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Sortie scolaire – Chapitre 1




Cette histoire me fut relatée bien des années plus tard par un ancien élève, à la suite d’une soirée bien arrosée, en fut-il l’acteur, le témoin, en eut-il connaissance, je ne saurai répondre pas plus que je ne puis démêler le vrai de l’idéalisé, je me suis borné à le transcrire en bon français, du moins est-ce ainsi que je l’espère, son récit, en l’édulcorant quelque peu, en l’enrichissant parfois, j’ ai cependant pris la liberté de changer tous les noms des protagonistes et de transférer l’histoire en d’autres lieux similaires de façon à rendre toute identification impossible. En début d’exploitation des zones, des secteurs étaient déterminés selon la qualité des sols, les grèves moins riches en silice, donc peu exploitables étaient repoussées, puis délaissées formant des îlots parsemant en bandes irrégulières les étangs. C’est dans un de ces lagons peu profonds qu’Hélène avait trouvé refuge étrennant en toute discrétion le minimum offert par son mari, maillot au slip brésilien qu’elle n’osait pas encore afficher en public. Ce coin lui souriait d’autant plus que nageuse peu experte, elle pouvait en toute discrétion y réviser ses tables, personne ne fréquentant ce coin un peu retiré. Se croyant seule, elle barbotait allégrement, se souciant peu des bretelles de son bikini qui glissaient révélant l’opulence de sa poitrine ferme ou de l’exiguïté de la culotte laissant échapper quelques mèches folâtres de sa toison de feu. Elle ignorait que masqués par les fourrés, de l’îlot trois paires de yeux concupiscents se régalaient à la vue de ses formes appétissantes. Il s’agissait des trois petits voyous qui la veille, lors de leur installation ne s’étaient pas génés pour détailler et commenter les formes appétissantes des trois accompagnatrices, et plus particulièrement les siennes qui avaient du leur paraître particulièrement voluptueuse. La voyant quitter le camp chastement vêtue d’une courte robe d’éponge, Franck, celui qui lui avait fugitivement peloté les fesses lors de leur installation, s’était douté que, si elle cherchait à s’isoler c’était par crainte d’exhiber tout de go sa plastique aux yeux de tous, il devinait que pour une raison quelconque, pudeur, manque d’habitude, déficit du halage, elle devait se rassurer avant d’affronter la foule des baigneurs. Coup de chance, elle avait quitté sa courte robe à quelques mètres d’eux, et maintenant, allongé derrière les buissons, le paréo bien cachée au fond de son havresac, en compagnie de deux de ses complices il la mangeait des yeux. C’est qu’elle était très alléchante la belle bourgeoise, ses fesses dont il avait déjà furtivement testé la fermeté s’épanouissaient au dessus de longues cuisses fuselées en deux hémisphères charnus, denses, bien dessinés au creux desquels se perdaient la languette fripée du slip, la poitrine opulente, haut plantée tressaillait lascivement à chacun de ses gestes, le hasard de ses mouvements leur avait même permis d’apercevoir l’aréole plus foncée qui cerclait un large téton dardé, quelques mèches rousses s’échappaient par l’entrejambe succinct du maillot. Ils la contemplaient ainsi depuis quelques minutes, quand sur un geste de leur chef, qui guettait une circonstance favorable, ils se décidèrent enfin à agir.

Franck avait entendu, au loin le claquement de pagaies qui semblaient se diriger vers eux, discernant immédiatement l’opportunité favorable, il avait résolu de se lancer. Surgissant comme des diables de leur boite, ils se ruèrent sur elle, et alors que statufiée par la surprise, elle restait abasourdie, sans même qu’elle pousse un cri, ils la dépouillèrent en deux mouvements de ses effets, se réfugiant aussi vite derrière le rideau des maigres buissons, la laissant effarée et nue au milieu des flots. De la rive, Franck la héla hilare : – Si tu ne veux pas qu’on te voie à poils.. Viens donc me demander ton cache vertu ? mais grouille toi.. y’a du peuple qui se pointe ! Et, hagarde, à son tour elle perçut le claquement des rames sur l’eau, ils arrivaient, en un éclair elle comprit, où elle courait s’abriter sur l’îlot tout proche, ou dans une minute au plus tard, les arrivants croiraient découvrir une nudiste dans cette maudite anse isolée. Tout de suite elle entrevit le visage scandalisé de ses enfants et des autres accompagnateurs au récit croustillant que ne manqueraient pas de faire ces intrus. Pourrait-elle seulement se disculper…. Evoquer une raison évidente de sa présence, entièrement nue dans ces lieux ? Qu’en déduiraient les gens ?. Et frissonnante d’anxiété, sans plus tergiverser, elle se précipita à son tour à l’ombre des maigres taillis. En rampant, elle se glissa à plat ventre sur une bande à l’herbe rase entre deux boqueteaux, et de là, oubliant momentanément les loubards qui l’avaient dépouillée elle guettât les arrivants, avec appréhension, elle vit trois canots chargés de mouflets en bas âge s’immobiliser, les moniteurs les tirèrent alors vers une petite plage sur l’îlet face au sien et commencèrent à débarquer des paniers de victuailles, elle comprit alors avec effroi qu’ils allaient goûter sur place, et qu’elle en avait donc pour de longs moments d’attente. Un frôlement l’alerta, et se tournant sur le coté, elle vit arriver les trois marlous rampant sur le ventre, elle allait hurler, lorsque le plus avancé, le doigt en travers des lèvres lui rappela qu’au moindre cri elle ameuterait les gamins pique-niquant face à eux, ce qui serait le meilleur moyen d’étaler sa mésaventure, à cette idée l’appel mourut sur ses lèvres, et anéantie, elle dut se résoudre à les laisser impunément se vautrer à ses cotés. Dressant la tête elle jeta un coup d’?il en face, ces maudits gosses étaient toujours là, la paralysant. Elle sentait la chaleur des deux corps qui la pressaient entre eux, ils ne disaient rien, se contentant, pour l’instant, et elle savait qu’ils ne s’arrêteraient pas là, de se frotter contre ses flancs. Et soudain, elle sut que ça y était, la main du plus hardi remontait lentement le long de sa jambe, déjà elle suivait le pli du fessier, elle se raidit, que pouvait -elle faire d’autre ? Son agresseur ne s’en inquiéta pas, lentement, il empauma les deux globes, les malaxant, les parcourant en de lentes et langoureuses caresse, avant de revenir se perdre dans l’entrejambe qu’elle défendait toujours avec énergie, cependant un autre danger se précisait maintenant. L’autre gaillard avait réussi à glisser la main entre sol et chair et brusquement, en un seul élan, il avait saisi son sein, s’emparant immédiatement du téton qu’il commença à rouler entre deux doigts. Elle frissonna longuement, il lui faisait mal, et pourtant elle sentait son mamelon darder sous la rude caresse, se pouvait-il ? ? Troublée par cette réaction inattendue, elle perdit brusquement de sa concentration, inconsciemment elle se polarisa sur ses mamelles, oubliant l’autre antagoniste qui menaçait son intimité.

Sentant son fléchissement, il se laissa oublier quelques instants, les fesses d’Hélène se décrispèrent, insensiblement ses muscles se détendirent, c’était l’instant qu’il guettait. Imparablement il enfonça le poing entre les cuisses légèrement disjointes, il s’enfonça facilement jusqu’à la charnière intime de la belle, imposant déjà deux doigts fureteurs à l’entrée de sa féminité. Il lui laissa quelques secondes de répit, le temps de s’accoutumer à cette présence non désirée, et déjà sollicitée par les tiraillements de ses mamelons, elle se polarisait à nouveau sur sa poitrine malmenée. Et inexorablement il la fora index et majeur joints, pénétrant jusqu’à la garde la tiède moiteur de son con poisseux, elle se cabra sous la brutale intrusion au c?ur même de sa féminité, abasourdie par la facilité avec laquelle les deux doigts joints s’étaient infiltrés. Déjà ils remuaient, la pistonnant avec ampleur, dilatant son pistil qui secrétait incongrûment son nectar. Eperdue, elle sentait maintenant sa gaine s’adapter à l’intrus, ses reins solliciter s’accorder au rythme auquel son ventre était soumis, ses fesses s’écarter pour livrer à son suborneur une entière liberté de man?uvre. Elle en oubliait sa poitrine toujours malmenée par l’autre sbire, elle se surprit à gémir sourdement, avouant ainsi son profond émoi. Profitant de cette aubaine il se dressa souplement, la prenant au ventre il l’agenouilla au sol, et la couvrit lestement se guidant habilement de la main pour la pourfendre d’un coup. Egarée elle se laissa retomber sur le ventre tandis que déjà il la pilonnait d’amples coups de bite, allant et venant au plus profond de son tunnel d’amour, de la croupe elle épousait ses puissants empalements, savourant avec ivresse cette impression de plénitude qui la remplissait toute. Stupéfait d’un tel accueil, il ne put résister bien longtemps à cette fournaise dans laquelle prenait son pied et c’est avec un grognement retenu qu’il se vida avec abondance ventre rivé à sa croupe, obligé de la bâillonner pour étouffer les cris qui auraient fusés de sa gorge. Son émoi était tel, que c’est à peine si elle se rendit compte qu’elle changeait de chevaucheurs, elle ne prêta aucune attention aux deux lascars qui en quelques secondes, chauffés à blanc par le spectacle auquel ils venaient d’assister, se déversent à leurs tours dans son ventre anesthésié. Franck qui s’était glissé à sa tête, histoire de veiller à ce qu’elle n’ameuta point les populations lorsque ses deux complices se déverseraient dans son antre, lui susurra alors : Si tu veux récupérer tes frusques ?.. Viens nous rejoindre au c?ur de l’île !?. A bientôt ?. Et, silencieusement, ils la quittèrent en rampant, s’enfonçant dans les fourrés, elle restait là, allongée sur le ventre, flancs palpitant cherchant à reprendre ses esprits. Le sperme gouttant larmes après larme de son sexe encore béant, elle tardait à reprendre son souffle, subitement elle repensa aux pique-niqueurs de l’îlet en face, elle se dressa sur ses coudes, observant la scène qui se déroulait sous ses yeux : les jeunes, assis en rond dégustaient leurs sandwichs tout en Jacassant, au train où ils allaient, force lui fut de constater qu’ils en avaient encore pour un sacré bout de temps. Elle devait se décider, il avait été clair ce petit con : ou elle allait les rejoindre pour quémander, ou elle retournait à poil au camp, avec tous les risques que cela sous-entendait. Si encore elle ne se sentait pas si molle, si amorphe, elle n’arrivait même pas à se révolter après ce qu’ils lui avaient fait subir, elle se sentait si alanguie, pas honteuse, pas salie, seulement et c’était le plus étrange, si lourde, si béate, c’était comme si cette brusque agression avait comblé un manque, un vide soudainement révélé. C’était presque comme si ce jeune voyou avait juste remplacé son mari, avait rouvert une voie trop peu souvent empruntée par son époux. Lasse elle roula sur le ventre, prenant alors conscience que, suintant de sa chatte, une traînée visqueuse maculait sa cuisse, cette constatation la replongea brusquement dans la réalité, elle se secoua, d’une lente caresse des doigts elle étala le sperme sur sa cuisse, et consciente de l’inanité de ses efforts pour se nettoyer, se dissimulant aux regards des jeunes gosses, comme engourdie, elle se prit la route des buissons qui la mènerait au lieu du sacrifice.

Coulybaca

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