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Le voisin est un pur-sang – Chapitre 9




Je faillis éclater de rire en le voyant se baisser précipitamment pour remonter son calbut, sans y arriver.

–  Laisse ta queue à l’air. Je l’ai déjà vue… et puis si tu t’enrhumes, je connais un bon médecin.

–  S’il vous plait docteur, vous direz rien à votre femme !

–  Et à ta mère, et à ta copine, je leur en parle ?

–  Oh non non non non non !

–  Quant à ma femme, tu vas lui expliquer toi même.

–  Hein ? Oh non, s’il vous plait, je vais avoir trop honte.

–  De quoi ? Qu’elle te fasse bander. Tu vois qu’elle en excite d’autres. Mais dis-moi, tu attendais qui ?

–  Personne.

–  Ah, te fous pas de ma gueule. Tu m’as confondu avec quelqu’un; qui ?

–  Euh…

–  De toute façon on va l’attendre, alors…

–  Ben, mon oncle.

–  Ton oncle, lequel ?

–  Raymond, le maçon…

–  Il t’a donné rendez-vous ?

–  Non c’est moi.

–  Qu’est-ce que tu foutais là ?

–  Ben, j’lai un peu aider pour le chantier de Germain… Un soir, après le boulot, j’suis revenu parce que j’avais oublié mon portable… En arrivant, j’ai vu Germain… il allait chez vous… mais comme j’ai mis du temps, en repassant devant chez vous, j’ai entendu vot’ dame crier… comme dans les films de cul… pas de mal… au contraire… J’peux bien vous le dire puisque vous êtes au courant. Alors des fois, je suis repassé en douce et j’ai vu leur manège. J’en ai parlé à mon tonton mais il m’a dit que c’étaient des conneries. Mais Samedi soir, je suis revenu et j’ai vu les deux personnes toutes nues chez Germain. Après je l’ai vu aussi se mettre à poil… j’suis parti et ce soir, je les observe depuis un moment, même avant que votre femme n’arrive, alors j’ai dit à l’oncle de venir voir.

–  Bon, viens avec moi.

–  Où ?

–  A l’intérieur… tu veux voir de plus près ?

–  Non docteur, j’ai trop honte et puis si mon oncle me voit…

–  T’inquiète.

Je tirai donc notre jeune curieux vers l’intérieur plus qu’il ne me suivit.

–  Regardez qui j’ai trouvé !

–  Et mais c’est le petit Christian !

–  Il vous matait sans vergogne.

Germain s’était arrêté de pilonner le cul de Roselyne qui, libérée ,s’en fut vers notre nouvel ami.

–  Il est bien foutu mais il a l’air bien jeune. Il est majeur ? Demanda-t-elle.

–  Et vacciné, je m’en porte garant.

Elle s’approcha de lui et lui baissa le froc qu’il avait remonté mais que je ne lui avais pas laissé le temps de reboutonner. Elle lui palpa la tige aussitôt.

–  Mouais… modeste mais dure… et mouillée au bout on dirait. Ça fera l’affaire !

Et en un clin d’il, il fut à poil la bite bien fourrée dans la bouche de la dame.

J’enfilai son manteau pour me faire passer pour lui, retournai dehors, mis la capuche et attendit l’oncle, un solide gaillard de ma connaissance également.

Il mit longtemps à arriver, presque un quart d’heure… qui ne fut pas perdu pour tout le monde. Le gamin était désormais allongé; Roselyne chevauchait sa bite alors que ma femme s’était mise à califourchon au dessus de sa tête et, vu les ondulations de son corps et son air de contentement, il devait sacrément bien lui bouffer la chatte. Michel était debout, se faisant sucer par Anne-So et Germain profitait de la même faveur de la part de Roselyne.

J’entendis le corpulent maçon arriver derrière moi.

–  T’es là, Chris, t’es là ?

Je répondis par un puissant "chut" et, sans dévoiler mon visage, lui fis signe d’avancer de la main.

Parvenu à ma hauteur, il fut immédiatement captivé par la scène de sexe et ne s’aperçut pas de la supercherie.

–  Ah putain ! T’avais raison ! Ils font pas semblant. Quelle partouze ! C’est chaud,non ?

Je répondis par une sorte de grognement affirmatif : "hon hon" !

–  Ah dis-donc, il est bien cocu le petit toubib. Sa femme est plus belle encore à poil qu’habillée. T’as vu les nibards ? J’ai la gaule Y’a longtemps que j’ai envie de me la mettre au bout celle là et c’est d’autres mecs qui se la tapent. Et moi qui la croyait bien sage. L’autre pute est bien chaude aussi, à la vache. Putain comment qu’elle suce !

Je le vis glisser sa main dans son froc.

–  Dommage qu’on puisse pas participer. Au fait qui c’est le mec allongé ? C’est le toubib ?

–  Non.

–  Elle s’enfile trois mecs en son absence. Solide la madame. C’est plus des cornes qu’il a le garçon ! C’est toute une ménagerie.

–  Ouais.

Le mot était trop court pour qu’il me reconnût.

— Tu bandes pas toi ?

–  Si !

–  Bon ben moi je sors ma bite hein… tu dis rien à ta tante, OK ? J’dis rein à ta copine !

–  OK.

Et je le vis sortir son engin pas très long en apparence mais très épais.

Il y eut un long moment de silence seulement troublé par le souffle puissant de mon voisin. Caché dans ma capuche, j’avais une folle envie de me marrer.

–  Putain, j’aimerais bien savoir qui est le troisième chanceux.

–  A ce moment, je baissai ma capuche, et le regardai puis répondis.

–  Ton neveu.

Il se tourna vers moi, sidéré…

–  C’est… c’est vous ? Ah… merde…

–  C’est moi….`

Il était visiblement très emmerdé.

–  …Désolé pour ce que j’ai dit tout à l’heure sur vot’ femme… j’pouvais pas savoir.

–  On va se mettre d’accord. Je partage ma femme avec qui elle veut et qui je veux. On est très libres. Mais un moindre mot de tout ceci, et je balance tout à votre femme… et vous n’y avez pas intérêt… surtout si vous voulez jouer avec nous.

Il me regarda, l’air de ne pas comprendre… ou de peur de ne pas avoir compris et de trop y croire.

–  Aller, on les rejoint ?

Les recrues étaient excellentes. Même si leurs queues n’atteignaient pas la dimension des nôtres, elles étaient très dures et les gars très résistants. Le jeune était taillé en athlète et les filles ne boudaient pas sa musculature d’éphèbe. Plus massif, l’oncle était une véritable force de la nature. Son métier lui avaient donné des bras et des jambes extraordinairement solides. Il put ainsi soulever l’une ou l’autre femme comme un fétu de paille, l’asseoir sur ses bras pour des prises en sandwich debout, très agréables, en commençant par Anne-So.

Germain, bien sûr, vint l’enculer pendant que l’artisan lui occupait la chatte. Coincée entre ces deux forces de la nature, ma pauvre épouse était broyée par ces machines à sexe. Là, elle gueulait, ce que je fis remarquer à Michel.

–  T’as vu là comme ils la font couiner ?

Pour ne pas être en reste, celui ci démontait le vagin de sa femme allongée sur lui pendant que Christian s’essayait à sa première sodomie.. J’étais à genoux, au dessus de la tête de Michel dont je sentais le souffle sur mes boules, à me faire sucer par Roselyne.

–  Alors petit, tu aimes ?

–  Oui m’sieur. C’est ma première sodo et ma première double. Je regrette pas d’être venu…

— Appelle-moi Eric maintenant… du moins dans l’intimité.

Je le voyais s’appliquer à bourrer la chienne qu’il tenait fortement par les hanches.

–  C’est super bon. J’sens bien la grosse bite de l’autre monsieur derrière. C’est un gros morceau dites donc !

–  C’est pas l’autre monsieur, petit, c’est Michel.

–  Ben Michel, tu as une sacrée bite.

–  Pas autant que Germain précisais-je.

–  Oh eh ! Elle est déjà plus grosse que la tienne.

–  C’est vrai Eric, votre bite… ta bite est grosse aussi.

–  Aller, rassure-toi, t’es pas mal foutu aussi… J’suis sûr que tu l’as mesurée. Combien ?

–  Presque 17!

–  T’es déjà au dessus de la moyenne… et surtout, elle est bien dure et tu as l’air de savoir t’en servir. En tout cas, Roselyne n’a pas l’air de s’en plaindre.

Nos deux compères étaient moins rompus au jeu du sexe que nous et leur résistance bien moindre. Christian déchargea dans le cul de Roselyne en râlant de plaisir, les yeux fermés, la tête penchée en arrière.

Plus vicieux, son oncle préféra s’achever par une branlette finale sur les seins de ma femme qu’il beurra avec frénésie en jurant comme un charretier.

Ils restèrent ainsi, zob pendant, bras croisés à nous regarder finir en variant les positions,  et en commentant.

–  Ça doit être bon comme ça.

–  C’est clair, ça s’enfonce jusqu’aux couilles. J’essaierai la prochaine fois.

–  Tout en pétrissant les nichons…

–  Ils savent y faire.

–  C’est vrai, il y a longtemps que vous partouzer comme cela ?

De temps en temps, nous répondions à leur question. Ils revenaient parfois, peloter les filles, leur caresser le clitoris mais ils ne purent rebander avant que nous déchargions tous les trois à tour de rôle.

–  Oh là là ! Qu’est-ce que t’as comme jute Germain. On dirait le pis d’une de tes vaches ! Dit le maçon. Moi je pisse trois gouttes à côté.

–  Ça t’a pas empêché d’avoir des gosses.

–  Ni de faire plaisir à tata d’après ce qu’elle dit, ajouta malicieusement le neveu.

Ce renfort d’hommes inexpérimentés mais curieux d’apprendre fut très apprécié, y compris d’Anne-So qui reprenait un peu plus de dynamisme. Pour prix de leur silence, outre la menace de tout dévoiler à leur famille, nous avions désormais dans le village, à portée de main si l’on peut dire, le secours de leur participation, irrégulière certes, mais disponible pour des parties à quatre ou cinq si la fantaisie nous en prenait. Bien sûr, nous les invitâmes pour notre partouze du réveillon mais, devant le passer avec leur famille ils ne pourraient pas se joindre à nous. Nous décidâmes alors de décaler cette fête de deux jours… sans en avertir les locataires du gîte que nous ne désirions pas garder dans nos relations.

Deux jours après cependant, Germain eut un accident grave. Il dut être hospitalisé jusque après Noël et sa convalescence devait durer jusqu’en février. Nous dûmes reporter la partouze à cette date, comme cadeau de bon rétablissement. Ce qui tombait bien, Anne-Sophie étant elle-même malade comme sa fatigue me le faisait craindre.

La fin de l’automne et le début de l’hiver furent un désert sexuel d’autant plus que le jeune agriculteur employé pour remplacer Germain fut sourd à nos avances préférant à ce que nous comprîmes bien vite, la compagnie des garçons.

Cependant février arriva et comme une promesse de printemps à venir, les sexes bourgeonnèrent à l’approche du gang bang auquel Anne-So allait se soumettre. Je réservais à tout le monde une surprise, à l’exception de Christian et Raymond qu’il me fut impossible de préserver du secret. Serait-elle appréciée ?

A suivre

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