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Une sacré soirée – Chapitre 1




Bonjour, c’est moi Claude. Je vais raconter la suite des aventures de Sylvia dans le monde du sexe.

Comme je l’ai raconté lors de ma précédente histoire " pour la jouissance", j’ai reçu quelques jours plus tard un nouveau DVD d’Arnault avec une explication très claire:

« Comme promis, je t’envoie le film, elle est vraiment devenue une baiseuse hors pair, et elle aime de plus en plus ça. »

Ce soir-là, j’avais une amie à la maison, juste une amie, car, bien qu’elle soit mignonne à croquer, elle ne cherchait pas d’aventure et moi non plus.

Elle connaissait mon histoire, elle était plus une confidente et elle ne prenait pas pour argent comptant ce que je lui avais révélé sur Sylvia. Elle pensait que je fantasmais comme tous les mecs.

Je lui ai proposé de regarder avec moi la vidéo que je venais de la recevoir. Elle verrait ainsi que c’était réel. Je me doutais de son contenu et je lui ai demandé de ne pas porter de jugement. Elle a promis et nous nous sommes installés sur le canapé du salon, l’un à côté de l’autre.

Comme d’habitude, la vidéo débutait dans le salon d’Arnault et Sylvain, le beau black, était assis à coté de lui. Arnault regardait en direction de l’objectif et il a fait un petit signe à la caméra, preuve qu’il savait ce qui allait se passer. Ils discutaient tous les deux, en buvant un verre. Dans le champ de vision de la caméra, sont apparues Sylvia et Catherine, un large sourire aux lèvres. Celle-ci était derrière Sylvia, quelle tenait par les hanches, en la pilotant vers le centre du salon.

Sylvia était habillée d’une jupe tailleur, arrivant quelques centimètres au-dessus du genou, d’un corsage bleu pâle ouvert sur la naissance de ses seins, et elle avait sûrement des bas, qui lui faisaient des jambes magnifiques.

Quant à Catherine, elle portait une jupe large, beaucoup plus courte, et un petit gilet qui se déboutonne devant. J’ai trouvé ces deux femmes magnifiques et très excitantes. Catherine s’est adressée à Sylvia :

— Allez, ma chérie, si on leur montrait comme on en a envie. On va se faire du bien pour les exciter. Je suis sûre que tu meurs d’envie de te branler devant eux.

— Bien sûr que j’ai envie de me branler et de me faire jouir, mais je veux voir leur grosse bite en même temps.

— Pas de problème, répondit Sylvain, cela fait longtemps que je ne t’ai pas baisée et tu m’excites.

Sylvia s’est posé une main sur les seins et l’autre est descendue sur son ventre, pour masser sa chatte à travers la jupe. Elle a tourné la tête vers Catherine et lui a dit :

— Tu vas te caresser aussi et me mettre tes doigts dans le cul, tu sais que j’aime ça.

— Pas de problème, ma chérie, tu vas t’en prendre autant par moi que par les mecs, j’ai amené ce qu’il faut, et on va te baiser tous les trois.

Sylvain et Arnault avaient sorti leur queue de leur pantalon et commençaient à se branler devant ces deux cochonnes.

J’ai entendu un cri de surprise à coté de moi, Nathalie venait de voir les engins et elle commençait à saliver.

— Je vois que le spectacle te plait ! Alors, profites-en.

— Tu plaisantes, t’as vu ces queues ? Bien sûr que je vais en profiter !

Sylvia s’était déboutonné le chemisier, elle avait dégagé ses seins et glissé sa main dans sa culotte, si transparente que l’on pouvait voir ses doigts s’activer dans son vagin.

Catherine, elle aussi, avait remonté sa jupe. Elle se branlait lentement et mis son autre main dans la culotte de Sylvia, lui titillant la rondelle et lui enfonçant le doigt bien au fond.

— Ah ! ma salope, ça rentre tout seul, tu t’es fait défoncer il n’y a pas longtemps. C’est encore bien ouvert.

— Oui, avant-hier, je me suis fait baiser toute la nuit.

— Il devait sûrement être monté comme un taureau pour que tu sois encore comme ça. T’as du prendre ton pied, hein, ma salope ?

— Il nétait pas mal, mais elle avait un gode énorme, et c’est elle qui nous en a mis plein le cul. Ça a vraiment été le pied !

— Raconte-nous. On veut des détails…

— Elle me défonçait le cul pendant que je le suçais. Après, lui me léchait et se faisait baiser en même temps. Ça vraiment été super et ça m’a pas mal excitée.

Sa main s’accélérait sur son clito, des râles de plus en plus forts sortaient de sa bouche, Catherine et Sylvia se sont mises à jouir en même temps.

Les mecs s’étaient déshabillés et ils se branlaient de plus belle.

Nathalie s’était glissé une main sous sa jupe. De l’autre, elle se triturait les seins à travers son pull.

— Ah la salope ! C’est vrai ce que tu m’as dit. En plus, elle est jolie et excitante. T’as pas dû t’ennuyer avec elle. Elle a de la chance, elle a de quoi se satisfaire.

De mon côté, j’avais ouvert mon pantalon et je me masturbais lentement, sachant très bien que la vidéo n’était pas terminée et qu’ils en étaient qu’aux préliminaires.

Sur la vidéo, les deux femmes se roulaient des pelles et recommençaient à s’exciter.

— Branlez-vous mutuellement, leur dit Sylvia. Il n’y a pas de raison qu’il n’y ait que nous. Je suis sûre que vous l’avez déjà fait. Pas vrai, petits pédés ?

— Bien sûr qu’ils l’ont déjà fait ! Sylvain adore se faire défoncer son beau cul de Noir. Même moi, je lui ai mis mon gode au fond, pendant qu’il suçait Arnault.

— Ah les salauds ! J’aimerais voir ça et qu’il me la mette au fond du cul en même temps. Vas-y, mon salaud ! Suce-le pendant que je me fais baiser avec son gode.

Sylvain s’est penché sur Arnault et lui a avalé la bite jusqu’à la glotte. Arnault a laissé échapper un soupir de contentement, en bloquant la tête de Sylvain contre son ventre.

— Vas-y, ma chérie, baise-moi en même temps. Ces salauds m’excitent et je veux que tu me fasses jouir.

Catherine a voulu déshabiller Sylvia, mais celle-ci l’a retenue.

— Non ! Laisse-moi habillée. C’est encore plus excitant. Je me sens vraiment pute et ça me fait fantasmer.

Catherine a allongé Sylvia sur la moquette et s’est harnachée d’un gode ceinture bien plus gros que celui qu’elle avait la dernière fois. Les deux mecs continuaient leurs ébats et Arnault s’est exprimé :

— Tu vas voir, ma salope, ce que tu vas prendre. On va te défoncer tous les trois, jusqu’à ce que tu t’écroules et même encore après. Tu veux de la queue, tu vas en avoir !

Sylvia était en train de se faire manger la chatte et lui a répondu :

— J’espère bien que vous allez me baiser, vous m’excitez tellement. Et toi, baise-moi comme une gouine, tu m’y as fait prendre goût. Fais-moi jouir.

J’entendais Nathalie respirer de plus en plus fort et j’ai senti sa main se poser sur ma queue et me presser les bourses.

— J’ai envie de te sucer. Ça m’excite trop… On regarde jusqu’à la fin et tu me baiseras, si je peux tenir jusque-là.

J’ai retiré ma main et jai guidé sa tête vers ma queue, en lui permettant de continuer à regarder le film.

A l’écran, Sylvia se tordait dans tous les sens, Catherine venait de lui mettre son engin entre les cuisses et elle poussait lentement pour ne pas la déchirer.

— Mon dieu, quel monstre ! Tu vas m’éclater le ventre, mais c’est tellement bon… Continue, ça va entrer.

En effet, c’est rentré et Catherine est restée bloquée, le temps que son vagin accepte limposant calibre.

Après quelques instants, Sylvia s’est mise à remuer et ses cris sont devenus de plus en plus forts au fur et à mesure que Catherine accélérait la cadence.

— Ah! Mais c’est vraiment une grosse pute ! Regardez comme elle prend son pied ! Elle peut accepter tout maintenant. Toi, ma chérie, je sais où je vais t’emmener… Dans un endroit où tu prendras du plaisir à te faire grimper. Je vais la mettre dessus, venez lui remplir les autres trous.

Catherine a fait basculer Sylvia pour qu’elle se retrouve au-dessus. Sylvain est venu se mettre derrière elle, pendant qu’Arnault lui présentait sa bite devant la bouche.

Sylvain s’est appuyé contre la rondelle, qui a cédé facilement, car on a vu sa grosse queue s’enfoncer au fond de ses entrailles. Arnault lui a guidé la tête sur sa bite, au rythme qu’il voulait imposer.

J’ai senti les lèvres de Nathalie serrer plus fort mon gourdin et j’ai vu sa main s’accélérer entre ses cuisses.

De temps en temps, Sylvia quittait la bite d’Arnault, pour respirer et pour s’exprimer.

— Oh oui! Que c’est bon ! Allez-y. Défoncez-moi de partout ! Baisez-moi bien ! Je suis une grosse salope qui en veut. Remplissez-moi le cul et la bouche, sales pédés qui baisent une bonne gouine. Oui ! Je vais jouir ! Plus vite !

Arnault a accéléré les mouvements dans la bouche de Sylvia.

En parfaite coordination avec Sylvain, Catherine et lui ont augmenté la puissance des aller et retour dans ses deux orifices. Les cris de Sylvia se sont accentués et l’orgasme l’a saisie, en même temps que Catherine, qui ne retenait pas davantage ses cris de bonheur.

Sylvain s’est crispé. D’après les mouvements de son bassin et les râles qu’il émettait, on devinait qu’il envoyait sa purée au fond de son trou.

Arnault a aussi accéléré les va-et-vient dans la bouche de Sylvia et il a vidé tout son foutre au fond de la gorge. Cela a duré de longues minutes. Ils continuaient à la bourrer tous les trois, et la pièce était emplie des cris de leur jouissance.

J’ai senti que la sève montait, j’ai voulu retirer la tête de Nathalie, mais elle a résisté, en ne voulant pas quitter son sucre d’orge.

J’ai senti le premier jet arriver au fond de sa gorge et plusieurs ont suivi. J’étais sur un nuage, mais j’ai quand même entendu Nathalie hurler de plaisir, pendant que son bassin avait des soubresauts.

A l’écran, les deux femmes nettoyaient consciencieusement avec leur langue les deux belles bites qui s’offraient à elles.

— Eh bien, mes salauds, quel pied ! dit Sylvia. Je n’avais jamais été aussi remplie. On remet ça quand vous voulez.

— Mais c’est bien notre intention, lui répondit Arnault. On te l’a dit, on va aller dans la chambre et on va te baiser jusqu’à épuisement. Ce n’est pas tous les jours que l’on peut se taper une bonne salope comme toi. J’ai vais même vous baiser tous les trois, mais on va d’abord reprendre des forces.

Ils se sont levés et Sylvia a roulé une pelle à tout le monde en leur disant :

— Quelle salope vous avez fait de moi ! Maintenant, plus je me fais baiser plus j’en ai envie… Même les femmes m’attirent et il y en a quelques-unes avec qui je me mettrais bien au lit.

Ils se sont assis sur le canapé. J’ai vu Arnault faire un geste et la vidéo s’est arrêtée.

Nathalie, qui se remettait de son petit plaisir, m’a regardé et elle m’a dit :

— Je ne douterai plus jamais de ce que tu me diras. C’est vraiment une grosse cochonne ! Et en plus, je ne lui dirais pas non… La pute comme elle a pris son pied.

— Ne me dis pas que, toi aussi, tu es bi !

— Si ! Je le suis, et depuis longtemps, mais pour le moment, c’est toi qui vas en profiter. J’ai vraiment envie de me faire baiser et défoncer le cul. Il me semble que tu as un jouet qui va bien. J’ai envie de l’essayer avec toi.

Elle s’est jetée sur moi et elle m’a embrassé avec fougue, en guidant ma main vers sa chatte…

Mais c’est une autre histoire, parce que le lendemain, j’ai reçu par courrier la suite de leurs ébats dans la chambre.

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