Alors que le slip de Kévin tombait à terre, il aurait voulu mettre ses mains devant son pénis pour cacher sa nudité. Par réflexe, il essaya de bouger ses mains qui étaient toujours bien attachées dans son dos. Dès lors, il savait qu’il était observé en détail par ses quatre agresseurs. Involontairement, pendant un très court instant, la lame fraiche du couteau sur sa queue et le fait de se retrouver totalement nu et observé au milieu de la pièce sembla l’exciter. Dès qu’il a senti sa queue commencer à durcir, il lui était impossible de penser à autre chose et de faire retomber la vapeur. Sa queue continua de grossir pour atteindre sa dimension maximale. Kévin était au comble de l’humiliation. Il baissait la tête et regardait ses pieds par honte de supporter le regard de ses agresseurs. L’homme pris la queue se Kévin avec trois doigts et fit deux ou trois aller-retours pour s’assurer qu’elle avait atteint sa taille maximale. Kévin eu des difficultés pour rester impassible et ne montrer aucune excitation durant ce geste. Pourquoi ressentait-il de l’excitation ? pourquoi avait-il eu du mal à retenir un gémissement ?
– C’est tout ce que tu as ? Un bon 10cm ? C’est étonnant que tu ais trouvé une femme et que tu sois parvenu à faire des enfants avec cette miniature. On va te montrer ce que sont des vraies queues un peu plus tard et tu comprendras que tu n’as vraiment pas de quoi être fier. D’ailleurs, tu es plus proche d’une femme que d’un vrai mâle.
Kévin était encore plus honteux. Il n’osait pas soutenir le regard de ses agresseurs qu’il entendait rire de bon cur à la vue de sa queue. Cependant, cette dernière ne ramollit pas. Cela augmenta encore le malaise de Kévin. Il aurait voulu se cacher dans un trou, devenir invisible. Même s’il avait retrouvé ses forces et que le tranquillisant n’était plus présent dans son organisme, la situation lui avait enlevé toute volonté de se battre.
– On ne t’a pas encore expliqué pourquoi on t’avait ramené ici. On a besoin d’une boniche qui obéirait à toutes nos demandes et si possible même avant qu’on ne lui demande. Tu n’auras plus aucune volonté propre et tu ne penseras qu’à notre bien-être et notre plaisir. Tu n’auras plus aucune limite ni aucun amour propre. Je suis conscient que ça n’arrivera pas du jour au lendemain mais ne t’en fais pas, nous avons du temps devant nous. Est-ce que tu es prêt à débuter ta formation ?
Kévin n’en croyait pas ses oreilles. Ils étaient complètement malades. S’ils voulaient un domestique, ils n’avaient qu’à poster une petite annonce. Il y a des tas de personnes qui y auraient répondu favorablement. Il était cependant un peu rassuré et malgré la honte qui lui tiraillait le ventre, il parvint à hocher de la tête. S’il devait faire leur ménage et cuisiner le temps qu’une occasion se présente, il y avait pire comme situation.
– Alors mets-toi à quatre pattes et lèche ma chaussure.
Il regarda la chaussure en cuir et eu un moment d’hésitation. Une grosse claque, provenant d’un des hommes qui le tenaient, lui atterrit sur sa fesse nue. Il sentit une vive douleur dans sa fesse et se mit à genoux. Il avait le visage à 30 centimètres de la chaussure, les fesses en l’air et sa queue étaient enfin redescendue. L’homme en face de lui l’avait remarqué.
– Ça t’excite moins que de t’exhiber et faire ta mijaurée devant 4 mâles. Lorsquil s’agit de retrouver la place qui est la tienne, c’est moins excitant ! Dépêche-toi de poser ta langue sur cette chaussure !
A ce moment-là, Kévin sembla retrouver un peu d’assurance et de confiance en lui. Il cracha sur la chaussure et regarda son agresseur dans les yeux. Il sentit une violente gifle sur sa joue qui le fit s’écrouler sur son côté et le laissa complètement sonné. Ils le prirent et le jetèrent sur la couverture au fond du garage.
– Ne t’inquiète pas, tu finiras par nous supplier pour lécher nos pieds.
Ils quittèrent le garage et fermèrent la porte derrière eux. Kévin reprit tout doucement ses esprits et se releva tant bien que mal. Il explora le garage et s’aperçut rapidement qu’il n’y avait aucune échappatoire. Pas de fenêtres, pas d’autres portes que celle par laquelle il était entré. Il se rendit vite compte que s’évader serait difficile.
Il faisait très chaud dans ce garage, il devait bien faire 30°C et il mourait de soif. En l’absence de lumière naturelle et de bruit extérieur, il n’avait aucune idée depuis combien de temps il était là. Cela devait bien faire une journée qu’il était là et en plus de la soif, la faim commençait également à le tirailler. Tout à coups, il entendit des bruits de pas derrière la porte. Lorsque cette dernière s’ouvrit il vit une magnifique rousse entrer. Elle avait des cheveux raides qui lui tombaient au milieu du dos elle avait une robe très courte et très fine qui laissait peu de place à l’imagination. Elle avait une paire de seins trop beaux pour être vrais. Elle entra dans la pièce sur des hauts talons qui devaient bien faire 10 cm avec une bouteille d’eau à la main.
– Bonjour. Mes amis ont parfois de mauvaises manières mais ils ont un bon fond. Tu verras quand tu apprendras à les connaitre. Ils m’ont dit qu’ils ne t’avaient pas donné à boire depuis que tu étais ici. Tu dois être complètement déshydraté. Je te ramène donc quelque chose pour apaiser ta soif.
Elle montra la bouteille qui était dans sa main et Kévin se sentit revivre d’un coup. Il y avait enfin quelqu’un dans cette maison qui s’occuperait de lui. Elle arriva à sa hauteur et laissa promener ses mains sur le corps de Kévin. Elle avait de magnifiques ongles vernis en rouge vif qui devaient bien faire 3 centimètres de long. Ses ongles passèrent sur la peau de Kévin en lui provoquant des frissons et une magnifique érection. Elle prit la queue de Kévin en main et commença à faire des va et vient très lentement. Tout en faisant cela, elle continua de lui parler.
– Tu n’es pas si mal. Je dois avouer que mes amis ont plutôt bon goût. Si cela ne tenait qu’à moi, je te ferais bien l’amour tout de suite sur cette couverture.
Pendant ce temps, les va et vient continuaient et avec son autre main, elle lui caressait les couilles. Kévin était au bord de la jouissance et gémissait de plus en plus vite.
– Si je m’écoutais, je prendrais bien ta queue en bouche pour te la sucer bien à fond. Je pourrais ainsi gouter ton sperme pour voir s’il est aussi délicieux que tu sembles l’être.
Elle avait son visage tout contre l’oreille de Kévin et se permit même de déposer un baiser dans son cou puis un léger baiser sur ces lèvres. Kévin n’arrivait plus à se retenir et aller exploser. C’est exactement à ce moment-là qu’elle arrêta le mouvement de sa main et qu’elle fit un pas en arrière. Kévin était frustré et complètement abattu qu’elle arrête juste au moment où il allait jouir.
– Malheureusement, je ne peux pas faire ce que je veux, sinon mes amis vont encore me gronder. Si tu acceptais de leur obéir, ils pourraient fermer les yeux sur certains écarts mais là, ils sont vraiment fâchés sur toi. C’est pour cela qu’ils ne sont pas passés te voir depuis plus d’une journée. Lorsqu’ils m’ont raconté ton histoire, j’ai eu pitié et les ai suppliés de me laisser t’apporter de l’eau. Ils ont cependant eu une exigence pour que je puisse te donner à boire. Tu dois te soumettre à moi et donc me lécher les pieds. Dis-toi que d’autres les ont léchés sans que j’aie besoin de le demander donc il y a pire.
Kévin était assoiffé et excité par la masturbation que cette magnifique femme lui avait faite. De plus, c’est vrai que ses pieds semblaient magnifiques. Il se résigna donc et se mit à 4 pattes et commença par lécher la pointe de la chaussure. La rouquine fit pivoter la chaussure sur le talon pour offrir la semelle à Kévin. Ce dernier eu un mouvement de recul mais la soif et l’excitation eurent raison de lui et il continua à faire aller sa langue lentement sur la semelle. La ravissante femme ôta alors sa chaussure pour offrir son pied nu à Kévin. Ce pied était magnifique avec des ongles vernis de la même couleur que les mains. Elle lui présenta ses orteils que Kévin entrepris de sucer un à un avec lenteur et passion. Elle lui présenta ensuite le dessous de son pied qui sentait fortement la sueur et qui dégouta un peu Kévin. Elle posa son pied sur le visage de Kévin et poussa un bon coup. Ce dernier tomba donc à la renverse. Il était donc couché sur son côté au milieu du garage.
– C’est vrai que tu seras une bonne chienne. On te donne un pied et directement tu sautes dessus. Ils m’ont dit de te donner à boire mais ils ne m’ont pas dit de te donner la bouteille.
Elle enfila à nouveau sa chaussure avec élégance et se dirigea lentement vers l’écuelle dans le coin de la pièce. Elle s’accroupit lentement et versa le contenu de la bouteille dans l’écuelle.
– J’espère que cela te conviendra mais une chienne comme toi ne boit pas à la bouteille. Surtout, évite de faire tes besoins à terre car je suspecte mes amis de ne pas apprécier. Si cela devait se produire, je ne voudrais pas être à ta place.
Elle s’en alla en riant mais toujours avec cette élégance et cette beauté. Kévin était passé du nirvana à l’enfer. Il avait été sur le point de jouir de la main de cette magnifique rousse qui avait même envie de le sucer et maintenant, il se retrouvait humilié après s’être soumis pour rien. Il se redressa du mieux qu’il put et s’approcha de l’écuelle. Il ne voulait pas leur faire le plaisir de boire dans cette écuelle comme un animal mais la soif se faisait de plus en plus forte. Il s’agenouilla, les bras toujours attachés dans le dos et se mit à boire comme il pouvait l’eau de l’écuelle