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Moi, Christine dépravée – Chapitre 1




Je prends le téléphone, anxieuse, et appelle Jacques. La grosse erreur que jai faite avant-hier, je ne peux pas lui cacher plus longtemps. Cest mon mari, et je ne peux rien lui cacher, cest un devoir pour moi.

Mon seul regret, est que je descends demain sur Toulouse pour le retrouver. Nous partons ensuite vers le Portugal pour des vacances de rêves en amoureux. Mais ce que je vais lui annoncer ce soir risque de tout remettre en cause, et ça marrache le cur, mais je lui dois la vérité.

Au bout de 4 sonneries, il répond enfin. Jaurais presque préféré quil ne décroche pas.

Il me dit :

— Bonjour Amour de ma vie!

Je culpabilise encore plus dêtre accueillie de la sorte après ce que lui ai fait.

— Heu bonjour mon Amour! Écoute jai quelque chose à te dire, mais ce nest pas facile alors il ne faut pas que tu minterrompes.

— Chérie? Tu ne vas pas me dire que tu me quittes?

Jen ai les larmes aux yeux. Je vais lui faire très mal et ça me tue, mais il faut que je me lance, alors je me lance:

— Non mon Amour, certainement pas! Je taime à la folie et je te dois la vérité. Sil te plaît ne minterromps pas, laisse moi aller jusquau bout! Voilà le problème! Il y a 3 jours le métro était bondé, jétais debout accroché à la barre de maintien, et il y avait un Rom que je ne connaissais pas, face à moi, presque collé à moi. Le mec ma regardé droit dans les yeux avec un air plein de sous entendu, puis sans vergogne, il a plongé ses yeux dans mon décolleté qui était, je lavoue un peu trop profond. Je ne pouvais pas faire de commentaire pour ne pas faire de scandale dans le métro, alors jai détourné le regard et je lai laissé faire. Tout à coup, jai senti que lhomme défaisait un bouton de mon chemisier. Jai eu un sursaut, je lai regardé, il ma regardé avec un petit sourire satisfait, puis sans hésiter a dégrafé un second bouton. Comme une idiote je navais pas de soutien gorge, et jai compris quil voyait mes seins dans leur quasi intégralité. Jétais pétrifiée et en même temps je ressentais un long frisson, je nai pas bougé, je lai laissé faire. Puis ce que je craignais arriva, lhomme a plongé sa main dans le décolleté et a cueilli mon sein droit. Il ma regardé dans les yeux avec un grand sourire de satisfaction et jai eu la honte de ma vie. Jai eu honte car il sest aperçu que mon téton était dressé à outrance, tu connais la sensibilité de mes seins. Il a vu que son petit manège, nayons pas peur des mots, mavait excitée. Il sest mis alors à masser mes seins lun après lautre, ils se durcissaient de plus en plus, les tétons sallongeaient, je me mordais les lèvres pour ne pas gémir, cétait terriblement excitant. Arrivée à ma station, jai respiré, car ce calvaire délicieux allait sarrêter. Jai marché quelques mètres, puis jai senti que lon me suivait. Lhomme était derrière moi. Jai essayé de me rassurer en me disant que cétait une simple coïncidence, sans pour autant vraiment y croire. Quand jai vu quil était toujours derrière moi lorsque je suis arrivée devant mon immeuble, je nai plus eu de doute, il me suivait bien. Jai composé le code de sécurité de la porte de limmeuble, je suis rentrée, jai fait un truc incroyable, je lui ai tenu la porte pour quil entre avec moi. De toute façon cétait inéluctable, et pour être franche, javais terriblement envie quil entre avec moi. Sans que nous échangions un mot, il ma suivi. Jai eu peur de rencontrer des voisins, mais heureusement ce ne fut pas le cas. Puis arrivés en bas de lescalier, il ma attrapé par le bras. Je me suis retourné vers lui. Je mattendais à ce quil membrasse, mais au lieu de ça, il a soulevé ma mini jupe, a saisi mon string et la déchiré. Jai compris quil voulait regarder mes fesses et mon minou en montant lescalier. Là encore je lai laissé faire, et nous avons monté lescalier dans cette situation. Jétais de plus en plus excitée, et sil nétait pas encore certain, il la certainement vu car mon minou était tellement trempé quil me semble que je dégoulinais de plaisir. Je trouvais la montée des escaliers très longue, mais en même temps je ne voulais pas quelle sarrête tellement jaimais quil me voit dans cet état. Jai ouvert la porte de lappart, et il est entré derrière moi. Il ma suivi jusquà la chambre ou je suis allé directement. Jai retiré mon chemisier, puis ma mini jupe et il me regardait faire. Jétais nue devant lui, et cétait terriblement excitant. Je me suis allongée sur le lit, les jambes écartées, puis ny tenant plus, je me suis mise à me caresser les seins avec une main, puis le minou avec lautre. Plus il me regardait et plus ça mexcitait. Jondulais sensuellement sur le lit, en gémissant de plaisir. Il sest déshabillé pendant que je le regardais en me caressant. Je le trouvais beau terriblement excitant, terriblement musclé, et lorsquil a enfin retiré son slip, jai du me mordre les lèvres pour ne pas crier de bonheur. Il avait un sexe parfait, dau moins 25cm et très gros, enfin sauf ton respect mon Amour, vraiment plus gros que le tien. Rien que de penser quun tel monstre allait entrer en moi, jen ai joui sous mes caresses. Une jouissance terrible, inouïe. Puis, il est monté sur le lit, sest mis à genoux à côté de moi. Javais son sexe à quelques cm de mon visage. Je nai pas pu résister, jai avancé la tête, ouvert la bouche, et jai, avec beaucoup de mal, pris son sexe dans ma bouche. Je lai sucé longuement, jai léché sa longue hampe, suçoté son gland énorme, jai aspiré comme si je voulais lavaler, jai ensuite pris ses couilles dans ma bouche et les ai fait rouler lune contre lautre. Lui, il soccupait de fouiller mon minou avec 3 doigts, ils les faisaient tourner en moi, sans doute pour agrandir le passage. Jai ouvert mes cuisses au maximum, je coulais de partout et poussait des gémissements étouffés par son sexe que je narrêtais pas de sucer. Puis se sentant sans doute à bout de résistance, et suffisamment prête pour le recevoir, il a retiré son sexe de ma bouche, et sest allongé sur moi. Mon cur battait à 100 à lheure. Jai pris son sexe avec ma main, jai collé son gland à ma vulve, et lentement il sest introduit. Curieusement, malgré la monstruosité de son sexe, il na pas eu trop de difficulté à pénétrer en moi. Je gémissais comme une chienne. Il allait et venait en moi lentement, mais très profondément, il ouvrait carrément le fond de ma grotte. Je me sentais remplie. Je cherchais à lembrasser mais il refusait. Je lui parlais, le suppliais, je lui disais que jétais sa pute, que jaimais sa bite, quil me prenne plus fort encore, quil me défonce de partout (je naurais dailleurs jamais du lui dire ça). Je me suis comporté comme la pire des salopes et jadorais ça. Puis, il sest mis à accélérer. Cétait violent, profond, son gland cognait au fond de mon sexe, il sécrasait sur moi à men étouffer, et jai très vite jouie pour la seconde fois en hurlant. Puis il sest retiré de moi et sest mis à genoux en me regardant récupérer de ma jouissance. Javais encore envie de lui, terriblement envie de lui. Il me regardait, et dans son regard, jai lu ce quil attendait de moi. Je me suis donc retournée, me suis mise en levrette sur le lit, me suis cambrée au maximum, en écartant bien les jambes. Jai senti alors quil écartait mes fesses. Il a collé alors son gland sur mon anus. Jallais souffrir cest sur, pourtant je nai pas eu un moment dhésitation, bien au contraire, je nattendais que ça, que sa grosse bite me sodomise. Il a forcé longtemps, me faisait hurler de douleur mais aussi de plaisir. Puis il a fini par faire entrer son gland, le plus dur était fait. Lentement, en sy prenant à plusieurs fois, en avançant et reculant, il pénétrait de plus en plus profondément. Et plus il allait loin, plus je criais de plaisir, plus je le suppliais, je lui disais: « défonce moi le cul, il est à toi, mon cul de pute tappartient, encule le, défonce le ». Puis lorsque jai senti ses couilles contre mes fesses, preuve quil était entièrement entré, je me suis mise à jouir en hurlant encore plus fort que les 2 premières fois. Mais il ne sest pas arrêté pour autant. Il sest mis à carrément me défoncer comme je le lui avais demandé. Il allait à toute vitesse et très violemment, le plus profondément possible, il me faisait hurler, javais limpression que sa hampe allait me transpercer, mouvrir le ventre. Il ma enculé longtemps et ma fait jouir 3 fois encore, avant de se retirer et de présenter son sexe à ma bouche. Toujours à 4 pattes, jai ouvert la bouche devant son sexe, et je lai regardé se branler devant mon visage. Il a commencé à grogner, puis tout à coup, en dirigeant son gland vers ma bouche, comme si cétait une cible, il sest mis à éjaculer. Sa sève sécrasait sur mes joues mes yeux, mais la plus grosse partie est entrée directement dans ma bouche. Une fois la source tarie, je lai regardé droit dans les yeux, jai refermé la bouche pleine de son sperme et jai tout avalé, jusquà la dernière goutte. Puis jai rouvert la bouche en grand pour bien lui prouver que javais bien tout avalé. Il a alors introduit son sexe dedans, et je lai sucé, léché, pour bien nettoyer son sexe de la souillure sexuelle. Nous nous sommes allongés lun à côté de lautre et nous nous sommes endormis. Bien sur, il ma réveillé plusieurs fois pendant la nuit, il ma prise dans toutes les positions et par tous les trous. Dans la cuisine, dans le salon, dans la salle de bain, debout, penchée en avant, sur le ventre, sur le dos, en levrette. Il ma sodomisée et baisée dans chacune de ces positions en me faisant jouir à chaque fois. Il me laissait dormir 30 minutes et il recommençait. Jai du jouir 30 fois au moins, des jouissances terribles, violentes, tellement violentes que jen ai éjaculée, un jet de liquide est sorti de mon minou. Jai regardé pourquoi sur internet parce que ça ma fait peur sur le coup, et jai découvert que jétais une femme fontaine, et que javais atteint le nirvana du nirvana. A la fin de la nuit, javais du sperme plein le visage, jen ai avalé une quantité phénoménale, car chaque fois quil jouissait, il le faisait en se masturbant devant ma bouche grande ouverte.

Nous avons fini par nous endormir pour de bon, et au petit matin, lorsque je me suis réveillée, il était parti. Ce fut étrange, il na pas parlé une seule fois, na pas eu un geste de tendresse, cétait purement sexuel entre lui et moi, il ny a pas eu lébauche dun sentiment, et pourtant jai passé la nuit dAmour la plus belle de toute ma vie. En tout cas, je nai absolument pas regretté quil ne soit plus là à mon réveil.

Voilà mon Amour, voilà ce que javais à te dire, je suis une dégueulasse davoir fait çà, mais tu me manques mon Amour, et jai souvent envie de faire lAmour avec toi, je jouis sous mes caresses en pensant à toi tous les soirs. Mais là je ne sais pas ce quil sest passé, je nai pas pu résister à cet homme.

Je te demande pardon mon Amour, je te promets de ne plus jamais recommencé, je ne veux pas que tu me quittes, tu es mon seul Amour, sois en certain. Cétait sexuel, uniquement sexuel.

Et là, Jacques raccroche. Il ma écouté jusquau bout avec beaucoup de courage, puis à la fin, il a raccroché sans un mot. Je me mets à pleurer comme une fontaine, car je sais que cest terminé entre nous, quil a décidé de me quitter.

Je me précipite sur mon lit et pleure sans discontinuer. Je ne peux pas supporter que ce soit terminé, jaime trop Jacques.

Je pleure, me tourne et me retourne, sur le lit, lorsquau bout de 30 minutes le téléphone sonne.

Je me précipite sur le combiné avec le mince espoir que Jacques soit revenu sur sa décision. Cest effectivement lui.

Je ne lui laisse même pas la parole:

— Mon Amour, je ten supplie ne me quitte pas, encore une fois je le répète, cétait purement sexuel, je nai aucun sentiment pour lui et ne veux jamais le revoir!

— Si je tappelle cest que je voudrais être sûr que tu ne ressens vraiment rien pour lui. Et je ne veux pas que tu me mentes, je veux la stricte vérité!

— Je te le jure mon Amour, aucun sentiment, pas un soupçon de sentiment. Il ma fait jouir à outrance mais cest tout, ça sarrête là.

— Je te crois, mais ce qui me gêne ce que tu as joui beaucoup plus fort quavec moi!

— Oui cest vrai, je lavoue, mais cest sans doute les circonstances sordides qui ont provoqué ça. Il nempêche que je prends également mon pied avec toi, et systématiquement, tu le sais.

— Oui et sa beauté, ses muscles, et surtout sa grosse queue beaucoup plus grosse que la mienne!

Comme il dit ça avec un ton sarcastique, je ne réponds pas, car de toute façon cest la stricte vérité. Cest tout cet ensemble qui ma fait jouir.

— Chéri! Sil te plaît garde moi!

— Oui mon Amour, je te garde. Je te garde et te pardonne puisque ce nétait que sexuel. Je comprends que ce nest pas facile pour toi, seule à Paris.

— Merci mon Amour! On part toujours en vacances au Portugal quand même?

— Bien sûr mon Cur!

— Je vais aller me coucher mon Amour, à demain, je taime, je taime, je taime..

— Moi aussi je taime mon Amour, passe une bonne nuit et à demain.

Et nous raccrochons.

Je suis soulagée, je suis contente de lui avoir parlé, il est génial mon homme, compréhensif et tellement amoureux de moi.

Je suis tellement soulagée et terriblement excitée. Davoir raconté cette histoire à mon Mari ma mise dans tous mes états, tellement que jai envie de me caresser. Je vais donc sur le lit, attrape le gode que je cache dans le tiroir, et lintroduis en moi avec une facilité déconcertante. Le passage du sexe énorme de mon inconnu, bien que datant de 2 jours, a laissé des stigmates. Je suis quasiment béante. Je fais aller et venir le gode en moi en gémissant et en me promettant den acheter un autre plus gros, aussi gros que celui de linconnu du métro. Et voilà que son image, son visage, sa façon de me prendre, la force à laquelle il ma fait jouir, envahit mon esprit. Je men veux mais cest plus fort que moi. Ce nest pas pour Jacques que je me caresse ce soir, cest pour cet homme, cest lui qui remplace le gode, jai limpression que cest lui qui me prend, et bien que je veuille y résister, la jouissance monte à une vitesse extraordinaire. Je pense à lui, il est bien présent, je sens presque le poids de son corps sur moi, et je jouis, je jouis violemment, cest terriblement bon.

Je mabats sur le lit, je suis heureuse. Heureuse parce que Jacques a été compréhensif, et heureuse parce que jai joui très fort.

On frappe à la porte. Je regarde lheure, 21h00. Je me demande bien qui ça peut être et décide de ne pas ouvrir. On insiste. On frappe plus fort. Zut ! Il ou elle va réveiller M.DUPONT, mon voisin qui se couche très tôt. Je me précipite vers la porte pour chasser lintrus après avoir passé négligemment ma sortie de bain.

Jentrouvre la porte, et qui je découvre: mon inconnu. Lenfoiré a réussi à se faire ouvrir la porte de limmeuble, à moins quil ne lait repéré, quand le je lai composé devant lui avant hier. Le plus surprenant cest quil nest pas seul, mais avec un autre mec presquaussi beau que lui. Je referme précipitamment la porte. Je me mords les autres de nervosité en pensant à ce que jai fait il y a quelques minutes. Je me suis faite jouir en pensant à cet homme. Cest donc que javais envie de lui, que jai envie de lui. Mais je ne peux pas refaire un truc comme ça à Jacques, il ne comprendrait plus.

Jessaie donc doublier lincident, mais on refrappe à la porte.

Je me décide à aller ouvrir et à lui dire de moublier et de ne plus revenir.

Jouvre la porte précipitamment et vais pour lengueuler, mais je reste bouche bée et les yeux écarquillées. Le salaud est à poil. Son énorme sexe a demi dressé, me fait penser à ma jouissance de toute à lheure, car cest avec ce sexe que je me suis faite jouir toute à lheure. Je nai aucune réaction, mes yeux sont fixés sur ce merveilleux manche, et je finis par mécarter de la porte pour les laisser entrer TOUS LES DEUX. Mais à mon grand désarroi, mon inconnu, laisse passer son ami, et referme la porte sans entrer dans lappart. Jentends ses pas dans lescalier, il est parti. Je comprends alors, que si cet homme est là, cest pour me faire lamour. Jai tout à coup limpression dêtre vraiment une pute. Une pute quon ne paye pas. Je vais devenir ladresse de référence du sexe.

Je ménerve alors :

— Foutez-moi le camp dici! salaud!

En guise de réponse, lhomme sapproche de moi, saisit mes tétons et les fait rouler entre ses doigts. Avec toutes ses émotions, je navais pas pris garde que les pans de ma sortie de bain sétaient séparés, et ma poitrine était à lair. Aussitôt mes tétons sallongent, et cest avec beaucoup de mal que je lui répète en resserrant les pans pour cacher mes seins:

— Foutez-moi le camp je vous dis!

Mais lhomme nen a cure et au lieu de partir, il dégrafe son pantalon et le baisse. Le coquin ne portant pas de sous-vêtements, cest une queue dune dimension encore plus importante que celle de mon 1er inconnu qui éblouie mes yeux. Alors, au lieu de lui crier pour la 3ème fois de partir de chez moi, jouvre les pans de ma sortie de bain, et la laisse tomber au sol. Cest entièrement nue que je mapproche de lui, maccroupit devant lui, et sans même le prendre entre mes mains, jouvre la bouche et gobe le gland de lhomme. Adieu les belles promesses faites à Jacques. Jai trop envie de cette grosse bite, trop envie de cet homme, je veux quil me fasse jouir autant que la fait mon 1er amant inconnu, ou plutôt mon premier client, car cest indéniable, je me comporte vraiment comme une pute. Je me mets à sucer mon homme avec une rage effrénée. Jai posé mes mains sur ses fesses, et les caresse en même temps, je gobe le sexe jusquau plus profond de ma gorge tellement loin que je manque déglutir. Cette bite est tellement belle, tellement grosse, que je ne peux pas y résister. Jai le minou en feu et lanus brûlant, alors ny tenant plus, je me précipite au milieu du salon, me mets en levrette et lui crie:

— Viens! Viens me défoncer! Prends mon cul, prends ma chatte, fais ce que tu veux, mais défonce moi!

Il se met à genoux derrière moi, jhalète comme une chienne, il glisse son monstre entre mes fesses, colle son gland à mon anus. Il na pas besoin de forcer beaucoup, car mon anus ne sest pas refermé depuis 2 jours. Lui est beaucoup plus brutal car cest dun seul coup quil me pénètre et ce jusquau fond. Je manque mévanouir sous la violence du coup de bite, mais en même temps je jouis comme une folle en éjaculant comme il y a 2 jours. Le sol est trempée, lhomme en a reçu dessus mais il sen fout, il entre et sort de mon anus à une vitesse folle, il me défonce littéralement. Il me prend si fort que je suis obligée davancer à 4 pattes dans le salon pour ne pas tomber. Puis ses mains passent sous mes bras. Il prend chacun de mes seins avec une violence terrible, il sagrippe à eux et me défonce encore plus vite encore plus fort. Jai le cul complètement démonté, et je jouis, je jouis et jouis encore, je jouis encore plus fort et encore plus rapidement quil y a 2 jours. Les jouissances se succèdent, et se suivent de quelques secondes à peine.

Je ne sais pas comment il se débrouille, mais il me fait basculer en arrière. Il se retrouve allonger sur le dos, et moi à califourchon de dos à lui, avec son énorme sexe toujours au plus profond de mon cul.

Je lève les fesses en prenant appui avec mes mains sur son buste, et de moi-même je monte et descend sur la grosse bite. Je mempale littéralement, je me défonce, je glisse tout le long de limmense hampe, chaque allée et chaque venue me semble interminable tellement ce sexe est long. Lhomme a alors la mauvaise idée, de coller sa main sur ma chatte et de la frotter à toute vitesse en martyrisant mon clitoris. Je craque complètement, je jouis comme une dingue et un jet formidable gicle de mon minou. Une nouvelle fois je viens déjaculer. Mais je ne marrête, je ne peux pas marrêter cest comme par automatisme, je continue de monter et descendre sur cette bite énorme. Lhomme joue avec mon clito, enfonce ses doigts dans mon minou. De son autre main il masse mes seins, je devrais plutôt dire que mes seins se massent contre sa main. Ma chatte est complètement ouverte, à cause de ces doigts qui me fouillent. Cest incroyablement bon, mon corps est secouée de spasmes et jexplose une nouvelle de fois de jouissance en hurlant:

— Ohhhhhhh je jouiiiiiiiss! Oh continue oui! oui! je suis ta pute! encule moi comme une pute! oh ouii oh ouiiiii ohh cest bonnn! ohhh jaime ta queue chéri! Jaime ta grosse bite dans mon cul!

Puis lhomme me repousse, il se lève, me saisit par le bras puis me pousse dans la chambre. Sans hésiter je saute sur le lit, me mets sur le dos, écarte les cuisses en grand et ondule des reins en le regardant pour quil vienne:

— Viens chéri! Viens défoncer ta sale pute! Oh ta queue mexcite! Ohh je la veux dans ma chatte! Oh que jaime ta queue vieeeeens!

Et lhomme sallonge sur moi. Il me pénètre sans attendre et à grands coups de boutoirs il me défonce la chatte. Il me baise et me baise encore, à toute vitesse, au plus profond de moi. Je ne sais comment il fait, mais là il est en train de toucher un point tellement sensible, cest une sensation folle:

— Ohh chéri! Chéri! Ohhh quest ce que tu me fais, comment fais tu pour toucher ce point, narrête pas, narrête, je vais jouiiiir! Ohhh ouiiiii cest trrooooooooooppp je jouiiiiiiiisss! Tu es mon hooommmmmmmmmeee!

Il sort de ma chatte, le temps de laisser gicler une nouvelle mon éjaculation. Ca gicle, gicle et gicle encore, je nai jamais pris un pied pareil, ce mec me rend dingue, cest le dieu des baiseurs, je voudrais quil ne sarrête jamais.

Il me met sur le côté, se colle contre mon buste et enfourne sa bite dans ma chatte dun seul coup, je me cambre sous le choc en poussant un cri. Puis, je sens quelque chose sur mon anus, quelque chose de gros. Je comprends, le salaud va menculer avec le gode que javais laissé trainer sur le lit, pendant quil me baise. Le gode senfonce facilement, il se met a le faire aller et venir rapidement, pendant quil massène des coups de boutoirs phénoménaux. Je pousse des cris de plaisirs terribles, jai limpression que je suis prise par 2 hommes en même temps et ça me rends folle de plaisir, dautant quavec sa main libre, il pétrit mes seins, torture les tétons, je deviens folle, et jexplose une nouvelle fois dun plaisir fantastique. Il se met à pousser des cris rauques, je lentraine dans ma jouissance tellement je me tortille sur sa queue. Il sort précipitamment de mon minou, me retourne, jouvre la bouche en grand. Lui, il enfonce carrément sa bite au plus profond de ma gorge. Je serre mes lèvres autour de la hampe. Il va et vient dans ma bouche comme si il la baisait, puis dans un cri de bête il envoie sa sève au plus profond de ma gorge. Javale, javale au fur et à mesure quil se vide. Je bois son sperme comme du petit lait et jouis en même temps, toujours en éjaculant, car non seulement la manière dont il sest vidé dans ma bouche ma rendu dingue de plaisir, mais en plus, le gode est encore bien enfoncé au fond de mon cul et vibre dans mes entrailles augmentant encore le plaisir. Je continue de le pomper quelques minutes pour bien le nettoyer et surtout profiter au possible de sa grosse bite dans ma bouche.

Une fois la belle pipe terminée, je mallonge sur le lit épuisée. Lui sort de la chambre. Je suis surprise, dentendre des voix dans le salon. Je nai entendu personne rentrer. Aurais-je oubliée déteindre la télévision? Je ne me souviens même plus lavoir allumée.

Malgré ma fatigue, je me lève, en passant rapidement une nuisette transparente et ultra courte.

Lorsque je franchis la porte donnant dans le salon, je découvre 3 hommes assis dans le canapé. Au milieu deux, il y a mon 1er amant. Ils discutent vivement en riant, dans une langue que je ne connais absolument pas. Je comprends pourquoi aucun des 2 hommes ne ma parlé, ils sont tous roms. Là jai un sentiment de dégoût de mêtre donné à ses 2 hommes, et je crains le pire en en trouvant 2 nouveaux dans mon salon.

Lorsquil maperçoit mon 1er amant dit quelque chose dincompréhensible à ses acolytes qui se retournent vers moi à lunisson avec des airs vicieux et plein darrières pensées malsaines.

Ils font des commentaires sur moi que je ne comprends et cen est dautant plus humiliant. Pendant ce temps mon 2ème amant sest rhabillé. Il se dirige vers le canapé. Mon 1er amant se lève, et prends le billet de banque que lui tend mon 2ème amant.

Là je ne comprends pas, ou plutôt jai peur de comprendre. Pourquoi le paye t-il? Lui dois t-il de largent, ou a-t-il tout simplement vendu mon corps? Je commence à me sentir vraiment pute. Et ces 2 hommes, qui sont certainement là pour moi, vont-ils payer eux aussi? Sans doute le saurais-je plus tard.

Je sors de mes pensées brusquement. Car je viens de me rendre compte, que malgré mon dégoût, je me laisserai prendre par ces 2 hommes sans aucune résistance, pas une seconde je nai pensé à résister. Ils vont me baiser, cest une évidence.

Mon 2ème amant sort après avoir parlé aux trois hommes en riant allègrement. Sans doute viens t-il de raconter ce que nous venons de faire.

Tout ce que je suis parvenu à tirer de leur conversation, cest leurs prénoms:

— Mon 1er Amant sappelle Ovidiu.

— Mon 2ème Amant Ciprian.

— Un des deux nouveaux Codrut.

— Et lautre Cosmin.

Codrut, est très laid, bedonnant à outrance, il à lair sale, il doit avoir dans les 60 ans, bref, écoeurant.

Cosmin, cest pas mieux et même pire, il parait plus vieux que Codrut, il a les même caractérisques physique que Codrut, sauf quil un strabisme terrible, et que lon ne sait pas qui il regarde, avec un bec de lièvre mal réparé. Une horreur.

Ce nest pas possible, je ne vais quand même pas me laisser prendre par ce monstre. Codrut est un apollon à côté. Ciprian déjà, nétait vraiment pas terrible, mais bon, la grosseur de sa bite compensait sa physique ingrat, cest dailleurs ça qui ma fait craquer.

Ovidiu, se lève, serre la main des 2 hommes, en leur disant quelques mots en rom. Il sort de lappartement. Je me retrouve seule avec ces 2 hommes qui me regardent en bavant.

Codrut me parle en rom. Bien sur je ne comprends rien. Alors il répète avec plus de virulence et fais un geste pour me signifier de retirer ma nuisette. Bien sûr, je my refuse. Non, il est hors de question que je me donne à eux. Codrut est très énervé, et baragouine dans sa langue. Je commence à flipper. Je flippe jusquà ce que, Cosmin retire son tee-shirt. Lui il sen fout de mon refus, il est venu là pour baiser, et il me baisera. Je sens que le viol est proche, jai peur. Je me précipite dans ma chambre, et la ferme à clé. Jai une peur bleue, jespère quils vont partir et ne pas insister. Au bout de 2 minutes rien ne se passe. Je ne les entends plus parler. Peut être se sont ils décidés à partir? En tout cas, je ne bouge pas de la chambre. Je resterais enfermée toute la nuit sil le faut, mais je ne me donnerais pas à eux.

A suivre…

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