Le week-end dernier, je revenais de deux jours passés à la montagne où j’avais rejoint une bande de copains et copines, qui eux, avaient la chance d’y passer deux semaines.
Lorsque j’ai pris place dans le TGV qui devait me permettre de rentrer sur Paris aux alentours de minuit, je me trouvais seul tout au fond de la voiture… Après un tour rapide au bar où j’ai mangé un sandwich, je suis revenu à ma place, puis fatigué par ces deux journées intensives sur les pistes et dans une boîte de nuit de la station, je me suis endormi, bercé par le roulis et le bruit feutré du train.
Je n’ai pas vu les diverses stations et je me suis réveillé à Chambéry. C’est là que j’ai découvert cette jeune femme qui devait être montée à un des arrêts précédents, car elle semblait bien installée.
Mon regard a tout de suite été attiré… Elle avait de longs cheveux bruns noués en queue-de-cheval, un fin visage ovale et une bouche boudeuse très fardée d’un rouge épais au-dessous d’un nez un peu busqué. Très mate de peau, elle avait du profiter du soleil d’altitude et ses immenses lunettes cachaient ses yeux… Elle avait un petit strass fiché dans sa narine droite.
Elle portait un pantalon fuseau en cuir noir souple très ajuté, de bottines à petits talons et un sweatshirt dont le décolleté arrondi laissait entrevoir le sillon de sa poitrine lorsqu’elle s’est penchée pour prendre une revue dans sa valise posée dans l’allée contre la cloison.
Je la trouvais bien jolie et séduisante…
Les éclairages de la voiture étaient atténués si bien qu’il ne subsistait que quelques veilleuses çà et là, certainement au-dessus de voyageurs qui ne sommeillaient pas.
Bien que ne le voulant pas, mon regard était attiré par le reflet de la brune dans la vitre du wagon…
Je la voyais bouger sans arrêt, croiser et décroiser ses longues jambes, la tête rejetée en arrière contre le dossier…
Quand je me suis tourné vers elle, la surprise a été totale : elle avait glissé sa main droite dans l’ouverture de son pantalon et elle massait son sexe comme si elle voulait se faire jouir… Le spectacle devenait intéressant… mais je restais discret.
Ce devait être bon, car elle avait la bouche entrouverte, prise dans son plaisir solitaire. De mon côté, je commençais à bander…
Soudain, elle s’est tournée franchement vers moi et m’a dit :
Le spectacle te plaît ? Si tu veux le voir de plus près… viens t’asseoir sur le siège voisin !
OK… j’arrive !
Quand j’ai été installé près de cette inconnue qui se faisait plaisir en solitaire dans le train, je n’ai pas pu m’empêcher de lui dire que si elle voulait, je pouvais l’aider.
Oui… bien sûr… ça n’en sera que meilleur ! J’ai envie de jouir… ça m’arrive très souvent quand je prends le train !
Je me suis tourné à moitié sur mon siège et j’ai tendu la main droite vers son entrejambe… Waouh… Il était humide et chaud…
Mon inconnue a rabattu le bas de son sweatshirt de manière à cacher ce que nous faisions, mais nous étions tranquilles, notre position au fin fond de la voiture nous permettait de voir arriver un éventuel intrus… Du côté des contrôleurs, nous étions tranquilles aussi : ils étaient déjà passés et on ne les verrait plus !
Nouvelle surprise ! Elle ne portait pas de culotte ou de string et j’avais accès directement à ses lèvres vaginales… il n’y avait pas de poils non plus !
J’agitais mes doigts sur ses lèvres intimes, le majeur enfoncé dans sa chatte où je le faisais aller et venir… Elle était de plus en plus mouillée…
Continue… c’est bon… je sens que tu vas me faire jouir !
C’est bien mon intention ! N’est pas meilleure une main d’homme au lieu de la tienne ?
Si… en plus, faire ça presque en public… ça m’excite !
Moi aussi… si tu sentais ma bite, tu serais surprise… Je bande comme un taureau !
Fais-moi jouir et je m’occuperai de toi ensuite !
Quelques minutes plus tard, un orgasme discret tétanisait ma voyageuse… orgasme qu’elle a étouffé en plaçant sa main gauche devant sa bouche…
En retrouvant son souffle, elle s’est tournée vers moi en se mettant à genoux entre son siège et le dossier de celui du devant et elle a tendu sa main droite pour venir palper le devant de mon pantalon.
Intéressant… Je demande à voir !
J’ai dégrafé ma ceinture, ouvert le pantalon et abaissé mon boxer…
Mon sexe a jailli devant la fille dont le regard était devenu salace et sa langue s’agitait dans sa bouche ! Elle avait aussi un piercing sur le bout de la langue et aussitôt, elle l’a agitée sur le méat où pointait déjà un peu de liquide.
Après quelques instants, sa bouche vorace a avalé mon sexe qui est entré au plus loin dans une gorge profonde qui a achevé de m’exciter… Quelle suceuse…
Ses lèvres allaient et venaient sur mon sexe qui était de plus en plus rigide au fur et à mesure qu’elle l’enduisait copieusement de salive.
J’étais sur le point d’exploser quand elle s’est arrêtée de me pomper pour me dire qu’elle avait envie de me sentir gicler dans sa bouche, qu’il n’y avait aucune autre possibilité… et elle reprit sa fellation en palpant mes couilles d’une main…
Soudain, ce fut l’explosion… Je lâchai un certain nombre de giclées dans sa bouche qu’elle déglutit aussitôt après m’avoir montré mon foutre qui tapissait sa langue.
Dis donc… Tu étais drôlement excité ! Qu’est-ce que tu m’as mis !
Normal… Une belle femme comme toi, elle doit être servie comme une reine !
Dis plutôt comme une catin… d’ailleurs, c’est ce que je suis ! MERCI !
Maintenant, dormons… Nous serons à Paris dans moins d’une heure !
Je me suis rajusté et j’ai regagné mon siège pendant qu’elle en faisait autant sur le sien.
