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Du fantasme au réel par force – Chapitre 2




Je me retrouvais donc complètement à poil dans ce wagon avec les quatre beurs. Qu’allais-je devoir faire, ainsi dénudé avec même plus de vêtements à me mettre puisqu’ils les avaient jetés par la fenêtre.

Le premier s’avança : alors tu aimes sucer des queues ? A genoux, tu vas commencer par moi !

Que dire, ils m’avaient vu et il était inutile de discuter!

Sur ce, il baisse son pantalon et le slip et sort une bite encore plus impressionnante que celle de mon agresseur.

Deux des autres me forcent à me baisser à la hauteur de sa queue et me plaquent le visage sur son bas-ventre ; Je la prends dans ma bouche, n’ayant pas d’autre choix, et entame ma seconde pipe de la soirée. Le troisième passant derrière moi me relève un peu en me disant, je vais t’enculer petit PD et tu as intérêt à te laisser faire sinon ça va être ta fête!

Je sentis sa bite se plaquer contre mes fesses et commencer à me forcer le cul ; Il me pénétra doucement, mais n’ayant jamais eu de rapport il appuya un peu plus fort et j’ai senti qu’il avait déjà passé son gland et continuait à pousser pour progressivement m’enfiler toute sa bite. Puis bien calé jusqu’aux couilles, il commença des va-et viens dans mes fesses. J’étais pris des deux côtés à la fois, par des inconnus dans ce train de banlieue ! Puis les deux autres ont sorti également leurs bites et m’ont imposé de les branler.

C’était un vrai viol collectif.

Celui que je suçais m’a dit qu’il allait décharger et que j’avais intérêt à tout avaler son sperme. Et j’ai senti à nouveaux des giclées qui coulaient dans ma gorge. J’ai tout avalé et un de ceux que j’avais branlés à tout de suite pris sa place et j’ai du reprendre une troisième pipe, puis une quatrième pendant que l’autre me défonçait le cul, jusqu’à qu’il décharge également.

Après m’être fait enculer et sucer trois bites, ils descendirent à l’arrêt suivant, me laissant plein de sperme et complètement à poil.

Sans vraiment comprendre pourquoi, je bandais comme jamais et je me suis branlé ; quelques secondes après je jouissais comme ça ne m’était jamais arrivé ! Javais aimé ce viol collectif, c’était sûr, et aimé sucer toutes ces bites ! Je n’étais devenu qu’une petite salope !

Mais que faire maintenant pour sortir du train ainsi dévêtu ?

Celui-ci arrivait au terminus et je ne savais toujours pas quoi faire. Après le dernier arrêt, au bout de quelques minutes j’ai entendu une des portes du wagon qui s’ouvrait.

C’était un contrôleur qui venait s’assurer que tout le monde était descendu.

Il m’aperçut et me dit : qu’est-ce que vous faites, le train ne va pas plus loin, il faut descendre.

En s’approchant, il vit que j’étais à poil. Mais qu’est-ce que vous faites dans cette tenue ?

Je lui expliquai que j’avais été victime d’une agression et que l’on m’avait laissé ainsi sans vêtement.

Bon, tiens! Tu vas mettre ma veste, et suit-moi, je dois avoir quelques fringues dans une baraque de chantier qui est un peu plus loin.

Je passais la veste et le suivais ; il n’y avait plus personne sur le quai à mon grand soulagement.

Vas-y, entre ! Me dit-il. Nous étions arrivés à cette baraque.

Alors, raconte-moi un peu ce qui s’est passé !

J’ai abrégé et simplifié en lui disant simplement que j’avais été obligé de tailler une pipe à un inconnu sous la menace d’un couteau.

Je trouvais qu’il me regardait bizarrement ! Puis il ouvrit un casier. J’ai pas grand chose en vêtement, mais ce sera toujours mieux que rien ; Et il me sort une jupe et un chemisier.

Je ne vais pas mettre ça lui dis-je !

Ecoute, je n’ai rien d’autre ! Alors c’est ça ou tu repars à poil !

Je passais donc les vêtements et son regard changea à nouveau. Je le vis fermer à clef la porte d’entrée et il me dit : tu sais que tu es bandant ! Tourne-toi pour voir !

Contre mon gré, je me tournais et il en profita pour me mettre une main sur les fesses. Ça aller recommencer !

Soudain, il me dit : ton histoire m’a excité, tu vas me sucer et je vais bien m’amuser avec toi avant de te laisser partir. Allez, reprend la position et suce-moi bien la bite, tu as une vrai bouche à sperme !

Je me baissai, le déboutonnai, descendis son pantalon et son slip et me jetai sur cette nouvelle bite énorme et circoncise. Il ne tarda pas à jouir dans ma bouche et j’avalais tout.

Puis il me tourna et m’encula comme un dingue. Il me défonçait carrément le cul en s’accrochant à mon bassin pour me rentrer à chaque fois sa bite jusqu’aux couilles.

Il déchargea à nouveau et m’obligea à lui lécher la bite puis le trou du cul. Quelques minutes après il bandait de nouveau et j’ai du remettre ça encore une fois !

Il m’a baisé pendant plus de 2 heures avant de me laisser partir, ainsi habillé.

La réalité de la soirée avait dépassé de loin le fantasme que j’avais depuis des années ! J’en avais eu de la bite, surtout pour une première fois !

Depuis j’ai souvent repris le train, mais sans jamais rencontrer hélas de situation similaire ! Alors je me branle souvent en repensant à cette nuit complètement dingue.

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