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Bal des Anciens – Chapitre 1




N’étant pas un écrivain de premier ordre, je voudrais quand même vous raconter une de mes premières expériences vécues.

C’était le bal de fin d’année scolaire qui m’avait fait rencontrer Christine. Elle terminait sa dernière année, et moi, ancien de l’école, j’avais été invité à participer. Agée de dix-neuf ans, elle était grande, mince, une taille de guêpe surmontée d’une poitrine pas trop grande mais suffisante, de quoi avoir les mains remplies. Un visage au nez fin, des lèvres pulpeuses, qu’elle avait légèrement maquillé, lui laissant une beauté naturelle.

    Quelques slows m’avaient donné l’occasion de l’inviter plusieurs fois à danser, et chaque danse nous avait rapproché l’un de l’autre. Elle avait du sentir la bosse dans mon pantalon et prenait visiblement plaisir à s’y frotter. J’abandonne donc le groupe de copains, tous anciens, pour la rejoindre à sa table, qu’elle partage avec une amie, chez qui elle passe le week-end pour l’occasion.

    Vers une heure du matin, je l’invite pour un autre slow (je suis piètre danseur et seuls les slows me permettent de rejoindre la piste de danse) et à peine enlacés, nos lèvres se rejoignent pour un baiser. Sa langue tourne autour de la mienne, dans une interminable farandole qui m’en coupe le souffle. Nos bassins sont collés l’un à l’autre, mon dard se frottant contre son mont de Vénus. Christine me chuchote ensuite à l’oreille qu’elle loge chez sa copine dont les parents sont absents, et qu’elle aimerait que je reste avec elle pour le reste de la nuit. Elle veut en parler à son amie, mais sait déjà qu’elle sera d’accord. Nous retournons donc, bras dessus, bras dessous, à la table et elle fait part de son idée à sa copine, qui donne de suite son accord. Je propose alors de les conduire en voiture au lieu de les laisser prendre le dernier bus prévu.

    Arrivés au domicile de Jessica, nous découvrons une belle petite villa, nous laissant deviner que ses parents devaient être des gens très aisés. Jessica avait son propre petit appartement, dans une annexe au fond du jardin, juste à côté de la piscine ouverte. Un petit salon, une chambre à coucher, une chambre d’ami qui sera la nôtre, et une salle de bain avec baignoire et cabine de douche. Le tout décoré avec goût par sa mère, qu’elle nous révéla être architecte d’intérieur. On ne pouvait mieux trouver. Dans le salon, nous nous installons sur le matelas couvert de coussins multicolores, qui lui sert de divan, pour prendre un dernier verre avant de nous coucher. Christine vient s’asseoir contre moi, sa tête appuyée sur mon épaule, une main caressant ma cuisse à travers le tissu de mon pantalon. Jessica s’installe en face de nous et nous tend les verres remplis de whiskey coca. On discute un peu et puis on se décide à aller se coucher.

    Avec un petit sourire, Jessica nous souhaite encore un ? bonne nuit, ne faites pas trop de bruit ! ? et elle rentre dans sa chambre. Christine et moi rejoignons la chambre d’ami située à côté de celle de Jessica. Nous nous enlaçons pour un baiser passionné et mes mains lui caressent le dos pour descendre sur les fesses musclées. Elle, n’attend pas non plus, et sa main se faufile entre nos corps, pour venir caresser la bosse de mon pantalon, serrant mon sexe entre ses doigts. Nous nous déshabillons mutuellement et tombons sur le lit, dans les bras l’un de l’autre. Je lui caresse un sein, prend son mamelon entre le pouce et l’index pour le malaxer, et je peux sentir comme il se redresse pour devenir dur. Je couvre son visage de petits baisers, descend dans la nuque, pour finalement lui prendre l’autre mamelon en bouche et le sucer.

    Elle me prend la tête entre ses mains et me repousse gentiment, me soufflant ? à moi maintenant ?. Ses lèvres descendent sur mon torse nu (je me rase entièrement le corps) pour venir s’entrouvrir devant le gland de mon sexe qu’elle enfourne avec des petits cris de plaisir : ’Mmmm, haaaaa’. Ses yeux ne quittent pas les miens et elle commence à me pomper le chibre suintant. Elle augmente la cadence et enfonce mon dard dans sa bouche jusqu’au couilles, s’y cognant le menton. Sous l’effet de sa caresse, mon pieu gonfle encore plus fort, si bien que je lui dis d’arrêter, car je sentais que je ne pourrais plus longtemps me retenir.

    Elle relève la tête pour me sourire et replonge sur mon dard pour en lécher toute la colonne. Ensuite elle ouvre grande la bouche et gobe mes couilles une à une, si bien que je sens la sève monter comme un ascenseur express. Les râles sortant de ma gorge augmentent, précurseurs de ma jouissance. Soudain, Christine relève la tête, la porte de la chambre s’ouvrant avec un couinement aigu. Effet dégivrant qui ramollit légèrement mon dard, mais qui m’a heureusement empêché d’éjaculer.

    Jessica entre, sa nuisette transparente ne cachant rien de son corps, et nous rejoins. ’Je vous écoute depuis plus d’une demi-heure et je ne pourrai plus tenir plus longtemps. Je n’ai pas envie de me masturber seule dans mon lit, alors j’ai pensé qu’une de plus dans votre lit pourrait nous augmenter le plaisir !’ Christine lui sourit. ’Viens ma chérie, tu as raison, on aurait du te le proposer en arrivant ici’. J’avoue être étonné de la réaction de Christine, mais, comme je ne la connaissais pas, je ne pouvais prévoir une telle réaction. Jessica se couche à mes côtés pour m’enfoncer sa langue dans la bouche. Elle me tourne la meilleure pelle jamais reçue, pendant que Christine reprend ma tige nerveuse dans la bouche pour me la pomper, si bien qu’au bout de quelques secondes elle est de nouveau raide comme un manche de balais. Jessica se retourne et sa langue rejoint celle de Christine pour me lécher les couilles. Je lui caresse les fesses qui me font face, et suit de l’index tendu la raie pour venir masser l’oeillet visible. Elle a pris son sein gauche en main et se pelote, tirant sur le mamelon. Elle crie de plaisir lorsque je lui enfonce doucement l’index dans le cul.

    Christine étouffe ses cris en l’embrassant passionnément, pendant qu’elle me branle d’une main experte, décalottant mon gland où coule déjà le présperme. Son autre main caresse le dos de sa copine, vient lui gripper les fesses, pour finalement couvrir ma main. Elle suit mon mouvement et appuie fortement pour bien enfoncer mon doigt dans le tuyau déjà bien détendu. Me pliant légèrement, je viens lui lécher la chatte dégoulinante de cyprine, descendant jusque sur les cuisses pour tout reprendre dans ma bouche. Sa moule semblait être une source intarissable, ses lèvres ouvertes laissant couler son jus sucré.

    Sentant de nouveau mon dard prêt à envoyer mon foutre, je les supplie d’arrêter. Christine s’accroupit alors au-dessus de moi et, s’abaissant, se plante sur mon dard. Son vagin est déjà crispé et je sens qu’elle aussi n’est plus loin de la jouissance. Jessica me serre les couilles de d’une main pendant qu’avec l’autre elle se frotte le clitoris noyé dans le jus qui suinte hors de ses lèvres gonflées par le désir. Christine monte et descend sur mon sexe de plus en plus vite. Je sens mon gland cogner contre le col de l’utérus. Mon dard gonfle encore plus et dans un râle de plaisir, je lui envoie tout mon foutre au fond du vagin. Elle se dégage alors pour se coucher jambes écartées. Jessica vient alors lécher mon sperme mélangé à la cyprine qui coule entre les lèvres gonflées de Christine. Sa langue lape tout le jus, remontant du cul jusqu’au clitoris qu’elle mordille en passant, ce qui entraîne Christine dans une jouissance extrême.

    Tout son corps se met à trembler, elle crie alors que sa tête se tourne d’un côté à l’autre. Rien qu’à la voir ainsi, je sens ma queue se remettre en forme. Je me place derrière Jessica qui est toujours à quatre pattes entre les jambes de Christine. Ses jambes écartées me donnent pleine vue sur l’oeillet au-dessus de sa fente suintante. Je lui enfonce deux doigts dedans pour bien les lubrifier, puis je les ressors pour astiquer cette pastille plissée. Ensuite je me place tout contre ses fesses, mon gland à l’entrée de son petit trou et, d’un seul mouvement, je m’enfonce dans le tuyau serré.

    Elle se cambre encore plus fort pour bien me recevoir et encore mieux me sentir. Une de ses mains vient ensuite enfoncer les doigts dans son vagin et je les sens aller et venir. Je prends le même rythme qu’elle, mon sexe s’enfonce, ressort jusqu’au gland pour s’enfoncer à nouveau, mes couilles cognant contre sa main qui s’active de plus en plus vite. Elle couine de plaisir et lâche des mots incompréhensibles, sa bouche toujours collée contre le vagin de Christine pour en boire le jus de la jouissance. Ne pouvant plus me retenir, j’envoie quelques giclées de sperme au fond des reins de Jessica qui se met à crier son plaisir aussi.

    Terrassés par cette triple jouissance, nous restons couchés l’un à côté de l’autre, nos mains se caressant lentement, étalant sur nos corps repus les traces de nos ébats. C’est dans cette position que nous nous endormons, enlacés et heureux.

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