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L'éducation d'une jeune fille au pair – Chapitre 1




En 1998, après avoir passé haut la main mon BTS commercial, j’avais décidé avec l’accord de mes parents chez qui je vivais encore, de passer 6 mois aux Etats-Unis, comme jeune fille au pair, pour parfaire en même temps mon anglais dans une université américaine.

Je me mis donc en relation avec une association qui me trouva rapidement une famille à Miami, un couple de 40 ans avec 3 enfants, lui avocat, elle directrice de mode, qui avaient besoin d’une employée à temps partiel pour mener à bien leur vie professionnelle.

Le 6 septembre, elle m’accueillait à l’aéroport de Miami. Elle s’appelait Jane, était une blonde plantureuse et très sophistiquée et elle m’impressionna aussitôt car du haut de mes 19 ans et ma dégaine de baba cool, short et baskets, j’avais l’impression d’être une gamine.

Elle m’accompagna dans ma demeure pour les 6 prochains mois. Leur maison était grandiose. Une villa dans les quartiers riches, immense et meublée d’objets d’art. Il y avait aussi une belle piscine devant laquelle nous attendait Sean.

Dès que nous nous sommes retrouvés l’un en face de l’autre, des ondes étonnantes se sont mises à onduler entre nous. Nos deux regards se sont trouvés pour ne plus se quitter et il me fallut du temps pour me dire qu’il fallait que je cesse immédiatement de le regarder ainsi en présence de sa femme. Il était grand, beau, des cheveux noirs parcourus de fil blanc, des yeux vert émeraude et un teint bronzé, d’un beau doré cuivré. J’étais sous le charme. Mais mon esprit ne fit qu’un tour. J’allais devoir rester 6 mois sous le même toit que cet homme qui allait me faire craquer, j’en étais déjà sûre, avec sa femme et ses enfants. Je pris ça pour un jeu. Autant joindre l’utile à l’agréable, me suis-je dit. Je pensais aussi qu’il devait être heureux en couple et qu’un homme de son âge ne s’intéresserait pas à une jeunette. Ils me montrèrent mon studio à l’étage, me firent visiter la maison puis me laissèrent me reposer.

Les 3 semaines suivantes furent géniales. Je m’occupais donc de leurs trois chérubins qui était particulièrement mignons et obéissants et tous les moments où ceux-ci étaient à l’école, je partais dans la voiture qu’il m’avait prêtée, à l’université. J’avais droit à une journée de congé par semaine où je profitais de la plage. Je devenais vite couleur soleil et j’en profitais pour sortir de ma valise mes petites robes d’été. Pendant cette période, je vis rarement Sean. J’en étais contente parce qu’ainsi je ne subissais pas de tentation, mais chagrinée aussi car je rêvais de discuter avec lui. Dès cette première entrevue, je me mis à fantasmer sur lui. C’était très sexuel et j’aimais y penser. Penser qu’il me prenait dans ses bras, qu’il m’embrassait, puis qu’il me faisait l’amour comme jamais personne ne l’avait fait. Mes pensées interdites ne me dérangeaient pas. Je les prenais comme mon jardin secret que personne ne connaîtrait. Il m’arrivait aussi de me masturber en pensant à lui. Je trouvais ça très agréable en songeant que c’était lui qui me faisait jouir.

Un matin, Jane me prévint qu’elle partait 3 jours avec ses enfants voir ses parents à Los Angeles et qu’elle m’octroyait 3 jours de congé. J’étais bien contente de posséder 3 jours de liberté où j’allais pouvoir un peu sortir. J’avais justement une soirée entre étudiants de prévue.

Sean apparut ce matin-là dans l’encadrement de la porte. Mon c?ur se mit à battre à une telle vitesse que j’en avais le souffle coupé.

’ Ne vous en faites pas pour moi, je vais avoir beaucoup de travail, faites comme-ci je n’étais pas là ! ’ Me dit-il tout en me fixant droit dans les yeux. Je me sentis rougir, non par ses propos mais par ce regard qui m’envahissait. Je baissais les yeux.

Jane partit le lendemain et j’avais concocté mon petit plan pour savourer au mieux mes 3 jours de vacances. Je commençais par le shopping, j’avais envie de me trouver une tenue sympa pour la soirée avec mes nouveaux amis étudiants. Je trouvai une petite robe très jolie, un peu sexy mais d’une couleur non provocante. J’étais contente de voir le reflet de mon corps dans cette robe. Je m’étais dit qu’il ne me déplairait pas de rencontrer un petit américain durant ce séjour. Cette soirée était une occasion rêvée.

Je partis donc le soir même chez mon ami Chris à qui les parents partis en week-end avaient laissé leur maison. Il avait organisé une belle fête dansante, avec un buffet grandiose et des cocktails qui coulaient à flot. En fait, je ne fus pas très à l’aise durant cette soirée. Je dansais très peu et ne trouvais pas de personne avec qui discuter. Finalement je décidai de rentrer plus tôt que prévu. Arrivée à la maison de mes employeurs, je m’aperçus que j’avais un peu forcé sur les alcools et une envie soudaine de me plonger dans la piscine me prit.

Me croyant seule, j’enlevai ma robe et me retrouvant en slip, je plongeai dans l’eau chaude qui me caressa le corps. Je fus réveillée instantanément. Mais quelle ne fut pas ma surprise lorsque j’entendis un ’ Bonsoir ! ’ Lorsque je revins à la surface de l’eau. Sean se tenait au bord de la piscine et me regardait évoluer dans l’eau.

’ Je peux venir avec vous ? ’ Je n’en croyais pas mes oreilles. Cet homme qui me faisait tourner la tête me proposait de nager avec moi alors que je n’étais vêtue que de ma culotte à dentelle. Et j’en crus encore moins mes oreilles lorsque je m’entendis lui dire que ce serait avec plaisir. A cet instant plus rien ne comptait pour moi. Cet homme m’attirait violemment et je ne voulais pas perdre cette occasion de séduction. Il enleva donc son pantalon et son tee-shirt et plongea. Il nagea jusqu’à moi et ne m’y attendant absolument pas, il passa sa main derrière mes reins et m’attira à lui.

’ J’ai envie de toi ! ’ Me glissa-t-il dans le cou. Tout mon corps se liquéfia, en deux secondes je succombai et nos deux bouches se cherchèrent, se trouvèrent et je sentis sa langue m’envahir. La mienne se fit d’abord accueillante puis s’enhardit, lui léchant les lèvres et m’abandonnant à ses assauts. Je devenais folle, je sentais déjà une franche sensation d’excitation provenant de mon entre-jambe. C’était délicieux. Il se détacha de moi, atteignit le bord de la piscine en deux brasses, en sortit et me demanda de le suivre. Je m’exécutai et sortis à mon tour de la piscine. Je le suivis donc, dégoulinante d’eau vers l’étage et la porte de mon studio. Il me porta dans ses bras et m’allongea doucement sur le lit. J’étais subjuguée par son corps, son odeur, le contact de sa peau. D’ailleurs il s’allongea à mes côtés, se colla contre moi et m’embrassa de nouveau à pleine bouche tout en me caressant les seins. Ils étaient durs et sensibles. Il joua avec mes tétons dressés, les pinçant très doucement puis il les avala avec sa bouche. Je gémis de plaisir et me cambrai. Il me malaxait. Puis ses mains descendirent vers mes hanches. Il se redressa et empoigna ma culotte qu’il fit descendre. J’étais enfin nue et je n’avais qu’une intention, me donner corps et âme à Sean. J’en mourais d’envie.

Il dut le sentir car il m’écarta fermement les jambes et plongea entre celles-ci. Je sentis qu’il m’écartait les grandes lèvres avec ses mains puis sa langue toucher mon clitoris. Je me crispai tellement la décharge était forte. Mais il me maintenait les jambes très écartées et je ne pouvais que très peu bouger. Sa langue se noya dans mon sexe, le happant, l’humidifiant, s’insinuant dans mon intimité, m’ouvrant. Je gémissais comme si j’étais en transe. Je me mis à écarter mon sexe moi-même, je le trouvai trempé, dégoulinant. Il enfonça alors plusieurs doigts dans mon conduit et je sentis mes chairs et mes muscles se détendrent et accueillir cette pénétration que je voulais sauvage. Je me transformais sous ses doigts. De la jeune fille assez calme, je devenais une femme sensuelle et réceptive. J’ondulais et balançais mon bassin lorsque ses doigts entraient en moi.

Sean arrêta et après avoir enlevé son maillot de bain, vint s’allonger tête-bêche le long de mon corps. Il écarta de nouveau mes jambes, empoigna mes fesses et entreprit un va-et-vient effréné le long de ma raie. De mon côté je voyais son sexe pour la première fois. Il était de belle taille, doté d’un gland tout rond et très saillant. Je me mis à saliver, je me mis à le caresser, à faire courir mes mains sur cette tige dure que je ne tardais pas à enfourner dans la bouche. Son goût était doux et sucré et je me mis à la pomper de toutes mes forces. Sean s’excitait. Je le sentais gémir, ses doigts se mirent à élargir ma vulve alors que sa langue titillait mon clitoris. Il arrêta soudain, se remit sur ses genoux et me dit :

— Je vais te prendre !

Il me roula sur le dos, s’allongea sur moi, m’embrassa le visage, la bouche, le cou et les seins et me pénétra doucement. Je sentais son membre dur et gonflé prendre possession de mon vagin, le remplir entièrement. Je plaquais mes mains sur ses fesses et accompagnais son mouvement de reins. J’entendais le léger clapotis que faisaient nos sexes réunis et une jouissance des plus fortes explosa dans mon ventre. Tout mon corps en fut secoué de soubresauts.

Depuis ce jour, cet homme m’a tout appris en matière d’amour et de sensualité. Je passais même outre le fait que cette aventure n’était autre qu’extraconjugale. Mais je m’en satisfaisais entièrement, j’avais Sean dans mon lit dès que sa femme, une fois rentrée de son séjour, s’absentait de la maison et que les enfants n’étaient pas là. Je séchais même mes cours pour le retrouver. Et à chaque fois je montais au nirvana et nos caresses devenaient de plus en plus franches, osées et sensuelles. Je m’abandonnais, j’apprenais à vivre ces instants passionnément, avec délectation. C’était une sensation suave, charnelle, sauvage, plus sexuelle qu’amoureuse. Il me demandait parfois de revêtir une de me robes légères et il me retirait la culotte pour le plaisir de soulever le tissu et découvrir mes rondeurs.

Un jour il me demanda si j’avais déjà pratiqué la sodomie. Je répondis par la négative mais me retournai sur dos, jambes écartées et lui demandais de m’apprendre. Je passai alors de l’éducation vaginale que je n’avais jamais expérimentée avec un homme de son âge, à une éducation anale des plus érotique. Il commença tout d’abord par m’écarter les fesses et à boire mon anus avec sa bouche. Je sentais sa langue écarter mon anneau et rentrer et sortir le long de ses parois. Je me cambrai pour aider son entreprise. Alors un de ses doigts se posa sur mon anus et il le pénétra. Je trouvais cet instant envoûtant car je lui donnais ce que jamais je n’avais donné à quiconque. Je sentais Sean respirer fort et je le regardais, perdu dans la contemplation de mes fesses offertes et de mon orifice qui accueillait son doigt.

’ Tu mouilles beaucoup, je ne te ferai pas mal. ’ Me dit-il en joignant un autre doigt avec le premier et en jouant avec mon trou jusqu’à les enfoncer entièrement et les remuer au fond de mes entrailles. Le plaisir était trop fort. Je ne cessais de m’arquebouter au maximum pour lui faciliter la tâche.

— Je n’en peux plus, je vais te prendre. Pousse lorsque tu sens mon sexe rentrer, n’hésite pas !

Alors son gland se posa sur mon petit trou et d’une pression ferme, il fut absorbé. Je poussais et les centimètres de son pieu dur se logèrent dans mon antre vierge. Ma violente excitation me permit de ne ressentir que du plaisir. Je sentais mon orifice gluant de ma mouille et son sexe y glisser facilement malgré sa taille. J’enviais Sean de pouvoir admirer cette image. Mon anneau était écarté par cette masse de chair figée dans mes fesses. Sean commença à entrer et sortir. D’abord tout doucement mais me voyant onduler et gémir de plus belle, il accéléra le rythme et put finalement prendre une cadence aussi soutenue que s’il était dans mon vagin. Je ne tardai pas à jouir et me retrouvai surprise de la puissance de mon premier orgasme anal. Il éjacula aussitôt au fond de moi. Nous nous écroulâmes, essoufflés et satisfaits.

C’est ainsi que je passais 6 mois de ma vie, je n’ai pas réussi à améliorer vraiment mon anglais mais j’ai appris à comprendre mon corps, mes désirs et mes pulsions.

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