François est un mari tolérant qui ne s’offusque pas de me voir batifoler à droite et à gauche du moment que mon cur lui reste fidèle. Heureusement qu’il a la même philosophie que moi, qu’importe les infidélités du corps de l’un ou de l’autre quand les deux curs restent fidèles l’un à l’autre ! Je suis certaine qu’il a quelques aventures extra conjugales mais je ne m’y intéresse pas. Comme l’a chanté Jacques Brel, « il faut bien que le corps exulte », pour lui comme pour moi. Cependant, ce vendredi lors du dîner, il me déclare l’air grave
– Chérie, cela fait plusieurs fois que tu rentres à la maison l’air fatigué et que tu t’endors aussitôt au lit.
Je lui réponds
– Les semaines de travail sont souvent épuisantes et travailler avec ces fortes chaleurs est éreintant.
Il me fait un petit sourire sournois et ajoute
– J’ai vérifié tes strings dans le panier de linge sale. Ils sont régulièrement trempés et sentent le foutre. Ce sont surtout tes rencontres coquines qui te fatiguent !
Avant que je puisse rétorquer quoi que ce soit, il poursuit
– J’accepte que tu te fasses baiser de temps en temps sans moi mais je veux, comme tu le sais très bien, être parfois le maître de cérémonie de tes orgies. Or, cela fait déjà quelques semaines que tu me laisses de côté !
Prenant un air penaud la tête basse, je lui dis
– Oui chéri, je comprends parfaitement. Si tu le souhaites, je suis ta chose ce week-end. Tu peux disposer de moi comme tu le souhaites.
Une fois dans notre chambre, j’enfile ma nuisette et François me demande aussitôt de me mettre à genoux sur le prie-Dieu qui est normalement dévolu à des fonctions de porte vêtements. Je suis face au grand miroir de l’armoire, François se positionne derrière moi et, après avoir passé lentement son gland sur la fente de ma chatte, il me pénètre d’un coup sec.
– Chérie, tu te fais tellement baiser que je n’ai jamais de difficulté à te prendre. Tu as encore dû goûter à du gros calibre cette semaine.
me dit-il tout en me besognant.
Entre deux gémissements de plaisir, je lui réponds
– Oui chéri, tu me connais bien ! J’avoue que j’aime être bien ouverte de temps en temps par une grosse queue. C’est si bon !
– Alors je crois que tu ne vas pas être déçue ce week-end. Je vais te trouver du gros !
ajoute t-il avant de se répandre en moi.
Le samedi matin, comme à son habitude, François va jouer au golf à Saint-Cloud avec quelques amis. C’est lors du déjeuner qu’il précise ce qu’il a prévu pour moi suite à notre conversation de la veille. Au moment du dessert, il m’annonce
– Chérie, tu te souviens de l’excellente soirée passée ici avec mes trois copains de régiment. Tu avais été une soubrette particulièrement remarquée !
Je me souviens en effet de cette soirée mémorable où François, prétextant sa femme absente, m’a fait passer pour une femme de service régulièrement embauchée par leur couple pour des repas en extra. Au cours de la soirée (Cf. chapitre 14, « Soirée pluralité »), ses trois copains avaient largement profité de mes charmes et cela n’avait pas été pour me déplaire.
Il poursuit
– Nous avons actuellement une petite délégation du musée des civilisations de Côte d’Ivoire qui est en visite chez nous au ministère. J’ai invité quatre d’entre eux, spécialistes en art tribal, à venir dîner à la maison. Sois tranquille, je suis déjà passé chez le traiteur et tout sera livrée chez nous à 19h00.
Je lui fais un grand sourire et lui réponds
– C’est gentil d’avoir pensé à tout. Nous organisons la soirée sous la forme d’un dîner assis ou bien sous la forme d’un apéritif dînatoire ?
Il me répond
– Ce sera plus sympathique sous la forme d’un apéritif dînatoire. C’est plus convivial et beaucoup moins contraignant pour le service. Tu pourras ainsi te dévouer entièrement à ces prestigieux invités.
Je le rassure en lui garantissant de bien jouer le jeu
– Bien sûr chéri. En l’absence de ton épouse, sois certain que je jouerai à la perfection le rôle d’Héloïse.
A 20h00, tout est prêt. J’ai dressé le buffet dans le salon, François a mis du jazz en fond musical et une lumière tamisée rouge rend l’ambiance intime et cosy. François m’a demandé d’être sexy mais pas vulgaire, désirable mais de manière discrète. J’ai donc opté pour un léger maquillage et un chignon retenu dans les cheveux par un petit ruban noir. J’ai passé une petite mini jupe noire et un haut en dentelle assorti. J’ai enfilé une paire de collant résille qui me dessine de jolies jambes mises en valeur par des chaussures à talons hauts. J’ai enfilé un petit tablier brodé blanc autour la taille et la transparence de mon chemisier noir permet de deviner un soutien-gorge demi balconnets de couleur blanche. Je suis donc sexy mais tout est suggéré et quasiment rien n’est montré de manière provocante. François me fait pivoter deux ou trois fois devant lui et sa conclusion est sans appel
– Chérie, tu es une ravissante petite soubrette. C’est parfait.
Puis, il continue en me vouvoyant
– Héloïse, je vous demande d’être très gentille avec mes invités. Je sais pouvoir compter sur vous !
A 20h30, on sonne à la porte et François va ouvrir tandis que je suis à la cuisine en train de préparer le plateau pour servir l’apéro. J’entends des voix un peu fortes mais le timbre africain est des plus chaleureux. Lorsque j’arrive dans le salon, François est installé dans les fauteuils et canapés avec ses quatre invités. L’un doit avoir la soixantaine et porte une belle djellaba bleu nuit, il semble être le supérieur hiérarchique des trois autres qui sont en costume sombre, chemise blanche et cravate plutôt colorée. L’un est vraiment jeune, il ne doit pas avoir plus de 25 ans et j’apprendrai par la suite que c’est un jeune étudiant ivoirien en scolarité en France à l’école supérieure des beaux-arts de Paris. S’adressant à eux quatre, François leur dit
– Mon épouse vous demande de bien vouloir s’excuser de ne pas être présente mais elle assiste à un séminaire d’entreprise qui doit la retenir jusqu’à demain soir en province. Nous allons donc être servie par Héloïse qui assure régulièrement quelques extras ici ou chez d’autres hauts fonctionnaires du ministère français de la culture.
Je m’incline respectueusement devant eux et ils me gratifient tous d’un grand sourire. Puis, je pose mon plateau sur la table basse devant eux et je leur sers une coupe de champagne. Légèrement courbée vers l’avant pour les servir, je remarque que ceux qui sont devant moi lorgnent discrètement dans mon décolleté dont j’ai laissé volontairement deux boutons ouverts. Dans mon dos, je devine le regard des autres remontant de mes chaussures jusqu’à ma croupe rebondie.
Je retourne à la cuisine et laisse François et ses hôtes discuter de sujets variés. Régulièrement, je reviens au salon pour leur apporter de nouveaux petits fours et remplir de nouveau leurs coupes. A chaque fois que je suis au salon avec eux, je veille à marcher lentement, à avoir un port de tête altier de manière à bien faire ressortir mes seins et j’ondule ostensiblement des fesses. Le plus âgé n’est pas le dernier à me reluquer et, chaque fois que je croise son regard, il m’adresse de grands sourires en me montrant ses dents blanches.
Le plus jeune semble également très intéressé par ma personne car il n’arrête pas de me reluquer la poitrine et les jambes. Alors que je suis de retour à la cuisine, il n’hésite même pas à venir m’y rejoindre pour me demander de lui servir un verre d’eau. Alors que je lui tourne le dos pour me pencher prendre la bouteille dans le réfrigérateur, il me frôle les fesses de son bas-ventre. Je reste quelques secondes ainsi penchée pour mieux deviner son sexe bandé dans son pantalon. Lorsque je me retourne et lui sers son verre d’eau, je lui dis
– Voilà monsieur, votre verre est servi. L’eau est bien fraîche, cela va vous faire du bien car vous semblez avoir chaud.
Il me regarde droit dans les yeux et me répond
– Oui en effet, je suis bouillant mais il me faut bien plus que de l’eau !
Puis il repart avec son verre rejoindre les autres au salon.
L’apéro est maintenant terminé et ces messieurs se régalent avec les différents mets déposés sur la grande table du salon. Chacun se sert dans une assiette et revient prendre sa place autour la table basse pour poursuivre la conversation. Je passe de l’un à l’autre pour servir un excellent vin de Bordeaux. L’alcool aidant, les invités de François me jettent des regards de plus en plus concupiscents et vont même parfois jusqu’à effleurer mes jambes de leurs genoux lorsque je suis près d’eux pour remplir leur verre.
Ils parlent maintenant du musée du quai Branly de Paris et François est en train de leur expliquer que ce musée est visité par de nombreux parisiens et touristes et souligne combien les pièces dédiées à l’art tribal africain suscitent l’engouement du public. Alors que je suis là, il dit à ses invités
– Et savez-vous que toutes les françaises sont en admiration devant les statues, fétiches et autres statuettes africaines qui représentent des mâles ? Elles sont en admiration devant ces phallus démesurés qui, je dois bien vous l’avouer, donnent parfois des complexes à leurs hommes.
Ses hôtes éclatent tous de rire et le plus ancien répond ironiquement
– Que voulez vous, c’est ainsi ! Nous autres africains sommes à l’image des baobabs de nos contrées, énormes et majestueux.
Et le plus jeune d’ajouter
– Même les jeunes baobabs présentent déjà de belles proportions.
C’est à ce moment que François décide de donner une orientation plus lubrique à la soirée. M’interpellant, il me demande
– Et vous Héloïse, qu’en pensez-vous ?
Avant que je réponde, il ajoute
– Mais asseyez-vous donc quelques instants parmi nous, je suis certain que mes hôtes ne refuseront pas une aussi galante compagnie.
Après avoir pris place sur le canapé entre deux africains, je lui réponds
– Voyez-vous monsieur, je n’ai aucune expérience dans ce domaine. Comme de nombreuses femmes, je sais que les hommes africains ont une telle réputation et il m’arrive parfois de fantasmer sur le sujet. Mais j’avoue ne pas avoir eu l’occasion de passer à l’acte.
S’adressant au chef de la délégation, François lui dit
– Cher Abdoulaye, verriez-vous un inconvénient à profiter de votre présence pour satisfaire la curiosité d’Héloïse ? Ce serait en quelque sorte une façon de la récompenser pour son excellent service à table.
Se tournant vers ses trois compatriotes, le dénommé Abdoulaye leur demande
– Qu’en dîtes vous chers confrères ? Nous avons été parfaitement reçu par monsieur de Saint Jouy et nous pourrions le remercier en répondant à son souhait. Qui plus est, Héloïse est charmante et ce sera en quelque sorte un véritable dessert pour nous.
Sans attendre la réponse des trois plus jeunes, le doyen de la délégation relève sa djellaba sous laquelle il ne porte rien puis, s’adressant à moi, il me dit
– Approchez-vous Héloïse et venez caresser le baobab. Vous allez sentir frémir l’écorce du tronc sous la caresse de votre main.
Je me lève et vient me mettre à genoux près de l’intéressé. Je pose ma main sur le sexe mou qui pend entre les jambes et commence lentement à le caresser d’une main. De l’autre, je soupèse les bourses et débute une douce malaxation.
S’adressant à François, Abdoulaye lui dit
– Votre femme de service semble avoir déjà une certaine expérience. Si elle se sert de ses autres appâts aussi bien que de ses mains, la soirée risque de s’éterniser.
Et François lui répond aussitôt
– Mon épouse est régulièrement absente du domicile e elle porte peu d’intérêt au plaisirs charnels. J’ai donc régulièrement recours à Héloïse qui est tout le contraire de ma femme et qui est d’une grande discrétion.
Sous ma main, le sexe d’ébène grossit et atteint déjà de belles proportions. Tout en continuant à malaxer les bourses du vieil homme, je me penche vers son bas-ventre et le prend en bouche. Lentement, mes lèvres coulissent sur la hampe veinée et le gland turgescent vient cogner au fond de ma gorge.
Abdoulaye se cale bien dans le fond de son fauteuil et exprime aux autres tout son contentement
– Oh, quel doux fourreau pour mon glaive d’acier. Nous avons vraiment là une fellatrice d’exception. J’en profite encore un peu avant de vous la céder.
La queue est maintenant entièrement gorgée de sang et j’ai bien du mal à la prendre entièrement en bouche. Soudain, Abdoulaye se lève, me fait pivoter pour que je me retrouve à genoux devant l’un des deux quadragénaires qui a déjà baissé son pantalon pour en extraire son sexe qui branle lentement. Le vieil homme vient derrière moi, trousse ma mini jupe et, découvrant que je ne porte pas de petite culotte et que mon collant est largement fendu à l’entrejambes, il s’exclame
– Quelle adorable salope nous avons là ! Sous sa tenue de soubrette très respectable, elle est déjà prête à se faire saillir comme une chienne.
Une fois sa queue contre ma fente, il effectue quelques mouvements de va et vient pour bien me préparer. Puis, d’un coup sec, il se glisse dans ma chatte déjà ruisselante d’envie. Malgré la douleur de cette pénétration, je ne peux crier car ma bouche est déjà occupée à sucer un autre baobab. Il doit être aussi gros que le précédent mais un peu moins long. J’en ai tout de même plein la bouche.
Les quatre africains, même les deux qui ne sont pour l’instant que spectateurs, ne tarissent pas d’éloges sur mes aptitudes pour le plus grand plaisir de François qui, bien calé dans son fauteuil, savoure le spectacle en continuant à boire du Bordeaux et à savourer quelques toasts.
– Monsieur de Saint Jouy, quelle superbe salope vous avez là à votre service !
– Vas-y Abdoulaye, ouvre là bien pour nous.
– Sa bouche est un vrai fourreau de velours !
– Ne l’épuisez pas, nous voulons nous aussi en profiter.
– Patiente jeune Mamadou, elle sera toute à toi après nous avoir bien vidés.
– Oui jeune puceau, tu vas pouvoir bientôt jeter ta gourme.
– J’ai hâte ! Et le faire avec une blanche aussi salope, quelle belle initiation !
Abdoulaye me pilonne de plus en plus fort et me tient de plus en plus fermement les hanches. Soudain, dans un ultime coup de queue, il se niche au plus profond de moi et la sève du baobab se répand dans ma grotte. J’ai l’impression qu’il n’en finit pas et de longs filets blanchâtres coulent le long de mes cuisses lorsqu’il se retire.
Celui que je suçais vient aussitôt prendre sa place mais l’introduction est beaucoup plus facile. Evidemment ! Le second quadragénaire glisse sa queue déjà bien bandée dans ma bouche. Pas le temps de souffler !
Pendant un bon quart d’heure, je suis de nouveau embrochée par deux superbes queues d’ébène et je gémis de plaisir sous ces assauts puissants.
Une fois que mon baiseur s’est bien vidé, je commence à sucer le jeune Mamadou tandis que le troisième se colle contre moi. Il frotte sa queue contre ma chatte puis s’aventure entre mes fesses. Il annonce à ses camarades
– Sa chatte est tellement ouverte que je vais emprunter l’autre chemin.
François l’encourage
– Vous avez raison cher ami, elle adore aussi cela. Profitez en bien !
Heureusement que l’homme est attentif à mes envies car, vu la taille de sa queue, impossible de m’enculer trop vite. Tandis que je m’applique sur la tige de Mamadou, il m’excite bien la rondelle de son gland, me lubrifie avec le foutre de ses deux amis qui s’écoule de ma chatte puis s’introduit lentement.
Après quelques va et vient, sa queue peut enfin coulisser librement et profondément entre mes fesses. J’ai l’impression d’être embroché sur un pieu tellement il occupe toute la place. Quelle sensation !
La queue bien enserrée dans mon cul, il ne tarde pas à jouir longuement comme ses deux autres copains. J’ai l’impression qu’ils n’avaient pas baisé depuis longtemps. Ou bien, c’est le fait de prendre une femme blanche qui les a bien excité.
C’est enfin au tour du jeune Mamadou de me prendre. Devant ses amis qui l’encouragent de la voix, il me baise longuement la chatte puis profite ensuite de mon petit cul encore bien ouvert. Il est superbement monté et sa queue juvénile remplit tout l’espace que je lui offre. Mais c’est finalement dans ma bouche qu’il décide de jouir et je me délecte de son foutre âcre et épais.
Une fois les quatre africains repartis, alors que je suis dans la cuisine en train de faire quelques rangements, François se colle à moi. Il trousse ma mini jupe et me dit
– Tu as été parfaite ! Une vraie salope ! Mes invités ont adoré !
Puis il glisse sa queue dans mon cul et commence à me limer. Il ajoute
– Abdoulaye m’a même dit qu’il serait ravi que tu m’accompagnes si je dois aller en mission chez eux.
Il me mordille dans le cou, se vide en moi puis ajoute
– Je t’imagine déjà en train de te faire partouzer dans un bordel d’Abidjan