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fantasme – Chapitre 1




Je mappelle Fabien et jai 21 ans. Jai un grand frère, qui ne vit plus à la maison. Je vis donc avec mes parents. Mon père allait rentrer à lhôpital pour subir une grosse opération cardiaque, ce qui allait le tenir loin du domicile durant deux mois. Depuis quelques temps, vu ses problèmes de santé, mon père ne pouvait plus rien faire intimement avec ma mère. Au fil des jours, jétais devenu le confident de ma chère maman, et elle me racontait ses coups de blues, car même si elle soccupait de son mari avec une grande dévotion, il nempêche quelle restait une femme malgré tout. Elle se lamentait de sa vie de couple qui ne lui apportait plus grand chose, et que, même si ça nétait pas la faute de son mari, elle rêvait encore damour et de plaisir.

Après lopération, mon père fut transféré dans un centre de convalescence assez éloigné de la maison, ce qui fait quon ne pouvait pas aller le voir très souvent. Avec ma mère, on gérait donc la maison, les courses

Un jour, jai même dit en rigolant « on dirait un vieux couple ». Elle na rien répondu mais je lai vue rougir.

Dans les confidences quelle me faisait, elle parlait souvent de sa jeunesse, de quand elle avait à peu près mon âge, du fait quelle avait certainement dû rater des choses, car lépoque nétait pas la même

Un jour, je lui posai la question : « Et que penses-tu de cette mentalité daujourdhui qui fait que des de femmes de ton âge sortent avec des jeunes ? Est-ce que ça te choque ? »

« Oh non ! Pas du tout ! Je me met à leur place ! Un ptit jeune ? Elles doivent samuser ! Elles ont de la chance. Alors, quelles en profitent !»

Sa réponse me laissait songeur. Je trouvais que son attitude avec moi avait changé. Elle qui était si pudique, qui parlait rarement de sexe, la voilà qui me confiait des choses vraiment intimes.

Ma mère est une femme de 48 ans, et elle est encore bien conservée, tout le monde lui dit quelle ne fait pas son âge. Il métait souvent arrivé de fantasmer sur elle, sur sa grosse poitrine (du 95D).

Et une après-midi, tout a basculé !

Comme il faisait très chaud, elle avait pour habitude de faire la sieste après manger, avec juste une culotte. Alors que je passais devant sa chambre, je maperçus quelle avait laissé la porte ouverte. Je marrêtai pour la contempler. Elle dormait étendue sur le dos, et même allongée ainsi ses seins étaient gros. Je mapprochais, jétais en caleçon et une bosse commençait à se former. Je men débarrassai et ma bite, ainsi libérée, se dressa. Je montai sur le lit en mettant mes jambes à cheval sur elle. Javais une trique pas possible. Je posai mes lèvres sur son ventre pour poser un baiser, puis je remontai sur sa poitrine. Mes lèvres gobèrent un sein, ma langue joua sur le téton qui se durcissait. Je restai ainsi un moment avant de jouer avec lautre sein. La respiration de ma mère avait changé. Je sentis sa main sur ma tête. Elle me caressait les cheveux.

Puis jentendis sa voix : « Non ! »

Je restais sans bouger… Pourquoi non ? Avait-elle changé davis ou métais-je trompé ?

Je levai les yeux et je la vis me faire un signe pour que je me mette debout à coté du lit tout près delle.

« Viens là » me dit-elle

Je me mis debout à côté delle et elle enfournai mon dard dun coup dans sa bouche. Je sentais sa langue et elle semblait apprécier autant que moi cette caresse.

« Oh oui ! Cest bon ! Continue !!!!!!!!! »

Elle ressortit ma verge pour titiller mon gland avec sa langue, puis ses lèvres lentourèrent, je sentais sa bouche aller et venir.

Je montai alors sur le lit, je mis mes genoux à cheval sur sa tête pour lui offrir ma queue, et je glissai un doigt sur sa fente poilue. Ma mère lâcha un soupir. Je sentais sa bouche agacer mon sexe, tandis que ses mains caressaient mes testicules. Je mis un de mes doigts dans ma bouche pour le mouiller et délicatement je le glissai dans la fente maternelle. Il disparut, très vite rejoint par un autre, puis par un troisième. Ma mère avait empoigné mon pieu et elle le branlait en gémissant « Aaahhhhhhh ! Vas-y ! Cest bon, mon chéri. Vas-y !»

Laissant mes doigts dans sa vulve chaude et offerte, ma langue chercha son bouton et titilla le clito gonflé. Je lentendais gémir : « Ahhh ! Oui ! Vas-y ! Encore ! »

Je me redressai et je décrivis un arc de cercle pour me retrouver face à elle. Je pris mon sexe en main et je le présentai devant sa chatte. Mon gland pénétra sa grotte et senfila en elle. Je me sentais emprisonné et, tandis que je la pénétrais, elle eut un long gémissement, vite étouffé par ma bouche qui muselait la sienne. Je sentis ses jambes menlacer, comme pour mattirer encore plus profondément en elle. Je sentais que je touchais le fond de sa chatte en feu. Je commençai à la limer lentement. Nos bouches soudées, nos langues senroulaient avec force. Javais déjà eu des copines, mais jamais je navais ressenti un tel plaisir et une telle envie. Sans doute était-ce dû au tabou de notre relation.

Je voulais la faire crier de plaisir. Son souffle se faisait plus court, elle libéra ma bouche pour pouvoir respirer.

« Oh ! Que cest bon ! Si tu savais !!! Viens, mon chéri. Jouis en moi ! »

Jaccélérai mes va-et-vient, ce qui eut pour effet de la faire gémir, elle avait rejeté sa tête en arrière et ses yeux étaient fermés. Je repris sa bouche avec force, en avalant sa langue. Je voulais la baiser dune manière complète et totale. Ses bras me serraient, je sentis que je ne pourrais plus tenir bien longtemps. Je préfèrai la prévenir.

« Je vais jouir ! Je vais tout lâcher ! » ce à quoi elle répondit en criant « Oh oui ! Viens, mon amour ! Jouis ! Vas-y ! Explose en moi ! »

Elle cria son orgasme et ma bite libéra sa semence en elle. Je sentis mon sperme jaillir dans sa chatte. Cela dura un bon moment, puis tout redevint calme. Je me relevai et je vis son sexe se vider sur les draps. Je mallongeai à coté delle et nous restâmes un moment sans parler, à reprendre notre souffle et nos esprits.

Ce fut elle qui rompit le silence en premier.

« Eh bien, dis donc, mon cochon ! Je ne savais pas que tu ty prenais si bien ! »

« Tu es très belle, maman, et certaines filles plus jeunes que toi ne sont pas aussi belles, tu sais »

« Tu dis ça pour me faire plaisir »

« Pas du tout ! Aucune fille de mon âge na ton charme ni tes atouts. »

« Ah bon ? En es-tu certain ? »

« Tout à fait ! Aucune femme ne me fait le même effet que toi. Regarde !»

En lui parlant, je désignai mon sexe, qui reprenait de la vigueur. Elle eut un sourire :

« Eh bien, dis donc ! Tu es en forme à ce que je vois ! »

« Oui et cest toi qui mets dans cet état, maman ! »

Elle glissa une main sous mes bourses pour les caresser tandis quelle me branlait lentement de son autre main. Ma verge avait repris une taille plus quhonorable. Je sentis sa bouche lengloutir avec gourmandise. Jinvitai ma mère à se mettre à califourchon sur moi, et je me retrouvai le nez dans sa chatte. Ma langue eut tôt fait de glisser dans sa cavité. Mes mains tâtaient ses fesses. Je sentais sa langue sur mon dard, dur comme du bois. Ma mère est décidément une experte.

« Dis-moi, maman, jai envie de jouir sur tes seins ! Si tu savais comme jaime ta poitrine !»

« Bien sûr, mon chéri, mais à une condition. Avant, je veux que tu me fasses jouir. »

Je mis ma bouche sur sa chatte comme si jallais lengloutir. Je glissai ma langue sur les lèvres avant de titiller son bouton. Elle soupirait sous la caresse. Puisquelle voulait jouir, jallais la faire crier !

Je me redressai et la fis mettre à quatre pattes pour la prendre en levrette, mais elle craignait quelque chose :

« Pas par là, sil te plait ! »

« Ne tinquiète pas. Je ne pensais pas à ça »

Je posai mon gland humide sur sa toison, je le présentai à lentrée de sa cavité et je fis glisser ma pine jusquau fond… Bien au fond !

Elle émit un râle quand je mintroduisis, mes mains glissèrent de ses fesses pour empoigner ses seins. Javais envie de la baiser comme un sauvage. Je commençai à donner à mon bassin un mouvement de va-et-vient, mes mains toujours agrippées à ses globes. Vu que javais déjà joui une fois, je savais par expérience que jallais pouvoir prendre mon temps. Je la pistonnai de plus en plus vite, ce qui eut pour effet de la faire jouir à nouveau.

Je sentais que jallais venir et je cessai donc tout mouvement afin de me reprendre. Elle voulut changer de position. Je mallongeai donc sur le dos et elle sempala sur moi. Mes mains glissèrent depuis son ventre jusquà ses seins, qui avaient durci. Elle allait et venait sur moi, gémissant chaque fois que mon gland touchait le fond de sa cavité. Nous restâmes ainsi un long moment et elle jouit à nouveau. Elle se libéra de moi et roula sur le côté. Elle dit dans un souffle :

« Petit coquin ! Je nen peux plus ! Tu mas crevée ! Viens sur moi ! Donne-moi ta queue mon chéri. Je veux ton sperme !!! »

Je me mis à cheval sur elle et je glissai mon sexe entre ses seins quelle tenait de part et dautre avec ses mains. Tandis quelle serrait ma queue entre ses globes, jallais et je venais. Elle me regardait, en sortant parfois sa langue pour titiller mon méat . La vision de nos corps mexcitait tellement que je sentais que jallais tout lâcher.

« Oui ! Oui, maman ! Je vais venir !!! Ouiiiiiiiiiiiii ! Cest boooooonnnnnnn !!!

Ma verge libéra six jets de sperme. Le premier dans son cou, ensuite sur son visage, et sur ses seins pour finir. Elle en avait partout !

Elle était visiblement étonnée. Elle dit en riant :

« Eh bien, dis donc ! Tu mas arrosée ! »

Elle se leva pour aller sessuyer à la salle de bains, puis elle revint sétendre à côté de moi. Nous eûmes tôt fait de nous endormir, épuisés par tant de jouissance.

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