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La cure – Chapitre 1




Comment, Julie, ton médecin te prescrit une cure thermale ? C’est une blague ! De quelle maladie ou infirmité souffres-tu ?

-J’ai un début de rhumatismes : je ressens des douleurs dans les articulations. Le docteur veut arrêter la progression du mal dès son apparition. J’ai quarante ans, je dois me soigner sans tarder si je ne veux pas devenir une petite vieille souffreteuse..

— Première nouvelle ! Allons, hier encore tu as fait ta séance de gymnastique au club avec agilité et je ne t’ai pas entendue te plaindre. Tout le monde admire ta souplesse. C’est étrange.

— Je n’aime pas me plaindre en public, tu le sais. Cela fait trois mois que je souffre en silence. Souviens-toi, j’ai cessé le jogging du mardi avec toi à cette époque. Je ne voulais pas t’alerter inutilement, je t’ai parlé de lassitude. En réalité j’avais de plus en plus mal dans les genoux et dans les hanches. Je devrai encore diminuer les activités sportives si je ne guéris pas. Cesser d’avoir les mêmes loisirs que toi me peinerait beaucoup. J’espère aller mieux grâce à cette cure.

-Je suis désolé de n’avoir pas su remarquer ton problème. A l’avenir ne me cache plus ton état de santé.

Habituellement Julie me laissait la charge de ses dossiers: "Je n’aime pas téléphoner…Je n’aime pas écrire… Fais-le pour moi". Cette fois elle a voulu me montrer qu’elle était capable de se débrouiller. Seule elle a choisi le lieu et la date de sa cure, seule elle a fixé le lieu de son hébergement. Hélas, il n’y avait plus de place disponible aux thermes de Rochefort sur Mer au mois d’août, pendant mes congés payés, Julie a été malheureuse et désolée de devoir s’inscrire au mois de juillet:

— J’aurais tellement aimé que tu m’accompagnes pendant tes congés payés. Je vais m’ennuyer sans toi. Par chance j’ai trouvé une chambre dans le Grand Hôtel, tout près du centre ville et non loin des plages de Fouras. C’est une chambre pour une personne, avec un lit de 90 cm, la dernière disponible.

    °

° °

Voilà, Elle vient de partir pour sa cure de trois semaines. Elle utilise notre unique voiture de manière à pouvoir se déplacer et visiter la région si la cure ne la fatigue pas trop. J’irai travailler à vélo. Hier soir nous avons fait l’amour, mais avec mille précautions pour ne pas réveiller les douleurs au niveau des hanches. Julie m’a sucé faute de supporter des pénétrations épuisantes trop longues. C’est comme cela depuis le jour de la visite médicale qui a permis de diagnostiquer ses rhumatismes. Depuis j’éjacule souvent entre ses doigts ou dans sa bouche. Elle s’assied, je déballe mes bijoux de famille en face de sa chaise et elle me taille une pipe. Elle s’applique mais ça ne vaut pas une relation sexuelle complète. Ça ira mieux après la cure, espère Julie? Et moi donc !

Curieusement ma fellatrice, si douée pendant une vingtaine d’années, n’avale plus mon sperme depuis la déclaration de son mal. De succulent, délicieux, mon jus a perdu sa saveur. Aussi ai-je à peine le temps d’éjaculer qu’elle me repousse, se lève la bouche pleine, oublieuse de ses douleurs et se précipite à la salle de bain : et je l’entends cracher, se rincer la bouche et se laver les dents avant de revenir avec des larmes dans les yeux. Oh ! Elle n’a rien dit, mais elle recrache systématiquement mon sperme : Suppose-t-elle que mon jus est à l’origine de son mal ? C’est un truc à me couper la chique.

Donc hier soir, revenant de la salle de bain après les soins de bouche devenus rituels, elle a déclaré :

— Mon chéri, je t’ai pompé à fond et j’espère t’avoir bien vidé les coucougnettes. Tiens le coup pendant trois semaines. Je reviendrai en forme et nous pourrons retrouver des ébats plus complets. J’en meurs d’envie C’est aussi pour cela que je te laisse seul aussi longtemps; cela me brise le coeur, mais c’est pour le bien de notre couple. Je te téléphonerai chaque soir.

Ce matin, au dernier moment, Julie s’est mise à fouiller le salon, la chambre, la cuisine, le cellier et m’a finalement interrogé :

— Mon amour, n’aurais-tu pas aperçu mon agenda ? C’est un carnet à couverture cartonnée rose. J’y ai noté des renseignements sur la Charente-Maritime. Tant pis ! Je m’en passerai, sinon je serai en retard. Viens encore m’embrasser et sois sage pendant mon absence, je t’aime.

Elle a regardé sa montre, s’est précipitée dans la voiture et a démarré sur les chapeaux de roues. Et je me suis dit :

— En retard sur quoi ? Pourquoi être si pressée tout à coup ? Le voyage sera long, il y aura peut-être des bouchons… donc elle n’est pas à cinq minutes près. En retard ?

    ________________

Je suis condamné à cuisiner. J’ouvre un tiroir de la cuisine, je découvre un carnet rose. "Il contient les renseignements sur la Charente-Maritime", a dit Julie. Je peux donc m’instruire sur ce département. Eh ! Bien…Ce ne peut pas être le bon carnet. Il est presque vide, Un numéro de téléphone ici, d’autres ailleurs avec des prénoms féminins de connaissances communes. Pour le jour du départ une seule note est à lire "Marco, 8 heures, devant la gare" et le même numéro de téléphone que quelques pages plus haut. Qui est ce Marco ? Julie est partie vers 8 heures et quart. "En retard" par rapport à l’inscription mystérieuse ? Devait-elle appeler le téléphone de l’homme à 8 heures. Devait-elle le saluer avant de partir ? Marco est peut-être un autre curiste qu’elle transporte par l’intermédiaire d’un site de covoiturage. Elle n’en a pas parlé, comme si c’était mal. C’est bizarre. Je cogite, je pense trop. Un doute s’installe.

Le soir au téléphone, Julie m’annonce que le voyage s’est bien passé. Elle est très fatiguée et m’appellera demain …" bisous" et elle raccroche. D’où a-t-elle appelé ? D’une cabine publique sans doute, il y avait du bruit et une voix d’homme assez proche riait. Que faisait-il si près de Julie ? Je rumine, j’assemble des détails auxquels je n’avais pas accordé d’importance. Apparemment le sort m’a été contraire : impossible de faire concorder les dates de la cure avec mes congés payés, impossible de partager la chambre pour une personne de Julie. Même si j’avais pu échanger avec un collègue mes dates de congés, nous n’aurions pas pu être hébergés ensemble. A force d’assembler ces détails, j’élabore un début de complot : elle a voulu me garder à distance ; Julie m’a écarté du parcours de la cure, pour la première fois elle a tout traité seule, sans mon aide. Serait-elle partie avec un ami, un amant ? Le rieur près de la cabine téléphonique se moque-t-il de moi ? Est-ce ce fameux Marco ?

Julie aurait un amant  ? Non ce n’est pas possible. Que ferait d’un amant une femme atteinte de rhumatismes ou quel homme irait coucher avec un corps perclus de rhumatismes ? L’amour dans ces conditions, ce n’est pas drôle, je peux en témoigner. Quand la douleur se manifeste juste avant l’orgasme et que le partenaire doit se retirer, il connaît une sorte de frustration désagréable: la fellation qui suit garde un relent de raté, d’insatisfaction. A chaque manifestation de douleur pendant l’acte, je me suis reproché de faire souffrir Julie à cause de ma libido. Oui, mais ces rhumatismes apparus si soudainement et avec une telle intensité me semblent subitement suspects. Car hors de notre lit, en dehors des instants d’intimité, Julie ne gémissait pas de douleur. Mes doutes tardifs méritent quelques coups de fil.

Le secrétariat de la station thermale m’apprend qu’il reste des places en cure disponibles en début août. Pourquoi Julie a elle prétendu le contraire ? J’indique qu’une amie m’a recommandé de l’appeler vers neuf heures quarante cinq à la station pour me renseigner sur les bienfaits de la cure. Je nomme Julie. La secrétaire ne la trouve pas dans les listes de curistes et me dit :

— Vous n’êtes pas à la bonne adresse, je regrette. De toute façon nous ne mettons pas les patients en relation avec l’extérieur de l’établissement. A l’heure actuelle chacun possède un mobile et il reste des cabines téléphoniques en ville. Appelez son mobile. ….

Cette fois je suis perplexe. Que fait Julie ? Depuis six jours elle m’abreuve de détails sur la cure, sur les bains de boue, sur la température de l’eau, sur sa saveur soufrée, sur les jets d’eau chaude dans le dos ou sur les articulations et elle laisse entrevoir une guérison miraculeuse, à condition de beaucoup se reposer les après-midi Il n’y a pas deux stations thermales à Rochefort ni deux Rochefort sur Mer dans le 17. C’est bien étrange. Au téléphone du soir, je me fais confirmer ses différentes adresses et le numéro de la station thermale pour le cas où je devrais la joindre.

— Oh! Mon amour, tu commences déjà à t’ennuyer. Si tu savais comme tu me manques. Je te fais plein de bisous. A demain !

Étrangement en terminant sa phrase elle rit. Comme si quelquun la chatouillait. La communication est brusquement coupée. Julie ne se conduit pas comme ça d’habitude. J’attends un peu, beaucoup… elle ne rappelle pas pour s’excuser ou expliquer la coupure. Voilà la goutte d’eau qui fait déborder le vase Je veux en avoir le coeur net. Je pose un congé pour le mercredi 13, le jeudi 14 juillet est férié, le vendredi on fera le pont. Par le premier train, avec correspondance et bus j’arrive à l’Hôtel choisi par Julie le 13 à 8heures trente. La chambre 27, à lit double, est libre , au deuxième étage : . Encore un point étrange, Julie prétendait que l’hôtel était complet. Je jette un oeil dans le parking de l’hôtel: ma voiture est là. Après une rapide toilette je m’adresse à la réception

— Ma belle-soeur loge-t-elle bien ici ?

— Il y a effectivement une dame qui porte votre nom. Madame et son fils déjeunent habituellement vers neuf heures. Faut-il l’avertir de votre arrivée?

— Non, merci, j’aimerais lui réserver la surprise. Je monte me reposer du voyage.

A midi je me présente trop tard à la réception . Un homme remplace la réceptionniste et me répond avec un sérieux dubitatif :

— Madame et son… fils sont sortis pour aller au restaurant, Ils ont fait réserver au Vivaldi, au bout de la rue de l’église et près de la place Carnot.

L’homme a tiqué sur le mot "fils" et m’a observé. Moins surpris que la première fois, je n’ai laissé paraître aucun sentiment.

"Madame et son fils" sont effectivement attablés sous la véranda, du restaurant, côté rue. Je vois Julie de dos, son "fils" lui fait face. C’est un jeune homme d’une vingtaine d’années, une belle gueule au sourire permanent, aux yeux bleu clair sous une chevelure blonde avec accroche-coeur. Ce serait le fils de Julie??? Elle n’avait jamais voulu d’enfant et elle s’est trouvé un enfant tout fini ! Et moi, son mari de longue date, qui avais épousé une vierge, j’ignorais l’existence de ce beau bébé de vingt ans …! La brave maman règle l’addition. Le fils trouve le geste tout à fait normal.

Je me dirige vers le kiosque à journaux, je le contourne et j’observe la sortie du couple. Le jeune homme est prévenant, tient la porte. Sa " mère" passe, il la suit et aussitôt dans la rue, il passe un bras sur les épaules de Julie. Ce fils que je me découvre est très affectueux, bien plus grand que sa mère. Est-il inconscient : son bras a quitté les épaules, sa main est allée se poser sur la fesse gauche de ma femme et s’y attarde avant d’aller tâter l’autre fesse, en pleine rue. J’avoue n’avoir pas la même audace, Il fait très chaud, il n’y a personne dans cette rue et ce fils qui tâte la croupe de sa mère me stupéfie. Quand il s’arrête devant elle et l’embrasse à pleine bouche, en plein soleil, je tombe de haut. Si Julie a un fils caché, j’assiste à des relations incestueuses. Mais c’est plutôt le jeune amant d’une cougar: Je ne voyais pas Julie dans ce rôle. Je rase les murs et je les suis à distance jusqu’à l’hôtel et leur conduite chasse mes doutes.

A mon tour je me restaure dans une pizzeria proche avant de me mettre en faction Je m’assieds sur un siège du jardin intérieur de l’établissement et je déploie le canard enchaîné du jour, Je patiente, à quelques pas de ma voiture arrêtée sur sa place du parking réservé aux clients de l’hôtel. Le bruit de talons attire mon attention. Julie précède son fils, l’air digne d’une mère fière de sa progéniture.. Le beau gosse, devenu fils de la dame, porte un sac de plage; Tous deux se dirigent vers la mer et je leur emboîte le pas. L’eau amorce son recul. La dame de quarante ans et son jeune chevalier servant à la conduite osée dépassent les descentes vers le sable, s’engagent à l’ombre du Vert Bois. Par la gauche, ils évitent le casino et vont s’abriter assez loin sur un banc, à l’ombre des grands pins maritimes .

La maman a besoin d’affection, elle attire la tête blonde et réclame un baiser. Ici personne ne les connaît et ils sont bien loin de penser à moi ! Les deux têtes s’ajustent. Caché derrière un tronc d’arbre je les observe absolument sidéré. Je pourrais me montrer, ils ne me verraient pas tant ils se fixent. Ils repartent en amoureux, font quelques pas avant une nouvelle pose bisous, s’étourdissent dans un combat de langues. Marco – je suppose que c’est le rendez-vous de 8 heures à la gare – se penche, fait ployer le dos de Julie dont le ventre se frotte contre une jambe. S’ils continuent comme ça ils vont s’aimer debout. Les étreintes de ce couple paraissent naturelles, s’enchaînent sans gêne, c’est à l’évidence le résultat d’une certaine habitude acquise.

La liaison dure depuis quelques mois et le début remonte au moins à l’apparition des rhumatismes de Julie. Les détails une nouvelle fois s’assemblent, je comprends mieux les événements des derniers mois. Julie a pris un jeune amant, m’a négligé et mis sur la touche C’est pour vivre pleinement cet amour que Julie s’est fait prescrire une cure et a monté un scénario rocambolesque. Une grande main du garçon pianotent le long de la colonne vertébrale de Julie, l’autre caresse la poitrine à travers la blouse blanche dont la transparence est marquée par le rouge du soutien gorge. Ils finissent allongés sur une serviette de plage sortie du sac et étalée sur un minuscule carré d’herbe entouré de buissons.

L’endroit est parfait pour se mettre à l’abri d’éventuels passants, d’ailleurs rares à cette heure chaude de la journée. Les buissons cachent les amants et protègent mon approche , Je suis à trois mètres, de l’autre côté de la barrière végétale. Cette fois j’entends. La voix de Julie demande :

— Marco, mon chéri, m’aimes-tu ? Dis-le moi, s’il te plaît;

— Ben oui mon amour. Je suis près de toi parce que je t’aime. Embrasse-moi encore.

.Il se courbe sur elle, joint ses lèvres aux siennes, glisse sa main gauche sous la blouse, attrape un sein et le masse. Julie proteste quand la main droite passée sous sa minijupe tire sur sa petite culotte.:

— Non, Marco, laisse moi mon string. Pas maintenant et pas ici, on pourrait nous surprendre.

-Laisse-toi faire, lève ton cul ma vieille salope et enlevons ton chiffon. On ne risque rien, le bois est désert.

-Mais, Marco, tu ne sais pas t’arrêter. Nous avons passé la matinée au lit. Tu m’as prise et reprise. Mes muqueuses sont irritées. Patiente un peu, ne m’épuise pas. N’es-tu pas rassasié ? Non, pas les doigts dans ma chatte. Oh ! Marco Oh !

— Ah ! Grosse cochonne, tu veux ma bite. Comme je te comprends, tu aimes mon archet, il éveille tes cordes sensibles et tes cordes vocales. Mais n’adores-tu pas cette masturbation profonde. Attends, je vais te bouffer l’abricot. Pose ta jupe sur ma tête, les curieux ne verront pas pourquoi tu te trémousses.. Mords ton poing pour ne pas ameuter les promeneurs.

— Ho ! petit voyou adoré. Oh ! que c’est bon. Oh ! Marco, oui, oui, non, arrête c’est trop fort. Je n’en peux plus, je vais crier. Marco o ooh ! Stop ou je pars.

— Ne fais pas tant de manières. Tu as voulu que je t’accompagne, il te fallait un chauffeur pour la route. Tu as préféré Marco à ton mari. Tu lui as honteusement menti avec ton histoire de cure pour pouvoir baiser avec moi. Alors maintenant on est là pour baiser et tu te laisses faire ou c’est moi qui pars.

— Marco tu m’épuises, tu me tues. Laisse-moi un peu de répit. Je suis plus âgée que toi.

— Raconte tes salades à ton mari, mais ne viens pas te plaindre de rhumatismes chez moi. Allez, lâche ta culotte et ouvre tes cuisses.

— Marco, vraiment ? Attends ce soir. Pendant ou après le bal mes muqueuses vaginales seront moins sensibles.

— Écoute, j’en ai marre. Que dirait ton cher Jean si je lui parlais de nous ? Serait-il content de savoir depuis quand tu le cocufies ? Qui m’a cherché, qui m’a embrassé, qui m’a appelé au téléphone pour m’attirer dans ses draps quand son mari bossait ?

— Oh ! Pas si vite petite crapule. Souviens-toi de ce soir de bal du printemps. Quand la sirène a retenti, Jean est parti avec les pompiers. Tu es venu m’inviter à danser.

— Et tu m’as regardé, je t’ai plu, tu es venue sur la piste. Je t’ai progressivement amadouée, tu t’es blottie dans mes bras. On a dansé tendrement enlacés. J’ai posé ta main sur mon pantalon, tu ne l’as pas retirée. J’ai été ton cavalier jusqu’au moment où tu as décidé de quitter le bal. Je t’ai raccompagnée. En chemin j’ai tenté un baiser, tu m’as tendu tes lèvres.

— Je n’aurais pas dû. Avec ta gueule d’ange tu m’avais émue. Et de me sentir désirée à quarante ans par un jeunot, ça m’a étonnée puis bouleversée. J’ai voulu savoir si tu frimais ou si tu étais sincère.

— Si bien que pendant que ton mari éteignait un incendie, j’en ai allumé un dans ton corps. Je t’ai caressée, tu as aimé et finalement, dans une entrée de garage, tu m’as fait un pompier. Tu parles si je m’en souviens. Quelle soirée fantastique. Je t’ai prise sur un banc, et à partir de cette nuit tu t"es accrochée à moi comme une sangsue.

— Tu devrais être reconnaissant. De quoi veux-tu te plaindre pauvre malheureux ?

— Tu es une femme merveilleuse au lit et quand tu n’as pas peur d’être surprise. Alors, on baise ?

— Je préfèrerais aller dans la crique, comme hier. C’est pratique. Après l’amour on peut se baigner dans la mer. Rends-moi ma culotte, remballe ta queue et allons faire l’amour puisque tu en as tellement envie. Notre petit coin doit être à l’ombre maintenant. Je n’apprécie pas ton chantage. Si tu me dénonces à mon homme tu me perdras.

— Bof, une de perdue…

— Petit salaud ! Tu mériterais que….

— Quoi ? Tu pourrais te passer de ma queue ? Allez, debout, viens à la crique, je vais soigner ta nymphomanie. Une bonne cure de sperme et tu seras heureuse…

— J’adore…

A SUIVRE

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