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Sympa belle-maman – Chapitre 1




Bricolage

Je m’appelle Eusèbe, 28 ans, suis mariée avec Monique 26 ans, joli brin de femme. Brune, un tp de 80c. En ce samedi de printemps, je passe ches mes beaux parents : Luce et René qui demeurent un petit pavillon dans un bourg voisin. Je m’entends très bien avec mes beaux-parents. Je viens récupérer ma perceuse que j’avais prété au beau père. Quand j’arrive, il n’y a pas de voiture devant la porte ni dans le garage qui est ouvert. Ma perceuse et ses accessoires sont prêts sur l’atabli, beau-papa y a pensé. Je toque à la porte de la villa, pas de réponse, c’est ouvert j’entre.

moi :- Y’a quelqu’un ?

J’entends : – Oui, ici dans le salon.

C’est la voix de belle -maman. Elle change une ampoule de plafond, perchée sur l’escabeau. Luce, ma belle-mère est une belle femme de 54 ans, bien conservée comme on dit ; ses trois séances de gym par semaine y sont pour quelque chose, je pense. Elle est brune également, avec une poitrine beaucoup plus massive que sa fille Monique. Je trouve que ma belle-mère a beaucoup de charme, je la trouve séduisante et il m’arrive même de fantasmer sur elle.

moi : – C’est moi Eusèbe, bonjour Luce.

— Mais c’est dangereux ce que vous faites là. Je vais vous aider.

belle-maman : – Mon mari est parti à la pêche, il faut que j’apprenne à me débrouiller seule. Vous êtes venu chercher la perceuse, c’est ça ?

moi : – Oui. Vous ne voulez pas que je la change cette ampoule ?

belle-maman : – Non je dois y arriver seule.

moi : – Bon, je vais maintenir l’escabeau, on ne sait jamais.

Je viens maintenir l’escabeau en plaçant un pied à chaque extrémité au sol et en le maintenant fermement par les montants. Belle-maman a eu la bonne idée de s’habiller en jupe mi cuisses, et avec un t-shirt genre débardeur pour le haut. Elle a posé un pied un pied sur le plateau en haut et un autre deux barreaux plus bas. Le résultat est qu’elle a les cuisses bien écartées et que j’ai pratiquement la tête sous sa jupe entre ses jambes. Je ne peux m’empêcher de lever les yeux et d’admirer son entrejambe. Elle porte un culotte noire, des poils en sortent au niveau de la fente de sa chatte tout à fait distincte ainsi qu’au niveau de son pubis. La fille a hérité de sa mère une touffe drue et épaisse. Je trique dur.

Belle-maman en termine du vissage de la nouvelle ampoule et me tend l’usagée, tournant la tête en souriant. Elle a ainsi les mains libres pour descendre de l’escabeau. Je plie ensuite l’ustensile et vais le ranger dans la remise.

belle-maman : – Voilà c’est simple non ? Vous voulez boire quelquechose ? Et…. Monique ça va ?

moi : – Un coca svp, oui Monique va bien, elle m’a dit qu’elle passerait.

Je prends place dans l’un des fauteuils du salon, elle revient avec les boissons. Quand elle les pose sur la table basse, j’ai une vue plongeante dans le décolleté de son débardeur. Le galbe supérieur de ses nichons sort du sous-tif noir c’est bandant.

moi : – Tant que je suis là, vous avez du bricolage à faire ? J’ai du temps aujourd’hui.

belle-maman : – Non ça va, on a rien en cours en ce moment.

  – Alors ? c’était intéressant ?

moi : – Pardon ??

belle-maman : – Vous regardiez sous ma jupe tout l’heure non ?

moi : – Heuuuuu….. bin….. oui, c’est vrai.

Merde ! A ce moment là je dois être rouge ou même violet, je ne sais plus quoi dire. Je suis tétanisé.

belle maman : – Allons, allons, ne vous formalisez pas, c’est naturel.

Alors que je commence à boire mon coca, elle se place face à moi, debout, se penche en avant pour poser les mains sur la table basse, me redonnant la vue de son décolleté. Elle me tend la main, je me lève, me prenant par le poignet, elle plonge ma main dans son sous tif. Je suis trop excité, je commence par palper ses gros nichons, mettant les deux mains dans les bonnets du soutien-gorge. J’en ai plein les mains, elle a de plus gros nichons que sa fille, ils ne tiennent pas dans mes mains, ce doit être du 90 et quelques. C’est doux et chaud, ses têtons durcissent. Elle me regarde dans les yeux et ça me fait triquer dur.

belle-maman : – Ils sont un peu plus gros que ceux de Monique, non ?

moi : – Oh oui Luce, vous m’excitez, vous savez, je fantasme sur vous.

belle-maman : – C’est flatteur, merci. Et…. on fait quoi ensemble dans vos fantasmes ?

moi : – Heu…. hé bien….

belle-maman : – Ne soyez pas gêné, j’ai envie de vous faire plaisir. Qu’aimeriez-vous ? Regarder sous ma jupe ou autre chose ? Dites-moi Eusèbe.

moi : (hésitant) – J’aimerai…… ôter votre culotte en passant sous votre jupe, oui. Je rêve souvent de faire ça à une femme plus âgée que moi. Mais vous allez penser que je suis complétement détraqué !

belle-maman : – Pas du tout Eusèbe, les petits jeux érotiques sont excitants, au contraire. Allez-y, laissez-vous guider par vos sens.

moi : – Mais… et Monique …

belle-maman : – N’y pensons pas Eusèbe.

Nous sommes toujours dans le salon. Nous nous tenons debout. Je viens face à elle, l’enlace et approche mon visage du sien. de ses deux mains elle appuie sur ma nuque et pose ses lèvres sur les miennes. Elle ouvre la bouche et enfonce sa langue dans la mienne. Nos langues se mêlent, se tournent autour, puis j’aspire la sienne, je la lui suce. Je relève sa jupe et passe ma main entre ses cuisses, remontant dans son entrejambe. Avec la tranche de la main je masse sa fente, par-dessus la culotte. Je sens bien la mouille qui humidifie le tissu de la culotte. Elle écarte un peu les jambes pour me laisser un peu plus de place.

moi : – Penchez-vous bien en avant en vous appuyant sur la table Luce. Montrez-moi, votre culotte.

En s’accoudant ainsi sur la table basse, sa jupe remonte et ne cache plus sa culotte. Elle m’offre ainsi ses fesses. Je me place à genoux derrière elle, la tête sous la jupe. Je caresse ses cuisses sur toute leur longueur, la peau est douce et tiède. Je saisis la culotte par l’élastique sur les hanches et la fais descendre sur les fesses puis les cuisses. A l’endroit de la fente, à l’intérieur de la culotte, il y a de la mouille blanche et visqueuse. Son cul m’apparaît, tout blanc, contrastant avec le noir de la culotte. Elle est vraiment très fournie de la chatte, ses poils arrivent jusqu’à l’anus.

moi : – Ohhh Luce ! Je t’enlève ta culotte, tu as mouillé, c’est merveilleux. Lève-les pieds, je te la sors complétement, je vais te la lécher.

belle-maman : – Oui lèche-là, montre-moi.

Toujours à genoux, je passe sa culotte sur mon visage, je la renifle. Je sors ma bite en pleine érection et d’une main je me branle.

belle-maman (debout face à moi maintenant) : – Ta langue sur la mouille, Eusèbe ! Lèche ma mouille  !

moi : – Oui Luce, je ne vais rien laisser, je lèche tout.

Je passe et repasse la langue à l’endroit le plus mouillé, je lèche et avale toute cette mouille de ma belle-mère.

moi : – Je vais me branler avec ta culotte Luce, touche-toi aussi, pour moi.

Je me déshabille, m’asseois dans l’un des fauteuils, je bande sec. Belle-maman quant à elle, prend place dans le canapé, me faisant face. Jai une superbe vue sur sa touffe lorsqu’elle écarte les jambes. J’écarte moi aussi les cuisses pour mettre en évidence mes couilles et ma bite. Je commence à me branler lentement, la bite entourée de la culotte de belle-maman.

moi : – Montre-moi tes gros nichons et caresse-toi Luce.

Elle retire son débardeur puis dégrafe son soutien-gorge en me regardant dans les yeux. En faisant glisser ses bretelles le long de ses bras, elle en profite pour passer les mains sous ses gros nénés, comme si elle me les offrait. Comme sa fille elle a de petites auréoles et de petits têtons, mais dressés d’excitation.

Elle fait remonter sa jupe avec la main droite et passe lentement entre ses cuisses avec la gauche pour arriver à sa chatte.

moi : – Tu aimes ça, Luce ?

belle-maman : – C’est intime comme caresse, je ne le fais pas devant mon mari.

moi : – Je trouve ça très excitant, ta fille ne le fait pas devant moi, non plus.

Doigte-toi, mets tes doigts dans ta chatte. Branle-toi pour moi.

Elle caresse d’abord ses lèvres avec deux doigts, de haut en bas, et les écarte bien me montrant sa fente ouverte et humide. Elle introduit son majeur tout doucement. Son sexe est inondé, le doigt ressort tout luisant de mouille. Elle gémit, tortille du bassin et visiblement prend du plaisir. Elle joue avec son doigt, le sors, caresse son clito, le rentre à nouveau ; puis, le porte à sa bouche et sur son corps pour y laissant une traînée de mouille. Je me branle avec vivacité.

Belle-maman continue en s’enfonçant maintenant deux doigs dans la chatte. Nous nous regardons par instants, dans les yeux.

Belle-maman : – Ca te plaît comme ça ?

moi : – Oh oui, ça m’excite terriblement.

Elle ralentit la cadence de ses doigts, il semble qu’elle est proche de l’orgasme. Je m’astique énergiquement, moi aussi j’ai envie de jouir.

moi : – Je vais gicler Luce, c’est trop excitant.

Ma belle-mère accélère le rythme de ses doigts dans sa chatte, elle avance le bassin et arrive à l’orgasme.

Belle-maman : – Hummm ouiiii, ouiiii je viens aussi je jouis !!! Ahhhhhhhh !!!

moi : – Ahhhhhhhhh je gicle aussi, ahhhhhh ouiiiiiii !!!

Je mets plein de foutre dans la culotte, j’en ai plein la main aussi. La salope m’a fait m’envoyer en l’air en se branlant devant moi, j’ai une belle-mère merveilleuse.

belle-maman : – Hummm, j’ai le clito en feu, fais-moi plaisir lèche ma culotte.

moi : – Mais…. c’est mon jus ….. je…….

belle-maman : – Tu ne discutes pas, tu fais ce que je te dis. Nettoie ma culotte avec ta langue.

Elle est toujours assise jambes grandes écartées devant moi, elle se caresse les nichons et me regarde en souriant. je suis hyper excité et je trouve la situation très érotique. Je me fais dominer par cette chienne et je ne veux rien lui refuser. Je porte donc sa culotte à ma bouche et en la regardant, je lèche mon jus, il y en a beaucoup. Ca a un goût bizarre, ni sucré ni salé, c’est un peu visqueux. J’avale mon jus pendant qu’elle se touche ses gros nénés. Elle prend toujours l’initiative, ce qui n’est pas pour me déplaire et me rejoint sur le fauteuil.

Elle passe la main droite entre mes jambes et me caresse la bite.

belle-maman : – J’ai envie de sucer ta queue, Eusèbe.

Elle me roule un long patin en introduisant sa langue au plus profond de ma bouche. Elle m’excite, ma belle-mère. Elle me saisit la main droite, la place entre ses cuisses.

belle-maman : – Caresse-moi !

Mes doigts écartent ses lèvres et fouillent les moindres plis de sa chatte. Elle gémit me faisant bander de nouveau. Belle-maman se laisse glisser doucement à mes pieds, en frottant son corps sur le mien, plaquant ses gros nichons sur moi, je sens ses têtons durcis descendre le long de mon torse et sur mes cuisses. Elle commence à me sucer, elle me pompe énergiquement, pas de jeu de langue subtil, mais une bonne pipe bien franche ; elle sait que je viens d’éjaculer et que je peux maintenant tenir un petit moment. Je me fais donc sucer par ma belle-mère, elle aspire mon gland et me branle avec une main, rapidement. Alors que j’avance un peu le bassin pour mieux me faire sucer, je sens qu’elle me caresse la raie avec un doigt, le passage sur l’anus provoque en moi une excitation supplémentaire.

belle maman : – Sens ! Je te mets un doigt mon petit chéri.

En me léchant les couilles et en me fixant dans les yeux, elle enfonce son majeur dans mon cul. A peine a-t-elle rentré son doigt qu’elle me reprend le gland en bouche, me mettant un autre doigt. je ressens un plaisir fou à ce petit jeu sexuel, elle est vraiment bonne ma belle-mère. Elle ne s’arrête que pour respirer, elle ferme les yeux et prend du plaisir à pomper son gendre. Elle est à genoux entre mes cuisses, ses gros nénés reposent en partie sur le bord du fauteuil, ce qui fait bomber leur galbe, et, formant un sillon profond entre eux, dont la seule vue, m’excite. Elle suce très bien la cochonne. De temps en temps elle prend ma queue en main et me branle entre ses nichons en léchant mon gland et le frein.

moi : – Ouiii Luce encore, c’est bon, quelle suceuse !

belle-maman : – Humm, j’aime sucer ta queue, je la veux dans la chatte.

Elle vient se positionner au-dessus de ma bite bien dressée, elle la dirige vers sa fente, s’assied dessus, doucement. Je sens bien ma bite s’enfoncer dans cette cavité chaude et humide. Mon gland disparaît dans sa touffe brune et épaisse. Elle s’empale à fond, jusqu’à que ses fesses reposent sur mes cuisses. Quelle sensation merveilleuse, ma belle-mère se fait monter et descendre sur ma bite, se donnant à moi, comme je l’ai souvent révê dans mes fantasmes. Elle donne le rythme, s’appuyant sur mes épaules, ses gros nichons se balancent également en cadence. Je caresse ses fesses, je pelote ses gros nénés qui me remplissent les mains. Elle me saisit la tête, m’embrasse, toute langue sortie, sans arrêter ses mouvements de bassin. Je sens mon pubis qui devient humide, elle me mouille dessus, elle prend du plaisir. Elle se cambre pour mieux m’offrir ses gros nichons. Je lui suce les têtons en malaxant ses nénés qui deviennent roses, je crois que je les serre trop fort. Elle ralentit le rythme mais monte plus haut sur ma bite augmentant la pénétration. A chaque remontée, ma bite sort presque totalement, puis s’enfonce au maximum. Je la serre contre moi, pose mes mains sur ses fesses et lui rentre un doigt dans son cul.

belle-maman : – Hummm oui ton doigt, ouii, comme ça ! Continue !

Ca l’excite, ma salope de belle-maman. Avec l’autre main je malaxe ses nénés,puis je lui titille son clito. Elle est très excitée et guide elle-même ma main et parvient à l’orgasme. Je la bourre un peu plus vite encore, je sens mon plaisir monter.

belle-maman : – Je jouiiiiiis, je jouiiiiiiis, Eusèbe, ouiiiiiiiii !!!!

moi :- Ahhhhhhh Luce je viens ! Je viens ouiiiiiiii ! Je jute !!!!!

On a pris tous les deux notre pied, on reste un instant ainsi sans rien dire. Ma bite nage dans mon jus et sa mouille, je me laisse débander dans sa chatte. je sens que ça coule sur mes couilles.

belle-maman : – Ohhh Eusèbe que c’est bon, tu m’as bien fait jouir.

moi : – C’est extra Luce, vous êtes de sacrés coups avec votre fille.

C’est ce moment que choisit Monique pour entrer dans le salon. Pris par notre plaisir, nous n’avons rien entendu. Ni le bruit de la voiture, ni frapper à la porte ou sonner, merde on est bien maintenant !

Sa mère est encore empalée sur ma bite, nous sommes trempés de sueur, et du côté de la chatte de belle-maman ça dégouline de mon foutre et de sa mouille. La surprise est elle que je me suis crispé sur ses nichons, je les serre tellement fort qu’elle crie de douleur.

Monique : – Maman !! Eusèbe !! Vous êtes devenus fous ? Maman mais comment ?? Tu t’es fais, tu t’es fait…….

belle-maman : – Eh bien oui, je me suis faite baisée par ton mari, ma fille. On en a eu très envie, on l’a fait, et puis voilà.

Monique : – Mais, mais … mais….

Monique à mon étonnement reste très digne, ne fait pas de crise d’hystérie. Sa mère se nettoie l’entrecuisse et la chatte avec son t-shirt qui était sur le sol. Elle se dirige vers la douche et fait signe à sa fille de l’accompagner. Je reste sans voix et con, où va me mener cette affaire, peut-être au divorce. Au bout de quelques minutes les femmes sortent me disant juste qu’elles ont à parler. J’entends la voiture démarrer. Je vais me prendre une douche et en regardant la télé, je vais attendre leur retour. Je vais donc patienter un peu dans l’angoisse de leur retour. Je me dis que quand même, belle-maman est une belle salope et qu’on aura eu une bonne séance de baise. Elle m’a bien fait juter la cochonne. Il est maintenant 13 heures, je n’ai pas faim, je m’endors dans le fauteuil.

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Eusèbe

(peut-être la suite et d’autres épisodes, le lecteur décidera)

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