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Msuro et Mamadou – Chapitre 4




Évidement cela a commencé à poser des problèmes, même si les amérindiens sont connus pour leur sens de l’hospitalité, d’accueillir des coucous dans son nid ne se passe pas facilement, seul Msuro est épargné par le phénomène, Lianshu n’y est pas étrangère, elle a obligé Isa de n’offrir que ses fesses aux visites d’autres que Msuro. Du reste la chamane commença à imposer cette coutume aux autres femmes copulant hors ménage, en constatant l’arrivée multiple de petits bâtards avec un air de famille à Mamadou. Elle paya souvent de sa personne pour calmer les plus excités par cette situation, leur apprenant les minimums pour faire plaisir aux femmes. Souvent après la rudesse du coït amérindien, il lui fallait plusieurs nuits avec Mamadou pour lui donner envie de poursuivre sa mission de souder la tribu.

— Plume blanche, pourquoi tu te plains, tu es un peu rachitique et te voilà avec un beau bébé sain qui sera aussi fort que Mamadou, je suis sûr, Tu en as de la chance, moi, par exemple, je n’ai pas de fils qui viendront me soutenir dans mes vieux jours.

— Msuro s’occupera toujours de toi, ainsi que sa femme, ne te fais pas de soucis.

— Justement, avec sa charge de chef, il en a du travail pour calmer toutes vos disputes inutiles. Tu dois être fier d’avoir un magnifique bébé que tu n’aurais pas été capable de faire sans l’aide de Mamadou. Dis-moi Plume Blanche, que préfères-tu ton mustang ou ta squaw ?

— Évidement mon Mustang, lui il peut me porter.

— Voilà le problème, ta femme doit passer en premier, essaye d’engendrer un fils avec ta monture ? Demande à ton Mustang de te faire à manger, de s’occuper de ton intérieur. Je ne dis pas que le mustang est inutile, mais il reste moins important.

— Tu as probablement raison, mais quand je donne un ordre à mon mustang, il obéit, Ce qui n’est pas forcément le cas de ma femme et personne à part moi le monte.

— Cela me donne une autre idée, imagine que tu tombes de ton mustang et que tu te blesses et que tu sois incapable de remonter dessus, ton cheval revient au campement et Mamadou par exemple monte dessus pour aller te secourir plus vite, serais-tu fâché ?

Même si tu préfères ton cheval à ta squaw ?

Le calvaire de Katty

Une fois Mamadou en fuite, Katty ouvrit la porte de sa chambre avant qu’elle fût brisée sous les coups de haches.

Un pair d’hommes complètement déments pénétrèrent dans sa chambre, les yeux fous :

— Il est où celui qui te faisait bramer comme une folle ?

— Tout d’abord, de quel droit pénétrez-vous dans ma chambre ?

— On a tous entendu comment tu forniquais *1 à ton esclave noir, ce qui est interdit pour une blanche, demain, tu seras reconduite à ton père sous escorte.

Le lendemain, une calèche et 10 hommes en armes sont prêts pour le voyage vers la plantation centrale de son père.

Le voyage se fit sans problème et l’explication avec le père fut assez dure.

Finalement, le père décida de la marier tout de suite avec un nouvel arrivant, bon chrétien, très fervent, fidèle participants aux cultes.

Le Mariage

Trois jours après son arrivée, le mariage est organisé et toute la plantation est invitée à la fête. Il faut dire que la dot est confortable pour faire avaler le poisson à Élie son futur mari. Il fallait bien cela pour passer après un nègre *2.

Jusqu’à la cérémonie, le père tint Kitty cloîtrée et entra à l’église en la tenant fermement au bras. Lors de la question traditionnelle,

— Katty Longrain, acceptez-vous de prendre comme époux Élie Karfourstrasel.

Devant son mutisme, son père la pinça fortement dans le dos, provoquant un grognement plus ou moins distinct.

— Vous avez entendu, elle a dit oui.

La cérémonie s’est continuée sans autre forme de procès, l’époux toutes fois n’ayant pas réussi à embrasser la mariée.

À la sortie, il fit remarquer à son beau père.

— La pouliche me semble un peu rebelle, il faudra bien que je la dresse un peu, vu que la femme doit être soumise à son époux.

— Faites mon brave, je pense bien que vous saurez la mettre au pas.

Le soir, dans l’unique lit, Katty, revêtue de sa nouvelle tenue de nuit, ressemblant à celle d’ouvriers en une pièce. Juste avec un petit passage pour permettre aux deux sexes de se trouver.

Son mari, dans l’idée de lui montrer qui est l’homme veut tout de suite la prendre à sec. Elle se laisse tripoter et reste sans réaction, si bien que Élie à l’impression de faire l’amour avec un cadavre. Finalement après avoir vidé ses burettes, il se tourne de son côté et s’endort.

Le lendemain, devant le lit vide, anxieux, il recherche sa femme et la trouve en train de préparer le petit déjeuner, Vraiment, il a l’air beaucoup moins à l’aise, il s’excuse de son comportement.

Froidement, elle lui réplique qu’elle sait qu’il est son époux, mais il n’aura jamais son cur de cette façon, mais s’il veut avoir un cadavre dans son lit, cela ne regarde que lui et que si la femme doit être soumise à l’homme, l’homme doit la respecter et elle ne pense pas que sa façon de faire est en accord avec les écritures.

— Mais enfin, je t’ai prise, car tu étais déshonorée, tu avais couché avec un esclave.

— Je ne me sens pas déshonorée, car il m’a respectée et a été beaucoup plus aimant que toi. Si j’avais commis l’adultère, je comprendrais ta remarque, mais nous n’étions pas passé par ce simulacre de mariage. Trouve-moi dans tes foutues écritures où il est interdit de connaître un homme de couleur ? Je crois que tu connais bien le livre sacré, mais d’ici que tu trouves, je vais être tranquille. Il me semble que même Salomon n’a pas reculé devant les charmes de la reine de Sabbat et à savoir il n’en fut pas déshonoré.

— Je pense que tu as raison et je te demande pardon, je vais rendre ta dot à ton père et demander le divorce.

— Non, tu commences à me plaire en devenant moins sectaire. Peut-être pourrons-nous être un couple ordinaire.

— Alors on fait la paix.

— Soit.

C’est ainsi que ce couple qui était relativement mal parti commença à avoir une vie commune assez agréable et après le premier mois, quand Élie constata qu’elle n’était pas enceinte, excluant le noir, il changea du tout au tout et compris qu’il avait une femme de tête. Même si Katy regrettait par moment Mamadou qui était vraiment très tendre et surtout très puissant, elle s’accommodait gentiment au train-train de son mari, une fois par semaine après le sermon, sans trop de fioriture.

Petit à petit, Élie se prend à choyer sa femme, il est plus attentif à ses besoins. Il a de lui-même aboli la chemise de nuit pour intégriste, il apprécie de pouvoir jouer avec son corps, même il lui arrive de poser des baisers à des endroits pas spécialement prévus à cet effet par les écritures.

Elle de son côté, ayant perdu une bonne partie de ses illusions l’encourage fort dans cette direction. Parfois, elle va même jusqu’à caresser son membre, mais elle n’ose le lécher et même si son hygiène est convenable, cela ne se fait pas dans le cercle de la paroisse sous peine que son mari la prenne pour une prostituée, ce que son éducation repousse avec horreur.

Élie, par contre, est de plus en plus attiré par les odeurs de plaisir qui émane du sexe de sa femme et souvent la tête sur son ventre, il se met à rêver de poser sa langue sur sa fleur pour s’en imprégner le palais. Discrètement, il caresse l’objet de sa convoitise en laissant traîner son doigt pour qu’il s’imprègne du parfum et de façon très dissimulée déguste ces saveurs troublantes.

Le jeu n’échappe pas à Katty et elle apprécie que son mari l’apprécie autrement que comme une vache à faire vêler.

De manière coquine elle lui demande :

— Qu’est-ce que tu fais ? Tu me renifles ?

Rouge comme une tomate mûre, il bégaye que ce n’est pas ça et qu’il a crû déceler une odeur suspecte.

— C’est pour cela que tu suces le doigt que tu as mis dans mon sexe ?

— Heu, hum, en fait j’aime ton odeur quand on va se connaître au sens biblique du terme.

— Je me demande ce que dirait le prédicateur, si je lui confessais que je rêve que tu mettes ta langue dans mon affaire pour que je sois bien prête de te recevoir et qu’on partage le plaisir ?

— Malheureuse, ne va pas lui confesser cela, ce sont des affaires entre nous. Ceci dit, me permets-tu de t’embrasser la bouche d’en bas.

— Rien ne me ferait plus plaisir, mais j’aimerai aussi goûter le tien d’en bas.

Élie qui maudissait en publique les filles dites de mauvaise vie et en cachette rêvait de bénéficier de leur savoir, trouva qu’il n’avait plus besoin de jeter l’anathème, il avait à la maison tout ce qu’il faut pour assouvir sa curiosité. Sans autre, il se mit entre les jambes de Katty, la bouche à hauteur de son sexe (à Katty évidement pas du sien propre) et il tira la langue pour déguster cette moule qui se promenait en plein farwest.

Très rapidement Katty sentit les premières secousses d’un orgasme qui s’annonçait dans le ciel bleu du lit. L’orage était à la porte.

Haletante, elle lui dit :

— N’oublie pas de donner le pourboire au portier.

— Qu’est-ce que tu veux dire par là ?

— Le petit bouton qui se trouve au-dessus de ma grotte d’amour, il aime particulièrement les bisous.

— Ah ! Bon, comment le sais-tu ?

— Souvent c’est moi qui vais lui dire bonjour et je sais que c’est très bon.

Continuant son éducation comme on pourrait dire, Élie d’une langue curieuse taquine le bourgeon de cette fleur, il découvre qu’elle doit avoir une origine un peu carnivore, Il suppose que bientôt, elle va lui avaler son sexe pour son plus grand bonheur.

C’est très surprenant, plus il essaye d’essuyer le mouillon qui sort du sexe et plus il y en a qui vient, ce qui rend la tâche ardue.

*1 Peut-être voulait-il dire que tu niquais fort avec

*2 Pour se mettre dans le contexte, le terme choisi correspond mieux que noirs. Le terme « noir » ne fut utilisé qu’à partir du XX siècle. 

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