Cela faisait deux semaines que j’avais couché avec mon assistant, deux semaines que j’avais joui comme jamais me dévoilant telle que j’étais vraiment ; une bourgeoise en manque de sexe.

Depuis j’essayais d’ignorer Jonathan qui ne se privait pas pour me lorgner sans gêne, ravi de s’être tapé la patronne.

Pour oublier cet homme et trouver des personnes de meilleure condition, j’avais passé plusieurs soirées à fréquenter des bars. Pas des bars miteux remplis d’ivrognes sales et puants, non des salons classes ou je savais que je ferais effet.

Il suffisait d’une robe sexy, de talons et d’un brin de charme pour obtenir l’attention de plusieurs gentlemans. Enfin, gentlemans quand ils me faisaient la conversation mais au lit c’était une autre histoire. Je n’avais eu aucun scrupule à enchaîner les coups d’un soir, afin de pouvoir retrouver cette sensation de plénitude que j’avais éprouvée dans mon bureau.

Ce n’était plus par vengeance, mais pour moi-même que j’avais fréquenté ces hommes.

Le problème c’est qu’aucun ne m’avait donné autant de plaisir que mon subordonné. Soit ils étaient précoces, s’y prenaient mal ou étaient trop doux. J’aimais le sexe fort lorsque j’étais soumise aux idées perverses de mon partenaire.

Avec mon mari, nous pratiquions de temps à autre, le rôle dominant, soumise. J’adorais cela, obéir à ses ordres m’excitait encore plus, mais il n’était jamais allé très loin, se contentant de quelques fessées ou de m’attacher. Je pensais que cela suffisait jusqu’à mon expérience avec Jonathan, j’avais adoré la façon dont il m’avait fait obéir, il était fait pour dominer.

Je mourrais d’envie de recoucher avec lui, sauf que j’avais ma fierté. Il m’avait prévenu que sa queue me manquerait, ce qui était vrai et que je n’assumais pas.

Pourtant je sentais que j’allais bientôt craquer, rien que ses regards lubriques, en réunion, me donnaient chaud. Il se contentait de me regarder sans me toucher, sans doute avait-il peur des conséquences, après tout j’étais sa chef.

Aujourd’hui je devais faire le point avec lui sur un dossier, juste tous les deux.

J’avais réussi à me contenir jusque-là, car nous étions toujours avec d’autres collègues lorsque nous nous parlions. Cette fois-ci, il n’y aurait personne pour tempérer la chaleur de mon bas-ventre.

Je m’étais vêtue plus sobrement que la dernière fois, un tailleur strict qui ne laissait rien entrevoir de mon décolleté, je ne voulais pas lui donner envie.

Je l’appelai dans mon bureau et nous commençâmes à travailler à une bonne distance l’un de l’autre, le bureau délimitant un espace convenable. Malgré cela j’avais du mal à me concentrer, les scènes de lui en train de me prendre sauvagement, ne cessaient d’occuper mes pensées. Il dut s’apercevoir de mon trouble car il m’interrogea :

— Vous allez bien Mme Defontaine ? Vous êtes toute rouge.

A travers son ton innocent, il savait très bien pourquoi je rougissais, s’amusant avec moi, comme un chat qui attend patiemment que la souris lâche prise. Il savait pertinemment qu’il me troublait et que j’étais à deux doigts de lui sauter dessus.

— Oui je vais bien, j’ai juste un peu chaud.

— En même temps votre tailleur est boutonné jusqu’au cou, mettez-vous à l’aise, me suggéra-t-il vicieusement.

C’est vrai que je n’allais pas tenir longtemps ainsi, je me résolus à déboutonner deux boutons laissant apparaître le haut de ma poitrine. Reprenant contenance, je me concentrais pour finir ce fichu dossier afin qu’il parte. Jonathan, étant d’un autre avis, s’était rapproché de moi pour ne pas rater une miette de mon décolleté. Son parfum parvint à mes narines me rappelant notre étreinte. Je n’en pouvais plus.

— Il suffit, arrête ton manège, m’exclamais-je en reculant ma chaise.

— De quoi vous parlez ?

— Ne fais pas l’innocent, tes regards mal placés me dérangent.

— Je dirais plutôt qu’ils t’excitent, s’enhardit-il me tutoyant de nouveau, tu crois que je n’ai pas remarqué comment tu te trémousses en réunion ? Tu fais ta mijaurée, mais je sais que t’as pas trouvé mieux que moi.

Il se leva et contourna le bureau se plaçant à côté de moi. J’avais du mal à rester neutre, mon corps étant en ébullition, mes tétons pointaient et ma culotte était très humide.

— Avoue, Laurie, que tu as envie de moi.

— Non absolument pas, mentis-je.

— Ce n’est pas ce que dit ton corps, tu respires fort et je te parie que tu es toute mouillée.

Je me levais pour être à sa hauteur, il en profita pour poser la main sur ma poitrine, je tressaillis le laissant faire. Voyant qu’il avait le champ libre, il déboutonna rapidement ma chemise, dégrafa mon soutien-gorge et empoigna mes seins faisant rouler mes tétons entre ses doigts.

— Tu vois que tu pointes, me chuchota-t-il à l’oreille.

— S’il te plaît… Je n’en peux plus.

Maintenant que j’étais à sa merci, j’avais juste envie qu’il me baise comme l’autre fois, au diable les bonnes murs. Ses mains expertes étaient un vrai délice, je ne pouvais m’empêcher de gémir. Alors que je m’attendais à ce qu’il glisse ses doigts dans ma culotte, il s’arrêta soudainement, me délaissant. Surprise, j’ouvris les yeux.

— Tu ne continues pas ?

— Ce serait trop facile tu ne crois pas ? Je vais encore te satisfaire et après tu vas m’ignorer pendant deux semaines, non je ne marche pas ainsi. C’est soi tu m’obéis et tu cesses de me considérer comme un inférieur, soi on arrête tout. Tu as jusqu’à ce soir pour réfléchir, si tu acceptes alors rejoins-moi à la sortie du boulot.

Sur ces mots il quitta la pièce, me laissant à moitié nue et complètement déstabilisée. Je restais quelques secondes hébétée, puis me rhabillais mécaniquement. J’étais choquée qu’il se montre si impératif, c’était moi qui commandais ici pour qui se prenait-il ! Il croyait quoi, je n’avais pas besoin de lui. Énervée, je passais le restant de l’après-midi à ruminer contre ma faiblesse, pourquoi l’avais-je laissé me toucher, maintenant je n’arrivais plus à calmer mon trouble.

Le soir arriva rapidement, il fallait que je prenne une décision. La raison me poussait à ignorer sa proposition et reprendre ma vie d’avant. Oui mais quelle vie ? Depuis que mon mari s’était détourné de moi, je m’ennuyais mortellement, Jonathan avait ravivé les flammes et maintenant le brasier ne voulait plus s’éteindre.

Mon choix était fait, tant pis pour ma bonne éducation, je voulais à présent m’amuser sans tabou.

Sortant de l’établissement je vis qu’il m’attendait dans sa voiture, je m’y dirigeai d’un pas déterminé. Ouvrant la portière, je m’installai, puis le regardai.

— J’accepte, dis-je simplement.

— Je savais que tu viendrais, Laurie, une belle bourgeoise comme toi veut du vrai sexe, tu vas être servie avec moi !

Il démarra la voiture, un sourire aux lèvres. Durant le trajet j’en profitais pour l’observer discrètement. Il était un peu plus vieux que moi, pas vraiment beau mais il avait un charisme naturel.

— Où m’emmènes-tu ?

— Chez moi, on sera plus à l’aise, en attendant caresse-moi, m’ordonna-t-il.

Je n’avais plus le choix, la situation m’excitait et je passais la main sous le pantalon, sentant un début d’érection. Je m’amusais à le toucher par-dessus le caleçon, sachant qu’il faisait déjà nuit et qu’on ne pourrait pas me voir. Il semblait apprécier le traitement et je continuai avec plus de vigueur, empoignant sa longueur et massant ses couilles. Il finit par arriver devant un immeuble et se gara. Sur ses ordres j’enlevais la main de son caleçon.

— Tu m’as bien excité, va falloir assumer.

Je souris et le suivis dans le bâtiment, nous entrâmes dans son appartement beaucoup plus modeste que le mien. À peine eut-il fermé la porte qu’il se précipita vers moi. Nous nous déshabillâmes avec hâte, j’avais attendu toute la journée. Me portant vers la chambre, il me déposa sur le lit et m’ordonna de le sucer. Son pénis était bien dur, ma main ayant déjà débuté le travail. Je commençais à le lécher de haut en bas, il avait un goût de transpiration ce qui me stimulait encore plus, au lieu de me dégoûter. Ouvrant grand la bouche je me mis à le pomper avec ardeur, essayant d’en faire rentrer le plus possible dans ma bouche.

— Tu as faim petite salope, mets tes mains dans le dos.

Je fis ce qu’il me demandait et il prit le contrôle de ma bouche. Comme la fois précédente, il faisait varier le rythme poussant ma tête ou donnant des coups de bassins. Je commençais à m’habituer et respirais par le nez pour ne pas m’étouffer. Puis il me fit lécher ses bourses poilues, me faisant mettre à genoux, les mains toujours dans le dos. Je m’appliquais à lécher et gober ses couilles alors que j’avais toujours répugné à faire cela. Même lorsque j’étais soumise à mon mari, il y avait certaines choses que je trouvais dégradantes. A présent je trouvais cela pas si désagréable, au contraire j’y prenais plaisir pour satisfaire mon assistant qui me caressait la tête, en poussant des soupirs.

— Tourne-toi à quatre pattes sur le lit.

Enfonçant mes coudes dans le matelas, j’attendis impatiemment qu’il s’occupe de moi, j’avais très envie de me toucher mais je savais qu’il me réprimanderait. Je sentis soudain sa langue contre mon clitoris et ses deux doigts rentrèrent sans ménagement. Je poussais un cri, cette fois-ci je n’étais pas au bureau je pouvais faire du bruit. Il léchait ma partie sensible avec application et bougeait ses doigts avec vigueur, tellement j’étais mouillée. Je sentis très vite l’orgasme arriver, et criais lorsque les vagues de plaisir m’assaillirent. Il n’avait pas fini pour autant, à peine eus-je le temps de souffler, qu’il enfonça sa queue dans mon vagin. Il y allait lentement et puissamment, me faisant ressentir la longueur de son pénis. Tirant mes cheveux, il leva ma tête et glissa ses doigts dans ma bouche pour que je goûte à ma cyprine. C’était plutôt humiliant, je me sentais totalement dominée. Il enleva brusquement sa bite luisante de mouille et me retourna pour que je le suce. Je léchais partout afin de le nettoyer de ma cyprine, il sembla satisfait que je lui obéisse avec tant d’ardeur.

Me poussant sur les draps, il se mit au-dessus pour me pilonner avec vigueur, tandis que je gémissais sous ses coups de reins brutaux. Il m’embrassa alors, nos langues se mélangèrent et il me mordit la lèvre, pour me faire comprendre que c’était lui le chef maintenant. Il ne m’avait pas fait mal c’était une position de pouvoir, il savait que j’étais sous son emprise et que je céderais à ses caprices.

Me plaçant au-dessus de lui, il me fit pencher ma poitrine venant coller son torse, afin de maintenir ses puissants assauts tout en me donnant une fessée. Je criais surprise, la chaleur irradiant ma fesse.

— Vous aimez les fessées chère patronne ?

— Oui… Oh c’est bon !

Il venait d’enfoncer son pénis au plus profond et je sentis le deuxième orgasme arriver. Me laissant envahir par les sensations, je lâchai prise laissant la jouissance éclater. Deux orgasmes en une soirée, c’était une première pour moi. Jonathan continua encore pendant quelques minutes puis se retira et se masturba au-dessus de mon torse. Après quelques secondes il éjacula sur ma poitrine, son sperme se répandant en traînées blanches.

— Je ne veux plus rien voir, avale tout.

— Mais c’est dégoûtant !

À ces mots, il fronça les sourcils.

— Tu as mal compris ce que c’était l’obéissance, je te laisse une deuxième chance, la prochaine fois tu seras punie de ton insolence.

Ne voulant pas être châtiée, je passai le doigt sur ma poitrine et le portai à la bouche. Je n’avais jamais goûté au sperme, c’était plutôt salé. Je déglutis, pour faire passer ce liquide visqueux, puis soulevant ma poitrine et je recueillis le sperme jusqu’à ce que tout soit propre.

Jonathan me regardait avec un sourire pervers, ravi de cette prestation.

— Tu vois quand tu veux, allez va te laver la soirée n’est pas finie…

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