Cette histoire a été écrite au départ pour une copine du Canada, que j’ai rencontré sur ce site. Je m’adresse donc directement à elle. Il ne vous sera pas trop difficile, mesdemoiselles, de vous mettre à sa place. Quand vous aurez fini de la lire, écrivez-moi pour me dire toutes vos critiques, ce qui vous a plu ou déçu. Je suis ouvert à tout, même aux propositions de rencontre sur Paris. Cette nouvelle est inachevée, et je publierai la suite dès que je le pourrai… Je vous souhaite bien du plaisir.

Nous sommes début juillet, et il commence à faire vraiment chaud à Paris. Aujourd’hui n’est pas un jour comme les autres : Ton avion arrive du Canada à 18h47, à l’aéroport Roissy Charles de Gaulle. Je suis dans la section des arrivées, et je t’attends avec impatience. Ton vol a été annoncé il y a 10 minutes, et tu ne devrais plus tarder maintenant. Enfin, je te vois et te fais un signe de la main. Tu t’approches de moi, radieuse, ton sac de voyage à la main. Tu le laisses tomber par terre, passes tes mains autour de mon cou et jette ta bouche contre la mienne. Tu portes une superbe robe noire, ouverte en V qui tombe juste au dessous du genou. Nous nous embrassons longuement, je passe mes mains sur tes fesses et te presse contre moi. Tu sens mon désir et je sens le tien. Tu me regardes un moment dans les yeux, et tu me dis :

’-Viens, on a quelque chose à faire… ’

Tu me prends la main, et m’entraines à ta suite. Tu te diriges vers les toilettes pour homme, et nous nous engouffrons dans une cabine sous le regard médusé d’un homme d’affaire en train de réajuster sa cravate. Tu relèves ta robe sous laquelle je m’aperçois vite que tu ne portes rien, tu me prends deux doigts et te les glisse dans la chatte déjà humide. Tu te masturbes un instant, puis tu portes mes doigt à ma bouche. Tu me retires ensuite mon pantalon, sous lequel je ne porte rien non plus. Tu attrapes mon sexe déjà tendu et commence à lécher le bout, pendant que je continue à sucer mes doigts enduits de ton jus. Tu prends alors tout mon sexe en bouche, et tu le suces avidement tout en me massant les couilles de tes doigts habiles. Je ne met pas longtemps à jouir, et j’ai l’impression de déverser des litres de sperme dans ta bouche. Tu avales le tout. Tu essuies ensuite le bout de mon gland avec ta langue. Nous nous rhabillons, et avant de sortir, je t’enlace de mes bras et t’embrasse profondément pour te remercier. Nous récupérons ton sac et nous quittons l’aéroport. Nous prenons le métro, qui nous amène rapidement à ton hôtel, au coeur de Paris. Tu passes à la réception pour récupérer la clé de ta chambre. Nous montons au troisième étage par l’ascenceur, puis jusqu’à ta chambre. Nous entrons, je dépose ton sac par terre. Tu prends quelques affaires à l’intérieur et te dirige vers la salle de bain :

’-Tu me sers un verre pendant que je prends ma douche ? me demandes-tu gentiment.

Volontiers, je vais m’en servir un en même temps. Tu pénètres dans la salle de bain et referme la porte derrière toi. Je me dirige vers le mini-bar, et j’entends la douche qui se met à couler pendant que j’en examine le contenu. Je sors une bouteille de gin et une bouteille de Schweppes, ainsi que deux verres. Je nous verse à tous deux une bonne rasade de gin, que je complète avec le Schweppes. Je dépose les verres sur la table de nuit, et je m’allonge sur ton lit, après avoir déposé mes chaussures au pied. Quelques minutes plus tard, l’eau s’arrête de couler, et je t’entends sortir de la douche. Quand tu sors de la salle de bains cinq minutes plus tard, tu es tout simplement magnifique. Tes cheveux encore humide retombent librement sur tes joues et sur ton cou. Tu portes un body noir, moulant, echancré sur ta poitrine et ouvert sur ton dos jusqu’à tes fesses. Tu portes également une paire de bas noirs jusqu’au haut de tes cuisses, accrochés au body par un porte-jartelle. Tu t’approches de moi, prends un des deux verres sur la table de nuit. Tu en bois quelques gorgées avant de le reposer.

’- Mmm, délicieux breuvage… Y a-t-il quelque chose que je puisse faire pour t’en remercier ? me demandes-tu en souriant

’-On devrait pouvoir trouver… répondis-je en souriant à mon tour ’

Je m’assieds sur le bord du lit et m’apprête à me lever, mais c’est toi qui t’assied sur mes genoux, face à moi. Tu m’embrasses profondément, puis tu me couches sur le dos avec tes mains. Tu ouvres entièrement ma chemise, et je t’aide à la retirer. Tu me masses alors les épaules, tu passes tes mains sur mon torse et mon ventre. Je pose mes mains sur tes fesses et t’attire plus près de moi. Je te pelote gentiment les fesses en passant de temps à autre un doigt sous le body. Puis tu fais glisser les bretelles sur tes épaules, et tu dégages tes seins nus pour que je puisse les caresser à loisir. Des deux mains, je les malaxe, je les chatouille, je les pétris. Tu défaits ma ceinture et déboutonne mon pantalon. Tu me le retire, et je me retrouve entièrement nu. Tu te réinstalle sur moi, assise de façon à ce que mon sexe dressé vienne frotter contre ta chatte à travers le body. Mes mains dégrafent ton porte-jartelle, et je passe mes mains sur ton dos de façon à faire glisser le body. Tu te mets à genoux et je t’aide à enlever le body, entièrement, pour qu’il ne te reste que les bas. Enfin, je vois aparaître ce sexe dont j’ai si souvent révé. J’approche ma main, effleure la fine toison et cherche l’entrée de la caverne avec mes doigts. Je la trouve, y glisse timidement un doigt. Un deuxième vient bientôt le rejoindre, puis un troisième. A chaque doigt que je rajoute, tu pousses un petit gémissement de plaisir. C’est bientôt toute la main qui essaye d’y pénétrer. Tu jouis alors, et ma main se retrouve innondée de ton jus. Je la retire lentement et la porte à ma bouche. Je lèche le jus qui s’est déposé et tu me rejoins. Bien vite se mêlent nos deux salives ainsi que le fruit de ta jouissance. Une fois qu’il ne reste plus rien, tu te relèves sur tes genoux pour te rasseoir immédiatement après sur mon sexe tendu. Mon gland rencontre d’abord ton clitoris lui aussi dressé, puis est projeté au fond de ta chatte humide. Je pose mes mains sur ton cul puis commence à t’enlever tes bas. Tandis que je caresse tes cuisses maintenant nues, tu t’actives sur mon sexe en effectuant des mouvements du bassin. Tu vois que je vais jouir, et tu accélères le mouvement. Je t’attrapes le cul à deux mains et tire pour mieux te pénétrer. Je jouis alors et déverse mon sperme en toi par saccade. Tu te couches ensuite sur moi et nous nous enlaçons, toujours l’un dans l’autre.

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