Bonjour, je mappelle Marie-Josée.

Je suis une jeune femme de vingt quatre ans, je mesure 1m68 pour 54 kg.

J’ai les cheveux châtain clair, les yeux noirs. Question poitrine je fais un 85C.

Je ne me trouve pas exceptionnellement belle, pourtant, je sais que les hommes me regardent et se retournent souvent sur mon passage. Parfois, je me sens atrocement gênée et je déteste ça mais dans le même temps, je reconnais que cela mest agréable et mencourage à prendre toujours soin de ma tenue et de mon apparence.

Jai fait mes études supérieures dans une grande école dingénieur située à Pau.

Sur le plan sexuel mon logeur mavait déniaisée quelques mois seulement après le début de ma période universitaire, javais alors vingt ans, je venais darriver à Pau et cétait ma première location. Je ne sais plus trop comment cet homme qui avait déjà plus de 60 ans avait compris quil avait ses chances avec moi.

Toujours est il que cela sest produit et Monsieur Arnaud a été le premier homme à mavoir.

Très vite il ma possédée de toutes les manières possibles et jai découvert avec lui que jaimais être soumise et humiliée sur le plan sexuel.

Cette révélation, je lai très mal vécue dans un premier temps puis je my suis faite et jai admis que ses turpitudes me donnaient du plaisir. Jaimais ce quil me faisait faire, jaimais quil soit vicieux.

Aujourd’hui il nous arrive toujours davoir des rapports alors que je suis sur le point de me marier avec un étudiant de mon âge rencontré lannée dernière.

Les événements décrits dans ce texte se sont produits en novembre dernier, à Marseille ou diplôme en poche javais fini par trouver mon premier emploi.

Je voie cette rédaction comme un exutoire par où m’épancher, un moyen daccepter, par le partage dexpérience, cette conduite perverse et dépravée qui a été la mienne et qui ma amenée à coucher avec tous ces hommes. Jessayerai autant que possible de préciser le contexte et mon ressenti pour le reste je ne fais que décrire certaines des images qui émaillent un site de cul privé qui a été consacré entièrement à ma personne. Je tiens à préciser pour les lecteurs curieux que je nai pu accéder à ce site que très brièvement ce qui ne ma pas laissé le temps de traduire les commentaires en arabe qui accompagnaient les photos que jai pu récupérer. Jignore totalement si ce site est toujours en ligne.

Je pris mon poste officiellement le 2 novembre.

Nétant pas originaire de Marseille je réalisais très vite, après quelques rapides recherches sur internet, quil serait

très difficile dobtenir un logement pendant ma période dessais.

Lhôtel était la solution mais je navais plus déconomies et je me voyais mal demander un nouveau financement à mes parents.

Finalement Monsieur Arnaud était venu à mon secours en concluant un arrangement avec un certain Messaoudi qui tenait un Hôtel dans le quartier de Noailles.

Tout avait été prévu et payé par virement pour le mois à venir, logement et repas du soir tout était compris.

Je remerciais chaudement mon logeur qui me déclara que ce nétait là quun petit service entre amis qui se connaissaient depuis longtemps.

En fait, ce nest que bien plus tard, en reconnaissant certaines photos, que je découvris les termes réels de cet accord présenté comme un échange de service.

Ils se connaissaient si bien que dés le départ, Monsieur Arnaud avait transmis à son ami Algérien des photos de moi en petite tenue.

Je dois préciser ici, que Mr Arnaud aimait me photographier en me faisant jouer des scénarios.Lors de ces séances il nétait pas question de pantalons ou de chaussures de sport que je portais en compagnie de mon fiancé. Jupettes, robes, escarpins, bas et porte-jarretelles étaient de rigueur.

Monsieur Arnaud me faisait souvent porter des bas. Depuis quelques temps, tous les week-end, il guettait le départ de mon fiancé et à peine la porte refermée il venait me rejoindre. Je devais me changer, il me photographiait en train de me déshabiller, puis il me baisait nue avec seulement mes bas et un porte-jarretelles.

Je trouvais cela très inconvenant et javais honte de trahir ainsi la confiance de mon futur mari qui me croyait vierge. Dun autre côté après une heure de flirt poussé mais sans rapport sexuel jétais plus que chaude et on ne peut plus disponible pour mon propriétaire qui avait compris tout le parti quil pouvait tirer de cette situation.

Je ne connaissais par Marseille, mais, renseignements pris, je constatais que lhôtel central était situé en plein quartier arabes. Le soir même, jen parlais à Monsieur Arnaud qui me regardait préparer ma valise.

Le sujet étant dactualité je répétais les clichés habituels sans chercher à dissimuler mon inquiétude. Je savais par les médias quil y avait beaucoup de jeunes hommes seuls dans ces flots migratoires mais aussi des travailleurs partis du pays depuis plusieurs semaines, voire plusieurs mois. Tous étaient cruellement en manque de présence féminine et javais peur dêtre harcelée.

Monsieur Arnaud se voulait rassurant.

Tout en parlant, jexaminais les tiroirs de ma commode.

Je laissais une grande partie des vêtements mais je transférais tous mes sous-vêtements sexy dans ma valise. Cela fit sourire Monsieur Arnaud qui cru malin de commenter mes choix en déclarant que les algériens adoraient baiser les petites Françaises en bas et porte-jarretelles. Et il cru bon dajouter :

— Surtout lorsquelles ont un air de petite sainte !

Je lui lançais un regard noir sans prendre la peine de lui répondre.

Il savait très bien que mon fiancé devait reprendre ma location jusquà la fin de ses études. Je lui laissais mon mobilier, commode y compris et il nétait pas question quil découvre les sous-vêtements de pute que me faisait porter Monsieur Arnaud, son futur propriétaire. Cest la première fois que je partais en voyage avec une valise contenant guêpières, porte-jarretelles, bas noirs coutures, bas et mitaines résilles. Sans compter un gode particulièrement réaliste.

Partie par le premier train, jarrivais à la gare Saint-Charles à 14 heures pour me rendre directement dans le quartier Noailles avec toutes mes affaires.

Javais finalement réussi à tout caser dans une grande valise, une sacoche et un sac à dos. Tous les matins, il me faudrait partir travailler et dans cette entreprise pas question de se présenter tous les jours dans le même tenue.

J’avais choisi le métro car lhôtel était à 5mn de marche seulement de larrêt.

J’ai dû marcher bien 10 mn avec mes bagages car je n’ai pas trouvé tout de suite. Ca aurait été trop facile !

J’ai tourné un bon moment ! Pour être "central", il l’était cet hôtel.

Malheureusement pour moi, il avait aussi pas mal d’escaliers et avec ma valise de 23kg, j’ai apprécié.

A la réception au premier étage, je fus accueillie par un jeune maghrébin pas du tout engageant. Après mavoir sèchement déclaré nêtre pas informé de ma réservation, il appela deux de ses amis arabes que javais croisés et qui mavaient sciemment frôlée dans la cage descaliers.

Ils se mirent à parler en arabe en me détaillant dun air concupiscent.

Excédée je lui demandais de joindre son patron Monsieur Messaoudi qui lui devait forcément être au courant. Nouveaux palabres. Finalement il me demanda de le suivre en sarrangeant pour que je passe devant lui

Il prit ma valise mais la sensation quil narrêtait pas de ma mater fut très désagréable. Après ça, cela ne s’est pas arrangé.

Je me suis retrouvée dans un dortoir à 8 lits superposés mais finalement il y avait un 9ème lit.

Le lieu était sombre, sentait mauvais. Il y avait une fille qui était encore au lit (le fameux lit supplémentaire) et il était quand même plus de 15 h ! Bref, elle avait un de ces bordels au bas de son lit, une chatte n’y aurait pas retrouvé ses petits !

Il n’y avait pas de clé à la porte d’entrée et visiblement ce dortoir était mixte.

Jétais abasourdie.

Un homme est alors rentré comme ça sans frapper. Je profitais de cet incident pour lui dire que je n’allais pas pouvoir rester dans ce dortoir. C’en était trop ! Jallais exiger une chambre individuelle.

Voyant mon désarroi, le réceptionniste pris les devants. Il ne pouvait pas prendre dinitiative alors, je navais quà laisser mes affaires et ce soir à mon retour Monsieur Messaoudi serait là et je verrais avec lui.

Mon compte banque étant à sec pour encore au moins deux ou trois jours, je compris que je ne pouvais pas faire grand-chose de plus. Il était presque quatorze heures, jallais être en retard à mon bureau.

Je me changeais rapidement en priant quaucun homme ne rentre plus dans ce dortoir.

Il me fallait impérativement mettre une robe pour ce premier jour.

Javais un rendez vous avec le responsable du personnel à 16 heures. Une simple prise de contact mais cela était important, une première impression, même si je ne devais prendre mon poste que le lendemain. Finalement joptais pour un jupe chemisier. Je maperçu que je navais pas de collant. Je tombais sur une paire de bas noirs et un porte-jarretelles rouge que jenfilais en toute hâte.

Heureusement le tramway tout proche de lhôtel me laissa directement à la Joliette juste devant ma nouvelle entreprise.

Tout devait bien se passer.

Le soir, jarrivais à mon Hôtel affamée et complètement épuisée. Je navais même pas eu le temps de prendre un déjeuner.

Le long trajet depuis Pau mavait fatiguée, jétais stressée par ce premier contact avec mon nouvel employeur et pour couronner le tout jétais inquiète au sujet de ma valise qui fermait très mal.

Je mapprêtais à monter directement dans le dortoir ou javais laissé mes affaires, lorsque le réceptionniste mindiqua un numéro de chambre au dernier étage.

Mr Messaoudi my attendait et il avait récupéré ma valise.

Il sagissait dune chambre individuelle sous les toits. Assez spacieuse, il y avait même un petit canapé.

Je frappais et entrais.

Lhomme était de face, plus jeune que ce que javais imaginé, très typé et originaire de lest algérien.

Il me dit être né à Constantine

Il sassit au coin du lit me laissant le canapé.

Je lui expliquais que mon séjour était provisoire et ne durerait que le temps de ma période dessais, un mois au maximum.

Je navais pas dargent, que tout avait été payé au moment de la réservation, avec même un supplément à me remettre pour mes repas de midi au cas ou je ne pourrais rentrer pour déjeuner.

Il avait du recevoir un virement

Il me regardait dun air dubitatif et soupçonneux, faisant celui qui nétait pas au courant.

Il me demanda ma carte didentité et en pris une photo avec son smartphone sans même me demander lautorisation.

Dés que lavais vu, il mavait mise mal à laise et encore plus lorsquil changea dattitude.

Cette chambre lui était normalement réservée mais il ne sen servait que comme bureau.

Il pouvait la libérer pour me laisser provisoirement la place. Je compris très vite à sa manière de présenter les choses que je pouvais constituer la monnaie déchange.

Monsieur Arnaud lui avait sans doute touché un mot de la manière dont je macquittais de mon loyer à Pau.

Jai honte de le dire mais la simple pensée quil allait certainement falloir que jy passe pour obtenir cette chambre me fit mouiller ma culotte.

Il me complimenta encore sur ma tenue vestimentaire « très classe » puis il me demanda tout de go et sans la moindre gêne à voir mes dessous. Il voulait savoir si je portais des bas.

Je restais sans voix, jamais un homme et qui plus est un inconnu, ne mavait parlé dune manière aussi directe.

Son ton autoritaire, la fatigue, je ne sais expliquer, toujours est il quaprès quelques instants dhésitations je remontais simplement ma jupe au-dessus de la limite des bas.

Placé comme il létait il devait en profiter pour voir également ma culotte. Mais cela ne lui suffit pas.

Il en veut plus. Il me demande de me lever et de me trousser. Je ne sais que faire mais je mexécute, il me fait tourner de dos, de face, de profil.

Il na pas rangé son smartphone et je vois bien quil me prend en photo.

Je ne sais pas que dire, je sais quil me faudrait réagir. Son attitude était dégoûtante, mais que pouvais je faire dautre ?

Bien au contraire, à sa demande je me retrousse encore davantage, enroule docilement ma jupe autour de la taille et marche de long en large dans la chambre. En passant devant le miroir je vois que mon visage est tout empourpré.

Il se lève pour mieux cadrer les clichés quil continue de prendre.

Il ne fait rien pour dissimuler la bosse qui déforme son jean.

Voyant que je ne le quitte pas des yeux, il baisse rapidement slip et pantalon et mexhibe sa queue en souriant.

Cela ne dure quune seconde mais jai le temps de tout voir y compris son énorme paire de couilles.

Et Mr. MESSAOUDI denchaîner aussitôt

— Alors chérie tu aimes ?

Tu crois que je ne me suis pas aperçu de tes coups dil ?

Toutes les Françaises sont bien les mêmes, elles font leur mijaurées, les arabes ceci les arabes cela et ensuite

se sont les premières à se jeter sur nos grosses queues arabes.

Je sens comme un choc au niveau de lestomac et une boule me remonter dans la gorge

Je ne réponds pas, jai du mal à respirer, il sapproche de moi, prend ma main et la pose sur son slip.

Je sais que si je continue comme ça, toute la bande va me passer dessus.

Jai honte, quel culot, ces types me dégoûtent, se sont de vrais goujats et pourtant, je ne peux mempêcher de me soumettre.

Je commence à le toucher doucement au travers du tissu puis je le caresse avec ma joue.

Il est très vicieux, déjà il veut me la faire sortir du slip pour la mesurer.

Je proteste faiblement alors même que je sens que je suis en train de tremper complètement ma culotte.

— Non pas ça Monsieur Messaoudi, je vous en prie, laissez moi maintenant. Je suis une jeune fille sérieuse

Mais le propriétaire de lhôtel ne lentend pas de cette oreille.

— Ecoute ma jolie, si tu sais te montrer compréhensive, je te laisse la chambre et je prendrais en charge tous tes repas.

Allez laisses toi faire. Je vais appeler le petit Abdelhakim, lun de mes réceptionnistes.

Tu vas voir ma poule, y paie pas de mine le petit gars mais lui aussi en a une sacrée de bien grosse.

Sen suit aussitôt une brève conversation en arabe, jai comme limpression que le petit Abdel ou Hakim (?) était déjà en ligne et quil à tout entendu depuis le début.

Deux minutes plus tard, il ouvre brusquement la porte qui nest même pas fermée et fait irruption dans la chambre avec un bel appareil numérique sur pied quil installe aussitôt.

Je mapprête à protester lorsquil prend la parole :

— Voilà Monsieur, javais tout préparé comme vous me laviez demandé : la caméra pour le son et ma règle graduée

pour la petite salope.

Vraie, elle veut nous mesurer cette chienne ?

Tout en parlant Abdel à lui aussi baissé pantalon, cela fait à peine trois minutes quil est entré en me voyant en bas et

porte-jarretelles et son slip est déjà complètement déformé.

Je maperçois que la caméra en marche à déjà commencé à enregistrer. Je ne sais plus que faire et surtout que dire.

Il la encore plus grosse que celle de son patron.

Il baisse son slip et lempoigne. Je ne peux retenir un gémissement.

Je nai jamais vu cela. Ce sont de véritables obsédés.

Pendant ce temps Abdel poursuit toujours à ladresse de son patron.

— Cest un très bon choix Monsieur, elle va nous faire un super « book photos cul » celle là.

Puis sadressant à moi:

— Tu ne tattendais pas à ça hein ma salope ? Tu ne croyais pas que le petit Abdel en avait une aussi grosse ? Tu fais moins la maligne maintenant hein ?

Tinquiète, tu vas toute lavoir, allez en attendant de te faire niquer, tu va nous mesurer tout ça petite chienne.

Je ny croyais pas. Je ne pouvais pas me laisser insulter comme ça.

Voilà que tout en parlant il serrait et agitait son gros machin presque sous mon nez.

Je lui dis quil est ridicule avec sa queue dans une main, et sa règle en plastique dans lautre Je les supplie de me laisser partir.

Pendant ce temps Mr. Messaoudi continue sa progression, il me caresse doucement les cheveux en souriant, sa queue est de nouveau à lair et dans un état second, je men saisi sans même men rendre compte. Très choquée par lattitude agressive de son employé, javais besoin dêtre rassurée, protégée.

Déjà Il me demande de lui lécher les couilles.

— Allez ma chérie, allez Marie-Jo, vas y, bouffe moi les couilles.

Il vient de mappeler par mon prénom. Comment ?

Je réalise quil vient de voir ma carte didentité et que je suis dans son hôtel.

— Allez vas y profite ma belle.

Tu naurais jamais cru ça hein, toi qui est née en Andalousie que tu viendrais en France pour y lécher les couilles des arabes.

Et ce nest que le début.

Tu vas aimer ça.

Toutes les salopes de Françaises aiment ça

Mais avant, tu vas poser pour nous. Jadore tes dessous, tu vas bien les montrer, sur le tabouret de bar là-bas.

Cela va très bien le faire pour ton book cul.

Allez, tu es magnifique.

Mon réceptionniste ma dit que tu avais un tas de sous-vêtements bien bandants dans ta valise, et il a hâte de te voir les porter.

Tu sais quil y aura plein damateurs, dans cet hôtel même.

Tout à lheure, quand il a fouillé dans ta valise il a appelé ses petits copains.

Il vaut mieux que tu ne saches pas tout ce quils ont dit sur toi. Ce sont des mal élevés.

Jessaye une dernière fois de quitter la chambre en prétextant une envie pressante mais cette manuvre nobtient pas plus de succès que mes précédentes tentatives car je réalise alors que cette chambre communique avec une minuscule salle de bains toilettes privée.

Vaincue, je me lève, me débarrasse de ma jupe et me dirige vers le tabouret.

je suis sûre quil a vu mes papiers personnels et quil a pris le temps de tout éplucher, mon contrat de travail, mes photos personnelles avec mon petit ami Damien, nos projets de mariage, mes derniers résultats de test de dépistage VIH.

Pendant quils me font prendre différentes poses je ne peux mempêcher de penser à mon amoureux chéri et jai honte.

Monsieur Messaoudi ne me quitte pas des yeux et il bande de plus en plus.

Il me demande alors de mesurer et de lui donner le résultat.

Je positionne la règle en tenant la grosse queue tout en tremblant légèrement et jannonce 22. Abdel sest approché et il me tend un mètre ruban cm/inch que je peux courber pour mesurer le diamètre. Il me demande de nouveau dannoncer le résultat en regardant la caméra.

Jannonce 5 cm.

Il me dit :

— Tu vois que je ne mentais pas.

Avant de passer à la mesure de mon employé qui comme tu peux le constater à lair lui aussi de bien apprécier la petite Marie-Jo, je veux que tu notes tout sur mon portable qui est juste là sur la table.

Là, devant.

Ensuite je te ferais faire quelques petits exercices de calcul.

Abdel sétait approché avec la caméra et me prenait en gros plan.

Je vis par la suite que jétais rouge pivoine et que mon trouble était visible.

Il ajoute alors que cela ne sera pas dans mon book mais dans un récit illustré, une sorte de roman photos me mettant en scène et quil compte publier prochainement dans un espace privé sur Internet. Il attend que jouvre un document pour enregistrer ses mesures puis il me demande de calculer le volume. Je ne peux mempêcher dafficher un sourire gêné en lui annonçant que je ne connais pas la formule pour ce genre de chose.

— Pour une informaticienne, je ne te félicite pas, jespère que tu sera mieux te servir de ton cul tout à lheure.

Je sursaute en entendant ces mots, mais je ne dis rien. Il me donne la formule. (3,14 x D x D x L) / 4. Jai ouvert la calculatrice sur lécran. Des multiplications, une division, je clique sur le signe =, il saffiche 432

et sans réfléchir je leur donne le résultat en rajoutant cm3 à lénoncé du chiffre.

Je ne peux mempêcher de rougir, ma respiration se bloque une nouvelle fois et je sens que je me suis remise à mouiller ma culotte.

Imaginer que je pourrais être pénétrée par son machin me coupe le souffle, pratiquement le volume dune demi bouteille.

Il me demande ensuite si je connais les dimensions de mon fiancé, il veut se mesurer à mon amoureux. Je suis très gêné de men souvenir.

Jéprouve le besoin de me justifier en lui avouant quun jour il mavait donné ses dimensions 13 par 3,5 et quensuite il avait insisté pour que je contrôle. Javais alors trouvé un léger écart : 12 par 3 et de ce fait, je me souvenais encore de ces chiffres là Il moblige à refaire le calcul avec ces nouvelles dimensions. Le résultat est de 85 cm3.

Là encore je dois énoncer tous les résultats à voix haute y compris le rapport qui dépasse 5. Ce gros cochon lavait cinq fois plus grosse que celle de mon futur mari.

Abdel sapproche pour que je le mesure à son tour, je vois bien quil reluque entre mes cuisses depuis un moment.

Il passe un doigt entre mes jambes et commente:

— je men doutais, elle est trempée cette salope !

Ça lexcite de mesurer de la queue à cette petite putain.

Mais son patron lécarte, il veut maintenant que je suce sa grosse bitte, peut-être quil ne veut pas aussi soutenir la comparaison avec celle de son subordonné qui la encore plus grosse que la sienne.

Je ne sais que faire, Mr Messaoudi sest de nouveau approché, son gros machin sort de la poche de son slip kangourou.

— Non, je vous en prie Monsieur pas ça, je ne lai jamais fait et vous êtes trop gros et jai une petite bouche.

Sil vous plait Monsieur, ne mobligez pas. Cest mal.

Je réalise que jai arrêté la pilule depuis une quinzaine de jour, jimagine très bien la suite et je commence à paniquer.

Une solution serait de parvenir à les faire jouir avec mes mains et ma langue.

Je me rassure en me disant que je peux faire éjaculer mon fiancé Damien en quelques secondes, alors, pourquoi ne pas essayer avec ses deux arabes ?

En serais-je quitte pour autant ? Habituellement, Damien met ensuite plusieurs heures pour retrouver sa vigueur. Il me faut tout essayer pour gagner encore du temps.

Je vais très vite me rendre compte de mon erreur et constater que les performances de ces hommes nont rien à voir avec celles de mon chéri.

Non, décidément, je suis encore bien loin dimaginer la suite…

Related posts

Mes pemière fois avec une fille – Chapitre 1

historiesexe

mon malade – Chapitre 1

historiesexe

Un ciel toujours trop bleu – Chapitre 1

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .