la patte et abattait un grand coup de poing dessus. Pour l’éducation de Clitorine vivement remerciée par Monsieur et Madame, qui reproduisaient l’acte de facto.
Je pouvais regagner ma place sur le sol de la place devant le siège de Madame et la voiture démarrait vers la maison de mes maîtres, ce que je supposais être notre destination finale.
Madame testait ses jouets sur moi, l’os que j’avais commencé à ronger restait à ma portée et je devais le prendre pour me faire les dents, elle me faisait renifler ma nouvelle gamelle à deux espaces, un pour l’eau et l’autre pour les croquettes, j’avais droit également à une laisse télescopique « pour ne pas faire courir maman », elle m’essayait également la muselière à Clitorine. Il y en avait encore plein un sac, elle me réservait des surprises.
La voiture ralentie, je levais la tête et montais sur le siège, Madame me grondait mais me serrait contre elle en me caressant le dos, je pouvais voir que nous arrivions à bois cène, nous traversions ce petit village et la voiture se positionnait devant un portail que Monsieur ouvrait grâce à une télécommande sur le tableau de bord de la voiture.
J’apercevais une allée assez longue qui menait à une maison à deux étages, cossue et imposante, sûrement âgée de plus de cent ans. Elle était entourée d’arbres feuillus et plus loin, d’un bois et d’un plan d’eau, c’était très joli.
Regarde ta nouvelle maison, est-ce qu’elle te plaît au moins ?
Je faisais retentir un aboiement tonique pour ne pas décevoir Madame, qui déjà, me faisait descendre de voiture pour m’entraîner faire un tour dans le parc. Un rappel à l’ordre et je me mettais à genoux, mais comme ma progression était trop lente, Monsieur m’autorisait a mes mettre sur les pieds, mais avec les mains bien au sol, ce qui me faisait avoir le cul plus haut que la tête et j’imaginais bien le spectacle que je donnais, vue de derrière, d’ailleurs, Monsieur me suivait martinet en main, alors que Madame me pilotait dans les allées et buissons. Elle avait une idée bien arrêtée, c’était de me faire uriner devant le grand chêne, emblème de la maison comme elle disait. Je m’accroupissais et poussais fort pour ne faire sortir qu’un jet minable, ce qui contrariât fort Monsieur qui me le faisait savoir à coup de martinet et de :
Je vais te dresser moi, tu vas voir !
Madame me défendait en faisant remarquer que je n’avais pas bu et que c’était normal que je ne pisse pas. Du coup, dès que l’on pénétrait dans la maison, Madame a rempli ma gamelle et j’ai été obligée de laper par trois fois l’eau qu’elle y mettait. Javais toujours le cul en l’air, car Monsieur préférait sa petite Clitorine dans cette position et il pouvait surtout avoir accès à mes orifices dilatés par la position que je devais tenir avec les pieds éloignés l’un de l’autre, je fatiguais des bras.
Madame préparait le repas de midi dans la cuisine et j’étais dans le salon aux genoux de Monsieur qui buvait un verre tout en me caressant. Ils passaient à table et je nen étais pas oubliée, mais dans ma gamelle je n’avais pas de croquettes comme Madame l’avait laissé entendre, mais le même menu que mes deux maîtres. Je devais manger sans les mains, mais on me donnait l’autorisation de me mettre sur mes genoux. J’avais de la purée tout autour de la bouche, sur le menton et jusque sur le cou. Je jappais sous les caresses de Madame en attendant qu’ils terminent leur repas, ma position sous la table était agréable, car il y avait un épais tapis confortable. L’après-midi était déjà entamé quand Madame décidait que j’avais besoin d’une bonne douche et m’entraînait vers l’escalier qui menait à l’étage, vers la salle de bains.
Elle me douchait elle-même, me savonnait entièrement ,écartait ma chatte et mon trou du cul pour s’assurer que j’étais bien propre, Monsieur assistait au spectacle et tenait la douchette pour me rincer. Il m’inondait la chatte et la force du jet me laissait pantelante après un orgasme fulgurant, j’étais triturée depuis le matin et c’était inévitable que ça arrive. Madame me prenait contre elle pour me chouchouter en me disant les niaiseries habituelles, mais je commençais à aimer ses façons et je me blottissais contre sa poitrine comme une petite chienne apeurée. Madame m’entraînait dans son dressing et me faisait passer un paréo rose transparent qu’elle nouait autour de mon cou, j’avais droit à une paire de tongs et sans plus d’explication, nous repartions en voiture.
Dix minutes plus tard, Monsieur poussait la porte d’un cabinet médical ou nous étions reçus sans attendre par un vieux médecin barbu. Je reconnaissais la table d’auscultation pour être un cabinet gynécologique, mes maîtres voulaient sûrement s’assurer que je n’étais pas blessée ou malade. Mon paréo ôté dès que nous entrions, c’est à quatre pattes que j’étais présentée sous mon doux prénom et ma condition animale, le docteur devait être un ami du couple. Il ne perdait pas de temps et m’installait sur la table avec les pattes en grand écart, Monsieur et Madame avaient une vue plongeante sur mon vagin éclairé et grand ouvert.
Le docteur leur faisait une visite guidée de mon anatomie et les commentaires me faisaient sourire, j’avais l’habitude d’aller chez le gynécologue, sauf que le mien était une femme. Le médecin insistait sur mes tétines qui étaient remarquables par leur taille et leur fermeté, ainsi que par mon clitoris toujours vaillant à se faire remarquer. Il était sorti sans que je m’en aperçoive et le praticien jouait avec pour faire admirer à mes maîtres le bon choix de compagnon à quatre pattes qu’ils avaient fait. Je gémissais sous ses doigts et il faisait tout pour m’emmener à l’orgasme, ce que je ne manquais pas d’obtenir sous ses doigts professionnels. Il faisait un prélèvement de ma flore vaginal pour déposer au laboratoire en repartant et il donnait des instructions pour que Monsieur reçoive les résultats dès le soir même.
Nous reprenions le chemin de la voiture et les gens que l’on croisait dans la rue n’ignoraient pas grand-chose de mon intimité, car le soleil amplifiait la transparence du paréo. Nous rentrions en suite à la maison des maîtres. Javais des nouvelles de Laurent quand Monsieur eut Rachid au téléphone, il était choyé et assistait à une journée avec des amis, me dit-on.
La soirée approchait et Madame s’affairait dans la cuisine, la domestique était absente d’après ce que je comprenais.
Elle demandait à Monsieur de me rafraîchir pour que je sois présentable ce soir. Il s’agissait bien sûr de me laver la chatte et bien sûr, Monsieur y prenait un vrai plaisir et faisait les choses dans les règles de l’art. J’avais droit à la première fellation, mais il ne voulait pas jouir, il se réservait sûrement pour le soir. Toujours est-il que sa queue est longue et fine, il touchait le fond de ma gorge à chaque poussée, mais son diamètre était plutôt inférieur à ce que j’avais vu avec Rachid, Jimmy et l’un des deux cyclistes.
Je restais nue en attendant les invités, assise au pied de Monsieur dans le salon. Lui aussi me flattait la tête, la croupe et le dos comme si j’étais un chien, pardon, une chienne.
L’interphone du portail sonnait et Monsieur allait répondre alors que Madame venait voir si j’étais propre en passant sa main entre mes cuisses et sentait ma bouche
.-« Bon, ça va elle est toute belle ma Clitorine qui aime la pine ».
L’humour à un euro !
Je restais estomaquée par sa remarque inattendue, tandis que le couple du magasin accompagné d’un super bas rouge, couleurs noire et fauve entrait dans le salon. Il était plus haut que moi et je me réfugiais entre les jambes de Madame, qui pour le moment me protégeait. Le couple prenait Médor (ça ne s’invente pas un nom pareil pour un chien !) par le collier pour le calmer. Les présentations entre les deux couples se faisaient et l’apéritif était proposé par Madame, j’apprenais que Monsieur était maire d’une grande ville des environs et ami intime d’un futur ex-président de la République qui avait eu quelques déboires à cause de frasques sexuelles, et qu’il dirigeait le plus grand cabinet de notaires de la région. L’alcool aidant, ils en étaient à la seconde tournée, Madame voulait que Clitorine et Médor fassent connaissance.
L’interphone crépitait, c’était un coursier qui amenait les résultats du labo. Les nouvelles étaient bonnes suivant les dires de Madame qui en profitait pour me tapoter le dessus de la tête en guise de récompense.
J’aboyais une fois et j’allais à reculons, mais c’était sans compter sur Monsieur et l’homme du couple qui avaient bien décidé de me présenter à Médor et de nous mettre en couple. Je décidais d’obtempérer, Médor me sentait l’arrière-train en me donnant des coups de truffe humide sur la chatte et des coups de langue, ce qui avait pour effet presque instantané de me faire mouiller. Il finissait par me laper avec sa langue rugueuse mon intimité, mon clitoris n’y résistait pas et l’homme du couple le remarquait en ne cachant pas sa surprise d’un engin aussi volumineux chez une petite chienne de mon envergure.
Il fallait que j’embrasse Médor sur la truffe, ce n’était pas pire qu’un certain flirt que j’avais eu étant jeune fille, qui me léchait carrément la figure en guise de baiser.
J’avais la figure trempée, tout comme ma chatte et tout mon entrejambe. Je voyais la bite de Médor sortir de sa housse de protection et la couleur violacée était impressionnante, je croyais que les chiens avaient plutôt le sexe long et fin, et bien je revenais sur mon jugement un peu hâtif. Médor était monté comme un petit âne, avec une bite épaisse et courte, des bourses d’un petit volume et déjà des gouttes de foutre entouraient son gland vibrant.
Monsieur me faisait allonger sur le sol pour pouvoir prendre en bouche le sexe canin et l’homme du couple aidait son cabot à s’introduire dans ma bouche, je n’avais pas le droit de me servir de mes mains et Madame me le rappelait durement à ce moment-là, en me donnant un coup de pied dans la chatte qui était vue, ma position grande ouverte et offerte à tous les regards. Je m’appliquais à bien le sucer, malgré quelques haut-le-corps qui me prenaient. Le cabot donnait des coups de reins, comme s’il me baisait la bouche.
Mais il y avait vraiment peu de différences entre une bite d’homme ou celle d’un chien. Après cette fellation, ce fut bien entendu à mon tour de me mettre à quatre pattes pour me faire prendre par le bestiau aidé par le quatuor, j’étais installée de sorte à bien recevoir l’hommage du mal en rut, un coussin sur le dos pour éviter les griffures, la pénétration fut brève mais violente, quelques allers et retours eurent vite fait de lui faire tirer son sperme qui inondait mon dos, il le léchait aussitôt. Mais son maître ne l’entendait pas de cette oreille et lui retirait le museau d’entre mes cuisses. Il réclamait une cuillère a Madame afin de récupérer dans ma chatte et sur ma peau le précieux sperme de Médor qu’il me donnait à avaler, comme on donne à manger à un bébé.
Une bouchée pour papa, une bouchée pour maman.
Tout le monde était chaud, les sexes ne tardèrent pas à sortir et j’en prenais de partout, suçait les bites, léchait les chattes, j’étais très occupée au sens propre comme au figuré. C’est une nuit de folie que je passais, j’avais la chatte, le cul et la bouche usés et dilatés, mes seins torturés me faisaient souffrir la mort.
Au petit matin, quand Madame me donnait ma douche, j’étais une loque ivre d’amour et de foutre. Mais à ma grande surprise, jamais il n’y eut d’échanges entre les personnes présentent.
Le lendemain, j’écrivais une lettre à Laurent lui expliquant que j’avais fait le choix de rester avec mes maîtres et qu’il ne cherche pas à me revoir, c’était mon choix, je l’avais fait librement et sans contraintes. Monsieur et Madame acceptèrent et je devenais à partir de ce jour Clitorine, la chienne attitrée de la maison.
Sur les conseils de la maîtresse de Médor, Monsieur me prenait rendez-vous chez l’esthéticienne, je devais me tenir prête en début d’après-midi, Madame avait autre chose à faire de très important et ne pouvait nous accompagner.
Je me retrouvais seule avec lui et mise à part ma toilette, ce n’était jamais arrivé.
J’avais de l’appréhension, car avec Madame, j’étais en sécurité, elle me prenait pour sa chienne et ne laisserait personne me faire vraiment du mal.
Mon paréo passé, j’étais fière de lui montrer que je n’avais rien d’autre sur moi, histoire de le mettre dans de bonnes conditions vis-à-vis de ma docilité.
Mais ce n’était pas comme ça qu’il me voulait, nous montions en voiture et il m’arrachait littéralement mon paréo qui se déchirait tellement il était fin.
A poil comme une chienne, il y a quelque chose que tu ne comprends pas ?????.
Nous roulions en direction de la ville de la vieille, je subissais sa mauvaise humeur à plusieurs reprises et ses doigts durs en permanence dans mon corps.
Il n’eut pas besoin de trouver une place pour stationner, il entrait sous un porche pour s’arrêter dans une courette intérieure. Toujours nue, sans chaussures, avec juste mon collier autour du coup, il me faisait descendre de voiture en agrippant le cuir du collier sans même une laisse.
Tu es ma petite chienne, Clitorine, et tu vas être bien sage, sinon….. me déclara-t-il dans un moment de grande peur, j’avais une trouille bleue des paroles qui restaient en suspension…
Je baissais la tête, car ma tenue, même si personne ne me voyait, me mettait mal à l’aise.
Monsieur me faisait asseoir sur les fesses et m’ordonnait de l’attendre. Il cognait à une des deux portes qui donnaient sur la courette et disparut un moment qui me semblait une éternité. Les bruits de la rue arrivaient à mes oreilles et la distance entre la petite cour et le trottoir n’était pas bien grande et je pouvais être surprise à chaque instant.
Il réapparut après de longues minutes et me tirait par le collier à l’intérieur de ce que je croyais être le cabinet de l’esthéticienne.
Je me rendais compte au dernier moment que l’endroit où nous pénétrions était un toiletteur canin.
Monsieur était derrière moi et me poussait à l’intérieur avant que je ne puisse avoir un mouvement de recul. Il y avait deux personnes assises, un homme et une femme, vêtue d’une blouse, je l’identifiai comme étant la toiletteuse.
Un chien attaché et soutenu dans une position qui limmobilisait venait d’être tondu.
Bonjour Monsieur, soyez le bienvenu, l’homme le salua également et les deux paires d’yeux se tournèrent vers moi.
. Visiblement, il était attendu et bien connu.
Alors c’est elle, jolie, vous avez bon goût, bonne race et qui ne perd pas ses poils.
La femme fermait le verrou et tirait le rideau qui donnait sur la rue. Elle me prenait par la main et me faisait tourner sur moi-même, me faisait m’accroupir et pour finir, me mettre à quatre pattes. Normal pour une chienne, pensais-je.
J’avais du mal à réaliser ce qui se passait, tout était allé trop vite pour moi. Je me retrouvais au sol, maintenue par cette femme entre deux âges, un homme me reluquait salement et Monsieur semblait s’en remettre totalement à eux. Je frissonnais. J’étais rapidement bâillonnée, la toiletteuse m’expliquait que je devais me tenir sage, car elle avait dressé des chiennes plus grandes que moi.
Elle me faisait monter sur une table identique à celle où attendait le chien déjà tondu et attachait mon collier au mousqueton au-dessus de ma tête, qui m’obligeait à rester le cou tiré vers le haut. Cette position devait être celle pour que les chiens ne bougent pas pendant que l’on faisait leur toilettage et ne puissent pas mordre.
Je n’osais bouger campée sur mes bras et mes jambes, la tête fière tendue vers le haut. J’étais pétrifiée d’entendre parler de moi comme si je n’étais pas là, par la toiletteuse, l’homme et Monsieur, en parlant de mon corps de la façon dont je pisse et que je me balade à poil dans les magasins, dont j’ai joui quand Médor m’a couverte, il inventait certaines choses, sûrement pour se faire valoir auprès des deux autres.
J’étais inspectée de très près.
En tout état de cause, ma venue était attendue. La toiletteuse n’en finissait pas de détailler mon corps, je me disais qu’elle avait le même et qu’elle n’en parlait sûrement pas aussi précisément. En tout cas, l’homme et Monsieur également étaient très à l’écoute.
Tu as le choix de rester bâillonnée ou d’être libre de ta bouche si tu promets de ne pas crier, tu peux juste aboyer, sinon c’est la correction.
Je promettais d’un aboiement et j’étais défaite du bâillon.
La toiletteuse continuait à faire l’éloge de mon corps, elle disait des choses sur moi que je n’avais pas remarquées, mes fesses en forme de pommes, les pointes de mes seins qui sont comme des tétines de biberon (que l’on pourrait me traire peut-être !), mon clitoris que l’on voit sans écarter mes lèvres et qui serait à l’honneur si on le perçait pour y placer une boucle d’oreille, en fait des choses très intimes sur moi que j’ignorais, sauf que pour mon jus, je savais bien que je mouillais abondamment.
Les deux hommes friands de l’observation n’eurent pas la permission de me toucher pendant qu’elle s’occupait de moi.
J’étais immobilisée par des sangles placées sur mes poignets et sur mes mollets.
Liées à des anneaux sur la table.
J’étais on ne peut plus harnachée, mes cuisses écartées devaient donner un spectacle inoubliable à l’arrière, car ils sextasièrent sur l’ouverture de mes deux trous quand ils passèrent dans mon dos.
La toiletteuse rappelait tout le monde au sujet premier, à savoir la tonte de ma chatte et de mes aisselles. La tondeuse commença son uvre sous mes aisselles et les quelques poils vite disparus, jeus droit à une crème apaisante, très parfumée, chacun vérifiant que j’étais bien lisse à cet endroit. Interrogée, je me fendais d’un wouaf à peine audible, ce qui me valut une claque sur les fesses et je dus en faire un nouveau plus gai, me dit-on.
Mes jambes tirées au maximum, c’est assis que les deux hommes regardèrent la toiletteuse passer le rasoir sur mon mont de Vénus, enfin sur ma chatte, mes lèvres écarquillées pour ne pas me couper, aucun poil, même naissant n’y aurait résisté.
Elle faisait durer le plaisir et chacun observait avec délectation l’avance de ses mains qui passaient de la crème sur ma peau glabre devenue aussi lisse que ma joue.
Ils étaient autorisés à admirer le travail précis de l’officiante et aux questions sur la douleur que j’avais ressentie, je répondais par des wouaf, que je voulais sincères.
J’allais même jusqu’à sortir la langue et elle comprit que je voulais la remercier par un geste de soumission et acceptait que je passe ma langue sur toute sa main. L’homme profitait pour introduire un doigt dans ma bouche.
Elle me peignait, comme si j’avais besoin de me faire coiffer dans un moment pareil. J’étais un peu gênée de couler comme une petite chienne, tellement j’étais excitée d’être exposée ainsi et d’être le centre d’intérêt du trio. Ce n’était pas la première fois que je me surprenais à être excitée par les regards posés sur moi, j’aimais ça et je devais en être consciente.
Tous voulurent apprécier la douceur de ma peau tondue, les palpations ne s’arrêtent plus, mes seins étaient massacrés et mes lèvres tiraillées en tous sens et ma bouche même envahie par des doigts fureteurs. J’étais violemment masturbée et dans l’impossibilité de voir ce qui se passait dans mon dos, ça faisait un bruit de clapotis, la toiletteuse me faisait face et faisait des grimaces alors que je jouissais à plusieurs reprises, ça ne semblait pas se finir et chacun trouvait quelque chose en plus des doigts à menfoncer dans la chatte, martinet, tube de crème, de shampoing, mon cul n’était pas épargné, mais Monsieur avait émis des restrictions, car il était très étroit (merci mon maître).
Le chien à côté jappait et n’arrêtait pas de se secouer en m’entendant gémir, lui aussi devait me prendre pour une chienne bonne à saillir, il sentait bien qu’il se passait de choses intéressantes, peut être sentait-il la femelle en chaleur que j’étais devenue.
Les doigts étaient remplacés par des langues et vice versa, je ne savais plus qui j’étais, je n’étais qu’un morceau de plaisir qui jouissait. Les choses se calmèrent un temps et chacun vidait un verre, pas moi.
On me détachait et je pensais qu’ils s’étaient bien amusés (moi aussi d’ailleurs) et que j’allais partir…
Une fois au sol, les bites sortirent, les deux hommes et la toiletteuse s’occupaient rapidement de ma chatte et de ma bouche, elle avait récupéré le martinet et m’en assénait des coups aux endroits disponibles de mon corps, Monsieur, m’embrassait quand la place était libre, c’était la première fois et j’étais surprise et désemparée.
Je crois que je me suis fait prendre pendant trois quarts d’heure sans arrêt, moi qui ne connaissais pas la sodomie ni le triolisme il y avait quelques jours, j’étais gâtée.
J’avais du sperme partout, la bouche, la chatte, les cheveux, le visage, les seins, vraiment partout, une fois qu’ils se sont tous vidés sur ou dans moi, seule la toiletteuse était encore très excitée et c’est sur sa proposition que le chien eut droit de me lécher et moi, de me laisser faire, sinon j’avais droit au martinet.
J’avais peur qu’ils ne me fassent baiser par le chien, mais j’échappais à cette épreuve, par contre, je me retrouvais de nouveau à quatre pattes sur la table pour me faire nettoyer au jet qui sert à shampouiner le poil des chiens.
Le bout introduit dans mon vagin, c’était le fond de ma chatte qui recevait toute la puissance de l’eau tiède. Bien sûr, ma chatte fut lavée en profondeur, l’effet était immédiat et j’avais un violent orgasme, ce qui ne manquait pas d’énerver la toiletteuse qui se vengeait en tordant mes tétines d’un demi-tour. Elle ne pouvait sûrement pas ressentir de jouissance aussi forte que la mienne.
Elle proposait à Monsieur de me faire rencontrer un éleveur qui avait une trayeuse automatique pour ses vaches et qu’elle était sûre que j’avais du lait à produire. Monsieur était intéressé, il était vivement remercié et je me retrouvais debout toujours aussi nue et Monsieur qui me tirait vers le fond du salon pour regagner la voiture.