Après ce qui s’était passé avec ma collègue Chris au bureau, j’appréhende quand même un peu de la revoir. Heureusement, c’était un vendredi ce qui nous laisse tout le week end pour digérer nos bêtises. Le week end se passe sans rien de particulier à part un texto de sa part alors que je suis en train de jouer au golf comme tous les samedis après-midi.
Merci pour hier. C’était une grosse bétise mais c’était délicieux. Il faudra qu’on en parle si tu veux bien.
Je n’ai pas osé lui répondre, ne sachant pas si elle était seule elle aussi. La reprise arrive, elle est là, resplendissante. Elle m’embrasse comme d’habitude en me demandant si j’ai passé un bon week end puis nous partons chacun de notre côté à nos occupations respectives. Je la croise plusieurs fois dans la journée, elle me sourit mais n’ose pas me toucher comme elle le fait habituellement devant les autres. J’attends la fin de la journée avec impatience et ce moment où nous serons encore seuls comme d’habitude dans les bureaux. Les collègues s’en vont un par un. Il ne reste bientôt plus que nous. Je l’entends parler en bas au téléphone avec son homme, la discussion a l’air d’être orageuse puis c’est le silence. Je me demande ce qu’elle peut bien faire quand tout à coup je sens une présence derrière moi. Je me retourne. Elle est là, souriante.
— Ouf. Enfin seuls !
— Comme tu dis.
— J’avais hâte que tout le monde s’en aille pour qu’on puisse discuter. ça va toi ?
— Oui merci et toi ?
— On ne s’est pas beaucoup vu aujourd’hui ?
— Non c’est vrai mais en fait j’avais peur que tu n’aies pas trop envie que je te colle après..
— Après ce qu’on a fait ? Ce sont les mecs qui font ça d’habitude non ?
— Ouais, c’est vrai.
— Nous les nanas, on a tendance à devenir un peu trop collantes après surtout si le mec a su nous montrer qu’il savait être attentionné et tout et tout quoi.
Le message est clair. Elle a aimé et j’en suis plutôt flatté. Je lui prends la main qu’elle me tends en souriant.
— T’inquiètes pas. J’suis pas du genre à coller aux basques. Tu sais j’aime Paul et nous voulons faire un bébé.
— Je sais, ne t’inquiètes pas. Y’aura jamais d’embrouilles entre nous.
— Ça j’en suis sûre. J’ai confiance en toi. Peut-être même plus que je ne le devrais.
— C’est gentil çà.
— Bon écoute. On va pas tourner autour du pot pendant 150 ans. Moi j’aime bien quand les choses sont dites. Comme çà tout est clair, limpide. Alors voilà. Paul et moi côté sexe, ça n’est plus vraiment le Pérou si tu vois ce que je veux dire et ce qu’on a fait hier, ça m’a beaucoup perturbé parce que j’ai adoré et j’y ai beaucoup repensé ce week end.
— Si ce n’est que çà. Je peux être là pour le sexe. Non je déconne, excuses-moi. J’aurais pas dû dire çà. C’est con. C’est con et mal venu.
— Ouais enfin, c’était pas très classe ta sortie là. Enveloppé avec un beau papier cadeau, ça aurait pu être beaucoup mieux tu vois ?
— T’es sérieuse ?
— Ben écoutes. En vérité, j’sais pas. J’sais plus tu vois. J’suis un peu chamboulée en ce moment tu sais. T’as dû connaître çà quand vous avez eu votre fille. On ne fait plus l’amour Paul et moi. On fait ça trois fois par jour alors tu sais, on a même plus envie, c’est mécanique, juste pour qu’il éjacule et me remplisse la chatte et avoir le plus de chance de me féconder mais là, hier, tu m’as donné du plaisir, j’ai pris un pied d’enfer. J’ai adoré alors ça me perturbe grave.
— Ouais c’était comme çà nous aussi.
— D’ailleurs je pense que lui aussi il n’en peut plus et que de son côté il a dû franchir le pas avec sa cliente la semaine dernière. En fait j’en suis presque sûr car il est rentré vraiment très tard et il n’a même pas cherché à me toucher. Remarque que je n’étais pas moi non plus au mieux de ma forme et ça m’aurait fait vraiment bizarre qu’il me prenne après toi et tout compte fait, il fallait mieux.
— Tu crois vraiment qu’il l’a fait ?
— Il a reçu un texto durant le week end mais j’ai préféré ne pas jeter un il sur son téléphone alors je t’en ai envoyé un moi aussi.
— Tu aimerais que je m’occupe de toi encore c’est çà hein ?
— Je le laisse se changer les idées avec sa cliente et toi, tu t’occupes de moi. C’est juste une petite parathèse avant le bébé.
Là, c’est limpide. Il n’y a pas de place à l’ambiguité. Elle en veut encore. Je me lève et sans plus attendre je l’enlace pour la prendre dans mes bras. Je pose mes lèvres sur les siennes, elle les ouvre, nos langues se retrouvent. Un long baiser nous unit pendant lequel j’en profite pour lui caresser les fesses d’abord à travers sa jupe puis après l’avoir soulevé, à même la peau. Elle ronronne comme la dernière fois en se lovant contre moi.
— J’aime ta douceur, j’aime tes mains sur mon corps, mes fesses. Je sens à quel point tu aimes la femme quand tu me caresses. C’est extraordinairement bon.
Je m’arrêtes de la caresser quelques secondes pour enlever son top puis, m’attaquer à son soutien-gorge. Ses deux seins me sautent au visage. Ils ne sont pas très gros (j’ai horreur des seins trop volumineux) mais bien fermes et bien haut avec par contre des gros mamelons dont les bouts me semblent énormes. J’ouvre la bouche. Mes lèvres se posent délicatement sur eux pour les envelopper et commencer à les lécher, les sucer doucement. Elle semble apprécier et ronronne de plus belle.
— Oui. Ouiiiiiiiiiiiii. Suces-les. Ils adorent çà. Têtes-moi les bouts, ça me fait mouiller grave lorsqu’on me fait çà.
— Comme çà ?
— Oui. Oui. Exactement comme çà.
J’en profite pour revenir vers son entrejambe et caresser ses cuisses qu’elle ouvre aussitôt pour me faciliter l’accès à sa petite chatte dont l’odeur et le goût sont encore présents en moi. Je tire sur sa petite culotte et la fait glisser le long de ses jambes. Elle m’aide à m’en débarasser en soulevant l’une après l’autre ses petites gambettes bien musclées.
Elle me souffle à l’oreille :
— Je suis toute propre si ça te tente.
L’invitation est on ne peut plus claire. Je la soulève doucement pour la poser sur mon fauteuil puis je lui fais placer ses jambes sur les accoudoirs. Elle me souffle :
— Voyeur en plus !
— Oui, j’adore regarder ce que je vais déguster.
— Régales-toi petit cochon.
— Oui, c’est çà. Ouvres-toi. Montres-moi tout de ta petite chatte baveuse.
— Tu m’excites à me parler comme çà.
Je la regarde s’exhiber devant moi, ses doigts poser de chaque côté de ses lèvres pour les ouvrir et me permettre de me repaître de l’intérieur de son con d’où s’écoule ce liquide que j’aime tant. Je n’y tiens plus. L’envie de lui bouffer la chatte est trop forte. Sans plus attendre, je plonge entre ses cuisses. Ma langue entre en action. Je la lèche, explore le moindre repli de son sexe, aspire son bouton d’amour, les fait rouler sous ma langue, le suce. Elle râle comme cette première fois. Elle sent bon la femme en rut. J’adore cette odeur qui se dégage d’une chatte excitée, prête à recevoir l’hommage du mâle. J’introduis ma langue dans l’entrée de sa vulve, la pistonne, recueille le suc qui s’en échappe. Elle me tient la tête à deux mains, me dit que je lui fais du bien, me supplie de continuer, de la faire jouir en la suçant, qu’elle en a trop envie.
— Oh oui. Ta langue. Ta bouche sur ma chatte. J’y ai tellement pensé ce week end que j’avais hâte de reprendre le travail.
— T’avais tout prévu hein ?
— Oui. Tout. J’ai tout de suite compris que t’adorais le cunni. Je savais que tu allais me lécher et me faire venir avec ta langue avant de m’embrocher avec ta grosse queue bien dure. Tu veux bien ? Tu veux bien me faire çà ?
— Bien sûr que je veux. Et deux fois plutôt qu’une.
— Haaaaaaaaaaaaaaaa ! Salaud, tu vas me faire venir. J’aime trop qu’on me bouffe la moule comme çà. Ça ne t’ennuie pas que je te dise des mots un peu….
— Crus ? Au contraire ça m’excite. Lâches-toi.
Je m’applique de plus belle à lui donner le maximum de plaisir. Elle donne de la voix. Elle approche du grand saut. Je l’achève en lui glissant deux puis trois de mes doigts dans l’entrée de son ventre pour me mettre à la pistonner de plus en plus fermement. Elle crie, ses doigts me serrent la tête comme dans un étau en gardant ses cuisses bien ouvertes. J’adore. L’orgasme est là, ravageur. Elle s’arcqueboute, tous ses muscles bandés à l’extrême puis se laisse retomber en criant sa jouissance. Je continue de la doigter encore de longues secondes, l’accompagnant aussi loin que possible dans son plaisir. Elle ne bouge presque plus, récupère doucement, complètement avachie, les jambes toujours largement écartées sur les accoudoirs de mon fauteuil. J’en profite pour me repaître du spectacle de son sexe encore bien ouvert dont les lèvres ne cachent plus l’entrée offerte de son fourreau intime. De longues secondes plus tard, elle ouvre péniblement les yeux puis s’apercevant que je suis en train de la mater grave, elle me sourit :
— Tu aimes çà toi mater les petites chattes de tes collègues hein ?
— Ta petite chatte tu veux dire.
— Allez va. J’ai bien vu comme tu matais le cul des trois autres. Surtout celui de Sylvie. Elle te plairait bien celui-là hein ?
— T’as vu çà toi ?
— Ben sûr que j’ai vu mais t’inquiètes pas. Tu n’es pas à moi et puis ça m’excite que ce soit moi qui en profite alors, ne te gênes surtout pas.
Je n’ai pas très envie de m’engager sur ce terrain avec elle aussi je me relève doucement pour lui monter mon envie d’elle. J’ai eu tout le temps de me déshabiller tandis qu’elle récupérait doucement. Je m’approche de son ventre. Elle me regarde avancer vers elle, le sexe au garde-à-vous. Elle passe sa langue doucement sur ses lèvres en fixant ma tige de chair.
— Hummmmm ! C’est pour ma petite chatte çà.
— D’après toi ?
— Hummmmm ! Ça va être bon.
— T’as envie ?
— J’en meurs d’envie. Allez me fait pas attendre. Mets-là moi.
Je pose mon gland dans l’entrée de sa vulve. Nous nous regardons les yeux dans les yeux tandis que d’un coup de reins je m’enfonce en elle. Je savoure chaque millimètre parcouru entre ses chairs qui s’ouvrent pour m’accueillir. Elle me sourit encore :
— Elle est bonne ma petite chatte hein ?
— C’est un délice. Il en a de la chance ton mari de pouvoir t’enfiler à chaque fois qu’il en a envie.
— Hummmm ! En ce moment ce serait plutôt une corvée à cause de ce que tu sais. N’oublie pas hein ?
— T’en fais pas. Pas à l’intérieur.
— C’est çà.
— Peut-être derrière alors ?
— J’aime pas trop.
— Pour me faire plaisir.
— On verra si tu me fais bien jouir.
— Récompense alors ?
— On verra, on verra.
Je m’allonge sur elle et commence à la prendre doucement. Elle se remet à geindre pour mieux manifester le plaisir qu’elle ressent. Je la caresse de partout. Une de mes mains passe sur son ventre et descend vers son bouton d’amour. Elle asquiesce en poussant un oui de satisfaction. Je la masturbe en même temps que je la besogne de plus en plus fermement. Sa respiration s’accélère, le ton de sa voix change. J’observe ses réactions, ses yeux qu’elle ferme en couinant à chacun de mes coups de boutoir. Je guette le moment où ils vont basculer dans leur orbite et que tout son corps va se crisper dans un dernier sursaut avant l’orgasme. Je me relève un peu pour mieux voir mon sexe la pilonner. Tout son corps est balloté comme un fêtu de paille par mes coups de reins. Elle se tortille dans tous les sens, bascule sa tête de gauche à droite et de droite à gauche, me crie tout à coup qu’elle va venir. J’accélère encore, empaume ses seins, glisse un de mes doigts entre ses lèvres. Elle se met à le sucer comme une folle. L’orgasme est à nouveau là. Elle se met à trembler de tous ses membres, cherche l’air à pleins poumons mais reste toujours les cuisses grandes ouvertes. J’adore çà, j’adore cette façon qu’elle a de se donner toute entière même sous le coup de la jouissance. Elle jouit longuement, pleinement. J’en profite pour me retirer doucement et poser le bout de mon sexe sur son anneau couvert de ses sécrétions. Elle ne réagit pas. Je pousse doucement. Elle ouvre les yeux, me regarde.
— Doucement s’il te plaît.
— Fais-moi confiance. Détends-toi, relâche-toi toute entière.
Elle respire un bon coup. Je recommence à la caresser. Mes doigts courent sur son ventre, ses seins, ses flancs puis ses cuisses. J’appuie plus fort, son anneau s’ouvre doucement pour avaler le bout de mon sexe. J’appuie encore mais ça résiste.
— Pousses comme si tu voulais…
Je sens son anneau s’ouvrir tandis qu’elle fait ce que je lui demande. J’appuie plus fort, ses sphincters cèdent tout à coup. Elle pousse un grand cri tandis que ma queue glisse dans son anus.
— Haaaaaaaaa ! J’ai mal. Arrêtes.
Je m’immobilise. Essaie de la rassurer sans cesser de la caresser. Je suis bien ancré en elle, presque tout au fonds. Ça serait trop dommage de renoncer maintenant. Non, j’ai trop envie de jouir dans son petit cul.
— Laisses-toi aller. La douleur va passer doucement. Je ne bouge que lorsque tu me le diras.
Nous restons un petit moment sans bouger en nous regardant dans les yeux.
— J’y crois pas que t’es en train de me faire çà.
— Tu vas aimer. Laisses-toi aller. Fais-moi confiance.
— J’ai presque plus mal mais j’ai peur que ça revienne.
Je me retire à peine très doucement et je m’enfonce à nouveau. Elle me plante ses ongles dans les bras en sentant mon sexe la pénétrer plus profondément. Elle me dit qu’elle a mal mais que c’est supportable. Je recommence ma manuvre. Je me retire une nouvelle fois et replonge entre ses fesses aussitôt. Deux ou trois coups de reins plus tard, je me suis en elle entièrement, mon ventre contre ses fesses. Elle passe une de ses mains entre nous pour s’apercevoir que je l’ai prise complètement.
— Salaud, tu me l’as mise toute entière.
— Ouais, c’est trop bon ton petit cul. Je vais te limer doucement. Je te promets que tu vas toi-même en redemander.
— Doucement hein, j’veux pas avoir mal.
Je commence à bouger entre ses fesses. Elle grimace un peu mais ne cherche pas à se soustraire à la pénétration.
— ça va ?
— Oui ça va. J’en reviens pas que je te laisse me prendre par là.
— Tiens prends çà entre tes fesses. Tu sens comme j’aime çà.
— Tu bandes dur espèce de vicieux. Ça t’excite de me sodomiser hein ?
— Bien obligé. J’aurais préféré te remplir ta petite chatte mais c’est pas possible alors.
— Ça non, c’est pas possible.
— Hummmmm ! Ça coulisse comme dans ta petite chatte maintenant. C’est trop bon.
Mon pieu coulisse maintenant librement dans son rectum. Je ne sais pas si les petits cris qu’elle pousse sont du plaisir ou de la douleur mais comme elle ne m’empêche pas de continuer j’y vais de plus en plus franchement. Je ne tarde pas à la pilonner fermement en la tenant solidement par les hanches. Elle bouge sa tête dans tous les sens, pousse des petits cris étouffés.
— Haaaaaaaaaaaa salaud tu me défonces le derrière haaaaaaaaaa
— T’aime ça hein ?
— Oui c’est bon, continues.
— C’est trop bon. Je vais venir.
— Vas-y, bourres-moi fort et jouis dans mon cul. Jouis. J’ai envie.
Je redouble d’ardeur. Elle aime çà, m’encourage. Je la besogne sans ménagement. Quand ma jouissance arrive, je me plante au fonds de son cul et je me laisse aller. Je sens mes giclées monter le long de ma verge. Je grogne de plaisir et de satifaction.
— Oh ouiiiiiiiiiiii. Ouiiiiiiiiiiiiiii. C’est trop bon dans ton petit cul. Ahhhhhhhhhhhhhhhh.
Elle me laisse jouir entre ses fesses en me regardant droit dans les yeux. Je me laisse retomber sur son ventre, épuisé. Elle me prend dans ses bras :
— C’était presque une première tu sais. Je ne l’avais fait qu’une fois mais j’avais eu trop mal alors j’ai jamais recommencé.
— C’était géant. Merci, merci merci.
Je me redresse pour la câliner et lui faire comprendre à quel point j’apprécie ce qu’elle vient de m’avouer puis nous discutons un petit peu encore emboités l’un dans l’autre jusqu’à ce que la nature fasse son uvre et nous sépare définitivement.
J’apprends que ce n’est pas avec son mari qu’elle s’était laissée sodomiser la première fois. Il le lui avait demandé mais elle avait toujours refusé. Je suis flatté qu’elle m’ait offert sa petite porte aussi je n’hésite à le lui dire tout en la couvrant de caresses.
Vient le moment où il faut se lever et filer chacun de notre côté dans nos toilettes respectives pour un petit nettoyage bien nécessaire puis nous nous retrouvons pour un dernier gros câlin avant de nous quitter. Elle adore la douceur, les petites attentions qui lui manquent avec son homme et c’est ce que je suis prêt à lui donner. Je n’ai aucune idée à ce moment de la manière va évoluer notre relation mais pour l’instant je n’ai vraiment pas envie de me poser la question et il semblerait qu’elle non plus d’ailleurs. Tout va donc pour le mieux.