Histoires de sexe mobiles Histoires de tromper Premières histoires de sexe

les soins très spéciaux de ma mère – Chapitre 1




bonjour,

Je m’appelle Alex. J’ai 27 ans.

Il y a quelques mois de ça, j’ai eu un grave accident de moto qui m’a laissé paralysé de la tête aux pieds pendant une longue période : mon système nerveux était bien endommagé.

Les médecins étaient pessimistes : personne ne savait si j’allais bouger un jour à nouveau.

Le regard fixe, droit devant moi, je restais ainsi allongé dans mon lit, chez mes parents, les yeux ouverts certes mais inerte, sans pouvoir ni parler ni bouger un doigt ni même battre une paupière volontairement …

Une sorte de zombie immobile…

Ma famille était catastrophée mais essayait de ne rien montrer devant moi. Ils ne savaient même pas si j’étais conscient, si j’entendais lorsqu’ils me parlaient …

Les jours passaient ainsi, dans la plus parfaite monotonie pour moi, à attendre immobile sur mon lit …

Jusqu’au jour où eu lieu un événement qui modifia le cours de ma maladie…

Les week-ends, en l’absence des aides soignantes qui faisaient ma toilette, c’était ma mère qui s’était attelée à cette tache.

J’étais assez gêné, car malgré mon age ça voulait dire que ma mère allait me laver comme un petit enfant…y compris là où il faut bien aller : en dessous de la ceinture…

Elle non plus cette tâche ne l’enchantait pas, mais elle n’avait guère le choix si elle voulait que je reste dans un état d’hygiène convenable…

"Et puis si ça se trouve, pensait elle, il ne se rend même pas compte de quoi que ce soit… "

Elle était persuadée que je ne sentais rien, puisque je n’avais aucune réaction…

Alors elle venait dans ma chambre, et elle fermait la porte. Puis elle retirait les draps et remontait ma chemise pour me laver avec tout le soin nécessaire.

Ce qui me gênait aussi beaucoup, c’est que contrairement aux aides soignantes, ma mère n’utilisait pas de main éponge : c’est main nue qu’elle humectait d’eau ma peau et qu’elle me passait le savon sur tout le corps.

Mais bon…Elle l’avait fait pendant des années quand j’étais tout petit enfant après tout…

Mais là c’était différent : Je me suis aperçu que je trouvais sa main plutôt douce et que c’était vraiment pas désagréable.

Car si je ne pouvais bouger, contrairement à ce que croyait ma mère je sentais tout ! Ma peau n’avait rien perdu de sa sensibilité…

Alors je n’avais qu’une peur : que ça soit vraiment agréable…

J’étais nu, et si j’étais pris d’une érection au moment où elle allait arriver en bas, elle s’en apercevrait forcement…

Quelle honte alors pour moi !

Déjà lorsqu’elle me nettoyait le ventre et qu’elle descendait la main vers mon bas ventre je sentais la tension monter en moi. Je savais que dans quelques secondes elle allait passer plus bas, nettoyer mes parties les plus intimes…

Mais plus je me concentrais pour ne pas y penser, plus je sentais le plaisir monter…

Et c’est là que je n’ai pu que constater : sous l’action des douces mains de mère ma queue était en train de grossir…

Ma mère est restée quelques secondes sans bouger, surprise devant ma réaction. C’était la première fois depuis des mois qu’elle voyait bouger une partie de mon corps.

Moi j’étais mort de honte …

Mais ma mère, au fond d’elle, était ravie. Je n’étais donc pas devenu un légume, j’étais sensible  !

Les jours qui vinrent, elle demanda aux aides soignantes de ne pas venir : c’est elle qui dorénavant allait s’occuper de moi.

Moi, je voulais surtout éviter ça : ma gêne était énorme… Mais je ne pouvais pas bouger, rien dire, ni protester…

Ma mère avait enfin l’espoir de me voir me rétablir. Elle allait dorénavant consacrer ses efforts à me faire guérir.

Et puisque ça passait par là, elle allait s’occuper de la seule partie de mon corps qui bougeait : ma queue…

C’est ainsi, qu’au lieu de me laisser en paix, elle avait élaboré un stratagème imparable : dès le lendemain, je la vis arriver dans la chambre avec une jolie petite nuisette, et une petite culotte très légère…

C’était la première fois que je la voyais comme ça !

Sous la nuisette, son soutien gorge était lui aussi très léger, si bien qu’on voyait assez bien les mamelons et ses tétons par transparence….

J’en ai eu le souffle coupé…Il me manquait plus que ça !!

Lorsque ma mère a retiré mon drap, j’ai compris que j’étais coincé :

Il a suffit qu’elle porte sa main sur mon bas ventre pour que je sente ma queue grossir.

Je ne voulais pas voir ça, fermer les yeux, mais mes paupières ne répondaient pas…

Et ma mère qui insistait sur mon organe en érection !!

Qui plus est je voyais en même temps son énorme poitrine qui débordait du soutien gorge, ce qui renforçait mon excitation…

Ses mains savonneuses allaient et venaient sur mes couilles, vers mon anus, puis revenaient vers ma queue, pour aller et venir de tout son long…

Ce n’étais plus une toilette, c’était une masturbation dans les règles…

C’est là que ma mère a dépassé les bornes… Sans doute sa confiance renforcée par son succès avec moi, je l’ai vue se redresser, porter les mains dans son dos et dégrafer son soutien gorge.

D’un geste ample elle l’envoya valser sur une chaise, découvrant ses deux fantastiques seins…

C’était plus que ce que je pouvais supporter. Seins nus, elle était magnifique et elle le savait…

Alors elle s’est remise à me caresser doucement… Et elle faisait ça bien !!!

Si bien que j’ai senti le pire pouvait arriver …

Non !!!! Je ne pouvais quand même pas jouir !!! Pas devant ma mère !!!

Je fermais les yeux pour essayer de vider ma tête… Mais ses mains étaient si expertes !

Je sentais ma queue sur le bord d’exploser …

C’est là que ma mère sen pencha en avant. Le bout de ses seins toucha ma queue. Elle se pencha encore un peu et c’est toute ma queue qui se retrouvait prise entre ses deux grosses mamelles, que ma mère pressait l’une contre l’autre…

Elle n’eut pas besoin de prolonger longtemps ce traitement. C’était plus que ce que je pouvais supporter…

Tout mon corps s’est raidi, j’ai senti une jouissance énorme monter. J’ai eu l’impression de lâcher plusieurs litres de sperme qui ont jailli avec une puissance insoupçonnée vu mon état..

Mort de honte, mais vraiment soulagé, j’ai regardé ma mère attraper des sopalins, pour nettoyer mon sperme qui avait giclé partout, y compris sur ses seins.

Puis elle a fini tranquillement ma toilette.

…. Pourquoi avait elle fait ça ??? …

Après coup elle m’a avoué qu’elle avait senti tous mes muscles se tendre au moment de l’éjaculation. C’est ce qu’elle avait espéré.

Elle avait lu dans un magazine que l’orgasme était un puissant décontractant pour le corps. Le magazine en question disait aussi qu’il était pour l’instant hors de question de pratiquer ça dans les hopitaux, mais si c’était le cas, avec des infirmières spécialisées, beaucoup de patients masculins (mais aussi féminins) guériraient beaucoup plus vite…

C’est ainsi que pour la première fois ma mère a eu espoir de me voir bouger un jour à nouveau…

Son espoir était si grand, que bien sûr elle a recommencé. Il était hors de question de laisser cet espoir sans suite. Et tans pis si elle devait donner d’elle même pour ça !

Ma santé, ma vie était la chose la plus importante pour elle !!!…

C’est ainsi, que jours après jours, elle venait le matin dans ma chambre pour essayer de me guérir… Et chaque jour, c’était dans des tenues toujours plus sexy.

Des soutien gorges affriolants, des portes jarretelles tout en dentelles, des petites culottes superbes qui laissaient deviner toute son anatomie…

Et toujours en talon haut, ce qui renforçait sa cambrure et lui permettait de garder les fesses bien en arrière quand elle allait et venait dans la chambre, ce qui me rendait fou intérieurement.

Elle avait compris que tout ça jouait un rôle important au moment où elle allait stimuler mon organe…

Elle avait même fini par se mettre entièrement à poil, constatant qu’au moment où elle retirait sa culotte et que j’apercevais son sexe, elle n’avait même pas besoin de me toucher pour me faire réagir…

Il suffisait qu’elle s’assoie sur une chaise en face de moi et qu’elle écarte les jambes…La vue de sa chatte me faisait systématiquement bander.

Avec son corps de femme quarantenaire superbe, elle produisait toujours chez moi un effet dingue …

Alors elle revenait vers le lit pour s’occuper de moi sérieusement.

Car si elle faisait tout ça, c’est que me faire jouir était devenu son soin quotidien. C’est comme ça qu’elle pensait me guérir.

Elle n’avait pas tort. A chaque jouissance j’étais saisi de tremblements dans tout le corps. Chaque éjaculation apportait son lot de nouvelles réactions, de sensations nouvelles.

La suite s’est avérée être dans les limites du convenable, mais tellement efficace !

Obsédée par ma guérison, ma mère a perdu tout sens logique, toute pudeur…Il y a quand même des choses qu’une mère ne peut pas faire…

Mais là il s’agissait de sauver son fils ! Quelle autre mère n’aurait pas fait pareil ?

La fellation est ainsi devenue son outil favori. La première fois que je l’ai vue prendre mon sexe dans la bouche, j’en ai pas cru mes yeux… En femme d’expérience, elle m’a fait largement bénéficier de toute sa maîtrise en la matière…

Mais elle ne s’est pas arrêtée là, il faut l’avouer… :

Un jour, à ma grande surprise, je l’ai vue retirer sa culotte et monter sur le lit. Je n’ai pas compris tout de suite son intention.

Et pourtant…

Stupéfait, j’ai enfin compris : elle avait passé une jambe au dessus de moi et s’installait à califourchon sur moi … Elle s’est positionnée au dessus de mon sexe, l’a saisi de la main, l’a dirigé vers sa vulve et s’est assise complètement dessus…

Je l’avais pénétrée…

… Ma propre mère !!!!

Sentir son sexe dans le vagin de sa propre mère est une sensation qui dépasse tout ce qu’un homme peut connaître… On arrive aux limites du plaisir infini…

Immobile, je ne pouvais que la regarder monter et descendre, se tordre dans tous les sens pour m’arracher du plaisir… Et quel plaisir !

Je voyais ses seins énormes ballotter dans tous les sens, son sexe engloutir mon sexe, le libérer, l’engloutir de nouveau. Ma mère, la tête jetée en arrière, la bouche ouverte, les yeux fermés semblait partie elle aussi dans un autre monde…

Elle aussi prenait un plaisir intense, avec en plus la certitude que c’était là son devoir de mère qu’elle faisait pour me guérir…

Quelques minutes après je jouissais…

…dans elle…

J’avais atteint le bout du plaisir…

C’est là que l’incroyable s’est produit : un son est sorti de ma bouche, un son presque inaudible mais bien réel : "haaaaa ! ", le premier son que j’étais capable de produire depuis des mois de silence…

Ma mère s’est arrêtée net de bouger. Elle n’en croyait pas ses yeux, ou plutôt ses oreilles ! J’avais dit quelque chose ! C’était fantastique !

Elle était folle de plaisir ! …. Enfin elle avait la certitude que j’allais m’en sortir !

C’est ainsi que les jours et les semaines qui ont suivi, elle a redoublé de zèle pour m’amener sur le chemin de la guérison.

Les médecins étaient très surpris de ces progrès… "Mais tant mieux !" Disaient ils….

Ah s’ils avaient su ce que ma mère devait faire pour obtenir ces résultats !!!

Car elle se donnait du mal !

Il devenait rare les fois où elle ne grimpait pas sur le lit pour me faire bénéficier des vertus guérissantes de sa chaude, humide et accueillante intimité…

Après ma guérison, j’ai posé la question sur un site internet spécialisé pour savoir ce que les gens pensaient de tout ça. J’ai bien sûr reçu des messages d’internautes qui disaient : "ta mère est juste une chaudasse, c’est tout, elle adore le cul !"

Je ne suis vraiment pas d’accord : bien sûr que ma mère prenait du plaisir ! Encore heureux qu’elle ne se forçait pas !!!

Mais ce qu’elle faisait elle le faisait d’abord pour moi, pour me permettre de guérir vite…

Je me suis en effet rétabli à une vitesse qualifiée de miracle par la médecine…

Ma mère, très consciencieuse, tenait cependant à ce que je continue son traitement jusqu’à guérison complète.

Quelques mois après, je pouvais bouger par moi même, me tourner seul dans le lit, puis m’asseoir, puis quelques mois encore après, me lever…

Mais ma mère insistait pour que je ne perde pas mes bonnes habitudes, et elle insistait pour que je fasse des "exercices".

C’est ainsi que j’ai pu rapidement tester avec elle des positions nouvelles qui amélioraient très efficacement mon tonus musculaire.

Tous les matins, après une rapide fellation pour bien me réveiller, elle me donnait ses instructions : la prendre par devant, au dessus d’elle , ou par derrière en levrette…

Après un tel programme, rien d’étonnant que ma guérison ait été rapide !

La première fois où j’ai pu remarcher seul, je suis allé la trouver dans la cuisine pour lui faire la surprise. Je suis arrivé en silence derrière elle.

Elle avait une jolie petite jupe légère que j’aimais bien. Je me suis avancé doucement et je l’ai relevée. C’était bien ce que je pensais : elle n’avait pas de culotte.

Ma mère eu un moment de surprise, puis son visage s’est illuminé. Elle était tellement contente !! Elle s’est mise à rire de bonheur de me voir debout et arriver à marcher seul.

Je n’avais sur moi qu’une vague chemise, mon sexe était nu. Sans se retourner, ma mère l’attrapa dans la main, vérifiant ainsi que je bandais bien.

Puis pour me féliciter de mes progrès, elle se pencha en avant et mis les fesses en arrière.

J’ai fait un dernier pas, juste un pas. Et je l’ai pénétrée à nouveau…

Aujourd’hui je suis bien guéri et je n’ai plus de séquelles de mon accident.

Mais régulièrement, par sécurité, ma mère préfère s’assurer que je reste en bonne santé. Elle me rappelle que la guérison n’est jamais acquise et qu’une rechute est tellement vite arrivée.

Alors je me déshabille et je lui montre que tout va bien pour moi, que mon organe est en pleine forme, ce qui est la meilleure preuve que tout va bien ! …

Mais invariablement, elle fait une moue dubitative, me dit qu’elle me croit, qu’il n’y a pas de problème, mais que je ferais mieux de m’en assurer avec elle, puisqu’elle est là…

Alors elle retire sa culotte et me demande de venir la prendre. Nous faisons l’amour doucement : la médecine douce, après une maladie aussi grave, rien de tel !

Related posts

anniversaire jeremy – Chapitre 1

historiesexe

La mère Noël et ses Lutines (3) – Chapitre 1

historiesexe

Ma femme et les routiers – Chapitre 1

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .