Voici comment nous avons découvert les plaisirs autres que "à la papa et maman".

A cette époque, ma femme était âgée de 22 ans et moi de 26. C’était un soir de printemps en 2007, nous étions tous 2 à une soirée d’anniversaire chez un des cousins à ma femme.

Cela faisait longtemps qu’elle ne l’avait plus vu, il faut dire que nos occupations et la distance font que les relations avec lui se faisaient le plus souvent par téléphone.

Bref, nous avions accepté de nous y rendre à condition de pouvoir y loger (faire 215 km au milieu de la nuit et certainement après avoir consommé, non merci).

Malgré ses promesses, quand nous sommes arrivés chez lui, il nous a annoncé quil ne pourrait nous loger par manque de places. Mais il a directement précisé qu’un de ses invités (François 64 ans) avait répondu favorablement à sa demande de nous héberger. J’avoue que cela m’avait fortement déplu, la moindre des choses aurait été de nous prévenir à l’avance.

Faisant fi de ce désagrément, nous sommes restés et ne le regrettons pas du tout. La soirée fut réussie, tant du côté de l’ambiance quen ce qui concerne la musique et les alcools.

Vers 02h00 du mat’, c’est légèrement ivres que nous sommes montés dans la voiture de François pour aller coucher chez lui. C’était un fermier qui habitait seul dans une grande bâtisse jouxtant les étables. Arrivé chez lui, il nous a proposé un verre de vin que nous avons accepté. Il nous a laissés seuls quelques instants, le temps d’aller voir si tout se passait bien avec ses vaches.

Quand il est revenu, ma femme et moi avions quasi vidé la bouteille de vin et étions plus que "joyeux". Il est allé en chercher une seconde d’aussi bonne qualité (y a pas à dire, les fermiers ont les moyens) que nous avons entamée en sa compagnie. L’alcool aidant, ainsi que la fatigue de la journée et de la soirée, ma femme et moi nous sommes assoupis dans le canapé.

Je ne sais après combien de temps, j’ai ouvert les yeux et ai vu une chose incroyable, lhomme avait relevé la blouse de ma femme et lui tripotait les seins !

D’abord abasourdi, je me suis redressé et lui ai demandé ce qu’il faisait (question idiote, j’en conviens). Il s’est remis debout et s’est excusé en me disant qu’il n’avait pu se contenir, qu’il avait été excité toute la soirée à regarder ma femme. Il continua en m’expliquant qu’elle était vraiment belle, que ses jambes étaient parfaites et que sa petite poitrine et son âge correspondaient exactement à ses fantasmes. J’ai toujours apprécié qu’on mate ma femme et cet homme la complimentait si bien.

Alors je lui ai permis de continuer, mais avec délicatesse.

Aussitôt il a recommencé à la peloter, sortant délicatement et l’un après l’autre ses deux petits seins du soutien-gorge. Mais il ne s’arrêta pas là ! Tout en me regardant en ayant l’air de me demander mon accord, une de ses mains descendit et s’aventura entre les cuisses de ma douce. J’étais super excité et ne dis rien.

Tout à coup, ma femme ouvrit les yeux et constat ce qui se passait (l’homme avait la main gauche sur un de ses seins nus, tandis qu’il avait pénétré sa chatte d’un doigt fureteur). Je me suis vite levé et, face à elle, lui ai fait signe de ne rien dire ni faire. François n’avait rien remarqué et continuait à la doigter. Immobile, elle commença à prendre du plaisir à cette masturbation (son état de légère ivresse a contribué à son acceptation et sa prise de plaisir).

Elle se mit à pousser de petits cris de jouissance, cris qui firent paniquer François qui cessa toutes activités. Ma douce était donc assise seins à l’air et jambes écartées, moi je bandais comme un âne et François ne savait que faire. Je n’ai même pas réfléchi. J’ai aidé ma douce à se lever et ai proposé à François de la mettre nue.

Il a un peu hésité puis a entamé le déshabillage complet. La situation avait dégrisé ma chérie qui, maintenant, comprit ce qui allait suivre … ou presque. Sachant ce qui est pour elle le meilleur des stimuli, j’ai débuté une séance de fessée sur son petit cul nu.

J’ai demandé à François de s’asseoir sur le canapé puis lui ai amené ma coquine qui s’est allongée sur lui. Comprenant tout, il a pris ma relève et l’a fessée à son tour. Elle avait les fesses rouges pivoine et hurlait de plaisir.

J’ai demandé à François si nous pouvions aller dans sa chambre et il a accepté. Mais il n’avait pas compris et, une fois dans la chambre, fit mine de partir et nous laisser seuls elle et moi.

Je lui ai dit que non, qu’il pouvait et même devait rester. Que d’ailleurs c’est lui qui allait commencer à baiser ma femme, que je regarderais un peu avant de les rejoindre.

Il s’est déshabillé et allongé près d’elle, d’abord timide puis totalement à son aise. Embrassades, caresses, doigtage anal pendant la pénétration, plus rien ne l’arrêtait. Je les ai rejoints et ma coquine a commencé par me sucer tandis qu’il la bourrait.

Ensuite ce fut à lui qu’elle prodigua une gourmande fellation. Pour terminer, nous l’avons prise en sandwich. Et, gentleman, je lui ai laissé le bonheur de la sodomiser. Il lui a envoyé toute sa semence au fond de son petit trou du cul. Nous nous sommes endormis tous trois dans le même lit.

Le lendemain matin, j’ai tenu à ce qu’ils prennent leur douche ensemble et j’ai maté toute la séance où il l’a lavée, puis baisée sous le jet d’eau. Vraiment un souvenir inoubliable et un déclencheur pour notre sexualité qui s’est ouverte à de multiples jeux et d’innombrables rencontres. A ce jour, nous comptons 73 amants (parfois je suis présent, parfois elle seule et me raconte après), dont l’immense majorité sont des sexagénaires.

Franchement, nous disons mille et mille mercis à son cousin.

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