mon mari JP est en déplacement dans le sud, il me demande de le rejoindre en train, nous reviendrons en voiture en début de semaine prochaine.
j’en parle a des connaissances, je suis inquiète de devoir voyager seule. A cette époque le voyage prend du temps, les lignes pour le TGV sont en construction.
Une connaissance, Roger qui a entendu la conversation me dit: << si ça t’arrange je dois me rendre a Toulon pour une affaire d’héritage, je peux me déplacer en mème temps que toi, tu ne seras pas seule >>. Pour répondre a une de mes questions il m’affirme que sa femme Marie sera du voyage.
Cela fait un bout de temps que je me suis aperçue que je l’intéressais, son regard est souvent fixé sur moi alors je suis sceptique.
Je prends mon billet de train et le jeudi soir Roger me téléphone et me dit que sa femme ne viendra pas mais qu’elle nous emmènera en voiture a Paris a la gare de Lyon. Je ne peux plus reculer.
Le vendredi matin en route pour la gare nous parlons et je m’aperçois qu’il n’a jamais été question que Marie vienne avec lui a Toulon. Roger m’a piégée, je devine dans quel but.
Garés devant la gare il embrasse longuement sa femme, lui dit des mots doux. Nous descendons de voiture et entrons dans la gare. Il n’y a pas foule, c’est une période creuse.
Nous montons dans le train, Roger choisit un compartiment et quand nous rangeons nos bagages je constate que nous sommes seuls cinq minutes avant le départ. Le train ne s’arrète qu’a Lyon. Il a bien manoeuvré le bougre.
En route nous lisons quelques revues puis parlons de choses diverses.
sa conversation dévie vers le sexe. Il aime beaucoup les rapports sexuels.
Il parle de moi: je suis une belle femme faite pour l’amour, depuis longtemps il souhaite me connaitre intimement, aujourd’hui c’est l’occasion a ne pas rater de se donner du plaisir.
Aux environs d’Auxerre le controleur passe et vérifie nos billets.
Roger dit: << on est tranquille jusqu’à Lyon >>.
De son attaché case il sort une feuille de papier, un feutre et du scotch. Il écrit "compartiment réservé" et va coller le papier sur la porte dans le couloir. Il est gonflé le mec. j’en reste baba et ne trouve rien a dire, il a de la ressource.
Il tire les rideaux, coince la porte et me dit nous sommes tranquilles maintenant.
Il vient a coté de moi, pose une main sur mon épaule et m’embrasse longuement avec entrain, je réponds a ses baisers.
Une main caresse mon corps, s’insinue sous ma robe et caresse ma chatte par dessus ma culotte.
je caresse son sexe sur son pantalon, il me parait bien gonflé.
Je dégrafe sa ceinture, déboutonne son pantalon et extirpe sa queue du slip, je caresse puis me baisse pour lécher et sucer son membre.
Il me demande de lever mes fesses, fait glisser ma culotte sur mes jambes, l’enlève et la pose sur la banquette en disant: << elle est déjà bien humide >>.
Une main caresse ma chatte, des doigts pénètrent dedans et me masturbent puis vont en faire autant sur mon clitoris. Cela dure longtemps, je ressens du plaisir et je gémis.
Je suce toujours sa verge, il se raidit et se déverse dans ma bouche, j’avale et continue la fellation. Il se retire.
Nous nous déshabillons mutuellement en nous embrassant et caressant. Situation cocasse, nus dans un train. Jamais je n’aurais pensé que ça m’arriverait.
Il m’allonge sur le dos, écarte mes jambes et les replie, il regarde mon intimité un instant puis sa figure s’approche de ma chatte et sa langue la lèche un bon moment puis va faire la mème chose sur mon clitoris, il fait durer le plaisir pendant que je gémis et remue beaucoup sous l’effet du plaisir.
Pour atténuer mes bruits il met un linge dans ma bouche (c’est ma culotte) et sa main remplace sa langue sur mon clitoris. Mon corps se soulève, je pousse un cri étouffé par le baillon et je jouis.
Roger se couche sur moi et me pénètre, il enlève la culotte de ma bouche pour m’embrasser, caresse mes seins et agace les tétons avec ses doigts pendant que nous remuons de concert.
Il fait durer la chose, je ressens beaucoup de plaisir, il finit par inonder mon ventre.
Il se retire et se couche sur le dos, je me positionne de façon que ses mains puissent atteindre mon sexe.
Je caresse et lèche son ventre, ses cuisses, ses bourses et sa queue puis je lui fais une fellation.
Ses doigts partent encore se loger dans ma ma chatte gluante, me masturbent puis caressent frénétiquement mon clitoris.
Mes gémissements sont assourdis vu que sa verge ne quitte pas ma bouche.
Je suis victime de spasmes et je jouis encore.
Le salaud il a trouvé mon point faible et il en profite.
Après avoir repris mes esprits je me mets sur lui et fais pénétrer sa queue dans mon vagin, nous remuons ensemble.
ses mains pétrissent mes seins et ses doigts énervent les tétons, j’ai des frissons, mon ventre est en ébullition;
Je sens le plaisir monter, il met sa main sur ma bouche pendant que j’ai un orgasme.
je m’écroule sur lui et je mets du temps a récupérer.
Il attend toujours planté dans mon ventre en me caressant la figure et le corps. Je reprends les mouvements avec lui en haletant et gémissant puis il se vide dans mon vagin.
Nous nous relevons, essuyons nos sexes avec une serviette qu’il sort de sa valise, buvons de l’eau pour nous rafraichir.
Je me mets a genoux et lui fais une fellation, il caresse mes cheveux et ma figure.
Quand il rebande il me couche sur le dos et se couche sur moi introduisant sa queue dans mon vagin, nous remuons ensemble en nous embrassant passionnément et nous caressant.
Cela dure longtemps et mes gémissements deviennent de plus en plus forts, il remet ma culotte dans ma bouche, je jouis encore et reste un moment l’esprit absent.
Il continue a remuer dans mon ventre et finit par l’arroser.
Nous nous essuyons puis nous asseyons pour récupérer.
Nous nous rhabillons et attendons l’arrèt en gare de Lyon.
Il va enlever son écriteau sur la porte.
En gare de Lyon nous changeons de train, lui portant sa valise et son attaché case et moi mon petit sac.
Il y a deux personnes dans le compartiment ou nous nous installons.
Le train démarre et nous parlons de tout et de rien un bon moment.
A mi parcours il se penche sur moi et me chuchote: << viens, suis moi >>.
Nous sortons du compartiment, Roger se dirige vers les toilettes, nous entrons a l’intérieur, il ferme et verrouille la porte.
Il me prend par la taille et m’embrasse.
Sa main glisse sous ma robe et fait descendre ma culotte qui se retrouve au sol.
Il se déboutonne et sort sa queue. Je me baisse et la suce. Elle prend de belles proportions.
Je passe mes bras autour de son cou, il me saisit sous les cuisses et me soulève. Il m’empale sur sa verge.
A la force de ses bras il me donne un mouvement de va et vient, je l’aide en m’agrippant a son cou.
Des personnes tournent la poignée de la porte et s’éloignent en disant c’est toujours occupé.
Au bout d’un moment qui m’a paru une éternité son sperme se répand dans mon ventre, il me dépose au sol.
Nous nous essuyons a l’aide de papier hygiénique, je remets ma culotte et lui rajuste son pantalon.
Nous sortons sous le regard réprobateur des gens qui sont dans le couloir mais en souriant quand nos regards se croisent.
Assis dans notre compartiment nous attendons l’arrivée en gare tranquillement en parlant très peu.
Le train s’arrète, nous descendons. Il souhaite que si l’occasion se présente nous recommencions une partie de jambes en l’air, je ne suis pas contre.
C’était bien, il sait y faire, il est attentif au plaisir de sa partenaire.
Nous nous embrassons longuement puis il se dirige vers un autre quai pour prendre sa correspondance.
Je me dirige vers la sortie Jp est là, je le rejoins.
Son regard scrute mon visage: << tu n’as pas du t’ennuyer, tu as vu ta mine et les cernes sous tes yeux >>.
Il me connait bien, je lui dis que j’ai eu beaucoup de plaisir et d’orgasmes; et que je lui raconterais tout en détail ce soir dans la chambre.
Nous partons en voiture a son hotel avant de visiter Marseille.
