Chapitre 23 : Cours particulier (suite)
-Oh non ! Paniqua Isabella. C’est Antoine, il est déjà rentré.
-Zut, bon ce n’est rien. On va essayer de sortir sans qu’il nous voie.
-Quoi ? Non c’est impossible. Regarde-moi, je suis couverte de sperme. Il y en a même dans mes cheveux !
-Oui, et je dois dire que ça m’excite un peu, avoua Morgane en se mordant coquinement la lèvre inférieure.
Morgane remonta son jeans qui était toujours à mi-cuisse dans un souci de cacher la nouvelle érection qu’elle sentait poindre. Isabella, elle, tenta tant bien que mal de masquer le sperme qui la recouvrait et refit prestement sa toilette. Elle mit ensuite son oreille contre la porte afin d’essayer de deviner où se trouvait son fils.
-Maman ? Appela ce dernier. Tu es là ?
Comme il ne recevait aucune réponse, il grimpa à l’étage. Isabella fit signe à sa comparse qu’elles pouvaient sortir sans crainte d’être repérées mais qu’il fallait être silencieux. Morgane acquiesça et suivit Isabella. Sa maison était vraiment énorme et Morgane était persuadé qu’elle se serait perdue si elle n’avait pas suivi Isabella.
Elles arrivèrent dans la cuisine où la maman chercha une serviette pour s’éponger le dos. Alors qu’elle s’abaissait pour ouvrir une armoire, Morgane eut une incroyable vue sur son postérieur dont la jupe était parsemée de tache de sperme. Immédiatement, le désir revint sous la forme d’une bosse dans son jeans.
Elle s’approcha d’Isabella et posa son bassin contre son cul. Des décharges de désirs fourmillèrent dans son bas-ventre tandis qu’elle pressait sa queue contre les sublimes fesses de la maman.
-Qu’est-ce que ? Eut le temps de demander Isabella avant d’être subitement poussée en avant.
Elle perdit l’équilibre et sa tête s’enfonça dans l’armoire.
-Hey !
Son exclamation fut étouffée par toutes les serviettes qui l’entouraient. Morgane ne perdit pas une minute et releva la jupe de la maman sur son ventre. Dans la position que cette dernière occupait, ses fesses étaient largement écartées et son anus semblait supplier qu’on le perfore. Morgane sortit sa verge et la posa contre le petit trou qui se présentait à elle.
-Non, s’alarma Isabella. Antoine est juste là et il pourrait Ah ! Mmh
Morgane soupira d’aise lorsque sa queue entra dans les tréfonds d’Isabella. Cette dernière, que la situation terrifiait, se surprit à éprouver encore plus de plaisir que précédemment. Elle enfouit sa tête dans une pile de serviette et se mit à gémir en discontinue.
Morgane entrait et sortait en elle avec régularité et, sous le coup de cet intense désir, Isabella se mit à se doigter furieusement. Elle mordait dans les serviettes qui se trouvaient tout autour d’elle pour couvrir ses gémissements pendant que sa main fouillait avidement son petit trou détrempé.
-Arrête ! Supplia Isabella le plus discrètement possible. Antoine est juste là Mmh il pourrait nous voir Mmh c’est trop bon, putain Mmh Vas-y Mmh Non, arrête ! Antoine va Mmh
Morgane poussa davantage faisant ainsi taire les suppliques de la maman. Elle n’entendit plus que des gémissements étouffés et elle put profiter pleinement du cul d’Isabella. Son anus l’enserrait dans un étau de velours humide et épousait les formes de sa queue avec une divinité exquise.
Morgane était sur le point d’avoir un orgasme. Elle accéléra ses mouvements ce qui eut pour effet d’accentuer les gémissements d’Isabella qui, malgré les couches de serviettes, se faisaient de plus en plus entendre. La main de la maman fouillait en elle avec frénésie annonçant l’arrivée immédiate d’une puissance jouissance.
-Maman ? C’est toi que j’entends ?
Les deux femmes se figèrent soudainement d’effroi. Antoine était tout proche et elles n’allaient pas avoir le temps de se cacher.
-T’es où ? Cria Antoine, agacé de ne pas apercevoir sa mère.
Isabella se releva prestement en jetant toutes les serviettes au sol. Elle enjoignit ensuite à Morgane de se cacher dans l’armoire. La jeune femme ne se fit pas prier et s’engouffra dans l’armoire en laissant une légère fente afin d’observer ce qui allait se dérouler dans la cuisine.
Antoine entra dans la cuisine juste après qu’Isabella ait enfilé un tablier pour masquer sa nudité. Heureusement, Morgane ne lui avait pas ôter sa chemise ce qui n’aurait pas manquer de compliquer la situation, si cela était encore possible
-Ah, tu es là, sourit le garçon. Que font toutes ces serviettes par terre ?
-Coucou, mon cur. Oh ça . Je fais juste un peu de rangement Ça s’est bien passé à l’école ?
-Oui, oui, pas de problème. Tu sais à quelle heure doit arriver madame Shem ?
Morgane, toujours coincée dans l’armoire à serviette, ne parvenait plus à voir la scène étant donné qu’Isabella venait de se placer devant la fente de l’armoire. Tout ce que la jeune femme pouvait voire était le cul tout ouvert et encore couvert de sperme d’Isabella. Une idée des plus coquine jaillit dans son esprit pervers.
-Oh, tu sais, je pense qu’elle ne devrait Mmh
Isabella s’accrocha au comptoir et se pinça les lèvres. Une main baladeuse était en train de caresser son abricot qui était déjà très à fleur de peau après la séance intensive de doigtage qu’il venait de subir.
-Qu’elle devrait quoi ? S’enquit le jeune homme.
Un doigt entra dans le vagin de la maman, puis un second, mettant cette dernière au supplice.
-Qu’elle devrait Mmh Elle ne oh !
Les caresses de Morgane la faisaient littéralement couler et cette dernière avait même mis son pouce dans l’anus déjà bien ouvert de la maman.
-Maman ? Est-ce que ça va ?
-Oui, oui, mon chéri c’est juste que Mmh je ne me sens pas très bien aujourd’hui Mmh
Elle sentit des gouttes de cyprines rouler le long de ses cuisses et pria pour que son fils ne remarque rien. Elle en voulait à Morgane de la mettre dans une telle situation mais elle ne pouvait s’empêcher d’être extrêmement excité par la tournure des événements.
-Ah bon ? Qu’est-ce que tu as ?
Isabella dût réfléchir deux fois à la question de son fils avant d’en comprendre le sens tant sa concentration était accaparée par ce qui se déroulait entre ses cuisses.
-Oh Mmh tu sais mal de crâne les jambes qui tremblent Mmh
Isabella sourit intérieurement car ce dernier point était entièrement vrai. Elle avait même du mal à tenir debout tellement les vagues de plaisirs inondait tout son corps. Ses deux trous étaient titillés en même temps ce qui la rendait folle de désir. Elle en vint même à songer que son fils pourrait la soulager.
Dès que cette pensée naquit dans son esprit, elle la repoussa immédiatement. Elle ne pouvait décidément pas faire cela.
-Ah d’accord, répondit Antoine. Eh bien, tâche de te reposer un peu.
-Merci, mon Antoine. Je vais Mmh !
Le gémissement qu’elle venait de pousser bien malgré elle fut plus fort que les autres. L’inquiétude se peignit sur les traits d’Antoine.
-Tu es sûr que tu ne veux pas un coup de main ? S’enquit ce dernier en approchant.
-Non ! L’arrêta prestement Isabella. Je vais bien, ne t’inquiète pas. J’ai suffisamment de coup de main comme ça !
Cette dernière phrase était destinée à Morgane et c’est pourquoi Antoine ne la comprit pas. Il haussa les épaules négligemment.
-Je vais finir de ranger ces serviettes, je t’appels dès que je vois madame Shem, conclu Isabella.
-D’accord, accepta l’adolescent.
À peine avait-il refermé la porte qu’Isabella se jetait au sol, la croupe levée en direction de l’armoire. Morgane jaillit de cette dernière comme un beau diable, le membre fièrement dressé et l’enfonça immédiatement dans le puits entrouvert de la maman qui la suppliait du regard.
-Oh oui ! Gémit cette dernière. Pète-moi la rondelle !
Morgane n’hésita pas une seule seconde tant sa propre excitation était exacerbée et se mit à pilonner avec bonheur ce cul si sublime. Toutes deux étaient depuis trop longtemps au bord de l’orgasme et lorsque celui-ci survint, il faillit les envoyer aussi sec au pays des songes. Elles furent saisies de spasmes de plaisirs tandis que Morgane se déversait dans les entrailles de la maman.
Lorsque enfin, les vagues de plaisirs cessèrent, les deux femmes étaient couchées sur le carrelage de la cuisine, imbriquées l’une dans l’autre. Morgane finit par s’extirpée de l’anus de la maman qui gémit en sentant le pilier de chair racler son cul tout du long. Un filet de sperme s’en échappa et coula le long de la fesse galbée.
-Bon, je vais m’occuper de ton fils, maintenant, murmura Morgane à l’oreille d’Isabella.
La maman resta prostrée sur le sol, encore dans les vapes alors que la jeune femme prenait un grand verre d’eau. Cette dernière quitta ensuite la cuisine en lançant un dernier regard à Isabella puis se dirigea vers la chambre d’Antoine