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Une petite ville de Province – Chapitre 12




Jacqueline avait passé son samedi à faire du shopping afin de s’acheter une tenue plus élégante. Le lundi matin elle s’est donc parée de ses nouveaux habits en espérant répondre ainsi aux attentes de son patron. Sa mère qui n’avait pas vu les achats qu’elle avait effectués fut étonnée de la voir habiller ainsi. Elle lui expliqua qu’elle ne faisait que suivre les recommandations de son patron. Sa mère maugréa un peu dans ses dents sans que Jacqueline ne comprit vraiment ce qu’elle disait, mais n’insista pas.

En arrivant à l’étude, elle se rendit dans son bureau, le notaire vint la rejoindre presqu’aussitôt.

–    Bonjour Jacqueline, j’espère que tu es convenablement habillée, nous devons aller chez monsieur Courget, notre plus gros client.

–    Bonjour Maitre, j’ai suivi votre conseil et j’ai changé ma garde-robe.

Répondit-elle fièrement.

–    Voyons cela, voyons cela approche !

Dit-il en faisant une petite moue dubitative. Jacqueline se leva et se dirigea vers le notaire. Il le va la main droite pur lui faire comprendre de stopper. Elle s’arrêta, il pencha la tête un peu de côté en la fixant.

Elle attendait le verdict et le craignait de plus en plus, car il ne montrait aucun signe positif, il semblait de plus en plus perplexe et grimaça en dodelinant de la tête.

–    Tourne un peu

Elle se retourna et s’arrêta.

–    Je ne t’ai pas dit de me tourner le dos, mais de tourner que je vois ta jupe en mouvement, pour voir si elle se replace bien. Dans le métier, le paraitre est important, car les clients doivent avoir confiance en nous.

Jacqueline tourna sur elle-même, la jupe se leva légèrement.

–    Plus vite !

Elle accéléra le mouvement, mais rapidement, elle perdit l’équilibre. Il était assez proche d’elle pour la rattraper avant qu’elle ne se retrouve affaler sur le sol. Elle se retrouva ainsi dans ses bras. Elle s’excusa en voulant se dégager, mais il la retenait et elle n’osa pas insisté. Elle était toute rouge.

–    Eh bien, tu n’as pas beaucoup d’équilibre.

Il riait et elle fut un peu soulagée ne plus voir cet air de reproche qu’il semblait avoir peu de temps avant.

–    La jupe ne semble pas de très belle qualité, mais elle a un maintien convenable.

En disant cela, sa main s’était posée sur le tissu du vêtement comme pour bien le remettre en place, mais appuyait assez fortement pour bien sentir le galbe de fesses de Jacqueline. Elle ne pouvait ignorer ses attouchements, mais n’osait pas contrarier son patron. Sa naïveté lui fit même croire que, même si ce geste n’était pas vraiment convenable, son patron n’avait eu aucune idée mal placée, il voulait simplement s’assurer qu’elle avait bien choisi sa tenue. Elle était novice dans le métier et il était normal que non seulement il lui donne des conseils, mais qu’en plus il vérifie qu’elle les suive bien.

Les autres employés de l’étude commençaient à arriver et même si le bureau était fermé et qu’ils ne pouvaient donc les voir, le notaire s’écarta de Jacqueline.

–    Bon, prépare le dossier de Monsieur Courget, nous partons dans une demi-heure.

Monsieur Courget est un agriculteur en retraite, son fils a repris l’affaire, mais il reste le propriétaire de quelques terres et autres habitations ou granges. Il a 74 ans, bien rond et pratiquement chauve, il est veuf depuis bientôt 4 ans, il a toujours eu une réputation de chaud-lapin et même quand son épouse était encore là, il aimait beaucoup aller voir si l’herbe du voisin était plus verte que la sienne.

A la mort de son épouse, il a pris une femme de ménage et au dire du village, le ménage ne se limite pas aux seules tâches ménagères définies dans la convention collective des employés de maison.

Jacqueline s’installe dans la voiture. Elle se demandait si elle devait s’installer à l’arrière ou à l’avant à côté de son patron, mais quand ils arrivèrent à la voiture, le notaire lui ouvrit la porte passager, elle avait ainsi sa réponse.

–    Mets ta ceinture.

Sans attendre que Jacqueline réagisse, il se pencha vers elle, prit la ceinture et la boucla.  Pour effectuer son geste, il avait mis son bras sur le dossier du siège passager et il s’était incliné vers Jacqueline. Elle pouvait sentir son souffle,  le regard de Patrick plongea dans celui de Jacqueline. Elle devint écarlate mais n’osa pas détourner son regard. En positionnant la ceinture, sous prétexte de bien la positionner, il laissa sa main s’attarder sur la poitrine de Jacqueline. Elle était honteuse, car elle avait dans un premier temps pensé retirer la main sans ménagement alors que finalement, l’intention du notaire devait être plus généreuse que corrompue, c’était elle qui était vicieuse avec ses pensées impures.

La cour de la ferme était pavée et Jacqueline avait des difficultés à marcher avec ses talons. Patrick la regardait discrètement et s’amusait de la voir déambuler de la sorte.

Le rendez-vous était à la ferme, mais la visite était ailleurs, en effet, il s’agissait d’estimer une grange qui n’était pas situé dans le corps de ferme, mais à quelques kilomètres de là. En fait, l’ensemble du bien était composé d’une petite habitation qui n’était plus utilisée depuis plusieurs décennies et une grange qui jusqu’à peu servait d’entrepôt. Tout cela appartenait au père Courget et il voulait le vendre pour permettre à son fils d’investir dans son exploitation.

A peine était-il arrivé à la ferme qui leur fallait reprendre la route. Courget fils monta à côté du notaire et Courget père à l’arrière avec Jacqueline. A peine était-il dans la voiture qu’il lorgna les jambes de sa voisine. Jacqueline essaya de les cacher au maximum en tirant sur sa jupe, mais n’osa protester sur ce regard libidineux. Le notaire l’avait averti, l’affaire était grosse et la famille faisait partie des plus gros clients du notaire, il fallait d’autres être aimable avec eux et surtout ne pas les contrarier.

A peine avait-il démarré qu’un trou les chahuta et le père Courget amplifia le chaos ressenti pour se retenir au bras de Jacqueline. Elle se doutait, bien entendu, que le geste n’était nullement anodin, même si celui-ci s’excusa auprès d’elle.

Cela ne faisait pas trente secondes qu’ils avaient démarré et déjà elle savait à quoi s’en tenir  elle n’espérait qu’une chose que la route soit plus confortable et le trajet le plus rapide possible.

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