Mamie Geneviève 9
Avant d’aller dormir, je remets un peu d’ordre dans la maison quand mon téléphone portable sonne pour un message. Je chausse mes lunettes et tâtonne sur cet appareil que David m’a fait acheter. C’est vrai qu’il est mieux que celui que j’avais avant, mais je ne sais pas encore bien m’en servir.
J’arrive enfin à lire un message de David :
Regarde la vidéo et viens nous rejoindre !
J’appui sur un triangle sur l’écran et découvre une scène hallucinante, que je regarde plusieurs fois je l’avoue.
Ma fille Virginie est allongée, nue sur son lit. Ses jambes largement écartées pour s’offrir à la bouche de sa fille Christelle. Virginie se tord dans tous les sens, puis j’entends la voix de David demander, alors que Christelle se redresse :
« Elle est prête ? » Il parle de sa mère, assurément.
La courte vidéo se termine sur un gros plan de la verge de mon petit fils, qu’il a si belle !
Même si la situation est chaude, je me sens fourbue et il est trop tard pour que je prenne la route. C’est ce que je réponds comme message.
En moi-même, je me dis qu’ils n’ont pas perdu de temps les coquins. Il est vrai que moi non plus d’ailleurs !
Bastien, le copain de David, mignon comme un cur va passer dans la soirée. J’ai le temps de me préparer. Je vais encore faire des achats de lingerie. Je reviens avec une guêpière, une culotte assortie très coquine, des bas à couture. Si avec tout ça, je n’arrive pas à émoustiller mon petit Bastien, sans oublier mon amour de petit fils, plus tard !
David m’appelle à mon retour, il me demande de mes nouvelles et quand je lui dit ce que j’ai fait avec son ami, il semble fier de moi.
« Et vous, comment ça se passe ? »
« Ben, tu verras sur la vidéo que Christelle a prise, mais je peux te dire que maman a aimé ça hier soir ! »
« Tu peux me passer ta mère ? »
« Non, Christelle l’a emmenée dans la chambre, pour lui apprendre des trucs, tu vois ce que je veux dire ! Je les laisse s’amuser à deux ».
J’imagine aisément ma petite fille s’occuper de sa mère, comme elle l’a fait pour moi.
Je lui explique que Bastien va bientôt passer et lui promets de venir les voir, probablement le lendemain.
Je soigne mon maquillage et ma coiffure, je veux me donner un coté vintage, je sais que ça revient à la mode. Mes bonnets pointus font jaillir mes seins et distendent mon chemisier. Ma jupe arrive juste en dessous des genoux, mes talons hauts affinent mes jambes. Je me trouve pas mal dans le miroir.
Quand mon bonhomme arrive, il écarquille les yeux sur ma poitrine provocante et veut m’enlacer pour m’embrasser. Je le tiens à distance pour lui dire :
« Aujourd’hui, je veux t’apprendre la patience, l’attente, le désir Mais aussi avoir plus d’assurance ! »
Avant qu’il ne s’installe dans le canapé, je lui dis, en m’asseyant face à lui :
« Attends ! Déshabilles-toi. Mets toi tout nu ! »
Il se bloque, hésite, m’interroge du regard, puis face à mon obstination, finit par obtempérer. Je lui explique qu’il doit apprendre à aimer son corps, qu’il lui faut combattre ses préjugés et vaincre son inhibition. Je ne sais pas d’où ça m’est venu, je crois aussi que c’est pour détailler son joli corps d’éphèbe.
Pudiquement, il cache son sexe et je l’invite à s’asseoir. Puis, nous bavardons, essentiellement de sa mère, et il finit par se détendre, sans pour autant, découvrir son sexe mou.
J’en rajoute un peu, en croisant haut, les jambes, en lui exposant le profil de ma poitrine à toute occasion. Je lui demande :
« Et si tu détendais ! Enlève ta main. Voilà, comme ça ! Ouvre tes jambes maintenant »
Il s’exécute, un peu honteux.
Je reprends la conversation avec des banalités et ses yeux détaillent chaque centimètre carré de mon anatomie. Je crois que ma tenue lui plaît beaucoup. Sa verge frétille un peu, mais n’est pas bandée. Je l’invite alors à venir m’aider à préparer le repas et il me suit, moins gêné de sa nudité. Il a un physique agréable à regarder et je ne me prive pas de lui flatter les fesses. C’est beau les fesses d’un homme jeune !
Progressivement, il prend de l’assurance et m’enlace par derrière. Ce que je sens sur ma cuisse, puis qui appuie entre mes fesses est dur comme du fer. Bien que ça puisse me chauffer instantanément, je lui dis :
« Pour la confiance en soi, je pense que c’est bon ! Maintenant, la patience, la maîtrise, tu vas t’appliquer à respecter une femme. Tu vas être délicat, tout en douceur »
Ce rôle de préceptrice m’amuse beaucoup. Quand je repense, qu’il y a peu, j’étais si coincée ! L’arrivée de David dans ma vie a été une révélation. Outre l’aspect sexuel pour lequel je ne lui ai rien opposé, il m’a fait prendre conscience de moi, une femme avant d’être mère, grand-mère et même la veuve d’un minable.
« Caresse moi les pieds »
Je ne cherche pas à le dominer, juste à déplacer des limites, afin qu’il puisse investir son territoire de confiance en lui. Il s’accroupit et me masse le pied que je lui soulève. C’est sensuel, mais quand il remonte ses mains pour emprisonner mon mollet, je sens une vague de plaisir me chavirer. Il est doué, c’est sûr !
Je reprends mes esprits pour lui dire :
« Relève toi et saisis moi ! »
D’un bond, il se redresse et m’étreint avant de chercher ma bouche à embrasser. J’en meurs d’envie, mais il me faut continuer à jouer mon rôle d’éducatrice.
« Tsst ! Mon garçon, il faut être patient ! Imagine que tu doives atteindre le sommet d’une montagne. Il te faudra d’abord passer par des chemins escarpés, le sommet sera ta récompense. »
Je n’en reviens pas moi-même, je lui exprime tout ce que je souhaiterais. Pour ma défense, je ne pense pas qu’il y ait beaucoup de femmes qui aiment le bonjour, crac-crac, au revoir ! .
Cela, sans tendresse aucune ! Ça existe probablement, mais moi je préfère une montée progressive de l’intensité charnelle.
Mon Bastien comprends vite, malgré la tige rigide que je sens sur mon ventre, il s’attache à y aller délicatement. Il écarte la bretelle de ma robe et dépose ses lèvres sur mon épaule. Il me bise avec tendresse en remontant vers le cou. Il me mordille l’oreille en me massant la nuque. Je suis en feu et cherche à ne pas le montrer. J’attends son baiser pour lier nos corps plus intensément. Au lieu de converger vers ma bouche, il se détache de moi, me retourne lentement et fait descendre la fermeture de ma robe. Je n’en reviens pas de son audace ! Il a désormais la maîtrise de son sujet, je n’ai qu’à me laisser porter
En un geste, il fait tomber ma robe au sol. Je suis si avide de connaître la suite que je le laisse faire. Il me tient les bras et mordille mes épaules. A chaque fois, un frisson me traverse le corps. Quand il arrive à la nuque, je tremble sur place. Il descend dans mon dos en donnant des coups de langue. Il s’agenouille tout en me caressant les jambes du bas en haut, sans jamais s’approcher suffisamment pour effleurer ma vulve. A mon grand regret !
Sa bouche s’active sur le bas de ma colonne et je sens son souffle sur mes reins. Puis sa langue fureter en direction de mon sillon.
En moins de deux secondes, il a enlevé ma culotte. Sa langue furète et explore lentement la gorge fessière à la recherche du puits qu’elle recèle.
C’est absolument génial comme sensation ! Il est si proche de mon anus ! J’ai tellement envie de connaître ça, que j’écarte les jambes pour lui donner le signal de l’attaque.
Il est dans une position malaisée et va avoir un torticolis si il continue comme ça. Je prends appui et me penche en avant. Bastien écarte mes fesses et je sens sa langue darder mon petit trou. Il force mais ça n’entre pas ! Il se contente de me lécher comme jamais je ne l’ai été !
C’est très sensuel, le mot est faible, comme caresse !
Je gémis et tremble sur mes jambes quand il introduit deux doigts dans mon vagin. Si il brûle les étapes, ce n’est pas pour me déplaire, Je n’y tiens plus. Je le fais se relever et l’entraîne dans l’escalier qui monte à ma chambre. A chaque marche que j’escalade, je sens sa main me caresser l’intérieur de ma cuisse. Arrivés en haut, je le laisse m’embrasser, ce qui ne me laisse pas de marbre.
Je suis plus impatiente que lui et m’allonge, face sur le lit, les fesses relevées. Il reprend sa caresse buccale sur mon anus. Je me tortille dans tous les sens et sens une phalange tenter une entrée.
Ça me fait un peu mal.
« Mon chéri, regarde dans la table de nuit, j’ai ce qu’il faut ! »
Le tube de lubrifiant est tout neuf, je l’ai acheté ce matin.
Il ouvre le tiroir et outre le tube, tombe sur le godemiché que m’a offert ma petite fille.
Il observe la chose qu’il pose sur le lit.
J’écarte bien les fesses quand il présente son doigt enduit de gel froid. Avec douceur il s’enfonce et me tapisse l’intérieur. Il renouvelle l’opération puis présente le gode sur mon entrée.
« Non mon amour, pas avec ça, je préfèrerais que ça soit toi ! Viens enculer ta maman ! »
Est-ce ma vulgarité qui le fait me chevaucher d’un coup pour m’empaler !
Sa tige raide butte dans ma raie, je m’en empare pour la guider, tout en refrénant une pénétration trop rapide. J’apprécie chaque centimètre qu’il introduit en moi.
« Oh maman, comme c’est bon ! »
« J’adore te sentir en moi, tu m’envahis ! Viens bien au fond ! C’est bien mon chéri, maman est fière de toi, fais ce que tu veux maintenant ! »
C’est vrai que j’aime cette sodomie. J’y prends goût ! David a bien fait d’insister pour me déflorer l’anus, je ne le regrette pas.
Le mignon qui me besogne a fait de gros progrès. Il est lent et attentionné. D’une main, il me tient le bassin et de l’autre, il cherche mon clitoris pour le pincer avec délicatesse. Je suis prise dans un tourbillon ! Ma main se referme sur le gode. Avec frénésie, je le porte à la bouche pour le sucer, puis avec difficulté, tant Bastien s’active, je l’introduis dans mon vagin. Cette double pénétration est sensationnelle. Mon amant prends le contrôle du gode et le fait coulisser à son rythme. Je ne m’occupe de plus rien. J’ai juste à savourer l’instant ! Il s’attaque à mes seins et je me mets à quatre pattes pour lui faciliter la tâche. Il me caresse, de sa main libre, à travers les bonnets en s’attardant à faire rouler sa paume sur mes tétons.
Mon amant est résistant. Il fait des pauses pour se contenir. Puis recommence à me prendre avec ses deux sexes. C’est génial qu’il tienne si longtemps !
C’est moi qui ne sais pas résister. Mon orgasme violent a expulsé le gode, mais pas mon chéri qui reste bien en moi pour se vider.
«Ouah ! Tu te débrouilles très bien ! Maman est fière de toi ! »
Il me retourne sur le dos, s’allonge sur moi m’embrasse avec fougue, j’écarte les jambes et le sens me pénétrer. Quelle vigueur ils ont ces jeunes !
Et Quels amants merveilleux, ils font !
Je sens son sperme couler entre mes fesses mais je n’y prête pas garde. Je préfère porter mon attention sur le corps de cet homme qui me fait si bien l’amour.
Nous avons joui ensemble après un long moment.
Après ma toilette intime, je l’invite à aller dîner à l’étage inférieur.
Bastien ne souhaite pas que je remette ma robe et je me plie à son désir. Il me trouve très sexy dans mes dessous. Particulièrement les seins. Je ne manque pas d’en jouer quand nous sommes à table.
Il me dit, à la fin de notre assiette:
« Je vous aime, Madame »
« Comment, qu’est-ce que j’entends ? Viens ici garnement ! »
Il me rejoint, intrigué. Sans me lever, je redresse la tête vers lui pour le réprimander :
« Tu veux dire quoi à ta maman ? »
« Je t’aime, Maman ! »
Et de le prouver par un long baiser.
Sa main glisse tout droit vers mon buisson et cherche ma fente.
« Attends, mon chéri ! Mets toi à genou entre mes jambes. Tu te rappelles, il faut escalader avant d’atteindre le sommet »
Il s’y prend tellement lentement que c’est moi qui craque et attire ses lèvres sur ma vulve.
A quelques détails près, qu’il corrige rapidement, je peux affirmer qu’il s’y prend très bien !
Je ne jouis pas sous ses coups de langue, mais ce qu’il fait est suffisant pour son apprentissage. Je le lui dis :
« C’est bien mon fils ! Tu lèches bien ta maman ! Viens t’occuper de mes seins maintenant. »
Il se redresse, passe derrière moi et dégrafe ma guêpière et se précipite sur mes tétons.
« Du calme ! Mon chéri, va doucement. »
Il redevient délicat et je le laisse prodiguer ses caresses en lui frôlant le dos. J’ai du mal à me contenir quand il me tête chaque mamelon alternativement. Comme c’est bon !
Malheureusement, son téléphone sonne, puis re-sonne. Il se lève à regret et réponds à sa mère inquiète de ne pas le savoir rentré. Il bafouille en s’essuyant la bouche qu’il est chez moi.
Je prends son appareil et me présente :
« Bonjour Madame, ne vous inquiétez pas, je vous le ramène tout de suite ! Les autres viennent de partir »
Je lui mens volontairement pour éviter tout quiproquo qui pourrait embarrasser mon jeune amant. Ce dernier commence déjà à se rhabiller, dommage j’avais envie de sucer son sucre d’orge.
Sur la route, je lui exprime mon avis. Coté technique, il n’a plus rien à apprendre. Il doit juste se rappeler de la progressivité dans ses caresses. Mais, je ne m’inquiète pas pour ça. Il m’a montré tout ce que j’attendais de lui. Patience et confiance.
Mes mots le touchent et c’est avec enthousiasme qu’il m’embrasse à un feu rouge.
Arrivés chez lui, sa maman vient me parler à la voiture. Elle souhaite m’inviter pour faire plus ample connaissance et, eu égard à l’heure tardive, en fait, on se verra le soir même.
Je sens que je vais avoir une journée chargée !