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Inceste et cours de sexe – Chapitre 13




Quinze minutes plus tard, j’étais de retour dans le salon. Mon téléphone sonna. Un SMS.

"Je suis là dans 2 mn, mon chéri <3".

Je me plaçai derrière la porte et effectivement, deux minutes plus tard, elle sonnait. Je lui ouvris.

Sa beauté me subjugua. Elle avait bien bronzé pendant son séjour dans les îles et ses cheveux n’ont jamais été aussi flamboyants. Elle portait un simple débardeur et un minishort bleu. Ses yeux gris semblaient toujours aussi pensifs et la rendaient mystérieuse. Mais c’est ses lèvres qui retinrent le plus mon attention. À la fois pulpeuses et fermes, elles m’appelaient inexorablement à venir à leur encontre. Avant même que l’on se dise un mot, nous nous jetâmes l’un sur l’autre et nos langues se lièrent fougueusement. Sa bouche m’avait furieusement manqué durant ses 2 semaines, pourtant intenses du côté sexuel. Même si j’aimais profondément ma sur et Lucie, Chloé possédait quelque chose en plus sur lequel je ne saurais pas mettre de mots. Je l’aimais plus que tout au monde. Et tandis que je respirais son doux parfum à plein nez, le poids de mes coucheries incestueuses me parut soudain s’alourdir encore un peu plus.

Quand nos bouches se séparèrent, elle me dit :

— Tu m’as tellement manqué ! Ta bouche m’a beaucoup manquée aussi. Je suis tout émoustillée !

Elle avait toujours ce tic quand elle était contente : se mordre la lèvre inférieure. Elle ne s’en rendait pas compte et ça la rendait mignonne à craquer. Elle se rapprocha de mon oreille et me chuchota :

— J’ai beaucoup réfléchi durant mes vacances et je pense qu’il est plus que temps que nous passions à l’acte. Nous nous aimons plus que tout au monde tous les deux. Je ne sais pas ce que j’attendais de plus. Tu es l’homme de ma vie et je veux perdre ma virginité avec toi !

Je suis surpris par ses propos, elle qui d’habitude est réticente à parler de sexe. Je lui souris et lui susurre à l’oreille :

— Je suis content que tu dises ça ! Tu es aussi la femme avec laquelle je souhaite passer le reste de mes jours ! Je t’aime, Chloé !

Et tout s’enchaîna très vite. Nous commençâmes à nous déshabiller mutuellement tout en nous dirigeant vers ma chambre. Une fois à l’intérieur, elle claqua la porte et me poussa sur le lit. Nous étions tous les deux en sous-vêtements. Moi en boxer, la bite tendue au maximum. Elle en petite culotte violette et en soutien-gorge en dentelle. Elle se jeta sur moi et m’embrassa à nouveau. Tandis que nous mélangions nos salives, elle sursauta en sentant mon membre lui toucher les fesses à travers le tissu. Elle se redressa et descendit ses mains jusqu’à mon boxer. Elle le retira d’un coup sec et resta bouche bée devant les dimensions de mon engin.

— Comment ai-je pu ignorer cette merveille pendant si longtemps ! Il est deux fois plus gros que mes sex-toys ! Je le veux en moi ! Je veux perdre ma virginité maintenant !

Elle était déchaînée d’excitation. Elle me prit en bouche la seconde d’après. Et je fus agréablement surpris. La jeune fille sage et réservée que j’avais toujours connue laissa place à une tigresse indomptable. Même si elle manquait d’expérience, sa conviction et son implication à l’acte faisaient d’elle une suceuse incroyable. Ne voulant pas être le seul à prendre du plaisir, je lui saisis les hanches et la retournai à 180 degrés. Elle couina un petit peu, surprise par ce brusque mouvement. Sa croupe me faisait à présent face. Je lui retirai sa culotte doucement et entrepris de lécher sa chatte encore vierge. Le goût et l’odeur de sa mouille chaste étaient comme des drogues. J’en voulais plus. Je voulais qu’elle jouisse. Tout en stimulant son clitoris avec ma main gauche, je continuai de m’occuper de son vagin comme il le méritait. Ma langue virevoltait autour de cette chair si appétissante. Je mis en pratique toutes les techniques que j’avais apprises ces derniers jours. La belle n’arrivait plus à contenir ses cris, bien que ma bite lui entravait la bouche. Mais fidèle à sa tâche, elle s’activait de plus belle avec sa langue afin de me procurer également du plaisir.

Elle ne tarda pas à jouir de toutes ses forces et de longs jets de cyprine s’échappèrent de son vagin. Ma petite amie étant donc une femme fontaine ! Je bus avec délectation toute cette mouille qui sortait avec abondance de ce gouffre d’amour. Subjuguée par son orgasme, elle avait oublié complètement ma bite. Elle haletait, effondrée entre mes jambes.

Il lui fallut quelques minutes avant de pouvoir recommencer à parler. Elle se rapprocha de mon visage, exaltée.

— Je n’ai jamais joui aussi fort de toute ma vie ! Tu sais t’y prendre avec moi !

Elle se retourna et toucha ma bite.

— Et moi, je ne suis même pas capable de te faire jouir, rajouta-t-elle, désolée.

Je passai ma main dans ses cheveux aux reflets cuivrés. Ce n’était pas de sa faute, Miléna venait de me faire éjaculer il y a à peine une demi-heure. Elle savait pourtant s’y prendre, la tigresse !

— Ne t’inquiète pas, Chloé. Tu es très douée ! Mais je suis plutôt endurant. Et puis, comment j’aurais fait pour te perdre ta virginité si j’étais déjà tout mou ? dis-je, rassurant.

Elle sourit et m’embrassa à nouveau.

— On s’y met ? Je te veux en moi ! demanda-t-elle en se redressant.

— Tu es déterminée à te faire baiser toi ! Petite coquine ! répondis-je, taquin.

Je me penchai sur ma table de nuit et ouvris le tiroir. Il était vide. Merde ! Je n’avais aucune capote !

— Euh… on a un petit problème ! Je n’ai pas de préservatif !

— Je ne prends pas la pilule ! Il nous en faut absolument un ! répondit-elle.

Voilà un problème de taille ! Je n’avais pas pensé à en acheter. Quel idiot je suis ! Mais où en trouver rapidement ? Je songeai alors à descendre à la pharmacie du coin pour aller en chercher. Mais ça ferait tomber toute notre excitation…

Quelqu’un frappa à la porte. Chloé, surprise, sursauta et enfila un de mes t-shirts, trop grand pour elle, à toute vitesse. Je rabattis la couverture sur mon sexe et dis au mystérieux visiteur d’entrer.

La porte s’ouvrit, révélant Miléna et Lucie. Elles avaient toutes les deux enfilé des vêtements. Ouf !

— Miléna ? Qu’est-ce que tu veux ? sexclama Chloé, honteuse d’être surprise en plein acte.

Ma sur sourit de toutes ses dents.

— Salut Chloé ! On a juste entendu votre petite conversation – vous parliez très fort. Il se trouve que j’ai des préservatifs ! Les voilà ! dit-elle en brandissant un paquet de Durex.

Chloé resta bouche bée devant cette proposition. Je voyais qu’elle ne savait pas comment réagir. Je ne savais pas à quel jeu dangereux jouait Miléna, mais pour ne pas mettre ma petite amie dans l’embarras, je répondis à sa place :

— Oh merci surette ! Tu nous sauves la vie ! Vas-y, prend-les, Chloé !

Mécaniquement, cette dernière tendit les mains vers la boîte. Mais Miléna recula hors de sa portée.

— Pas si vite ! J’ai une condition ! clama-t-elle.

— Une condition ? demandais-je, interloqué.

— Oui, une condition.

Elle tira par le bras Lucie pour la faire avancer à la lumière.

— Moi et Lucie, on veut participer à votre petite sauterie !

Je fusillai ma sur du regard. Comment pouvait-elle être aussi stupide ? Demander ça devant ma petite amie encore vierge ! Chloé semblait avoir une erreur interne du cerveau. Sa bouche s’ouvrit encore un peu plus. Elle réussit tout de même à articuler :

— Quoi ? Mais pourquoi ? Raphaël est ton frère en plus !

— Pourquoi vous seriez les seuls à vous amuser ? C’est toujours plus marrant à plusieurs ! répondit ma sur, toute guillerette.

— Mais c’est ma première fois, je veux que ce soit spécial ! se plaignit Chloé.

— Oh ! Si tu nous laisses participer, ça ne sera pas spécial, ça sera mémorable !

Et elle s’approcha de ma petite amie pour l’embrasser à pleine bouche. Chloé eut un mouvement de recul, mais finit par céder et lui rendit son baiser. Et elle redevint la tigresse que j’avais pu apercevoir quelques minutes plus tôt. Elle enleva rapidement son t-shirt et entreprit de retirer les vêtements de Miléna tout en continuant à l’embrasser fougueusement.

Pendant qu’elles se bécotaient sans gêne, Lucie attrapa la boîte de capotes et s’approcha de moi. Elle souleva la couverture, attrapa un préservatif et me l’enfila comme une pro sur ma bite toujours bandée.

— À quoi vous jouez ? Vous êtes complètement cinglées ou quoi ? lui chuchotai-je.

Lucie me regarda, à la fois sévère et compréhensive.

— Tu ne comptais pas lui mentir éternellement quand même ? Elle aurait fini par découvrir les cours que tu fréquentes et t’aurais largué comme une merde. On a anticipé avec Miléna et on va la convertir à notre religion : le sexe intense ! Comme ça, elle ne pourra plus te quitter ! répondit-elle.

Même si j’avais envie de lui crier dessus, j’admis qu’elle avait raison et me tus. Et puis, Chloé semblait prendre ça plutôt bien. Elle était déchaînée avec ma sur et avait commencé à lui lécher les seins. Miléna la repoussa gentiment.

— Tout doux, princesse ! C’est toi la priorité ! Il faut que tu perdes ta virginité ! dit-elle.

Chloé obéit et se laissa faire quand Miléna la saisit par la taille pour l’emmener jusqu’au lit. Je me plaçai sur le dos, la bite en angle droit. Ma furie rousse m’enjamba pour se placer à califourchon au-dessus de moi. Miléna attrapa mon pénis et le guida vers l’entrée sacrée de ma petite amie. Elle le positionna contre les lèvres et intima à Chloé de s’asseoir dessus. Cette dernière s’exécuta et je sentis ma bite la pénétrer tout doucement. Elle se mordait la lèvre jusqu’au sang. Elle redoutait le passage de l’hymen. Et tandis qu’elle coulissant tout doucement le long de la hampe, il finit par arriver. Elle continua tout doucement tout en gémissant de douleur tout bas. Soudain, je sentis une sorte de craquement. Ça y était ! C’était terminé ! On était passé ! Le visage de Chloé s’illumina quand elle le réalisa. Sans hésitation, elle s’assit alors plus profondément sur moi. Sa chatte était étonnamment longue, car elle touchait déjà mes couilles avec ses lèvres. Elle put enfoncer complètement mon sexe en elle, je touchais à peine son col de l’utérus ! Cette chatte semblait avoir été moulée pour ma bite ! Je ne pus m’empêcher d’attraper sa taille pour la guider. Mais Lucie enleva mes mains et me les maintint au-dessus de la tête.

— C’est à Chloé de mener la danse, mon chou ! Privilège de la première fois ! me susurra-t-elle à l’oreille.

Et la belle blonde posa contre mon visage son magnifique sexe parfaitement épilé. Je commençai à le lécher tandis que ma petite amie continuait de me chevaucher. Je pus apercevoir ma sur s’occuper du petit trou de ma cavalière fougueuse et Lucie de ses seins. Elle était gâtée, ma Chloé ! Elle jouit une seconde fois autour de ma bite en lâchant de profonds râles. Je sentis son liquide séminal féminin s’écouler sur mon ventre. Quelques secondes plus tard, la langue de Lucie le retirait.

Je remerciai alors intérieurement Miléna de m’avoir fait jouir quelques dizaines de minutes plus tôt avec sa fellation en gorge profonde. Ça me permettait de tenir tellement plus longtemps et donc de multiplier les orgasmes chez ma partenaire. Je voulais absolument qu’elle s’éclate pour sa première fois ! C’était en bonne voie !

Chloé nous informa vouloir changer de position. Tandis qu’elle se retirait de ma bite, je dus quitter à regret le cunnilingus que je prodiguais à Lucie. Ma belle rousse voulait essayer la levrette. Elle se mit donc en position, les mains en avant, les fesses cambrées. Je m’installai derrière elle et lui saisit la croupe pour la pénétrer. Je coulissai comme dans du beurre et commençai donc un va-et-vient dans cette chatte chérie. Tandis que nous copulions bestialement, Lucie et ma sur ne restèrent pas en reste. La première coquine se glissa sous Chloé en 69 pour lui sucer le clitoris tout en se faisant lécher la rondelle. La seconde passa entre les jambes pour me lécher les couilles amoureusement. Devant tant de stimulations, j’accélérai le mouvement. À chaque aller, j’enfonçai ma bite au plus profond de ma chérie, et, à chaque retour, je me retirai complètement d’elle pour mieux y retourner.

Cette mécanique rendit folle Chloé et il ne lui fallut pas longtemps avant d’être soumise aux soubresauts de son troisième orgasme de la journée. Elle criait si fort qu’on devait l’entendre dans tout le pâté de maisons. Et elle éjacula une nouvelle fois. Cette fois-ci, Lucie récupéra directement à la source ce précieux liquide et s’en délecta bruyamment. La belle blonde, sous les assauts linguaux de Chloé, ne tarda pas à jouir elle aussi. Soudain, ma petite amie stoppa mes mouvements coïtaux de la main. Elle se tordit le cou pour nous voir, moi et ma sur.

— Miléna !? Tu as joui, toi ? demanda-t-elle.

Ma sur s’arrêta de me brouter les bourses et répondit :

— Non, mais ton plaisir est plus important aujourd’hui !

Et Chloé fit alors une proposition pour le moins étrange venant d’elle.

— J’ai déjà joui trois fois ! À ton tour maintenant ! Je te prête mon Raphaël !

Ma sur soucieuse de ne pas trahir notre relation incestueuse refusa.

— Non merci Chloé ! J’aurais bien dit oui, mais c’est mon frère. C’est pas très moral tout ça !

— Me prends pas pour une idiote ! Tu es en train de lui lécher les couilles et ça se voit que vous avez déjà baisé ! Quand tu es rentrée dans la chambre tout à l’heure, aucun de vous deux ne semblait dérangé par la nudité de l’autre. Donc profite juste, vous m’expliquerez tout après… riposta la rouquine.

Miléna obéit et vint se placer à cheval sur le dos de Chloé, également en levrette. Je sortis ma bite du trou de ma petite amie pour rejoindre celui de ma sur. Mais juste avant de pénétrer son vagin, je décidai plutôt de lui défoncer le fion. Je la pilonnai alors furieusement et sans pitié, car, par sa maladresse, ma sur avait trahi notre secret devant ma petite amie. Cette dernière allait sûrement me larguer après ça. Étant entré quasiment à sec, Miléna gémit de douleur au début. Mais après quelques secondes, elle commençait déjà à prendre du plaisir.

Pour ne pas laisser ma petite amie en reste, je la doigtai alors en rythme avec mon va-et-vient incestueux. Ce manège se poursuivit sur plusieurs minutes avant que Miléna et Chloé ne jouissent de concert. De mon côté, je sentais le plaisir monter de plus en plus. J’en informai mes compagnes.

Rapidement, les trois coquines se relevèrent et je retirai mon préservatif, permettant à Chloé de me sucer de nouveau. Elle ne prêta guère attention au fait que ma bite sortait du cul de ma sur. Devant tant de fougue pour me faire jouir, je compris alors qu’elle n’avait nullement l’intention de me quitter. Il ne fallut pas longtemps avant que l’orgasme ait raison de moi. Je prévins ma suceuse de ma jouissance prochaine, mais elle n’arrêta pas pour autant. Je jouis donc directement dans sa bouche. Le plaisir me fit tourner la tête par son intensité. Je m’effondrai de contentement aux genoux de ma soupirante.

Après que nous eûmes tous repris nos esprits après cette incroyable sauterie, il était maintenant l’heure des explications. Nous nous assîmes alors en cercle sur le sol. Et je commençai alors à expliquer à Chloé nos péripéties des derniers jours. Elle écouta attentivement sans jamais me couper la parole. Lorsque je terminai mon monologue par des excuses et des promesses, elle dit enfin :

— Je comprends Raphaël.

Elle comprenait ?! Je venais de la tromper avec toute ma famille et une camarade de classe ! J’avais abusé de sa confiance ! Comment pouvait-elle comprendre cela ?

— Je comprends Raphaël, répéta-t-elle.

Je n’y comprenais plus rien.

— Ça fait sept mois qu’on est ensemble. Et j’ai toujours refusé de faire l’amour. Parce que je n’étais pas prête. Parce que j’étais bête aussi. Et toi, de ton côté, tu as dû te contenter de ta main pour te satisfaire. Pourtant, jamais tu n’as tenté de me forcer la main. Jamais tu n’as essayé de me faire franchir le cap, car tu voyais bien que je n’étais pas encore prête. Tu as respecté mon choix. Et je l’apprécie beaucoup. Ensuite sont venues les vacances d’été. Je suis partie pendant 2 semaines. Tu as dû te sentir si seul au monde à ce moment-là. Je comprends que ça ce soit terminé au lit avec ta sur, elle est à croquer ! Et par un concours de circonstances, tu t’es retrouvé dans un cours de sexe pour entrer dans une université spécialisée dans le sexe. Tout ça, je l’accepte. Je compte même t’encourager. Je vais m’inscrire également à ces cours qui ont l’air si intéressants et je passerais le concours avec toi. Nous serons enfin heureux ensemble.

J’étais si heureux d’entendre ça ! Tout le poids de mes remords s’envola d’un coup de mes épaules.

— Woah ! J’avais si peur de ta réaction ! Je suis soulagé ! dis-je, bouleversé.

Chloé me sourit tendrement.

— Ne t’en fais pas ! Tout va pour le mieux ! Je crois bien que la suite va être passionnante ! m’assura-t-elle.

Elle devint plus sérieuse.

— Je veux juste établir certaines règles. Les filles, je garde la priorité sur Raphaël. Vous pouvez toujours baiser avec lui… et avec moi. Mais je pense que j’aurais parfois envie de l’avoir pour moi toute seule, dit-elle.

Nous acquiesçâmes tous les trois, bien contents de pouvoir continuer à pouvoir baiser tous ensemble. Toutes ses émotions m’avaient redonné la trique et ma bite était comprimée dans le tissu de mon boxer. Chloé le vit la première.

— Tu as l’air à l’étroit dedans, mon Raphaël. Sors-la donc qu’on puisse s’amuser.

Miléna, restée silencieuse depuis le début de notre conversation, prit la parole :

— Chloé, tu ne penses pas que tu devrais prendre la pilule ? Je te garantis que baiser sans préservatif est mille fois plus excitant. Tu pourras sentir la chaleur de la peau de Raphaël directement en toi, sans barrière plastique.

Ma petite amie se tourna vers Miléna.

— Tu as raison ! Je commencerais demain ! Comme ça, on va pouvoir essayer les creampies mon Raphaël ! J’ai hâte de sentir ton foutre tout chaud en moi ! répondit-elle, tout excitée.

Et elle se jeta sans attendre sur mon pénis en érection pour l’engloutir.

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