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Les métamorphoses de Sylvie – Chapitre 34




34 – La suite du dimanche.

J’étais stupéfaite lorsque j’ai vu où ils nous arrêtait : chez Rarrain !

Il s’est garé, m’a fait descendre puis il sonné. Peu de temps après, j’ai vu la femme de Rarrain qui m’a dit, après m’avoir embrassée :

 Tu es resplendissante, ma chérie ! Comment va-tu  ? Et vous, jeune homme ? En fait, vous êtes mon neveu par alliance. J’ai beaucoup entendu parler de vous… mais pas par mon mari, plutôt par ma fille.

Nous avons entendu un raclement de gorge. C’était Rarrain. Sa femme lui dit :

Mon chéri, je ne te présente pas Sylvie. Connais-tu ce jeune homme ? C’est ton neveu, le fils adoptif de ta soeur !

Rarrain n’avait pas l’air aussi à l’aise que d’habitude dans les tribunaux. Marc s’est avancé vers lui et lui dit en souriant, tout en lui tendant les bras :

Bonjour, mon oncle. Je suis ravi de faire votre connaissance. Vous permettez que je vous embrasse ?

Rarrain lui a répondu, en lui souriant à son tour :

 Après tout, c’est vrai que tu n’es pour rien dans les relations entre ma sur et moi !

Ils se sont embrassés tous les deux sous nos regards émus et étonnés à la fois.

Rarrain s’est adressé à sa femme :

 Crois-tu que nous avons de quoi faire manger quatre personnes au lieu de deux ?

Bien sûr, mon chéri ! lui répondit-elle. Sylvie, tu veux m’aider un peu ?

Je lui ai répondu :

Volontiers.

Rarrain a dit à Marc :

Viens donc dans le salon, mon neveu, que nous fassions un peu connaissance. La dernière fois que je t’ai vu, tu étais enveloppé dans des langes. Je vois que tu as bien profité depuis !

La mère de Nadine est très gentille, je l’adore, mais elle a un défaut – à mes yeux, tout du moins : elle a toujours voulu tout tout savoir de ce qui me concernant, en fait de ce qui nous concernait, parce que c’était pareil avec Nadine, sa propre fille. Mais comme elle avait participé pour beaucoup à notre éducation, nous lui pardonnions toujours tout : elle nous avait toujours considérées comme si nous avions été ses deux filles.

Nous nous sommes installées dans sa cuisine et, tout en l’aidant à préparer le repas, j’ai dû répondre à un flux ininterrompu de questions. Elle a alors appris que la « petite minette qui menait Marc par le bout du nez », comme elle avait dit à Nadine, était en fait une grande brune aux yeux violets. J’ai répondu à tout : oui nous avions fait l’amour, oui, il me faisait jouir comme jamais je n’avais joui, oui, il m’aimait et je l’aimais, oui, nous nous l’étions dit, non, nous n’avions pas parlé de mariage, oui il venait de Londres pour me voir tous les week-ends, etc.

Au bout d’un moment, alors qu’elle mettait la dernière main à la tarte aux pommes qu’elle nous confectionnait comme dessert, elle m’a dit :

Tu comprends, ma petite Sylvie, ce n’est pas par simple curiosité que je te demande tout ça. Je veux que tu sois heureuse, cette fois, pas comme avec ton affreux Georges.

Je l’ai embrassée pour la remercier de sa gentillesse. Soudain, elle m’a dit :

Ça te ferait plaisir que j’invite Nadine et Charles, avec les enfants, pour le dessert ?

 Oh oui ! Mais il faut le dire à Rarrain !

Penses-tu, il est bien trop occupé à discuter. On dirait que tu ne le connais pas ! Je vais téléphoner.

Tout était en train de cuire. Nous sommes revenues voir Rarrain et Marc. Je me suis glissée près de Marc qui m’a regardée avec un air extasié ; la mère de Nadine a demandé à son mari :

 Tu ne trouves pas qu’il font un très beau couple ? Je vais inviter Charles et Nadine pour qu’ils prennent le dessert avec nous.

Rarrain a répondu oui sans vraiment penser à ce qu’il disait, tellement il avait l’air passionné par les propos de son neveu par alliance.

Quelque temps après il nous a proposé de de prendre l’apéritif. Marc et moi avons opté pour un porto, Rarrain et sa femme pour du whisky.

Nous avons commencé notre repas. La maman de Nadine est une merveilleuse cuisinière et nous nous sommes régalés.

La conversation de la plus grande partie du repas a reposé sur Marc, qui a expliqué ce qu’il faisait, jusqu’au moment où il a dit, presque négligemment :

Si ça se trouve – je voulais l’annoncer en exclusivité à Sylvie mais puisque nous sommes en famille, autant le dire à tout le monde – demain lundi je devrais être milliardaire.

Une bombe qui aurait éclaté au milieu de la salle à manger n’aurais pas fait plus d’effet. Rarrain lui demanda :

Milliardaire ? En francs d’aujourd’hui ?

Oui, mon oncle !

Mais… si jeune ! Comment fais-tu ?

 Je vous explique : la banque pour laquelle je travaille m’a embauché pour que je fasse fructifier le patrimoine de ses clients. Petit à petit, au vu de mes résultats, on m’a confié des portefeuilles de plus en plus gros. Comme je suis commissionné sur les gains que je fais faire à mes clients, j’ai accumulé de plus en plus d’argent et normalement, demain matin, je devrais franchir le cap de mon premier milliard, en faisant la conversion livres sterling-francs français, évidement !

Je lui ai fait remarquer :

 Mais tu ne m’as jamais dit ça !

C’est que, ma douce, dit-il en posant sa main sur la mienne, nous ne parlons pas beaucoup de ces choses lorsque nous nous voyons !

Rarrain et sa femme ont souri, moi j’ai posé ma tête sur son épaule en reconnaissant :

 C’est vrai !

Il m’a regardé et m’a dit :

 Mais ça ne change rien à tout ce que je t’ai dit. L’argent n’a aucune importance par rapport à ce que nous vivons, ma douce !

De l’entendre m’appeler comme ça pour la seconde fois, devant Rarrain et sa femme, m’a indiqué clairement qu’il m’aimait et qu’il le disait à la face du monde. J’ai retourné ma main et nous avons mélangé nos doigts. Juste à cet instant, la sonnette a retenti. C’était Nadine, Charles et les enfants.

Nadine, en m’embrassant, m’a glissé doucement à l’oreille :

 Téléphone-moi demain, s’il te plaît.

Je lui ai confirmé mon appel d’un petit signe de tête.

Rarrain a relancé la conversation sur la richesse de Marc, mais celui-ci a bien dit que ce qui était important à ses yeux, c’était la « grande brune très belle avec de magnifiques yeux violets » que lui avait décrit Nadine.

Mon filleul, Alain, a voulu à toute force se mettre sur les genoux de son « parrain ». Une fois installé, il lui a demandé :

 Tu ne vas pas faire repleurer marraine ?

Marc m’a demandé, d’une voix étrange :

 Tu as pleuré par ma faute, ma douce ?

Nadine lui a alors appris :

Écoute, mon cousin, c’est parce que tu venais de repartir.

Marc a répondu à Alain :

Je vais essayer de repartir le moins possible, maintenant, tu sais !

Mon cur a fait un bond dans ma poitrine. J’ai regardé Nadine pour être sûre qu’elle avait compris la même chose que moi. Elle souriait. J’ai demandé à Marc :

Tu vas rester ici ? Toujours ?

 Je voulais te faire une surprise, mais je vois qu’on m’a devancé. Je vais essayer de m’installer au maximum en France, donc ici, car j’ai beaucoup de clients français. J’en ai parlé à mon patron, je vais encore le travailler un peu. S’il refuse, je t’emmène avec moi et tu lui diras que tu ne peux pas te passer de moi !

 Et ça marchera ? Si c’est ça, je pars avec toi ce soir !

Il reposa sa main sur ma mienne et me dit :

Si seulement c’était aussi simple, ma douce. Mais j’ai bon espoir. Cela dit, je veux bien t’emmener avec moi à Londres, mais c’est pour la semaine. Et ton magasin n’est pas terminé.

Alors je vais me dépêcher de le finir, crois-moi !

Tout le monde a éclaté de rire.

Finalement, nous nous sommes tous séparés vers 18 h-18 h 30 environ. En rentrant, Marc est allé voir les trois ouvriers qui n’attendaient plus que lui pour repartir. Je suppose qu’il a dû leur donner encore de l’argent et nous sommes revenus dans mon magasin, qui cette fois prenait vraiment forme. Le rideau métallique était baissé, nous étions tranquilles.

Nous avons visité mon magasin en nous mettant d’abord nus. Nous avons posé nos vêtements sur ma future caisse, puis, la main dans la main, nous sommes allés voir l’arrière-boutique. Elle m’a paru suffisamment grande pour contenir mes réserves. Marc m’a entraîné dans la vitrine où les ouvriers avaient déjà installés des mannequins nus, puis il m’a fait venir dans les trois cabines d’essayage. Nous avons fait le tour du magasin puis il m’a finalement conduit derrière les cabines. Je lui ai dit:

 Tu ne crois pas que tu exagères ? Si un jour une de mes clientes s’aperçoit de ce que tu as fait.

Ma chérie, si tu ne le dis à personne, personne d’autre que nous deux ne le saura. Et puis, ça nous servira peut-être, j’ai quelques idées à ce sujet là. Tu n’aimerais pas que je te prenne en photo, nue, en train de te caresser pour moi, sans que tu saches à quel moment je le fais ?

Je ne sais pas !

Nous essaierons, mon amour ! Tu es trop belle, il faut absolument que je te photographie comme ça !

Nous avons tout éteint puis nous sommes revenus à l’appartement.

Là, comme la semaine dernière, puisqu’il partait, nous avons passé presque toute la nuit à nous aimer. Comme lundi dernier, il est parti tôt, mais juste avant, il a mis son gros phallus de substitution dans mon sexe encore plein de son sperme. Il m’a longuement embrassée et m’a demandé de me rendormir avec lui dans moi, pour bien me reposer.

Je crois bien que je dormais déjà, épuisée par toutes ces émotions, avant même qu’il franchisse la porte de notre chambre.

Je ne l’ai pas entendu démarrer.

(à suivre)

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