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La conversion de Marie à la luxure – Chapitre 5




Chapitre 5 – La découverte de la pluralité

Donnons la parole à Marie et au récit qu’elle me fit de son Dimanche. Récit authentifié par Pierre sans aucune modification, si ce n’est qu’il a complété les détails sexuellement un peu hards, Marie restant très succincte sur les formes que prenait son exubérance en ce domaine.

    « Quand tu nous eus quitté, Pierre saisit le sac de voyage, m’attrapa par la taille et m’emmena, sous les yeux ébahis du réceptionniste et de la femme de chambre qui se trouvaient là. Je pense que je suis passé pour une pute de luxe que vous aviez échangé…..C’était peut-être un peu ça, quand même, sauf que je ne me faisais pas payer et que l’un des deux hommes était mon mari!!!

Nous nous dirigeâmes vers sa voiture qui était garée derrière l’hôtel. Il me demanda de monter à l’arrière. Il me dit d’ouvrir le paquet qu’il m’avait apporté et que j’avais toujours sous le bras. Je savais que c’était de la lingerie…je connaissais bien ce type d’emballage. Un papier jaune pâle avec un motif féminin en noir. Je ne savais plus quelle marque cétait mais je la connaissais, tu men avais déjà offert. Cétait Lise Charmel. « Royal Saphir », Tout un ensemble bleu saphir avec des motifs floraux bordeaux brodés. Et en plus, il y avait joint, le loup de la même collection. Mais tu la verras bien.

Il me dit:

    -Maintenant, tu la mets. Comme ça, sur ta peau tu auras, en même temps, les cadeaux de tes deux hommes. Après m’être assurée que personne ne pouvait me voir, je m’exécutai. A peine la guêpière mise et les bas attachés aux jarretelles, il me dit:

    -Pour l’instant tu arrêtes là!

Il était assis à côté de moi sur le siège arrière.

    -Viens, assieds-toi sur moi, et saute-moi!

    -Je m’assieds comment de face ou de dos?

    – C’est toi qui choisis. Chaque position a son avantage. D’un côté on pourra s’embrasser en même temps et je pourrai même te bouffer les seins. Et de l’autre, la pénétration sera plus profonde.

J’ai choisi la seconde solution, pas tellement parce que la pénétration serait plus profonde, mais parce que la position me permettait de voir si personne n’arrivait.

Ce fut court, mais bon. Je retenais mes réactions, de peur que quelqu’un nous entende, surtout qu’avec la chaleur intérieure, Pierre avait entrebâillé les fenêtres. Rapidement, d’un commun accord, nous décidâmes de ne pas prolonger. La position et le lieu n’était pas très propice aux performances athlétiques. Pierre me dit:

    – Cétait juste une prise de contact « amicale ». On va aller ailleurs te faire exercer tes talents et s’ouvrir l’appétit.

Je commençai à me rhabiller, mais il me dit:

    – Pas la peine….. Tu vas pas te rhabiller pour te redéloquer dans quelques minutes. En plus, maintenant tu as l’habitude de voyager dans cette tenue!

    -Sa-laud! Mais, tu passes pas en ville, hein?

    -Ok. On va prendre le chemin des écoliers, ou plutôt des écolières. Tiens, tu me donnes une idée. Plutôt que d’aller au resto on a s’arrêter dans une supérette et on va acheter de quoi se faire un petit pique-nique… Nique-nique. Et qui c’est qui va se faire niquer? C’est ma petite salope!

    -Mais tu m’as promis qu’on ne passerait pas en ville!

    -Attends, j’ai une couverture dans mon coffre. Elle va d’abord servir à te recouvrir pendant que je ferai les courses, puis à poser nos victuailles et à protéger ton beau petit cul des attaques indésirables de petites bêtes à pattes, quand je te besognerai.

Il a fait ce qu’il avait dit, lui. Il a été honnête. Il ne m’a pas laissée à demie nue sur le parking (voir chapitre 3). En plus il s’est garé loin d’un endroit de passage…

Nous sommes repartis en direction du Havre par une petite route qui, après avoir traversé le port de pêche, longeait la baie de Seine. Je ne sais pas sil connaissait ou sil y allait au hasard. Toujours est-il quaprès être passé sous le pont de Normandie, il y avait une cimenterie puis, un bois avec plusieurs chemins qui y pénétraient. Il en prit un après une centaine de mètres, rangea sa voiture dans une petite clairière, et me dit :

— Cest là que commencent les agapesEnlève la couverture, et amène les victuailles. Tu en es lamuse-gueule, mais tu feras aussi une très bonne entrée et peut-être si jai encore faim, tu pourras faire un bon de plat de résistance, qui complétera le poulet rôti que je nous ai acheté.

Je mapprêtais à mettre la table, mais il ne men laissa pas le temps.

— Tout à lheure on a seulement fait connaissance. Il ne faudrait pas oublier quun anniversaire ça se fête. Viens là !

Je me laissais totalement guidée. Depuis que je le fréquentais, je me rendais compte que jétais devenue dune docilité que tous ceux qui me connaissaient, nauraient jamais cru possible. Je lui étais totalement soumise. Et comme javais pu constater, lheure précédente, que ce statut ne te posait pas problème, je me laissais complètement faire.

Il me retourna, mappuya sur le capot de sa voiture, me fit bien écarter les jambes, dégagea légèrement le string, et entreprit de me faire passer à la casserole. Et après sêtre mis à genoux derrière moi, sur la couverture, il entreprit une tendre fricassée de minou.

— A toi lhonneur ! Surtout quà cette heure je devrais déjà être sur le chemin du retour. Donc ; il faut bien que je rétribue ta bonne volonté.

Il alternait les coups de langues qui partaient de mon pubis et remontaient jusquà mon petit anneau en passant par mon bouton, sur lequel il sarrêtait en le titillant puis soccupait de mes lèvres et de la partie intérieure qui souvrait déjà , pour finir par un broutage en règle du petit trou entre mes deux brioches – comme tu les appelles.

— Mais on dirait quelle sest enrichie depuis que je lai laissée ta petite tirelire. On a dû y mettre quelques dollars ?

— Arrête cette comparaison. René ma dit quil voulait que bientôt il puisse y rentrer une pièce d1.

— Ah, bon, alors, il faut sy mettre tout de suite !

Il sest relevé, a baissé son pantalon, tout en me maintenant appuyée sur le capot, ma écarté les fesses et enfilé son engin délicatement. A mon grand étonnement sest rentré tout seul.

— Là, on sent que ça a bien servi, il ny a pas longtemps !

Il continuait à écarter et malaxer les fesses. Visiblement, il aimait cette position. Alternant des pénétrations rugueuses et rapides, des petits mouvements peu profonds et des grands coups de boutoir. Soudain, il se mit à me claquer le haut des fesses à petite tapes sèches un coup lune, un coup lautre. Sur le coup, ça ma tiré un cri, plus de surprise que vraiment de douleur. Je sentais ma chair rougir en même temps de lextérieur et de lintérieur. Puis tout en continuant à me pénétrer larrière, il passa sa main pour me gratter le clito. Je sentais ma mouille qui commençait à sétendre au-delà de ma vulve et glisser sur mes cuisses. Je nen pouvais plus. Cétait bon. Surtout que la soirée et la nuit quon avait passées toi et moi avaient bien préparé le terrain. Je lui dis :

— Viens ! Viens, maintenant ! Jen peux plus !

— Non, pas tout de suite. Je veux que tu me dises tout ce que tu es sans que jaie à te le demander !

— Comment ça !

— Tes une petite

— Salope, cest ça que hahaahah !.tu veux que je dise ? Mais je peux pas parler tu mexcites trop !

— Oui, mais pas que, quest-ce que cest une femme qui se donne aux hommes qui lui offre des bijoux, de la lingerie, des voyages

— Une pute !

— Voilà ! et toi tu fais ça seulement pour largent ?

— Arrête, Pierre, je suis à bout ! Je jouis ! Cest pas possible !

— Non, je tai posé une question.

— Non, jaime ça !

— Tu aimes quoi ?

— La bite !

— Et te faire

— Enfiler !

— Bien alors tu vas avoir ton salaire en nature. Tourne-toi.

Il ma fait mettre à genoux, et sest masturbé tout près, devant mon visage. Son sperme, na pas mis longtemps à venir. Il men a barbouillé le visage et les seins et ma dit de lécher sa queue.

— Cest malin, maintenant, la belle lingerie est toute souillée !

— Qui le saura à part les hommes qui vont tembrocher ce soir !

Je lui ai demandé quest-ce que cétait encore que cette histoire. Il ma répondu que tu avais exprimé un souhait.

— Le club ! Ne me dis pas que tu ten rappelles déjà plus ?

— Si, René nétait pas sérieux quand il a dit ça Cétait pour me provoquer.

— Je crois pas. La preuve, il ta donné sa fiole de whisky. Allez, on se met vraiment à table, là. On reparlera de ça plus tard.

Je me suis rhabillée. On a mangé, gentiment, comme un vieux couple, en discutant tranquillement de choses et d’autres. On n’a pas du tout parlé de sexe, ni coquiné Jusqu’au dessert. Il avait acheté des bananes….

Tu imagines, ce qu’il avait comme idée. Il m’a allongée, soulevé ma jupe et, de nouveau sans enlever le string, a utilisé l’une des deux bananes. Il faudra d’ailleurs un jour qu’un scientifique se penche sur la raison pour laquelle, vous les hommes, semblez prendre un plaisir particulier à nous baiser sans enlever notre culotte.

Au début, la pénétration de la banane ne m’a pas fait monter au ciel. Puis, ses mouvements lents en la penchant vers le haut, puis vers le bas; en la faisant tourner dans ma moniche, ont commencé à me faire jouir. Et quand il s’est mis à accompagner ça d’un travail des doigts de sa main libre sur mon clitoris ou à introduire son pouce dans mon cul j’ai commencé à ne plus savoir où j’habitais.

  Il a voulu en profiter pour introduire la deuxième banane par l’entrée de service. Jai refusé!

Il n’a pas insisté et a seulement dit:

    -Un jour, ma belle, il faudra bien, quand même, t’initier à la double pénétration. Je suis sûr qu’avec ton tempérament que tu y prendras d’énormes pieds…

  Pour l’instant je n’avais pas besoin de ça. Je prenais un super pied.

  -Attention, s’il y a des chasseurs dans le coin, ils pourraient croire qu’il y a une bête qui agonise dans la forêt.

Il me retourna. Il me fit mettre à 4 pattes. J’’avais toujours la banane fichée dans le vagin. Il se mit à genoux derrière, enleva très vite la banane pour la remplacer par son sexe. Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai eu un orgasme presque immédiatement. Il me lima encore quelques minutes mais n’insista pas, même si lui n’avait pas joui.

Nous avons quand même mangé nos bananes. Quand nous sommes remontés en voiture, il était déjà 15 h.

Pierre a sorti son portable et m’a dit:

  -Tiens, comme ton mari m’a donné son numéro tout à l’heure, je lui envoie quelques photos pour lui montrer que je m’occupe bien de toi. Je le trouve plus sympa que quand je bossais avec lui, ton mari. Il faudra qu’on se revoit dans d’autres circonstances.

Je ne m’étais pas rendu compte qu’il en avait prises.

  -Et mon droit à l’image! Tu en fais quoi?

Il me répondit que je n’avais pas à me plaindre et que c’était aussi pour créer un site internet à ma gloire.

Je ne savais pas qu’en penser. Je lui dis que je lui interdisais, que c’était pas possible.

  -Tu vois ces photos circuler dans le lycée?

  -Oui, et même certains profs ou élèves, lorsque tu les convoquerais, demanderaient à vérifier tes compétences. Et moi, je peux te dire que si j’étais parent d’élève, je solliciterais souvent un rendez-vous avec le proviseur.

Après en avoir discuté, il me convainquit que le mieux pour le reste de l’après-midi était de faire une ballade dans le vieux Rouen. On trouverait plus facilement un restau pour le soir et ça nous rapprocherait de Paris, pour ne pas rentrer trop tard. J’ai compris le soir que tout ça n’avait rien à voir avec la vraie raison.

Il y a autre chose qu’il faudra m’expliquer les mecs. Vous aimez laisser notre culotte quand vous sauter, et par contre, vous voulez qu’on se promène sans culotte.

Tu l’as compris, il me l’a faite enlever pendant la route jusqu’à Rouen, et ensuite pendant notre promenade dans le vieux quartier. Au programme: visite de la cathédrale, place du vieux marché et musée des Beaux-Arts….Tu vois on n’a pas que fait cul on a aussi fait cul-ture. En passant dans une petite rue, il m’a dit:

— Tiens, tu vois, là il y a un club libertin…Ça tombe bien, on viendra y faire une petite visite, ce soir, après le restau.

Il me prenait pour une grande naïve. Comme si je n’avais pas remarqué qu’il recherchait l’endroit depuis le début de notre ballade. Pourtant, j’ai fait celle qui se laissait avoir.

    -Décidément, tout semble vouloir s’organiser pour que je sois obligée de te dire oui. Même le hasard fait bien les choses….

  Il a réservé pour 20h30 dans un restaurant à proximité. Puis, nous nous sommes promenés le long de la Seine, dans le parc de la presqu’île. Le soir avançait, les promeneurs devenaient de moins en moins nombreux. Il restait surtout, assis ou carrément allongés sur les pelouses, de jeunes couples d’amoureux. Au détour d’une allée, presque masqué par un bosquet, l’un de ceux-ci faisait visiblement l’amour. L’homme était assis, son pull était posé nonchalamment sur ses cuisses. Sa compagne était allongée perpendiculairement, sa tête posée sur ses genoux, sous le pull; donnant l’impression aux passants qu’elle sommeillait. Mais Pierre me fit regarder plus longuement. Effectivement, il n’y avait aucun doute, elle lui faisait une petite misère. Le pull montait et descendait, soulevé par sa tête. et la mine réjoui du type ne faisait que confirmer l’hypothèse.

Je regardai Pierre avec un sourire complice. Je ne sais s’il prit cela pour une invite. Ou s’il en avait déjà l’idée, mais il me dit:

  -Excellent exercice apéritif. Et pourquoi ne nous y mettrions pas, nous aussi?

  -Chéri, on est trop âgé pour jouer ce jeu-là!

  -Tu y a bien joué tout à l’heure dans la forêt!

  -Oui, mais là, c’est pas pareil, il y a du monde qui peut passer.

  -Et alors, t’es pas proviseur dans le coin? Et on fera pareil, on te cachera la tête.

Tout en le disant, il m’entraînait vers un autre bosquet. Nous y entrâmes. Me dit, après avoir ouvert sa braguette et sorti le "petit" Jésus:

  -Allez, mets-toi à genoux. Y’a personne.

Là encore je ne me suis pas reconnue. Je me suis exécutée sans un mot.

Cela faisait bien 3 ou 4 minutes que j’étais en action qu’un type, ayant peut-être entrevu, ou alors un voyeur qui cherchait à surprendre des couples, s’est approché de nous, en demandant s’il ne pouvait pas aussi en profiter. Pierre l’a engueulé en lui disant vite de déguerpir, sinon, il profiterait de son pied au cul.

J’ai repris mon activité champêtre. Au bout de quelques minutes encore Pierre m’a faite relever. Il faisait quasiment nuit. Il m’a entraînée vers un arbre, m’a appuyée dessus les reins cambrés. Et m’a de nouveau prise en levrette.

Là, je n’avais pas de culotte. Je ne l’avais toujours pas remise. Il voulait que je passe tout le reste du temps, jusqu’à ce qu’il me ramène à la maison, « la chatte en liberté ».

— Je naime pas les animaux en cage, même les oiseaux, surtout quand ils sont mignons et quils chantent bien.

Il me fourra avec beaucoup dénergie, comme il en était habitué.

Là, jai su quil reprenait des photos, (2 ou 3) à cause du flash.

Il me dit, je vais te faire chanter « la Traviata » puisque tu mas dit que tu aimais lopéra.

Très vite, je me suis senti grimper, non pas aux rideaux, mais à larbre. Je tentais de retenir mes bruits. Mais très vite , ce ne fut plus possible. Trop, cétait trop depuis plus de 24 heures, je navais pas passé beaucoup de temps « tranquille ». Vous ne men aviez pas tellement laissé la latitude. Pour être ma fête, cétait ma fête. Je me demandais comment jallais finir et dans quel état je serai au bureau le lendemain. Avant de se lâcher, lui aussi, il me dit :

Attends, je vais enregistrer, le chant de la chouette, la nuit à Rouen. Sacré spécimen. Et je vais lenvoyer aussi à René pour quil voie comment tu te comportes dans un espace public.

Puis, nous nous sommes rendus au restaurant. Le repas était simple, mais assez bon. Etonnant pas un seul attouchement de la part de Pierre. Nous sommes sortis il était près de 22h.

Maintenant, parler de ce qui sest passé après le dîner est un exercice très difficile pour moiJe nai jamais aimé me raconter encore moins raconter mes pensées profondes et intimes face à quelque chose qui, au départ ne correspondait pas à mon style….Ce nest quentre toi et moi.Donc cest comme si ce nétait que moi !

Je savais que Pierre avait organisé et programmé cette sortie en Club Libertin, il me lavait dit dès que tu nous avais laissé seuls, et répété plusieurs fois dans la journée.je ne sais pas si jen avais vraiment envie, au départ.je pense que non mais à force de vous entendre dire à lun comme à lautre que jen étais capable et que jallais aimer ! !!!…En revenant du parc en voiture , javais quand même décidé de menfiler le reste de la petite fiole de Whisky que tu mavais dit de prendre avec moi pour, comme tu disais, me désinhiber si jen avais besoin.pour faire taire ma têteAh !.Le petit sourire de Pierre qui en a bu un peu pour maccompagner ..Pas dupe et capable de tout pour mettre autre chose dans notre relation !

Au resto, javais encore pas mal bu, ma tête commandait de moins en moins, je me suis beaucoup amusée et dit des bêtises..mais à aucun moment, en nous rendant au club, nous navons parlé du reste de la soirée, en sortant du resto, mon accord avait été de nouveau sollicité.

En arrivant au « 7 » (note de moi : « Seven » le Club à Rouen), il ny avait personne, seulement le patron et un couple qui buvait au bar en discutant avec luiPierre a commandé du Champagne. Sans rien se dire, je crois que nous avons eu la même sensation..soirée un dimanche à Rouen !!! Triste Pas de coquineries libertines..nous en avons parlé après !

En vrai, je ressentais un mélange de soulagement et de déception Un client venait dentrer et buvait au bar Nous nous sommes assis, dans un coin salon, Pierre ma fait relever ma jupe assez haut, et décarter les jambes. Tu imagines le spectacle, je navais pas eu le droit de remettre ma culotte. Au point où jen étais, ça ne ma pas posé problème Une fois notre coupe finie, avec des caresses de la part de Pierre tout en buvant et en discutant, Il me proposa de descendre.les coin câlins sont au sous-sol, ce nest pas grand, la décoration est plutôt sympa et chicPierre me proposa un espacejacceptai, nous étions seuls, il enleva ma jupe et mon pull, je me retrouvai en guêpière, il se déshabilla aussi et nous commençâmes à faire lamour.je nous pensais tous les deux, mais au bout de quelques minutes je me rendis compte que des mains me caressaient et que javais plusieurs souffles sur moi.un autre couple était là, depuis un moment puisque nous ne les avions pas vu entrer !

Du moins, moi!!!

Jai regardé, jai vu un jeune couple, lhomme me caressait la poitrine, en prenant sa partenaire par derrière, Pierre caressait les seins de la femme (une belle jeune black) tout en étant en moi ..Ma tête était à côté de celle de lautre femmeelle ma embrassée.

Drôle de sensation pour moi la caresse dune femme, pour la première fois.

Tu ne vas pas me croire si jexplique que je ne me souviens pas de toutdu moins si.mais pas dans lordre .la chronologie a-t-elle de limportance ?

Pour me laisser aller je ne pensais plus à rien dautre quau plaisir que mon corps me donnait (ou plutôt que les autres donnaient à mon corps).. Je me suis retrouvée à faire une fellation au jeune homme en entendant des « cest bon », Pierre me prenait en levrette en que même temps.le sexe était petit ! Je crois que, lorsque la situation sest inversée, je nai pas eu un plaisir immense !! Et puis un peu pressé et pas très soucieux du plaisir donné .

Je me suis surprise à éprouver lenvie et à me mettre à caresser le sexe de la jeune femme noire.pourquoi ? Peut-être la volonté de prendre une initiativePierre me caressait la chatte, pendant ce temps là.je crois que ce moment a été court, oui il a été court et je savais déjà que jen entendrais parler !!!!

Le jeune homme du bar.depuis quand était- il là ? Il a présenté son sexe à ma bouche, je lui ai fait une fellation, il me caressait la tête, Pierre me caressait aussi et dégrafait ma guêpière pour me caresser les seins.ce nouveau sexe était très différent, gros, très dur. Il avait beaucoup de plaisir et moi aussi il était beaucoup plus attentif et caressant, Pierre et lui ont changé de position, il ma demandé mon accord pour me pénétrer par derrière en levrette, il la fait avec délicatesse et doucement.jai eu du plaisir . Décidément, jaime les sexes qui me remplissent bien !!! Lui aussi il a éjaculé assez vite dans son préservatif.je crois quil na pas pu se retenir davantage

Pierre na pas eu sa fellation complète.

Ensuite, tous les cinq nous avons discuté tranquillement, le jeune couple se disait ravi de leur soirée, lui disant même quil pouvait « mourir » maintenant quil avait fait cette expérience.lautre habitué des lieux disait quil aimait ce lieu car cétait toujours correct et que le patron y veillaitIl ma dit aussi quil mavait trouvé très bonne, ma remerciée et nous a demandé si nous étions du coin. Nous lui avons dit que nous nétions que de passage.

Je crois que jai vraiment eu du plaisir, sans me poser de questions, ma tête na pas parléA aucun moment je nai ressenti la différence dâge avec les autres protagonistes, jamais je nai eu honte de montrer mon corps, je me suis totalement lâchée.mais aussi parce quà chaque moment dune manière ou dune autre Pierre savait me rassurer. Il me touchait, surveillait, me caressait..si dans ce qui est arrivé jai oublié un momentce nest pas mensonge .même par omission.

Pierre ma dit en sortant quil était très heureux et quil mavait aimé pendant cette soiréeje crois que jai été totalement libérée car il ny avait pas de « regardeurs », seulement des protagonistes.ce qui est très excitant pour moi, cest ce basculement à un moment vers des inconnus, cest lapproche, la première caresse, la respirationqui font que tu sais si tu vas te laisser aller, laisser faireJai limpression par contre que certaines respirations, certaines caresses doivent être insupportables.

Cest moi et ce nest pas moi.je ne sais pas si jirai encore souvent dans un club jai une réticence, ce nest pas anodin, je nai pas honte mais certains lieux ne me conviennent paslà comme ailleurs je naime pas la vulgarité

Peut-être que si les mêmes situations avaient lieu chez nous, voire dans un hôtel, je les accepterais davantage.

Il faut donc continuer à me laisser boire un peu pour my emmener.si on me disait .cétait la dernière fois ça ne me dérangerait pas.

Nous avons quitté Rouen il devait être un peu plus d1 heure du matin. En voiture, je me suis écroulée. Jétais vidée.

Je savais que le lendemain il faudrait que je trouve un moment pour técrire ce compte-rendu.

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