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Une vraie dominatrice – Chapitre 1




Cela faisait déjà un moment que je recherchais sur le net une femme dominatrice. Il faut dire que j’aime porter une culotte plastique, sur mes sous-vêtements, et faire pipi dedans. Trouver une dominatrice qui ne soit pas vénale n’est pas déjà chose aisée, mais en trouver une qui m’utilise comme je souhaitais l’être relevait de l’impossible.

Aussi, quand j’ai reçu ce mail m’annonçant qu’une certaine Maîtresse P. avait répondu à l’une de mes nombreuses annonces, et qui plus est, qu’elle était dans ma région et désirait me voir, j’ai sauté sur l’occasion.

Le mail était clair:

« Soit lundi prochain à 14.00h précise debout au comptoir du bar X, je viendrai t’y rejoindre, mais je te veux en culotte plastique, trempé, et plugué sous tes vêtements. J’ai toujours rêvé d’avoir une petite salope pisseuse comme jouet, si tu te montre à la hauteur, je saurai te donner ce que tu cherche, mais attention, je ne tolérerai AUCUN écart de conduite de ta part, ou je disparaîtrai de ta vie aussitôt! Suis je clair? »

Jai immédiatement répondu par laffirmative, me disant quau pire, je pouvais toujours mettre fin au jeu à ma convenance, puisquelle men donnait la possibilité puis nous échangeâmes encore quelques détails sur mes phantasmes et mes limites avant de nous séparer sur ce rendez-vous.

La nuit de dimanche à lundi fut peuplée de rêves oniriques, où de somptueuses créatures vêtues de cuissardes brillantes mexhibaient et mhumiliaient publiquement, et au réveil, une érection terrible mobligea même à me satisfaire, afin de calmer mes esprits.

Je pris une douche, madministrai un profond lavement, me rasai de près, puis je mis un plug dune taille raisonnable, une belle culotte en dentelle rose, passai une serviette en pagne dessus en guise de couche, enfilai ma culotte plastique par dessus et finis de mhabiller.

Lensemble restait malgré tout à peu près discret, et une veste longue finit de rendre ma tenue quelque peu incongrue totalement invisible.

Je filai alors à la gare et profitai du voyage pour me lâcher dans ma culotte, assez pour la mouiller, mais sans risquer de fuites et cest donc les fesses bien trempées que jarrivais au bar.

Le piège se met en place

Le bar était plutôt glauque, et les quelques clients présents, essentiellement des arabes, avaient tous plus de 40ans, et ne ressemblaient pas vraiment à des cadres supérieurs. Lair était enfumé, et il y régnait une odeur spécifique, mélange de fumée froide et de sueur mais même si je trouvais étrange que Maîtresse P mai donné rendez vous ici, je me disais quaprès tout, javais dut obéir en tout point à ses directives et que je nallais tout de même pas me faire agresser comme cela, en plein jour, et dans un lieu public.

Je me dirigeai donc vers le bar et commandais une bière, étant en avance, puis me dirigeais vers les toilettes, soulager ma vessie pas totalement vide.

Les toilettes en question étaient à limage du bar: sales, et pas nettoyés, le sol carrelé était trempé de ce que j’espérai secrètement nêtre que de leau…les murs recouverts de graffitis à lorthographe aussi douteuse que la propreté des lieux, invitaient lutilisateur au stupre et à la luxures en termes crus et obscènes, une odeur de vieille urine agressait les narines. Décidément, quel étrange lieu de rendez vous….

Je retournai au bar, payai ma consommation et savourai ma bière, laissant libre cours à mon imagination, en observant les autres consommateurs présents. Tous mes scénarios échafaudés la veille s’écroulaient comme un château de carte: point de superbes filles en cuissardes, ni de lieu aménagés, et je me commençai à penser que cette histoire sentait le lapin à plein nez….mais bon, rien de bien grave à priori, jallai finir tranquille ma bière et aviser du reste de la journée.

Je ne prêtai plus guère attention à la salle ni au téléphone qui sonna ni au barman qui pris lappel. Quelques «oui, non, bien sur», je ne remarquai dans ces propos rien que de bien banal, je ne pris pas garde non plus au signe quil fit à lhomme assis prés de lentrée . Mais quand celui ci se leva et ferma la porte du bar en mettant le verrou et que le barman descendit les volets roulants, je sentis une montée d’adrénaline…

Dune voix que je voulais aussi sûre que possible, je demandai:

«Y a un problème?»

-non, on attend quelquun mais tu peux finir ta bière»

Le piège se referme

Ce tutoiement ne me rassurait pas du tout et quand le barman sortit de sous le comptoir une pochettes avec des photos, je crus défaillir: des photos de moi en couches, nu, dautres ou j’avais le plug entre les fesses… A présents, tous les hommes présents sétaient levés et se dirigeaient vers moi. Je commençai sérieusement à ne plus trouver la situation très drôle. Une main se posa sur mes fesses:

« Shouf, il porte vraiment une culotte de bébé!! »

Des rires gras, des mains qui me tâtent les fesses, les premières injures qui fusent….

« quelle salope!

Je suis sur quil est trempé!

Je sens quon va bien samuser avec cette pute!

La terreur me gagne petit à petit. Impossible de fuir! Comment ai je pu être aussi bête? jessaye de me dégager, mais ces hommes sont trop forts et trop nombreux pour moi et je me retrouve vite fait torse nu avec mon pantalon sur les chevilles, entraîné vers les toilettes….

« Alors salope? On est venu? Tu as obéi à mes ordres? »

Devant moi se tient maîtresse P, superbe , sur ses talons, en tailleur strict!! Ma peur disparaît, jai confiance en elle. Je tente un timide « oui » et une baffe me couche sur le sol froid et trempé.

« Cest oui maîtresse, et pour eux, ce sera Monsieur, tu as saisi, sous-merde? Et pour commencer, voici ce que tu mas écrit, tu vas le lire à haute et intelligible voix»

Je pris le texte quelle me tendait et lu:

« Je suis une truie pisseuse, Maîtresse, et jaime être humilié et exhibé en public, servir de jouets sexuel aux hommes pour votre plaisir »

-Bien, je suis heureuse de te lentendre dire.

Sa voix se calma. Puis sadressant à présents aux mâles:

« Comme je vous lavais promis, je vous offre une bonne petite pute pour vous satisfaire: servez vous de sa bouche et de son cul à volonté, mais sachez quelle aime autant le sperme que la pisse. Sa culotte doit normalement être trempée, je vais vérifier cela de suite, et son cul plugué. »

Elle abaissa ma culotte plastique, découvrant mon lange mouillé, et ma culotte de dentelle rose.

« Javais dit trempée, sous-merde, pas humide! On va tarranger cela tout de suite. Nest ce pas messieurs? Ils vont te la remplir à tour de rôle, et venir se faire nettoyer le sexe par ta bouche de pipeuse. A chacun deux, tu dira merci monsieur de me traiter comme la salope que je suis! »

Elle remonta sans ménagement ma culotte plastique et lun après lautre, les hommes vinrent se soulager dedans, la faisant se gonfler de leur mélange durine, et à chaque fois, je devais nettoyer leur sexe pas toujours propre,et répéter la même phrase humiliante.

« Te voila en condition, salope, on va pouvoir passer à la suite. Tu vas te mettre à quatre pattes, la figure dans lurinoir, et bien écarter ta culotte, que lon puisse voir que tu baigne dans la pisse et que tu es plugué, comme une bonne truie en chaleur. »

J’obtempérai sans discuter, autant par peur des représailles que par le plaisir malsain de mavilir ainsi devant cette femme hautaine.

Des flash crépitèrent! Je me retournais pour protester, il navais jamais été question de photos, mais un talon aiguille mobligea à replonger la figure dans lurinoir.

« tu bouges pas, salope, ou ce talon pourrai bien te faire très mal! Tu voulais servir de pute gratuite? Être souillé et avili? Maintenant, assume ta condition. Jusquà présent, je suis content de toi, et si je veux prendre des photos, je le fais! Compris? Tu nas rien à dire à part oui Maîtresse ou merci Maîtresse. Tu seras dorénavant ma salope soumise, et je me servirai de toi comme telle. Compris? Sinon ces photos pourraient bien atterrir là où tu naimerais surement pas quelles atterrissent.

Le « oui Maîtresse » ne fut quun glouglou inintelligible, ma bouche baignant dans la rigole odorante qui s’écoulait du trop plein de ma culotte, et je me résignait, honteux mais heureux à la fois, lorsquune douche chaude marrosa le dos et la tête: Maîtresse M. Me pissait dessus, devant tout le monde, tout en continuant à prendre des clichés de la scène.

Puis elle retira sans ménagement le plug qui obstruait mes fesses, le jeta dans la flaque durine ou je baignais, puis mordonna de le ramasser et de le sucer jusqu’à ce quil soit impeccablement propre.

Encore des flash, puis Maîtresse enleva son pieds de ma tête et annonça:

« Voila, messieurs, cette salope est à vous pour laprès midi, amusez vous bien mais ne me labîmez pas. »

Ce fut la ruée….Sous les injures, baignant dans lurine, des sexes de toutes dimensions forcèrent mon cul ouvert et ma bouche, déversant leur semence au fond de mes orifices, me traitant comme un simple objet de plaisir, durant un après midi qui me semblait de devoir jamais finir.

Enfin, je fus libéré, mais comme une ultime humiliation, lun des hommes me dit:

«Tes vraiment une bonne salope bien soumise comme on les aime ici, tu vas maintenant te rhabiller, mais bien sur garder ta couche pisseuse, et prendre un verre au bar, tu las bien mérité. Et ne pense même pas à te laver avant, le foutre séché et la pisse te vont très bien au teint »

Au bar, Maîtresse P mattendait, tout sourire. Devant elle, un verre rempli.

« Dorénavant, tu sera ma pute, je suis fière de toi .A chaque convocation, tu viendra ici. Ahmed se fera un plaisir de faire savoir à ses amies et amis que tu nest quune pisseuse dont ont peut user et abuser et cest ainsi que tu servira en mattendant. Bien entendu, la tenue sera la même que cet après-midi, et interdiction den changer sans mon autorisation. Enfin, pour te remercier, je toffre ce verre: Cest un ami SDF qui na pas su venir, mais qui ta laissé un bon verre de pisse pour se faire pardonner. Tu va le boire devant nous, puis tu pourra repartir, et trouver un endroit ou te rincer, tu pues la pisse comme cest pas permis. Ce sera d’ailleurs ton nom ici: pue-la-pisse, ça te va très bien »

Toute fierté totalement annihilée, je bus linfâme breuvage sous les railleries et le sourire conquérant de maîtresse P et quittai les lieux.

La touche finale

Totalement épuisé, vidé de toute volonté, souillé et avili, je me dirigeai, hébété vers la gare, espérant pouvoir au moins me laver la figure avant de retourner chez moi, lorsquune voix se fit entendre derrière moi

« Ho, man, tas pas un euro ou deux pour moi sil te plaît? »

Un Sdf venait vers moi, mendiant la pièce. Franchement, ce n’était pas vraiment le meilleur moment, et je refusai poliment

« désolé, plus une seule pièce ; une autre fois »

Que ne venais je pas de dire: lhomme se montra plus agressif, et haussant la voix:

« Ho la salope! Faut pas le prendre de si haut! Tout le monde sait que tu porte une couche pisseuse et que tu tes fait enculer tout l’après midi! En plus tu pue la pisse à 100m et tu te la pètes? Moi qui tai payé un verre il y a 10 minutes à peine? »

Il y avait du monde autour de nous et deux ou trois personnes se retournèrent. Rouge de honte, je fouillai nerveusement mes poches et lui donnai les quelques piécettes qui y traînaient, espérant le calmer. Il me remercia et tandis que je faisais déjà mine de men retourner, me rappela:

« Attends! Il y a ta Maîtresse qui ma dit de te redonner ton plug, tu sais ou il se range parait-il.. »

Il me jeta le plug au vu et au su de tout le monde, et ss’esclaffa bruyamment. Je ramassai lobjet, et couru vers la gare. Il me sembla encore entendre les rires de la foule dans le train qui me ramenait à la maison. Jamais je nai été autant humilié de ma vie, mais une chose est sure Si Maîtresse P me siffle, j’ accourrai comme la petite chienne soumise quelle a fait de moi, pour son plus grand plaisir et ma plus grande honte

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