Histoires de baise Histoires érotiques

Enseignante aux États Unis – Mes deux élèves préférés – Chapitre 2




Chapitre 2 – Interrompues(Suite du chapitre 1 – Le fabuleux destin de miss Clémence)

Rose s’approche de moi, elle qui est plus grande que moi n’est plus qu’à quelques centimètres de mon visage…

Rose en murmurant: Vous êtes éblouissante…

Une vague de chaleur m’envahit, l’excitation refoulée se manifeste. Alors que le souffle chaud des paroles de Rose atterrit sur mon visage, une pulsion m’emporte et mes lèvres se posent sur celles de mon élève.

Lorsque je sens Rose me rendre mon baiser, mon corps est parcouru d’un frisson glacial, je suis comme électrisée. Ma langue avide de sensations, passe la frontière de ses lèvres pour s’entremêler avec la sienne. Son parfum est divin; je peux même sentir le goût de John qui s’était déchargé au fond de sa gorge quelques minutes auparavant. 

Celui-ci, jusqu’à lors spectateur de la scène, vient se placer derrière moi pour doucement m’embrasser la nuque. Alors qu’il frotte mon fessier avec son bassin, je sens un début d’érection naître dans son pantalon. Au même moment, je sens se déverser de mon entrejambe de nombreuses gouttes de plaisir. 

Soudain vient un bruit. Le claquement de la porte battante suffit pour me déconnecter de notre étreinte divine. Je bondit pour me dégager de mes deux élèves. 

Mortifiée, je lève les yeux et aperçois la femme de ménage. 

À mon plus grand soulagement, je comprend vite qu’elle n’a rien aperçu de la scène et pensait simplement que nous avions quitté la salle. Je la gratifie de quelques mots de politesse puis me tourne vers mes deux étudiants pour leur souhaiter une bonne soirée. 

Cependant, Rose n’est pas prête à en finir et dit à haute et intelligible voix:

"Could we go to your office to review my test correction Miss C. ? You said we’d go after watching the movie." 

Je suis prise au piège, je dois donc emmener mes deux élèves dans mon bureau pour éviter d’éveiller les soupçons de la femme de ménage. 

Tout se chamboule dans mon esprit. Je sais que si je laisse la situation s’envenimer il n’y aura plus de marche arrière possible. Je pourrais perdre mon emploi, ou même me retrouver devant un tribunal. Ces idées, qui devraient me faire revenir à la raison ne font que m’exciter un peu plus. C’est mon plus grand péché: l’interdit m’affole. 

C’est silencieusement que mes élèves me suivent jusqu’à mon bureau. C’est une petite pièce sombre et encombrée par les nombreuses copies d’élèves. 

Une fois la porte fermée, sans même dire un mot, Rose me plaque contre le mur et reprend son embrassade. Sa langue est plus violente qu’auparavant et je peux l’entendre respirer bruyamment tout en m’embrassant. Jamais un baiser ne m’avait autant excité. 

Je dépose mes mains sur ses hanches et lève son t-shirt pour être au contact de sa peau. Alors que nous reprenons notre respiration, elle me murmure à l’oreille "tu peux", et lève les bras en signe d’encouragement. Je lui retire donc son t-shirt et commence à déboutonner ma chemise maladroitement. Le mal est maintenant fait, autant prendre du plaisir. 

Pendant ce temps, John qui a fait de la place sur la chaise et le bureau, a sorti son sexe volumineux de son pantalon et commence doucement à se caresser. De notre côté, Rose   Est maintenant devarassée de son débardeurs. Comme elle ne porte jamais de soutien gorge,  mon regard peut se poser directement sur ses seins. Naturelle, ni trop grosse, ni trop petite, je suis en extase devant la vision de la poitrine de mon élève. Du bout des doigts je m’aventure sur ces courbes parfaitement dessinées jusqu’à taquiner ses mamelons. J’ai rarement vu une jeune femme aussi désirable que Rose. 

C’est d’une main agile qu’elle dégrafe mon soutien gorge pour à son tour libérer mon 90D. Nos mamelons frottent les uns contre les autres alors que nous nous échangeons des baisers passionnés. Ma poitrine volumineuse s’écrase contre celle de mon élève et ses mains viennent agripper mes fesses encore couvertes de tissu pour me serrer fort contre elle. 

Je n’ai plus qu’une idée en tête: baiser mon élève. 

Je déboutonne mon pantalon et m’en sépare pour encourager Rose à faire de même. Elle s’exécute et laisse apparaître un tanga noir tout en dentelle qui laisse entrevoir une épilation intégrale. Elle me regarde alors de manière provocante et se cambre pour divulguer ses globes charnus. 

Entre les encouragements sonores de John, verge en main et le corps envoûtant de mon étudiante aguichante, mon excitation est à son apogée et toute once de raison à quitté mon esprit. 

Je plaque Rose contre le mur et commence à lui déposer des baisers sur le bas du ventre, juste au dessus de l’élastique de sa pièce de lingerie fine. Mais à mon désespoir elle m’arrête. Elle prend quelques secondes pour m’observer, se mord la lèvre inférieure et se tourne vers son ami.

-John, tu peux m’aider? Dit-elle avec un accent irrésistible 

-Oui, avec plaisir. Répond-il en fixant ma toison brune. 

John se lève de mon siège, et de ses bras musclés, il m’attrape et me pose allongée sur mon bureau. Les deux commencent alors à m’embrasser de la manière la plus divine que je n’ai jamais connue. Chacun d’entre eux embrasse, lèche et mordille l’intérieur de mes cuisses. Mes jambes sont écartées au maximum pour laisser la place à mes deux faiseur de plaisir. Leurs langues se mêlent sur le tissu de ma culotte maintenant trempée par mon désir. Ma respiration s’accélère, mes muscles se détendent et sans pudeur ni morale, je m’offre à mes deux élèves.

Puis, c’est Rose encore qui prend les devants à l’aide de ses doigts de fée et déplace ma culotte vers le côté. John profite de la situation pour attaquer avec sa langue mon clitoris délivré. J’essaie tant bien que mal de rester silencieuse, mais je laisse tout de même échapper quelques gémissements incontrôlés. Rose décide alors de tester mes limites et tandis que John me dévore l’abricot, elle glisse deux doigts au fond de mon vagin trempé. À cette intrusion céleste, j’hurle mon plaisir sans aucun contrôle ni retenue. Tout en me labourant de ses doigts, Rose s’allonge sur moi pour atteindre ma bouche et me faire taire à l’aide des ses baisers. 

Malheureusement le mal est fait et quelques secondes plus tard j’entends frapper à ma porte. 

Femme de ménage: Is everything alright Miss? Dit-elle à travers la porte

 Moi: Yeah, yeah, I’m leaving in a few minutes! 

Les doigts de Rose se sont figés en moi et John a le visage plaqué contre mon intimité dégoulinante. 

Après une minute sans bouger, John se redresse, regarde Rose et dit "we’d better get going! It wasn’t a good idea.". Rose approuve d’un hochement de tête, s’essuie les mains sur mes cuisses toujours grandes ouvertes et se ré-habille rapidement. 

John ouvre la porte, me jette un dernier regard qui semble presque honteux et dit:

"Désolé". 

Rose elle, a plus de mal à partir, mais la main de John l’incite à franchir la porte. Avant de s’enfoncer dans l’obscurité du couloir, elle se tourne vers moi et dans un dernier murmure me dit:

"Bonne nuit Madame Clémence". 

À suivre…

————

N’hésitez pas à me dire ce que vous en pensez, c’est ma première histoire.

Aussi, je n’ai pas fait appel à un correcteur mais si vous pensez que je devrais le faire dites le moi!

Related posts

Vacances en chambre d'hôte. – Chapitre 13

historiesexe

nos baises avec Marie – Chapitre 1

historiesexe

Confessions d'une mère – Chapitre 1

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .