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Solange – Chapitre 2




La verge de Julien eut plusieurs soubressauts, envoyant de nouvelles giclées dans la gorge de Solange, mais elle s’était bien préparée et malgré la déferlante du premier jet, elle ne s’étouffa pas et put déglutir avec délectation ce jus fort, épais, animal, sauvage, âpre, rugueux, mâle. Et pourtant, pour elle, un véritable hydromel, un nectar, le vin des amazones, la véritable boisson des déesses.

Elle poursuivit encore un long moment les mouvements de va et vient le long de cette tige brûlante. Madame Granger voulait profiter de cette nouvelle saveur totalement inconnue. Sa bouche coulissait facilement le long de la barre poisseuse de sperme et de salive, laissant échapper de petits bruits de succion et de déglutition.

Le bâton de jouissance de son amant était encore dur dans sa bouche et lui rappelait tout à fait les sucreries de son enfance.Solange se délectait de cette masse de chair si suave, c’était un festin de reine. Elle n’en finissait pas de sucer, de pomper cette verge bandée, elle voulait l’engloutir en totalité. Elle n’en finissait pas de lécher cette hampe luisante sur toute sa longueur pour s’en rassasier, elle s’en caressait les joues, le visage pour s’en imprégner, inspirant à plein poumon ses effluves sauvages.

Les joues creusées pour tout aspirer, Madame Granger adressa un regard langoureux à son jeune amant pour le remercier de l’avoir ainsi abreuvée.Ses lèvres luisantes laissèrent s’écouler un petit filet de cette délicieuse semence, donnant encore plus de volupté au sourire qui se dessinait sur son visage radieux.

Julien recherchait son souffle, les yeux vers le ciel, puis aprés avoir dégluti sa salive, il regarda Solange à ses genoux. Vision de rève, irréelle. Le visage de sa sublime fellatrice était tout auréolé d’un halo de douceur, de tendresse, de sensualié. Halo accentué par son regard allangui, par sa bouche voluptueuse et luisante de plaisir. Ses lèvres rouges, toujours impeccablement dessinées, tenaient encore son sexe emprisonné avec un sourire mutin et pervers à la fois. Ses yeux verts brillaient de l’éclat de la femme heureuse.

Julien prit Madame Granger par les épaules pour la relever, la faisant glisser sur toute la longueur de son corps comme elle l’avait fait avant de le prendre en bouche. En remontant, la guépière effleura à nouveau son sexe, divine caresse. Le frottement dénuda les seins magnifiques de sa maîtresse, laissant apparaître deux tétons dressés et durs au millieu des larges aréoles brûnes qui contrastaient avec blancheur laiteuse du reste des globes mamaires.

Le jeune homme embrassa sa partenaire à pleine bouche, de toute la fougue de ses dix-huit et de toute la passion qu’avait fait naître la divine fellation prodiguée par sa merveilleuse initiatrice. Ce baiser était moins sauvage, moins barbare que le premier mais beaucoup plus intense.

Leurs lèvres ne se dévoraient plus mais s’épousaient profondément, leurs langues ne se repoussaient plus mais s’enlassaient, s’unissaient intimement. Le goût de cette bouche aussi était différent, plus fort, plus chaud, plus entêtant et tellement plus excitant. Ce baiser se prolongea car tous deux voulaient profiter de cette union hors du temps.

Ce baiser les calmait aprés cet orgasme violent qu’ils avaient connu. Il leur permettait de savourer la pleinitude d’une telle jouissance. Mais ce baiser leur redonnait des forces, les revitalisait, les revigourait et ils étaient préts pour une nouvelle étape dans la découverte du corps de l’autre. Ce baiser déclenchait en chacun l’envie de s’unir à l’autre pour ne plus former plus qu’un seul corps !

Déjà Julien ressentait dans son sexe les effets de leurs caresses buccales, et une nouvelle érection de son dard s’annonçait peut être même plus impressionnante que la première. La main de Solange avait d’ailleurs reprit possession de cette tige de chair afin de la stimuler de nouveau.

Le jeune homme avait une nouvelle fois enlacé sa compagne et la tenait serrée contre lui à l’étouffer. Plus sûr de lui, ses mains caressaient le dos de Solange et même s’aventuraient sur ses fesses. Julien se permettait de les flatter, de les palper et de les empaumer pour mieux les pêtrir.

Solange, toujours collée aux lèvres de son amant et accrochée à son vît, se cambrait et tendait son cul pour répondre à la caresse. Le jeune garçon s’enhardissait et passait ses mains sous la fine dentelle tendue pour n’être en contact qu’avec la peau de sa maîtresse.

Ainsi soudé à elle, Julien fit pivoter Madame Granger pour la plaquer contre le mur. Il s’écrasa un peu plus contre elle, glissant à nouveau une cuisse dans son entrejambe. La main qui flattait les fesses se trouva bloquée alors que certains doigts avaient découvert le sillon fessier de sa partenaire. Leurs bouches ne s’étaient pas encore séparées et leurs souffles commençaient à se faire court. On n’entendait plus alors que des soupirs, des halètements et des bruits mouillés de lèvres qui se séparent pour s’unir à nouveau. Mais leur baiser touchait à sa fin car la tension du désir de s’unir plus intimement grandissait au plus profond de chacun d’eux.

Leurs lèvres se séparèrent une dernière fois et ce sont leurs yeux qui se fixèrent. Leurs regards étaient chauds, intenses, brûlants du désir de posséder l’autre. Et ils s’embrassèrent à nouveau, peut-être par peur de ce qu’ils venaient de comprendre en se regardant. Leurs lèvres courraient sur leurs visages, et déjà leur souffle ne faisait plus qu’un.

La cuisse de Julien comprima davantage la vulve de Solange, écrasant son clitoris tendu. La main coincée par le mur chercha à s’aventurer plus profondément entre les deux masses charnues. Ses lèvres se remirent à dévorer celles de sa maîtresse, alors que son autre main s’était accaparée de sa poitrine. Malaxant les deux mamelles l’une aprés l’autre. Il avait saisi les tétons érigés comme deux petites bites et les faisait rouler entre ses doigts de moins en moins délicatement. Le jeune homme entama un lent mouvement du bassin, pour faire coulisser son sexe rigide dans la main de sa partenaire.

Solange se sentit prise, totalement possédée. Sa bouche était envahie par une langue vorace, sa vulve était littéralement écrasée par la masse musculaire de la cuisse de Julien, ses fesses se faisaient profondément fouillées, ses seins virilement malaxés.

Elle avait fait pénétrer dans sa chambre un jeune garçon et la voilà dans les bras d’un amant vigoureux qui prenait possession de tout son corps. C’était véritablement un homme puissant qui allait la pénétrer, elle, dans un instant.

Solange se demanda si la situation n’était pas en train de lui échapper. Elle avait réveillé la bête qui dormait au plus profond du jeune homme, et maintenant elle allait se faire violer sauvagement au premier étage de sa propre maison.

Mais les caresses de Julien, bien que de plus en plus appuyées, n’en étaient que plus agréables, et Madame Granger se laissa aller, s’abandonna aux attouchements pressants de son amant. Elle écarta franchement les jambes pour que la cuisse de Julien lui écrase complètement le clitoris. Elle ondula langoureusement le bassin pour facilité la palpation approfondie de ses fesses. Ses bras s’étaient resserrés comme pour étouffer son partenaire et sa bouche se colla encore plus intimement à celle du garçon.

La chambre était envahie de bruits de bouche, de succion, de soupirs. C’est Julien qui rompit leur baiser, mais ayant peur de regarder Solange dans les yeux, il posa fébrilement la joue contre la sienne pour murmurer à son oreille :

— Madame Granger, je…je voudrais vous faire l’amour…

Solange s’aggripa encore plus fortement à Julien. Elle l’aimait. Décidément cet enfant était un ange de douceur. Elle venait de le sucer comme la dernière des putes, elle avait sa bite dans sa main, il avait ses doigts au plus profond de son cul ou presque, il lui torturait divinement ces tétons et il la vouvoyait encore. Il demandait même l’autorisation pour la baiser.

-Oui, Julien, je veux que tu me fasses l’amour. Là tout de suite, debout contre le mur. J’ai envie de toi, j’ai envie que tu mettes ta bite dans ma chatte… J’ai envie de toi en moi au plus profond… que tu me baises, que tu me fasses jouir… Viens mon amour, mon ange, viens fais moi l’amour !

Elle disait tous ces mots pour s’exciter, pour exciter Julien, mais aussi pour le rassurer et le mettre en confiance. Pour qu’il sache que ce qu’il demandait n’était pas mal ou tabou et que elle aussi désirait ardemment faire l’amour avec lui, être possédée par lui.

Ce qui l’excitait le plus, c’était de penser qu’elle allait faire l’amour debout pour la première fois de sa vie, décidément sacré anniversaire. Debout contre un mur comme n’importe qu’elle fille de rue. Contre le mur de sa chambre, de la chambre conjugale, tant pis pour Jean, il n’avait qu’à pas être en retard.

Solange repoussa délicatement le jeune homme, qui découvrit pour la première fois la poitrine de Madame Granger. Deux seins bien ronds, harmonieusement dessinés, à peine affaisés sur la dentelle de la guépière. La douce chair laiteuse contrastait avec les aréoles sombres, légèrement grumeuleuses, d’où s’élevaient des tétons turgescents et frippés. Un petit médaillon argenté pendait délicieusement à la naissance de la vallée séparant ces deux globes majestueux, animés par les inspirations profondes de Solange.

Les bretelles tombées sur les bras, les balconnets de la guépière retournés sous les deux masses mamaires donnaient à Julien une image particulièrement sensuelle et excitante de cette femme qu’il admirait tant.

Il avait devant ses yeux La Femme : la Mère, l’Epouse, la Maîtresse, la Première, l’Eternelle. Un corps de déesse aux formes harmonieuses, sublimes, parfaites.

Des seins que l’on a envie de caresser, d’effleurer tant la peau parait douce et délicate, une taille que l’on voudrait enserrer de ses mains juste au dessus de hanches qui s’évasent pour donner toute la définition de féminité, des cuisses aux rondeurs harmonnieuses.

D’un geste qui aurait pu paraître grottesque ou obcène, mais que Solange rendit extrèmement gracieux et sensuel, elle écarta sa culotte trempée, et la roula sur le coté de ses grandes lèvres échauffées pour dénuder sa vulve et rendre sa chatte brûlante accessible au bâton de feu qu’elle tenait toujours en main.

Julien était subjugué par tant de grâce, de douceur, emmerveillé par la beauté du corps de sa initiatrice.

Solange se hissa sur la pointe de ses escarpins et amena le mat de son amant à l’entrée de sa chatte baveuse. Ondulant de bassin, elle enduisit le gland de ses sécrétions intimes et commença à le téter de ses lèvres vaginales comme elle l’avait fait auparavent avec ses autres lèvres. Elle promenait l’extrémité du sexe du jeune homme sur toute la longueur du sillon labial, pour l’humecter, le lubrifier de sa liqueur.

Julien n’en revenait pas, c’était encore plus chaud et plus humide qu’une bouche.

Avec perversité Solange venait percuter son petit bouton d’amour pour se rapprocher des limites du sublime, et repartait vers l’ouverture de son temple aux délices.

Puis, brusquement, Madame Granger plaqua fermement son amant contre elle. Le jeune homme inexpérimenté comprit qu’il devait légèrement plier les genoux pour bien se positionner mais semblait attendre un signe pour aller plus loin. Et c’est Solange qui s’en chargea. S’accrochant aux épaules du jeune homme, elle lui souffla à l’oreille :

— Viens, Mon amour, maintenant vas-y, prends-moi d’un coup, défonce moi !

A SUIVRE.

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