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Le récit de ma vie – Chapitre 17




Chapitre 12 Remise en forme

En ayant commencé à fréquenter Elvina et Mélissa, nous avions découvert, Thomas et moi, qu’elles étaient inscrites à une salle de sport. Personnellement, j’avais quasiment abandonné le sport depuis mon entrée en fac, et avec Thomas, aussitôt les examens passés, nous nous sommes inscrits dans la même salle que les filles. J’y allais parfois seul, parfois avec Thomas, et depuis quelques semaines, de plus en plus tous ensemble. La copine de Jordan y allait aussi parfois, et c’est ainsi qu’un matin, nous nous sommes retrouvés tous les cinq pour un cours collectif proposé par un coach d’une entreprise de fitness bien connue.

Aller au sport avec elles, c’était l’occasion de les mater en vêtements moulants, surtout Mélissa, que je désirais toujours malgré le râteau de l’autre fois. Elle était habillée d’un débardeur et d’un pantalon serré, qui laissaient deviner ses formes, de belles fesses bien rondes et une poitrine se balançant au rythme de ses mouvements malgré son soutien gorge. Ses longs cheveux noués en queue de cheval dégageaient son visage de bombe espagnole. Elvina était un peu plus loin, avec Thomas, son petit copain maintenant, c’était officiel. Elle était habillée plus légèrement que Mélissa : un pantacourt et un débardeur court, s’arrêtant au niveau des côtes et exposant au regard de tous son ventre et son nombril. Elle ne portait pas de soutien gorge, je n’en voyais pas les bretelles ni la forme, mais qu’importe, elle n’en avait pas besoin.

Le rythme est intense, mes poids sont lourds, rapidement je ne me concentre plus que sur moi-même, et je ne pense plus à admirer les fesses de mes amies pendant les squats. Une fois l’heure de sport finie, nous effectuons consciencieusement plusieurs exercices d’étirements, avant de ranger notre matériel. Les avis divergent, Thomas voulant profiter de l’espace sauna/hammam mais Elvina préférant partir. Finalement, ils décident de se retrouver plus tard dans la journée, et c’est accompagnée de la copine de Jordan qu’il s’éloigne. Nous nous dirigeons alors tout les trois vers les vestiaires. Nous arrivons dans un couloir où deux portes se font face, d’un côté c’est les filles, de l’autre les garçons. Maintenant que la pression est retombée, et que je suis seul avec deux de mes plus belles amies, j’ai de nouveau envie d’elles. Sachant que Mélissa refusera de m’accompagner chez moi je risque le tout pour le tout tant qu’Elvina est seule.

— Mélissa, ça te dérange pas si je t’emprunte Elvina, j’aimerai lui parler ?

— Non je m’en fout, je suis pas sa mère tu sais, me répondit-elle avant d’entrer dans le vestiaire des filles.

— Qu’est ce que tu veux me dire ? demanda Elvina.

Sans lui répondre, je lui ai pris la main et je l’ai entraînée dans les vestiaires des garçons.

— Mais Max qu’est ce que tu fais ?

— Chut, lui intimais-je à voix basse.

Pour vous décrire les lieux, les vestiaires étaient tout en longueur, parallèles au couloir. De chaque côté de la porte il y avait des murs perpendiculaires au couloir, avec lavabos et miroirs, pour le coup de peigne avant de sortir. Sur le mur d’en face s’étalaient l’une à côté de l’autre une dizaine de cabines de douche. Derrière les murs aux lavabos, il y avaient plusieurs rangées de casiers, disposés perpendiculairement au couloir eux aussi. Il y avait donc quatre « carrés » délimités avec des bancs pour sasseoir. Plusieurs personnes étaient déjà sous des douches. Des enceintes au plafond diffusaient de la musique en continue.

Toujours en tenant mon amie par la main, j’ai été sur la droite. Un regard derrière le mur m’indiqua que la voie était libre : personne sur le banc qui ne se changeait. J’ai été jusqu’à la cabine de douche libre la plus proche et j’ai fais entrer Elvina, qui n’a rien dit, et qui devait se douter de mes intentions. Après avoir refermé la porte derrière elle, je suis allé jusqu’à mon casier. J’ai retiré mon short, mon débardeur et mes chaussures, et j’ai pris mon gel douche avant de refermer le casier. Je suis retourné à la cabine où se trouvait Elvina, je suis entré et j’ai refermé le verrou derrière moi.

La cabine de douche formait un parfait carré, de couleur marron/brun sombre, avec une porte en verre colorée de la même couleur : impossible de voir à travers. Nous avons posés nos serviettes dans un panier en hauteur prévu à cet effet. Elvina souriait, ça m’as rassuré.

— C’est risqué non ? me demanda-t-elle à voix basse.

— Oui, mais j’avais envie de toi. Et c’est excitant non ? Tu veux t’en aller ?

— Non, j’ai trop besoin d’une douche, dit-elle en riant.

Nous nous sommes embrassés. Ses mains ont caressé mon dos ruisselant de sueur pendant que les miennes s’aventuraient sur ses fesses. Son fin pantacourt me laissait deviner les contours de sa culotte. Je me suis agenouillé pour embrasser son ventre nu, sentir sa peau encore chaude des efforts qu’elle avait fournie. Je sentais ses muscles se raidir sous mes baisers, et sa peau être parcourue d’un frisson. Elle avait un goût de sel, il était temps de nous rincer. J’ai défait ses lacets pour retirer ses baskets, puis ses soquettes, avant de descendre son pantacourt lentement, découvrant ses cuisses encore blanches malgré le temps ensoleillé de cet été. J’ai placé ses affaires en hauteur, puis j’ai caressé ses cuisses, en remontant mes mains sur ses hanches, ses flancs, jusqu’à sentir ses premières côtes du bout de mes doigts. J’ai continué mon ascension, emmenant avec moi son débardeur-brassière. Elle leva les bras pour me faciliter la tâche, et bientôt ses seins furent exposés à ma vue, saillants et gonflés.

J’ai retiré mon boxer, révélant mon érection déjà bien formée, puis je me suis agenouillé à nouveau pour retirer sa petite culotte. En me relevant, et après avoir mis nos affaires dans le panier, je l’ai plaquée contre le mur du fond, en me collant contre elle. J’ai fais couler l’eau, froide tout d’abord, ce qui nous a électrisé, nous paralysant l’un contre l’autre, puis, au fur et à mesure qu’elle se réchauffait, nos mains se mettaient en mouvements, nos ventres glissaient l’un contre l’autre, mon sexe durci glissait de son pubis à sa hanche, et revenait. Nos corps dansaient l’un contre l’autre. Je sentait ses doigts s’aventurer sur mes fesses. Ses tétons durcis s’écrasaient contre mon torse. L’eau était maintenant à sa température de croisière : très chaude.

— Tu sais que je trompe Thomas si je fais ça ? C’est ton ami pourtant, et tu lui voles sa copine ? me chuchota-t-elle.

— Je ne vole rien, je profite une dernière fois de toi. Tu es si belle, si attirante, si gentille. Tu m’a donné ta première fois, alors laisse moi te donner un dernier adieu.

Elle s’écarta de moi et me força à reculer contre un des murs de la douche, malgré la température de la pièce, je sentais sa fraîcheur contre ma peau. Elvina m’offrit de petits baisers dans le cou, suçota mes lobes d’oreilles, pendant que ses doigts glissaient sur ma peau mouillée en suivant les contours de mes muscles saillants mais douloureux. Quand ses mains détourèrent un à un mes muscles abdominaux, je ne pu m’empêcher de frémir d’envie sous ses doigts. Elle descendait lentement, jusqu’à atteindre les deux derniers, juste au dessus de ma verge. Je sentais son poignet contre mon sexe bandé, mais quand ce fut ses mains qu’elle referma autour de mon vit, j’ai eu envie d’exploser sous ses caresses, de jouir tout de suite et de ne jamais rouvrir les yeux.

Elle se baissa en parcourant mon corps avec sa langue, passant sur mon torse, mon ventre, jusqu’à ma verge qu’elle lécha de bas en haut. J’ai dirigé le jet de la pomme de douche vers mon cou, ainsi l’eau ruisselait jusqu’à mon bassin. Elvina était à genou sur le sol sombre, elle avait déjà placé ma verge brûlante entre ses jolies lèvres. Elle s’occupait divinement de moi, comme chez Jordan dans le duvet. Ses cheveux mouillés étaient dispersés en étoile sur ses épaules. Au delà s’étendait une magnifique chute de reins, puis sa taille s’élargissait pour se finir en deux globes en forme de cur à l’envers. Autour de nous des hommes passaient, discutaient, se changeaient ou se lavaient, mais ils semblaient si loin. Il faisait chaud, l’atmosphère saturée en humidité et ma fréquence cardiaque qui s’accélérait peu à peu me faisaient perdre ma concentration. La langue d’Elvina lapait l’eau qui ruisselait sur mon sexe à chaque fois qu’elle le léchait. J’ai pris sa tête entre mes mains, mais je n’osais pas prendre le contrôle, je n’avais pas envie de la brusquer. C’était peut être ma dernière occasion de lui baiser sa petite bouche de bourge, mais je n’arrivais pas à franchir le pas. Je me suis donc contenté de passer ma main dans ses cheveux et sur sa nuque. Elle était très douée, et je savais que je n’allais pas tenir encore longtemps sous ce traitement.

Sans un mot je l’ai stoppé et invité à se relever. Elle affichait un grand sourire cette coquine ! J’ai saisi une de ses cuisses pour la soulever un peu, et je me suis accroupi sous elle, juste le temps de me délecter de sa petite chatte et humidifier l’intérieur de ses petites lèvres si accueillantes ,et je me suis relevé pour me suis coller à elle, tout en dirigeant ma verge vers l’entrée de son antre de plaisir.

— On a pas de capote, me chuchota-t-elle à l’oreille.

— Ne t’inquiète pas, la rassurais-je, je ne jouirais pas en toi, c’est promis.

Je l’ai alors pénétré, peut être pour la dernière fois, en la plaquant contre le mur. Elle ne tenait plus que sur une jambe, l’autre m’enserrant et m’encourageant à continuer. Elle n’attendait que ça, malgré la peur de se faire surprendre, ses mains serraient mes fesses et m’imposaient le rythme qu’elle désirait. Je me laissais faire, lui faisant l’amour comme elle le voulait. Nos bassins mouillés faisaient du bruit à chaque rencontre, mais pour l’instant la musique le couvrait, enfin j’espérais. La position était très érotique, ses seins pointaient vers moi et ses jambes écartées me permettait de la pénétrer sur presque toute la longueur de ma verge. Elle me regardait amoureusement, et je savais qu’elle m’aimerait toujours, car nous avions maintenant quelque chose en commun qu’elle n’oublierai pas. La position étant un peu physique, nous avons dû arrêter car elle avait mal à la jambe. Tant mieux, j’avais besoin d’être libre pour pouvoir la faire monter au ciel une dernière fois.

Je l’ai embrassée longuement avant de la retourner face au mur. Je voulais profiter d’elle, de ses lèvres, de son corps. Je l’ai plaqué contre le mur, tout en l’invitant à se cambrer. Quelle vision ! Je suis entré en elle jusqu’à buter contre son col. Nous étions au milieu d’un brouillard dans notre cabine à présent. L’atmosphère était comme son intimité : brûlante et saturée d’humidité. J’ai débuté mes va-et-vient rapidement, mes mains maintenant fermement ses hanches. Au fur et à mesure que les minutes passaient, le vestiaire se vidait, il devait être 12h30, le creux entre le matin et l’après midi. Malgré tout je craignais que le bruit de nos corps qui s’accouplaient amoureusement alerte quelqu’un. J’ai volontairement maintenu mon rythme sans accélérer, et cette levrette dura très très longtemps. Je la prenait de toute la longueur de mon sexe, puis je revenais jusqu’à presque sortir entièrement, puis je recommençais. C’était très dur de ne pas céder à mes pulsions et la défoncer sans faire attention à l’endroit où nous étions. Alors que je sentais la fin venir, Elvina n’était plus vraiment là : le visage collé au mur, elle gardait les yeux fermés et la bouche ouverte. Elle me laissait jouer avec son corps, et sa confiance a payé car sa gaine s’est resserrée sur mon vit à de nombreuses reprises. Quand je me suis retiré, elle s’est laissée glisser au sol, les yeux encore fermés. Je me suis masturbé frénétiquement au dessus d’elle, et enfin ma jouissance s’est libérée. Mon foutre retomba sur son visage et son corps. L’instinct primaire en moi me fît la voir comme mienne, soumise à mon désir. Puis ma conscience à repris le dessus, et j’ai dirigé le jet d’eau vers elle pour la rincer consciencieusement.

J’ai pris un peu de gel douche au creux de ma main, et j’ai caressé son corps encore sous le coup des hormones. Ses seins gonflés étaient sensibles lorsque je les touchais, sa respiration s’était ralentie mais son cur battait encore vite. J’ai passé mes mains sur ses jambes et ses cuisses, sur son ventre et dans son cou, jusqu’à ce qu’elle me dise :

— Donne en moi un peu.

Je lui ai mis du gel douche dans le creux de la main après qu’elle se soit relevée, et nous nous sommes lavés l’un l’autre, sensuellement, en prenant notre temps. La facture d’eau du club à dû prendre un sacré coup ce jour là. Bien sûr je me suis longuement attardé sur son visage, ses seins, ses fesses bien fermes. Mais elle aussi s’est beaucoup attardée sur mon ventre, mon torse et mon sexe, qui s’était remis au garde à vous. Elvina entreprit d’elle même de se mettre à genou, et me fit une fellation comme elle seule sait les faire, avec tendresse et malgré tout une fougue bien dosée. J’ai repensé à Thomas, qui avait dû revenir ici entre temps, se doucher à quelques mètres de sa petite amie sans se douter de sa présence, et de la présence de mon sexe en elle. Puis la langue d’Elvina m’a obligé à ne penser qu’à elle et au nouvel orgasme qu’elle allait me donner sous peu. J’ai éjaculé sur sa langue, et en parfaite amante, elle a tout avalé sans que je ne lui demande rien. Après ça nous nous sommes séchés l’un l’autre et nous nous sommes enveloppés dans nos serviettes.

— Tu sais, tu es un ami formidable, et tu m’as fais découvrir et vivre de chouettes trucs, mais je dois essayer d’être fidèle maintenant, être une bonne petite amie pour Thomas.

Je ne répondis pas, la boule qui venait de se former dans ma gorge ne me le permettait pas.

— On ne peut pas continuer à faire ça dans son dos. Moi en tout cas j’aurai trop l’impression d’être partagée. Gardons ça entre nous, ça nous fera de beaux souvenirs non ?

— Oui, c’est sûr. Mais est ce qu’on va pas se perdre de vue après ça ? chuchotais-je.

— Je ne sais pas, mais dis toi que ce qu’on à fait c’était unique.

Après notre conversation à voix basse, j’ai pris mon boxer à la main et je suis sorti vérifier que le vestiaire était vide. Il y avait deux personnes mais les casiers les masquaient.

— Tu peux y aller, chuchotais-je à Elvina.

Elle est sortie du vestiaire des hommes et est entrée en trombe dans celui des filles. Jespérais qu’on allait pas lui poser trop de questions si il y avait quelqu’un. Je suis allé à mon vestiaire et je me suis changé avec mes habits de ville. Plus les minutes passaient, plus la tristesse m’envahissait. Ainsi s’était finie ma relation avec Elvina. Nous n’étions pas ensemble, comment pouvais je en vouloir à Thomas ? Elle était formidable avec moi, une confidente, une aide précieuse avec Mélissa, mais j’allais devoir la laisser s’envoler avec mon ami, et je lui souhaitais d’être heureuse. C’est donc toujours seul que je suis sorti du club, mon sac sur l’épaule…

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