Linda, gavée des multiples jouissances qu’elle a subies, cède la place à Cloé.
Allez Roger, fais voir ce que tu faisais subir à ma fille, espèce de gros cochon !
Cloé prend place sur la table basse, Roger s’agenouille face à elle, instinctivement, Cloé ouvre les jambes.
Il lui écarte avec ses gros doigts les grandes lèvres, et en fait jaillir le clito.
Le bouton rose placé juste au-dessus de la fente, et vite aspiré par le tonton gourmand.
Cloé se cabre sous la violente aspiration, elle geint de plaisir sous nombreuses les succions brutales, sa chatte est trempée par l’abondante cyprine.
Le bouton enfle, il devient aussi gros qu’ une noisette que mon frère suce comme un bonbon.
Les râles de ma princesse sont de plus en plus rauques, elle agite son bassin en gloussant de bonheur.
Roger recule sa tête et regarde Cloé.
Frustrée de l’abondant de son clito, elle réagit en boudant.
Tonton tonton encore encore s’il te plaît !
Ne sois pas impatiente ma chérie !
Il replonge sa tête entre les cuisses largement ouvertes, sa langue titille le bouton qui ne cesse de grossir, il l’agace en le tétant et le mordillant de temps en temps.
La langue de son oncle la rend folle, elle se raidit et gicle de jouissance en grognant.
Oui tonton encore oui oui encore !
Moi, je suis dans un état pas possible, ma bite est dure comme du béton, je suis obligé de me branler tellement la pression et forte.
Cela ne laisse pas indifférente ma belle-sur qui happe mon gland, elle suce comme une déesse, je suis aux anges, la succion est terrible.
Je suis au bord de l’explosion, je repousse Linda, mon gland est violacé, je fais quelques va-et-vient avec ma main sur ma bite gorgée de sang, c’en est trop, je m’empresse de serrer fortement ma hampe comme pour l’étrangler, je ne veux pas jouir maintenant.
Le gland paraît encore plus énorme, le sang cogne dans ma verge, je ne fais plus aucun mouvement pour faire retomber la pression.
Roger a pris entre son pouce et son index le clito de ma princesse et le branle comme une petite bite, les rapides va-et-vient sur le petit engin font exploser Cloé encore une fois, sa cyprine gicle avec force sur le visage de Roger.
Il plaque sa bouche sur la vulve en fusion et avale tout ce qui s’en échappe.
Il reprend entre ses doigts le clito développé devenu hypersensible, il le branle à nouveau puis l’écrase pendant que ma fille jouit une nouvelle fois.
IL se relève brusquement, place contre la vulve en peine éruption son braquemart et donne un coup de reins, l’engin large et épais s’enfonce de moitié dans la gaine lubrifiée par l’abondante de cyprine.
Cloé s’accroche à lui et pousse un cri suivi de :
Oui tonton, va à fond, défonce-moi, fais-moi mal !
L’oncle obéissant donne un second coup de reins plus violent cette fois.
Il s’enfonce jusqu’aux couilles dans le cratère en ébullition, sa bite bute contre le col de l’utérus, ma fille s’accroche encore plus fortement à lui.
OH oui, comme ça, tonton, défonce-moi bien fort !
J’en suis un peu jaloux des paroles qu’elle lui dit, mais je suis résigné, c’est moi qui ai voulu ça.
Il commence à faire des va-et-vient de plus en plus rapides (la nièce et son oncle sont de parfaits partenaires sexuels), ils ne font qu’un.
Les râles rauques que pousse ma fille prouvent bien qu’elle prend un pied d’enfer.
La bite puissante de Roger, coulisse sans relâche dans le puits d’amour.
Plus fort tonton plus fort, fais-moi mal, oh ça vient !
Roger ressort entièrement sa bite et la replonge à fond, il réitère le mouvement un bon nombre de fois.
Oui oui comme çaaaa totoooooooooooooooon !
Cloé se bloque et explose en poussant des cris de bête blessée.
Je tiens plus, je tire brutalement sur les épaules de mon frère et le fais chuter sur le sol.
Je plante avec violence mon engin dans la chatte de ma fille qui pousse un :
Oh oui, papa, défonce-moi comme une chienne !
Ma queue luisante entre et ressort du conduit de plus en plus vite, la tension est telle en moi que je ne tarde pas à inonder la chatte de ma fille avec ma semence gluante.
Cloé agite son bassin, elle veut que tout le jus qui est dans mes couilles gicle en elle jusqu’à la dernière goutte.
Je la pilonne encore un moment, elle donne de violents coups de cul pour que je la fore à fond, elle pousse un hurlement, s’arc-boute et jouit encore une fois. Enfin, je me retire de ce volcan insatiable.
Roger intervient:
Viens t’empaler sur moi ma chérie, ton papa c’est un vilain, il ne m’a même pas laissé finir !
Roger s’allonge sur le sol, Cloé, obéissante, l’enjambe, saisit d’une main sa bite et la dirige vers sa chatte dégoulinante de sperme et de cyprine.
Elle descend lentement, le gland ouvre les grandes lèvres, elle se laisse tomber de tout son poids, elle pousse un ah de bonheur, l’empalement est total.
Linda la plaque sur le torse de son mari, et approche de l’anus de ma fille un gode énorme.
J’écarquille les yeux et dis :
Mais jamais ça va entrer cette chose monstrueuse ?
Mais oui, et sans vaseline encore, ta petite salope en redemande à chaque fois !
Linda pousse fortement sur le gode, l’anneau résiste, elle pousse plus fort, la rondelle cède et avale lentement l’engin démesuré.
Ma fille grimace, elle serre les dents.
Le monstre s’enfonce lentement dans la gaine étroite en la distendant un maximum.
Linda cesse de pousser, Cloé pousse un soupir de soulagement.
Je nen crois pas mes yeux, je n’aurai jamais imaginé qu’un engin pareil dilate le cul de ma petite princesse.
ça va ma princesse ?
Oui papa, ça va aller, c’est dur au début puis je m’habitue, j’aime être distendue de la sorte, de plus avec la bite de tonton dans ma petite chatte, je suis aux anges !
Vas-y tante, tu peux commencer !
Linda commence à agiter le gode, elle le tourne dans le conduit anal, ma fille grogne, les va-et-vient prennent de l’ampleur, Roger donne des coups de reins violents comme pour traverser le corps de Cloé.
Cloé a l’impression que la bite et le gode sont dans le même trou, elle gémit de plus en plus fort, Linda accélère, Roger envoie son sperme brûlant dans la chatte de ma fille qui ondule des hanches, elle agite fortement sa croupe puis se bloque, elle pousse un hurlement terrible, elle se mord la main tellement sa jouissance est forte.
Doucement, Linda retire le monstre, le trou reste béant, Cloé se relève difficilement, de sa chatte s’écoule le surplus de sperme de tonton.
Oh ce que j’ai pris, mon Dieu que c’était bon !