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La femme de ma vie – Chapitre 4




Au matin, elle était là, nue, un grand plateau garni de délicieuses victuailles, d’un bon café tout chaud.

" – Petit déj au lit ?".

" – Oui mon Amour… régal pour ton ventre et douceur ensuite pour ton âme. ".

Elle me beurrait mes toasts, me donnait la becquée, toute douce, toute attentionnée, tendrement câline.

Elle déposa les restes de notre collation matinale au sol et écarta d’un coup la couverture.

J’avais retrouvé toute ma fougue, une belle turgescence flattait son regard…

" – Tu es bien le fils de ton père… pour mon plus grand plaisir…".

L’énervement me submergea, j’étais dans une rage folle, comment venait-elle de me parler, moi qui l’avait honoré avec passion une bonne partie de la nuit.

" – Tu fais encore des comparaisons entre lui et moi.

Je t’ai baisé avec entrain hier soir et toi, vois tu comment tu me traites,

Je ne suis plus ton fils, je suis ton amant, ton mec, ton mari… Rentres toi bien ça dans ta petite caboche lubrique…

Maintenant tu m’appartiens, à moi la lourde tâche dassumer cet héritage conjugal, à moi la charge de te faire jouir, dans cette soumission que tu apprécies tant…

Je ne prends pas la suite, ni le relais, je continu, comme toute ces années, dans la même voie.

Il n’y à plus de maman, suis-je clair ?

Tu me déçois Céline… tu me déçois… ".

C’était la première fois de ma vie que j’appelais ma mère par son prénom, je venais de m’en rendre compte.

Mais il fallait que je marque le coup. Maman ne m’avait rien caché, je connaissais le trouble qui l’avait habité lorsqu’elle s’était caressée en regardant l’une de mes photos, peut-être l’avait-elle fait à maintes reprises ?

Papa et moi étions physiquement semblable au même âge, ma mère aimait cette ambiguïté, mais moi, même si j’en jouais un peu, il fallait que je m’affirme dans notre nouvelle relation.

Je serais son maître, avec ma propre personnalité, mes envies, mon imagination.

Elle resterait l’épouse, soumise à la volonté de son mâle, comme toujours elle l’avait été, simplement offerte aux désirs de son époux, moi… tout à fait prêt à en assurer la continuité.

Maman resta pétrifiée par ma colère, je ne lui laissais pas le temps de réagir, déjà je l’avais saisi par les cheveux et je la couchais sur mes cuisses.

Elle fût surprise par ma fougue, mais elle aimait trop être malmené pour faire une quelconque remarque.

Ma main caressa quelques secondes sa fesse, comme pour préparer son cuir à la punition qui allait suivre.

Je me devais d’affirmer mon ascendance sur elle, papa de la haut devrait être fier de moi.

La première claque frappa sa croupe en faisant un bruit épouvantable, je n’y étais pas allé à la légère.

Son cul était bien rouge, mais je connaissais son penchant pour la maltraitance.

" – Excuses toi, sinon j’arrête et je dégages… ".

Je repris ma fessée, avec autant de vigueur.

Maman sanglotait, mais ce n’était probablement que des larmes de crocodile, je le savais, elle adorait.

La voix pleine de sanglots elle commença sa litanie.

" – Pardon Mon Chéri, excuses moi Mon Amour… ".

Moi j’attendais chaque pénitence pour la frapper à nouveau… en ponctuant chaque coups de longs moment de répits.

" – Je suis une mauvaise femme. J’aurai dû me satisfaire de te retrouver enfin Mon Cur…

Punis moi, je le mérites… Je suis ta chienne, ta pute, ta salope… ".

Et la dégelée se poursuivit, vingt fois, son popotin était à présent écarlate, mais elle avait compris la leçon…

Je recommençais à lui cajoler l’arrière train, après le tourment, un peu de réconfort, comme tout bon maître se doit de le faire… Ma mère s’était apaisée, la petite correction matinale n’était pas sans lui déplaire…

Dorénavant elle saurait sans le moindre doute qui commanderait et que je serais à la hauteur de sa perversité.

" – Et moi qui me faisais une joie de te prendre au réveil… Quelle déception… Je n’ai même plus envie… ".

Ma mère silencieuse ne bougeait plus, elle connaissait les règles.

Seul l’homme peut la satisfaire, tout comme le plaisir n’est rien sans la privation.

Elle se faisait toute penaude, sachant pertinemment que pour retrouver grâce à mes yeux, il fallait faire amende honorable.

Je tripotais négligemment son derrière, ma main dérapa dans sa raie, sous mes doigts je devinais l’ourlet de son anus, je décidais d’y enfiler un doigt.

Maman était si large que bientôt la main toute entière pénétra son fondement, je passais le pouce sans problème.

Les années de soumission et de travail sur son anatomie avaient porter leur fruits. Elle avait le colon accueillant, chaud, doux et profond, j’allais sûrement prendre du plaisir en allant l’explorer.

Une belle ganse de chair rubis entourait mon poignet, je m’enfonçais de plus en plus en elle, mais pas trop vite, Maman devant attendre avant d’être pardonnée et donc d’être récompensée par ma flatterie anale.

Je percevais chaque replis de ses entrailles, soudain, une texture molle, tiède vint se coller entre mes doigts.

J’avais atteins sa merde. Tout en la fouillant, je faisais rouler dans ma main une belle crotte, je la malaxais allègrement, me poissant toute la pogne. Une fois terminé, je plongeais plus avant, à la recherche d’autres excréments… elle en était pleine.

C’était divin, fister ma mère tout en jouant avec ses déjections, là, aux tréfonds de ses intestins.

Au bout de cinq minutes, je retirais délicatement ma pogne de son fion. Je ne mettais pas trompé, ma main était maculée de caca nauséabond… Je contemplais mes phalanges crottées…

"- Tu aurais quand même pu te faire un lavement en prévision! Regardes comme tu m’as sali, grosse cochonne… ".

Ma menotte était sous nez, Maman attrapa mon avant-bras et dès lors approchait sa bouche. Elle voulait me nettoyer, me lécher les doigts. Sûrement, en bonne masochiste, voulait-elle se repaître de sa chiure.

" – Non !, pas comme cela… ", le ton était si impératif, que ma mère stoppas net son élan. Elle attendait sagement mon bon vouloir.

J’attrapais ma verge bandée, et commençais à étaler sa fange sur ma virilité. J’enduisais méticuleusement, le gland le prépuce, puis ma tige. Lentement, je poissais mes bourses de ses excréments, répartissant chaque gramme de matière fécale le plus uniformément possible.

Ma mère toujours immobile me regardait faire, un peu de salive commençait à poindre aux coins de ses lèvres.

Inutile d’être devin pour connaître ses goûts si particulier, j’avais encore en mémoire son appétit féroce, lorsque au club libertin, elle bouffait le cul des jeunes hommes. Là elle allait se régaler, j’en étais certain.

Sa merde badigeonner sur ma pine ferait son bonheur.

Ça y est, maintenant j’étais tout souillé, paré pour sa dégustation matinale.

Mais une petite idée germa aussitôt, je renfonçais ma main bien au chaud dans son cul.

" – Maintenant que tu es emmanché sur mon bras comme un adorable pantin, fais moi un joli spectacle de marionnettes, et mets y tout ton talent. Ne me déçois pas de nouveau… ".

Maman se redressa sur ma pogne enlisée dans son fion, elle prit appui sur ses genoux et l’enfonça davantage, la garce, elle le voulait son coït anal.

Je pris une petite voix fluette et improvisa un dialogue.

" – Bonjour mon mari, je suis ta femme chérie, comment vas tu Mon Amour. ", et Maman prit alors un air de midinette et débuta son pantomime, empalée sur mon bras.

Elle était gracieuse et si belle, avec son petit air de Colombine, elle se prêtait au jeu, sans réserve, prenait des pauses de jouvencelle au son de chaque parole que je prononçais. Au fil de mes textes elle sexécutait, je la faisais mariner, lui ordonnant de se caresser les cheveux, de se tordre les seins. A un moment, je la fis se tripoter le minou, mais bien vite je la fit cesser en déclamant un grand "Non, pas de ça, c’est le jouet de mon époux…". Elle enleva immédiatement ses mains, à regret, là je su qu’elle était désormais toute subordonnée à ma volonté.

Je jouais avec son corps un bon quart d’heure, ma mère en profitais subrepticement pour s’embrocher davantage. Maintenant la moitié de mon avant bras était enliser dans son colon.

Il ne me restais plus qu’à la récompenser et lui offrir mes attributs en ripaille.

" – Oh mon Dieu, mais le zizi de mon mari est tout crotté… Je ne peut pas le laisser dans un état pareil, je vais m’empresser de le débarbouiller… ", et je pliais le bras pour qu’elle comprenne qu’elle pouvait dès lors se pencher et se repaître…

La scène de ce guignol improvisé avait décuplé ses ardeurs, Maman me pourléchait avec gloutonnerie. A la vitesse où elle me dégustait, je serais bientôt propre. Alors pour la motiver encore plus, je rajoutais quelques monologues, tout aussi gnangnan que les précédents.

Et ma mère docile me décrassa au son de "quelle est bonne la merde sur Mon Amour, que j’aime m’empiffrer de crotte au réveil, bientôt je goutterais à ton sperme, etc..

Alors, une fois la toilette bien faite, je relâchais mes muscles, et je remplis la gorge de ma petite poupée de toute ma semence.

Nous primes une douche ensemble, en bonne femme au foyer, Maman me lava des pieds à la tête. Une fois sécher, je fonçais dans la chambre. Je fouillais chaque tiroir, chaque placard et c’est sous le lit que je trouvais son coffre au trésor. Une malle pleine de godemiché et de bien d’autre sexe-toy.

Ma mère arriva sur ces entre-faits.

" – Que fais tu ? ", me demanda t-elle.

" – C’est notre chambre à présent, alors je fais un peu de ménage et je te confisque tes jouets…

Moi seul pourra décider quand et comment je te comblerais…

Profites en pour faire du tri dans ta garde robe, je ne veut plus voir ni collant, ni culotte de grand-mère, tu te dois d’être élégante.

Le relâchement est fini…

Au fait, si tu as encore quelques secrets, je compte bien les connaître", et je descendis au rez de chaussée regarder la télé, en bon macho, comme papa le faisait souvent.

Ma mère vint me rejoindre, les bras chargé de tout un tas de fringues, elle me demanda ce qu’elle devait en faire, je lui répondis sèchement que cela finirait au récupérateur de chiffon.

Elle revint avec un grand album photo et le tendit.

A l’intérieure, il y avait plein de photos érotiques d’elle, nue, dans des positions suggestives, voir franchement obscènes.

Elle était si belle, elle devait avoir à l’époque mon âge, la trentaine. J’avais oublié au fil des années combien elle était ravissante. Elle était athlétique, mince, elle n’avait pas ces vingt kilos de trop.

Maman s’était assisse sur mes genoux, et feuilletait avec moi chaque page.

Je la caressait doucement, avec amour, mais en arrivant sur son ventre, je pinçais son embonpoint.

" – Il va falloir te reprendre Ma Chérie, et perdre un peu de poids. Comme cela nous seront parfaitement assortis… ".

Maman sourit, c’est ce qu’elle voulait entendre de la bouche de son aimé. Un peu de considération, d’attention, d’envie, de désir de ma part…

Je ne l’avais pas vu aussi radieuse depuis des années. Elle était heureuse, peut-être comme elle ne l’avait jamais été auparavant.

J’écartais mon peignoir, une belle gaule se dressait entre mes jambes…

" – Viens sur moi Chérie, j’ai envie d’une seconde lune de miel… ", elle ne se fit pas prier.

Elle vint se placer à califourchon sur ma hampe, et glissa doucement sur elle. Son vagin était délicieusement confortable, inondé d’envie.

J’avalais sa poitrine, emmêlais ses cheveux entre mes doigts.

Nos baisers étaient passionnés, ardents.

Elle coulissait sur moi avec délicatesse, pour que monte lentement notre plaisir réciproque.

C’était si bon, elle à cheval sur moi et moi en elle.

Mes mains avaient saisi ses hanches, je lui donnais à présent le rythme, elle, polissonne, suivait au diapason, gardait la cadence, oubliant son âge, comme la jeune femme qu’elle redevenait alors, embrochée sur ma virilité.

Nous nous sommes donné l’un à l’autre. Notre union fut puissante, emportant tout avec elle.

Notre jouissance totale, parfaitement synchronisée.

La mort lui avait arraché son amant, mais la vie le lui rendait enfin, plus merveilleux encore.

Nous nous sommes unis, longtemps, encore et encore, toute la journée, comme amant et maîtresse, comme mari et femme.

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