Je ne sais pas si le premier chapitre à été envoyé correctement J’espère que c’est le cas sinon voici un court résumé.
(Une femme, la quarantaine, vivant une petite vie bien tranquille, s’aperçoit que sa fille Chloé à une relation amoureuse avec son amie Anne. Elle même se souvient d’avoir eu ses premières jouissances grâce à Audrey sa correspondante anglaise. Ses souvenirs l’excitent au point qu’elle se masturbe, chose qu’elle n’avait pas refait depuis trés longtemps, mais se fait surprendre en pleine activité par sa fille et son amie. Honteuse elle se réfugie dans sa chambre, sa fille la rejoint et elles discutent. Chloé avoue qu’elle est homosexuelle, sa mère pense que cet état n’est pas définitif car elle aussi a été amoureuse d’une femme dans sa jeunesse et a vécu une relation normale par la suite.)
Chloé écoute sa mère qui lui raconte son aventure avec Audrey. Très intéressée, elle l’interrompt souvent pour demander des précisions, les comparant avec qu’elle fait avec Anne et sans y prendre garde, la mère et la fille en viennent à parler des sensations qu’elles ont ressenties, allant même parler des caresses qui les faisaient le plus d’effet.
— Tu vois Chloé c’est en me remémorant ces intenses plaisirs que je n’ai pu m’empêcher de les reproduire et c’est pour cela que vous m’avez découverte dans cette fâcheuse situation.
— Je comprends mieux maman et même je peux me mettre à ta place.
— Comment ça?
— C’est simple depuis que nous parlons de tout cela les mêmes effets se font ressentir sur moi cette fois-ci.
— Que veux-tu dire?
– Et bien que j’ai très envie de me caresser et pour te montrer que ton geste n’avait rien d’honteux, je vais me soulager, ici, devant toi.
Je n’ai pas eu le temps de protester que déjà, ma fille, avait retroussé sa jupe et m’exposa ses parties intimes J’aurais voulu détourner les yeux mais quand elle commença à s’astiquer la fente, je ne pu m’empêcher de regarder. A un certain moment, avec ses deux mains, elle écarta les lèvres de son sexe et fit sortir son clito hors de son capuchon. Mon dieu qu’il était gros. Chloé se mit à le caresser du bout du doigt de plus en plus vite. Ce spectacle eut sur moi des effets similaires à ceux que j’avais eu sur le canapé et comme un automate, mes mains prirent la direction de ma chatte et je me suis branlée devant ma fille qui se branlait devant moi. Mon corps qui avait été si sage jusqu’à présent devenait un sexe géant. Rien ne m’importait le plus à présent que de jouir encore et encore.
— Maman!
— Chloé!
Nous nous sommes mises à jouir toutes les deux.
— Maman!
— Oui ma fille!
— Ca te plairait que l’on recommence encore?
— Maintenant?
— Non, seulement quand tu te sentiras prête.
— Tu veux savoir ce qui me pousserait à recommencer?
— Non, dis.
— Qe tu me laisses entrer dans ta chambre quand tu écouteras de la musique avec Anne.
— Si Anne est d’accord, mais je pense que oui, pendant nos ébats elle me parle tellement de toi, de ton corps, tes seins qu’elle devine pointant sous ton chemisier, de ta chatte humide et poilue qu’elle aimerait lécher, elle sait que ces paroles m’excitent énormément. Tu vois, sans le savoir, tu as déjà fait l’amour avec nous.
— Chloé!
— Oui maman!
— Je viens de jouir deux fois aujourd’hui mais j’ai beaucoup de retard à rattraper ça te dirait de recommencer tout de suite sans attendre ton amie.
