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Défoncée par mon élève – Chapitre 1




Défoncée par mon élève

Je suis prof dans un lycée de seine Saint-Denis où j’enseigne les mathématiques depuis maintenant trois ans, c’est-à-dire depuis mes vingt-huit ans. Mes élèves sont âgés de seize à vingt ans si on tient compte des nombreux redoublants. La plupart viennent des cités voisines et s’organisent autour de bandes assez hiérarchisées, autrement dit, tous ne sont pas faciles à gérer. Mon physique avantageux de jeune femme mince aux longs cheveux bruns me vaut des quolibets et parfois des gestes obscènes que je fais semblant de ne pas voir la plupart du temps. Je m’aperçois bien que mes élèves projettent leurs fantasmes sur moi.

C’est le cas de Saïd. Tout juste âgé de dix-huit ans, ce garçon encore en seconde multiplie les provocations depuis le début d’année. Rien de bien méchant, mais à répétition ses coups d’épingle finissent par inciter les élèves à prendre exemple sur cet adolescent qui cultive le genre voyou. Depuis le début, il joue le rôle de meneur. Il faut dire qu’il n’a pas besoin de faire beaucoup d’efforts pour s’imposer. Plutôt beau garçon, il peut également se montrer charmeur quand il le veut. Autrement dit, son charisme est indéniable et il sait en user selon les circonstances.

Ce jour-là, Saïd m’avait répondu avec insolence alors que je lui reprochais de ne pas avoir fait ses exercices, comme à son habitude. Comprenant que mon reste d’autorité allait vite disparaître, je décidai de lui coller un travail supplémentaire avec menace d’un rapport au proviseur au cas où il continuerait à adopter cette attitude avec moi.

Le cours se poursuivit et je pensais l’incident clos. Plus rien ne se passa jusqu’à la fin de l’heure.

À dix-huit heures, la sonnerie annonçant le terme de mon dernier cours retentit et je rangeais mes affaires, pressée de retrouver le calme de mon pavillon de banlieue.

Je quittais l’établissement et m’engageait sur le parking goudronné. La nuit commençait à tomber en ce soir d’automne, plongeant les lieux dans une semi-obscurité qui m’incita à accélérer le pas. Tout à coup, je ressentis un coup au cur.

Une silhouette venait de se détacher de l’ombre non loin de ma voiture et se déplaçait vers moi. Quelques mètres encore et je reconnus Saïd. Le garçon s’approchait nonchalamment, une expression indéfinissable sur le visage.

 Te voilà toi. Ça t’amuse de me faire passer pour un con devant les autres ?

Toujours sous le coup de l’émotion, je ne répondais rien, ne relevant pas même le tutoiement.

 Bon, on va discuter calmement. Ouvre ta caisse et laisse-moi monter.

Estomaquée par ce culot, je lui cédais la place puis verrouillait les portières. Je me rendis compte un peu tard de l’aspect surréaliste de cette action. Elle résultait d’un réflexe acquis au fil des années. Cela fit naître un sourire sur le visage de Saïd dont l’expression vaguement menaçante se transformait en un masque goguenard qui ne me rassurait guère.

 Bon, changement de programme, on ne va pas chez toi, je vais te guider.

Sur ses indications, je roulais le long des rues qui commençaient à se vider après l’heure de pointe.

J’engageai finalement la voiture dans une zone industrielle lugubre en cette heure. La nuit était totalement tombée désormais. Seul un croissant de lune éclairait les lieux, si ce n’était la lueur blafarde de quelques vieux lampadaires à l’autre extrémité de la rue. Mon passager me fit garer sur un parking aux marquages à moitié effacés, en face d’un bâtiment désaffecté.

 Qu’est-ce que tu veux ?

 Ce que je veux ? Tout simplement que tu me tailles une pipe.

Estomaquée, je gardais le silence, ne sachant quelle contenance prendre.

 Il me semble t’avoir dit quelque chose, allez, baisse mon futal.

Sans plus réfléchir, je déboutonnais le pantalon, découvrant un boxer blanc. Je m’arrêtais ensuite, n’osant pas poursuivre plus loin.

 Tu suces les mecs à travers leur calbut, toi ? Allez, baisse-moi ça, dit-il en désignant le sous-vêtement.

Je m’exécutais et libérais un engin de belle taille au gland circoncis, le bout tout violacé à force d’être serré dans le boxer. Sans doute le garçon bandait depuis déjà un moment à en juger par la façon qu’eût son membre de jaillir de sa cache.

Saïd me caressait les cheveux, approchant son visage tout près.

 Mumm, tu sens bon la pute. C’est ton odeur naturelle de salope ou tu te parfumes exprès ?

Je préférais ne pas répondre et restait sans bouger, indécise sur la conduite à tenir. Cependant, ce beau garçon ne m’avait jamais laissée indifférente et la situation ne me déplaisait pas.

 Maintenant, à toi de sentir mon odeur. Allez, renifle-moi la bite.

Je me penchais vers son instrument et humais son engin. Un effluve mâle agréable, bien que pas très prononcé, s’en dégageait.

 Les couilles aussi, salope.

Ses boules refoulaient déjà plus fort et de moins plaisante façon, un peu comme si la sueur de son intimité avait imbibé le fond de son boxer.

 Bon allez, maintenant, tu vas me lécher tout ça. Les burnes et la bite qui restent toute la journée dans le calbut, ça a besoin d’un bon nettoyage. Commence par les boules.

Je sortais la langue et entamais ma tâche, ayant du mal à croire à ce que je faisais. La situation était hallucinante. Ses couilles avaient un arrière-goût indéfinissable. Une sorte d’humeur visqueuse les couvrait très légèrement. La transpiration, sans doute, mais aussi quelque chose d’autre dont je n n’osais pas trop déterminer l’origine.

 Allez, sors ta langue à fond, putain ! Tu ne lèches pas une boule de glace, merde !

Habituellement, je n’aurais laissé personne me parler sur ce ton, mais curieusement, venant de Saïd, la chose ne me gênait pas.

Je m’appliquais du mieux que je le pus, léchant intégralement les boules que je finis par gober pour les faire rouler dans ma bouche. Les quelques poils qui lui garnissaient les bourses m’embarrassaient un peu, mais je me concentrais trop pour m’arrêter à de tels détails.

 C’est bon, tout est nickel. Maintenant, tu vas t’occuper de ma teub, allez, grouille !

Je léchais la grosse bite circoncise tout du long, répandant une salive sirupeuse sur la hampe. À la lueur des phares, je pouvais la voir briller tant je l’avais lubrifiée.

 OK, maintenant, tu pompes, salope.

J’enfournais le membre épais dans ma bouche, cerclant les lèvres au maximum pour assurer une succion optimale. Le goût de son engin envahit vite ma bouche alors que ma langue m’envoyait des signaux gustatifs intenses. Je suçais et dégustais avec une acuité telle que je découvrais toutes les nuances de saveur tandis que son chibre explorait les moindres recoins de ma cavité buccale.

Il me prit par les cheveux et entreprit de se servir de ma bouche comme d’un sexe, donnant de violents coups de reins. Je suffoquais sous les secousses provoquées par ce gros membre qu’il envoyait sans ménagement buter dans ma gorge, à la lisière de l’sophage. De temps en temps, il se retirait brièvement, me laissant prendre une goulée d’oxygène, puis il s’enfonçait de nouveau avec violence.

Au terme de cette séance éprouvante, il se retira une ultime fois et entreprit de déboutonner mon chemisier.

 Qu’est-ce que tu fais ?

 Ben, je te déloque. J’ai envie de voir ma prof de maths à poils.

Avec des gestes brusques, il ouvrit mon chemisier puis il tira sur le soutien-gorge, me meurtrissant les épaules au passage.

Ses mains avides saisir mes seins et les malaxèrent dans une excitation fébrile.

 Putain, la paire de miches que tu te payes ! Je vais bien m’en occuper, tu vas voir !

Il se pencha vers moi et entreprit de les lécher à grands coups de langue. Le contact de son appendice buccal contre ma peau me faisait du bien. Il poursuivit par une tétée en règle qui fit se dresser mes tétons déjà durcis par le traitement délicieux qu’il me prodiguait.

 Ah non, tu ne vas pas jouir maintenant, beauté, tu risquerais de rater le meilleur.

Il me débarrassa de ce qui me restait de vêtements et m’éjecta du véhicule avant de terminer de se déshabiller à son tour.

 C’est pas tout ça, mais maintenant on va passer aux choses sérieuses.

Je me retrouvais plaquée sur le capot de la voiture. D’un coup de pied, il me fit écarter les jambes, dévoilant mon intimité dont il se régala quelques instants.

 C’est de la bonne marchandise ça, t’inquiètes, je vais bien m’en occuper.

Joignant le geste à la parole, il m’empoigna fermement les hanches et se propulsa directement dans mon sexe sans aucun préliminaire, m’arrachant un cri de douleur.

 Tu fais moins la maline, hein ? C’est pas tout de faire ta conasse encours, je vais t’en foutre du travail supplémentaire, salope. On va voir ce que tu vaux pour les travaux pratiques.

Chacun de ses coups de reins me perforait péniblement. La chatte en feu, je devais subir ses assauts de jeune cancre vindicatif. Je ne pensais pas qu’il me sauterait avec autant de vigueur. Il gardait toujours le même rythme effréné, m’écrasant contre la tôle froide de la voiture. Sa manière de m’observer constituait peut-être la plus grande gêne pour moi, tant il me fixait avec ce regard profond qui le caractérisait tant.

 Tu n’as pas dit grand-chose depuis que je te nique. Peut-être que tu es trop occupée à savourer ce que je te fais ?

Devant mon mutisme, il continua son monologue.

 T’as raison, profites de l’instant présent, ma pute. Parce que c’est ça que tu es maintenant, hein ?

 Je t’ai posé une question, là.

 Ou… oui.

Il me pinça douloureusement le téton.

 Oui quoi, salope ?

 Oui, je suis ta pute.

Ma soumission apparente semblait l’avoir calmé et il se remit à me pistonner plus violemment que jamais. Sa virilité s’exacerbait dans ses moindres gestes. Ses mains me pétrissaient les seins avidement tandis qu’il leur distribuait des bécots au grès de leurs mouvements désordonnés.

Il termina son rapport sexuel, m’envoyant un jet de sperme au plus profond de la chatte.

Le trajet du retour s’effectua dans le plus grand mutisme. Je me sentais encore trop secouée par les évènements pour parler tandis que mon passager demeurait obstinément silencieux.

Je le raccompagnais dans sa cité où une bande de copains l’attendait. Saïd m’embrassa sur la bouche par surprise, déclenchant les quolibets de ses amis. Voilà que ma réputation allait en prendre un coup.

Quelles allaient en être les conséquences ?

FIN

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