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Maéva et la crevaison – Chapitre 1




C’est le début du printemps, un beau soleil. Je me prépare pour rejoindre un parcours de golf, comme c’est le début des vacances la nationale va être chargée en circulation. Je prends une petite route de campagne. A la sortie d’un virage, une voiture est immobilisée sur le bas-côté, une blonde me fait de grands signes. Je stoppe à sa hauteur « bonjour Monsieur » me dit-elle en se penchant à ma portière. Une magnifique paire de seins avec de grandes aréoles marron me sautent au visage, à peine protégée par un chemisier transparent.

— Je suis désolée de vous importuner ma voiture a une roue crevée et je ne sais pas comment faire.

Je recule ma voiture pour mettre les feux de détresses. Effectivement, la roue arrière gauche est à plat.

— Pas de problème, je vais m’occuper de cela.

J’ouvre son coffre, sors la roue de secours, le cric et une manivelle. Je place le cric et débloque les écrous, monte la voiture et retire la roue. La blonde s’accroupit pour me regarder faire. Mon regard est attiré par sa jupe blanche qui remonte le long de ses cuisses découvrant l’attache de ses bas accrochés à un porte-jarretelles et la vue sur sa chatte lisse.

Je ralentis mes gestes profitant de la vue offerte.

— J’avais rendez-vous avec mon amant, je l’ai appelé ce salaud, il a refusé de venir m’aider, j’ai la chance d’avoir trouvé un homme charitable pour m’aider.

Tout cela en restant dans la même position devant moi.

Je finis de remonter la roue et retirer le cric, j’avance une main que je pose sur sa cuisse, elle continue de me regarder et ne bouge pas, à part un léger frémissement de son corps, ma main arrive à la lisière de son bas pour arriver sur sa chair, un petit gémissement sort de sa bouche et ma main arrive au contact de ses lèvres humides qui s’ouvrent, j’y introduis deux doigts.

— Oh oui, continue c’est trop bon.

Un troisième doigt rejoint les deux premiers, elle écarte davantage ses cuisses et mes doigts la fouille au plus profond de sa chatte, sa mouille coule jusque sur le sol, ses cuisses se referment sur ma main et sa jouissance éclate, elle pose ses mains sur mes épaules pour se retenir.

On se relève juste au moment où arrive une voiture. Je vais à la mienne pour changer mon polo qui porte les traces noires de la roue, elle me suit.

— J’aime les hommes musclés comme vous.

Elle se colle contre moi et pose ses lèvres sur les miennes, sa langue se faufile dans ma bouche pour s’enrouler autour de la mienne, je pose une main sur un sein de belle taille et ferme, de son côté elle met une main au niveau de mon entrejambe.

— Vous semblez être bien équipé.

De nouvelles voitures arrivent, nous cessons nos caresses, je lui propose de m’accompagner chez moi pour continuer. Elle me répond avec un grand plaisir et elle me suit en voiture. Nous rentrons dans ma propriété, elle s’extasie devant le charme de vieille demeure rénovée, de la vue sur la mer et de la piscine. Nous entrons et je la laisse dans le salon le temps de me laver les mains, je pense, Claude s’est ton jour de chance une belle femme et pas farouche, je devrai passer un bon après-midi. Je la retrouve sur la terrasse accoudée sur la rambarde, je me rapproche d’elle, me colle contre son dos, mes mains ouvrent son corsage et j’empaume ses seins, je les caresse en descendant doucement vers ses tétons que je fais rouler entre mes doigts, mon érection se développe, sentant celle-ci elle ondule du bassin et se frotte contre elle, mes doigts saisissent les pointes de ses tétons gonflés que j’étire et pincent.

— Humm, c’est bon, tu sais y faire avec une femme, maintenant laisse-moi faire.

Elle s’accroupit, dégrafe mon pantalon, le baisse ainsi que mon slip, ma queue raide lui saute au visage, une de ses mains se pose sur une hanche et l’autre prend ma queue pour la porter à ses lèvres qu’elle pose sur mon gland, sa langue joue et tourne autour, elle redresse ma queue pour la lécher de bas en haut puis elle me lèche les couilles lisses et les prends en bouche l’une après l’autre pour les aspirer, puis c’est ma queue qui disparaît au fond de sa gorge, ses succions sont de plus en plus fortes, sa main malaxe mes couilles. Sentant mon plaisir arriver je l’avertis je viens, elle ne lâche pas ma queue qui libère de gros jets de sperme qu’elle avale, puis me nettoie la queue.

Petite pose avec une boisson fraîche, je la félicite pour sa fellation, la plaque contre la rambarde, dégrafe sa jupe qui tombe au sol, je me mets genoux devant elle, ma langue s’introduit entre ses lèvres ouvertes elle retire son chemisier ; restant vêtue de ses bas et porte-jarretelles, perchée sur ses talons, sa chatte est pleine de mouille que je déguste, ma langue la fouille au plus profond, des gémissements fusent de sa bouche, je remonte lécher son clito qui se développe sous mes caresses, en même temps j’introduis mes doigts dans sa chatte, les faisant tourner en elle, les enfonçant au maximum sa jouissance éclate en grands cris de plaisir, sa cyprine coule le long de ses cuisses imprégnant le haut de ses bas.

Je ne la laisse pas terminer son plaisir, me relève la tourne vers la mer, ma queue palpitante est contre ses lèvres intimes, elle saisit ma queue pour la guider dans sa chatte, je m’enfonce d’un puissant coup de reins en elle, je me retire jusqu’au gland et replonge en elle.

— Oui oui, continue très fort comme ça, j’aime.

Je me déchaîne, comme un butor lui défonçant la chatte jusqu’à l’expulsion de mon foutre qui lui tapisse l’utérus, ce qui déclenche son plaisir, sa mouille abondante coule le long de ses cuisses.

Je reste fiché en elle jusqu’à ma débandaison. A SUIVRE.

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