Anne-Sophie attrape ma queue d’une main et la glisse sur sa chatte. Elle ne me quitte pas des yeux et descend lentement, elle se bloque lorsque mon gland est bien en elle. Elle veut en profiter. Cambrée à fond au-dessus de moi elle descend et s’enfonce à ma grosse pine en elle. Elle est très très serrée et je l’élargis à chaque centimètre. Sa main derrière elle me masse les couilles. Les miennes de mains pétrissent ses jolis seins.
Quand après quelques allers-retours ma queue coulisse bien en elle, bien aidée par sa mouille, je plaque mes grosses mains sur ses fesses et commence à dicter le mouvement. Elle couine de plus en plus fort, s’agite sur mon pieu.
Son petit cocu est resté à genoux, mais est maintenant au pied du canapé.
— Alors, c’est quand même mieux qu’internet ?!
— Oh oui Monsieur. Bien mieux.
— Eh eh. Tu bandes là ?
— Euh… oui… oui Monsieur.
Je fais sauter Anne-Sophie sur ma queue, la baise à fond, elle crie de jouissance et se déverse sur ma queue et mes couilles et mes cuisses. Je reste en elle alors qu’elle reprend ses esprits.
— Et bien tu vas nous montrer comme tu bandes… déshabille-toi lopette.
— Hein… euh, bien, oui, à vos ordres Monsieur.
— Allez dépêche, et varie un peu les plaisirs, Monsieur, c’est lassant.
— Bien Mon Roi.
Anne-Sophie m’embrasse, collée sur moi.
— On ne m’a jamais remplie comme ça.
— Je sais ma belle.
— Je la soulève.
— Allez, viens goûter ta jouissance sur ma queue.
Alors que son mari se déshabille nous dévoilant un petit sexe tout raide, Anne-Sophie me prend en bouche. Je souris, me lève et me mets à côté de Michel.
— Lève-toi. Anne-Sophie va choisir son mâle. Une fois ce choix fait il sera irréversible.
Il se lève, ridicule à mes côtés. Anne-Sophie sourit et vient se placer devant nous. Elle regarde son mari. Puis moi.
— Mon chéri, tu restes mon époux rassure-toi, mais… là… je suis la femme d’un autre à présent, d’un vrai mâle, tu comprends ?
— Bien sûr mon amour, je comprends.
Elle le smacke, la bouche bien humide pour lui faire goûter le mélange de nos saveurs, et vient ensuite se coller à moi et me roule une énorme pelle.
— Mon chéri, tu pourrais nettoyer ma botte, j’ai mis de la mouille dessus je crois.
Il s’agenouille et lèche les bottes de sa femme, pendant qu’elle m’embrasse et me masturbe.
— Mon amour, j’ai tellement envie de toi.
— Allons dans la chambre.
— Ouiiii mon chéri, dans notre chambre, on sera mieux !
— Eh eh.
— Elle me tient par la queue et me guide vers la chambre. Michel se relève et nous suit.
— Hey, qui t’a dit de te relever !
— Pardon, Maître.
Il se remet à quatre pattes et nous suit. On est sur le lit quand il arrive et se colle au pied du lit. Anne-Sophie est à quatre pattes elle aussi mais sur le lit, ma queue en bouche. Je la fais venir sur moi en reverse cow-girl. Elle s’empale bien plus facilement cette fois-ci. D’une main je joue avec ses seins, de l’autre avec son clito pendant que ma queue va-et-vient en elle. Puis j’attrape ses jambes et les resserre, je la soulève un peu et lui lime la chatte. Elle ne tarde pas à jouir une deuxième fois. Je ne lui laisse pas une seconde de répit et tout en restant en elle la place à quatre pattes sur le lit, moi derrière elle, à genoux. Je lui attrape les cheveux et commence à pilonner sa chatte. De l’autre main j’empoigne ses fesses. Elle est cambrée à fond, son visage juste au-dessus de celui de son mari cocu qui bave devant le spectacle. Elle se lâche de plus en plus, crie de plaisir.
— Oh ouiii, baise-moi mon chéri… putain c’est trop bon… encore… t’arrête pas Isaiah… ah c’est tellement gros en moi… ahhhhhhhhh
En réponse je lui mets quelques fessées avant de m’adresser au cocu, sans même le regarder.
— Tiens, viens là le cocu, tu vas te rendre utile.
— Oui Maître.
— Ouvre-lui bien la chatte pour moi, elle est trop serrée là.
— A vos ordres Mon Prince.
Il se tient à genoux à mes côtés et ses mains posées sur les fesses de sa femme pour me les écarter. Après quelques minutes de ce traitement, je pousse d’un bras le cocu qui vole littéralement et plaque Anne-Sophie de tout son long sur le lit, et la chevauche comme ça, moi au-dessus d’elle. Dans cette position, elle ressent la grandeur et la grosseur de mon pieu mais aussi sa toute-puissance et elle ne tarde pas à jouir encore. Et comme je ne m’arrêtais pas de la limer pour autant, un deuxième orgasme consécutif vient la secouer. Elle hurle littéralement de bonheur. Je la retourne sans ménagement.
— Viens lui tenir les jambes.
Je mets donc Anne-Sophie sur le dos j’écarte ses jambes tendues et Michel vient à côté d’elle pour les lui tenir bien écartées, je la pénètre ainsi. Je la lime à fond, mais me couche sur elle, l’embrasse tout en la défonçant.
Après quelques minutes en missionnaire, je sens que je vais jouir. Je me retire d’elle, j’attrape Michel par la nuque et le plaque sur le ventre chaud de sa femme. Je prends mon tel pour tout filmer : je me branle et finis par déverser ma semence sur la chatte de la belle et le visage de son cocu. Je jouis dans un râle puissant.
Anne-Sophie se redresse et prend ma queue en bouche pour bien tout nettoyer pendant que son petit cocu lui lèche le foutre qu’elle a sur elle.
— Oh merci mon amour, je n’avais jamais joui comme ça.
— Vous avez du champagne au frais ?
— Oui Maître.
— Bien, tu vas nous préparer cela au salon.
— A vos ordres.
Pendant que Michel se charge de cela, j’entraîne Anne-Sophie dans la douche. On se lave, on s’embrasse. On va au salon. Moi nu, Anne-Sophie en nuisette string assorti. On s’assied tous les deux dans le canapé. Le cocu nous sert le champagne puis je le fais se mettre à nos pieds à quatre pattes, il nous sert de repose-pieds. On s’embrasse avec Anne-Sophie. Puis je donne mes consignes.
— Je veux qu’il soit mon larbin, entièrement à ma disposition. Cela veut dire que quand je le sonne il accourt. Compris ?
— Compris mon chéri.
— Et toi le cocu ?
— Compris Maître.
— Parfait.
— Et moi Isaiah ?
— Toi, tu es ma salope.
— Mmmmmmm ouiiiii.
— Suce-moi. Au champagne.
— Tout de suite mon chéri.
Elle s’assied sur le dos de son mari cocu, et me pompe en versant du champagne sur ma queue raide.
— Mmmmm tu suces comme une reine ma belle.
Je me lève d’un coup, la fais s’allonger sur le dos du cocu et la pénètre ainsi.
— Oh oui, baise-moi mon amour, encore. Remplis-moi, je veux que tu jouisses en moi. Enfante-moi.
Je l’ai pilonnée à fond et me suis vidé en elle, en écrasant le cocu par terre de tout notre poids. Anne-Sophie a joui en même temps que mon sperme frappait tout au fond d’elle en jets puissants.
Plus tard, le cocu nous a préparé un bain. On est dedans avec Anne-Sophie et du champagne, le cocu à genoux, au pied de la baignoire.
— Tu étais sérieuse pour t’enfanter ?
— J’adorerais oui. Ce n’est pas gagné.
— En revanche, j’ai vu des photos de ta fille au salon…
— Mmmmm coquin…
— Je pourrais te la présenter.
— Oui !
— Tu aimerais que je baise ta fille et ta femme le cocu ?
— Oui Maître, j’adorerais.
— Mmmmm parfait, on va voir comment faire. En attendant, si tu nous invitais au resto ?!
— Oh oui, trop bonne idée mon amour.
Je me rhabille et le cocu se prépare aussi, pendant qu’Anne-Sophie se fait, je la cite, « toute belle » pour cette sortie. Elle l’est en effet, minirobe courte et moulante, décolletée, talons aiguilles, bas autofixants, et manteau court par-dessus. J’ai dit au cocu de porter un costume noir chemise blanche et cravate noire, une belle tenue de chauffeur. Nous décidons d’aller un peu loin pour ne pas risquer de croiser des parents d’élève. En route, à l’arrière de la voiture du cocu, Madame la Proviseure me suce et avale toute ma semence avec gourmandise.
Une excellente mise en bouche, dit-elle en souriant à son cocu dans le rétroviseur central.
Au resto, je sens les regards amusés des serveurs et autres clients, quand on entre, elle à mon bras, moi une main sur son cul et le cocu derrière nous.
On parle de leur fille, elle me parle aussi de la maman de Greg qui est une de ses copines. Je me dis que ça n’en sera que plus facile. On se régale elle et moi ; le cocu lui n’a le droit qu’à un bout de pain et un verre d’eau.
Il nous ramène plus tard chez eux, cette fois je baise carrément Anne-Sophie à l’arrière en cuillère. Juste le temps de la faire jouir encore une fois. Comme je n’ai pas joui, elle me supplie de rester encore un peu chez eux. Dans l’entrée, je la baise debout, elle les pieds sur le torse du cocu allongé par terre. Je jouis en elle et il se récupère sur le visage un savoureux mélange de foutre et de mouille.
Elle me nettoie la queue dans sa bouche.
— A demain salope.
— A demain mon chéri.
— A plus tard larbin.
— A votre disposition Maître.
Je pars en laissant la porte ouverte ; je rentre, sans avertir Catherine, j’espère ne pas être déçue par sa tenue. Je me gare devant la maison. Anne-Sophie m’a écrit :
— Merci mon chéri, je suis tellement heureuse. A très vite. Ta petite salope.
Je constate aussi que Michel m’a écrit :
— Merci mon Roi, merci de combler mon épouse, et de faire de moi votre larbin. Merci Maître.
Ça me ferait presque rebander. Je constate aussi avec plaisir qu’Anne-Sophie m’a bien envoyé adresses et numéros des parents délégués. Il y a aussi le tel de Greg.
Dans un SMS Manon me souhaite une bonne soirée. Je lui réponds en lui disant qu’elle aussi.
Il y a aussi une trentaine de messages des trois filles dans le groupe WhatsApp qu’elle a créé avec Sophie et Elise. Je ne les lis pas.
Enfin, j’ai un message de Charlotte qui me dit :
— Demain, le plus tôt le mieux pour notre cour… ta bab;-)
— Je serai chez toi à 13h30.
— Parfait.
J’envoie un SMS à Greg :
— Alors, t’as dit à tes parents que t’avais perdu les élections de délégués après avoir perdu ta copine ?
— C’est qui putain ?
— Le grand black à qui tu as apporté des bières pendant qu’il roulait des grosses pelles à ta meuf ah ah.
Pas de réponse.
J’entre chez moi. J’entends la télé. Je vais au salon. Ils sont tous les deux dans le canapé, regardent un film.
— Salut.
Je m’assieds dans un fauteuil, je les vois mieux eux que la télé de là où je suis. Catherine porte une minijupe ras les fesses et un top super-décolleté. Je suis déçu.
Je lui envoie un SMS :
— Dans deux minutes, tu te lèves, tu dis que tu vas juste te rafraîchir, et tu vas enfiler la troisième tenue d’hier !
— Tu es sûr ?
— Oui !
Deux minutes plus tard, Catherine se lève. Elle passe devant moi en souriant et en roulant du cul, putain que sa jupe est courte. Carl ne bronche pas. Elle revient quelques minutes plus tard : micronuisette ouverte devant en soie et dentelle, rouge et noire, bas autofixants noirs, string assorti, escarpins à talons aiguilles. Elle repasse devant moi, roulant toujours du cul. Elle se rassied à côté de Carl qui la regarde ébahi.
— Euh, mon amour, tu es sûre que…
— Je me sens plus à l’aise comme ça mon chéri.
Elle dit cela en mettant un doigt sur la bouche de Carl. Puis lui fait un smack.
Je souris. Deux minutes plus tard, je me lève et viens m’asseoir sur le canapé, à côté de Catherine qui se retrouve entre Carl et moi.
— Ah ben voilà. Là je vois mieux !