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Soumise aux ordres de mon Maître – Chapitre 6




Soumise aux ordres de mon Maître.

La maison close. Deuxième séance. 

 (Cette histoire est écrite avec la complicité d’une de mes lectrices. Mais je ne vous dirai pas si tout ou partie est fantasme ou réalité. L’auteur)

  

  

  

 Il se déboîte enfin de la donzelle et donne un ordre:

 – Dehors les filles! 

 Il se tourne vers moi pour me questionner, retirant son préservatif, toujours aussi raide :

 -Tu sais la spécialité de Saint-Claude, Sophie? 

 Je hoche la tête.

 – Alors, à toi mais sans les mains !

  

 Suite :

 Je me jette sur lui, à genoux, en écartant les cuisses, mes mains dans le dos se serrent pour se retenir. J’avance ma bouche devant mon jouet dressé à l’horizontale et j’avance les lèvres en un O. Hummmm ! Il y a différents goûts. Il est doux, dur, chaud, bon. 

 Je lève les yeux pour lui montrer mon envie de lui, pour lui prouver ma soumission. Je fais des vas-et-viens en essayant de le faire entrer le plus loin possible. 

 Ce n’est pas tellement la longueur le problème, mais son épaisseur, j’ai du mal à écarter autant les mâchoires. Je frotte ma langue sur sa veine en de petits mouvements pour accompagner la montée de sa sauce. 

 J’ai beaucoup de mal à garder mes mains dans le dos, je le supplie du regard. Me comprend-t-il? Patrick, s’il te plaît ! Laisse-moi te toucher! Je maîtrise un haut le cur, il est loin, je recule, le laisse sortir, donne des coups de langue, des baisers avant de le reprends en bouche.

 Hummmm !  Je ne peux pas m’empêcher, mes mains courent sur ses fesses pour m’aider à le guider, pour le toucher, le caresser, le griffer un peu.

 Explosion de saveur dans ma bouche, il éjacule en longues rasades, épaisses, puissantes et interminables, je déglutis, avale, bave… Hummmm ! J’ai un peu de lui en moi, je me nourris de sa sève, mes yeux lui expriment mon bonheur, ma joie qu’il soit enfin à moi. Une larme s’échappe, Merci Patrick.

 Il s’éloigne sans me regarder et je l’entends dire avant qu’il ne referme la porte :

 -N’oublie pas de faire ton rapport !

 Je me retrouve toute seule comme une conne. Je me refais une beauté et quitte ce lieu de débauche.

  

 Rentrée chez moi, je me jette dans l’écriture de mon rapport détaillé. Je suis trop impatiente de lui annoncer fièrement que j’ai réussi à me comporter comme une vraie salope, comme une parfaite putain, comme il le voulait ! Que je me suis soumise corps et âme à ses ordres, en servante docile et dépravée.

 Il me tarde déjà qu’il me dise que j’ai atteins le bout du bout de la dépravation  et d’en être félicitée.

  

 À ma grande déception, quand je reçois sa réponse, Il ne me félicite pas. Pire encore, me reprochant même de m’être emballée, de m’être laissé aller à des gestes et des initiatives.

  Ces reproches, après les louanges que je croyais mériter, me semblent terriblement injustes. 

 Mais je dois avouer que j’adore quand mon Maître me rabaisse ainsi.

 Il me précise que si je ne me comporte pas en parfaite soumise, il interrompra ma formation et cherchera une autre soumise plus motivée. Mais qu’il m’accorde néanmoins deux numéros de plus.

 

 Je suis outrée et jalouse. A-t-il d’autres soumises ? Mais bien sûr qu’il en a, comment n’en aurait-il pas ? Un Maître comme lui doit fatalement s’occuper de plusieurs soumises comme moi. Enfin Je ne sais pas.

  

 Il me donne les nouvelles consignes :

 -Dans une semaine, même heure, même endroit, même tenue. Si tu n’es pas là, ce sera la preuve que tu n’es pas assez soumise !

  

 Je pense tellement en boucle à ses ordres, que j’ai oublié que j’avais laissé des meubles que je repeins dehors et la pluie s’est invitée cette nuit. J’ai fait un sprint dans le jardin à 3h20 du matin, nue comme un vers.  C’était drôle et je me rends compte que je n’aurais jamais osé faire ça avant…

  Je me suis rendormie les mains sur moi en pensant à Toi, mon Maître.

 Je me serre contre ton dos, mes mains autour de ta taille remontent sur tes tétons, je me frotte et te souffle des mots cochons. Tu me caresse mais évite mes zones érogènes pour me rendre folle de désir.

 La semaine est toute en paradoxe. Je suis certaine de vouloir, je veux Lui et je veux certainement aussi me trouver, trouver la femme endormie depuis des années. Je veux que mon corps exulte, que chaque centimètre carré de ma peau se sente vivant.

  Mais, ai-je besoin d’être humiliée, dépravée, débauchée? Mes lectures n’étaient-elles qu’un fantasme ou un vrai besoin de réalité ?

 Je me dis que pour savoir, il faut y aller mais, si j’y vais, je ne serai qu’une parmi d’autres, je ne serai finalement qu’un corps, plus tout jeune. Mais comment l’amener à me regarder Moi toute entière… en allant l’affronter. Il a raison finalement, je ne suis pas vraiment soumise.

  

 Le grand soir, j’ai pris un long bain parfumé au freesia, crème, je suis à fleur de peau, le moindre contact m’envoie des décharges électriques. Hauts talons aiguilles gris à lanières entrecroisées et une petite robe grise flottante et large, tissu très fluide, pas un grand décolleté mais courte et sans dessous cela lui donne un air vraiment coquin. 

 Je me sens féline, je redresse mes cheveux en un petit chignon pour dégager la nuque, pas de bijoux, un léger coup de mascara, mes ongles sont déjà rouges, et pour mes lèvres je choisis finalement un gloss rosé très brillant. 

 C’est simple, sobre si il n’y avait pas ces chaussures. Mais en me regardant dans le miroir, je vois une femme animale, comme en chasse, les yeux brillant, chaque mouvement n’est qu’appel, provocation, langueur.

 Je prends un taxi, je crois mes jambes pour contrôler mon entrejambe et m’adosse au fond du siège,ventre qui se creuse, poitrine qui s’exhibe, tête la plus reculée possible, reins qui se cambrent.

 On voit apparaître les dentelles du haut de mon bas, et l’attache du port- jarretelles. 

 Soumise? Oui ! Oui mais pas totalement, je viens à ce rendez-vous avec mes armes. Ensemble aubade noir à broderie rouge, porte jarretelles noir et des bas brodés sur le haut et avec une couture à l’arrière… j’adore le côté rétro.

  Je sens cette transformation en moi, de la femme sage, frustrée à la femelle, la salope qui laisse son corps prendre le contrôle, non, qui laisse Patrick prendre le contrôle….

  

 Quand je me retrouve devant la porte, j’inspire un grand coup et j’expire tous les doutes, tous les freins, tous les tabous. Si je suis là, c’est en toute liberté, je veux être libre.

 Je rentre, perchée sur mes 13 cm, démarche chaloupée, regard droit et, telle une conquérante, je me laisse guider vers le salon bleu.

 J’entre.

 Il est là mais pas nu comme je m’y attendais, pieds nus, pantalon à pince noir, chemise blanche entrouverte, manches retroussées. Tiens, il me plait aussi habillé! Il est debout face à moi, jambes légèrement écartées, les mains le long du corps, mon Maître. 

 A ses pieds, grrrr!, les trois taupes! Elles sont nues, assises une de côté, l’autre en tailleur avec une vue indécente et la troisième, genoux serrés, fesses sur ses talons.

 – Approche-toi Sophie !

 J’avance. Les trois grâces me regardent, je leur jette un il mauvais.

 Il rit doucement.

 – Et tu oses dire que tu n’as jamais été jalouse!

 Je baisse la tête, coupable. Oui, je l’ai dit, et c’était vrai.

 – Je sais ce qui est bon pour toi, et moi seul, Sophie !

  

 Vraiment? C’est possible, mon corps réagit à sa voix. Je me redresse, fière et forte. Il sait ce qui est bon pour moi, mais moi, je sais ce qui est bon pour lui.

 J’avance encore d’un pas en soulevant légèrement le côté de ma robe.

 Je vois dans ses yeux qu’il a vu. Alors? Ta soumise n’a pas respecté la consigne. Quelle réaction? Je vois la surprise, puis un micro sourire passe sur ses lèvres, vite effacé. Une lumière différente éclaire ses yeux, clignement, et il se ressaisit.

 D’une voix impérieuse, il me lâche :

 – Enlève ta robe!

 Je le regarde, sourire sur mes lèvres, sourire dans mes yeux, malicieuse, un sourcil se redresse interrogateur et devient même provocateur.

 Je croise les bras, saisis le bas de ma robe et je l’enlève. Pause. Je garde longtemps les bras levés avec mon tissu gris perle au bout des doigts, je le nargue. 

 En sous-vêtements, mes seins semblent moins petits, je bascule mon poids sur une jambe, déhanchement, sourire, et je lâche enfin ma robe. Il reste impassible, non, pas vraiment. Je vois son pantalon se déformer, j’ai réveillé la bête, hummmm ! Il ne peut pas cacher son désir, le long de sa cuisse droite, son bâton prend de l’ampleur. Je suis sûre qu’il n’a rien en dessous.

  

 – Tu m’as désobéi Sophie ! Je ne sais pas si tu auras l’honneur de mon corps! Montre-toi docile !

 Oh non!, je voulais qu’il craque, qu’il me saute dessus, qu’il me prenne, me tourmente, m’épuise, me lèche, me prenne encore et encore. Je voulais qu’il ait envie de moi, de mon corps, de mes seins, de ma chatte, de mes longues jambes enroulées autour de lui, de ma sueur, de mes gémissements, de ma bouche, de mes yeux. Qu’il voie au fond de moi, qu’il me reconnaisse. Et j’ai tout gâché! Par rébellion, par arrogance peut-être? 

  

 (À suivre)

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