Il avait juste posé sa main sur ma jupe. Je souffla. Il rapprocha sa tête vers la mienne, ces cheveux mi long brun étaient encore mouillé. Je sentais son souffle, le mien devenait instable, mon cur battait fort. Il m’embrassa le bord de mes lèvres, je leva légèrement la tête.
Je sentais son souffle chaud, sa bouche chaude, puis ils descendit plus bas me touchant les joues avec sa bouche et son visage, puis mon menton, il descendit encore et heurta mon cou.
Je leva encore plus ma tête, il m’embrassa tendrement sur le coup. J’étais détendue et un peu libérée, je souffla, ou plutôt gémis. "Ahhhh…".
Puis il dit : "Tu m’excite trop", je répondis à mon tour "toi aussi tu sais". Il dit par la suite : "touche moi s’il te plaît". J’osais pas trop sur le coup. En faite c’était le lieu qui me dérangeais.
Sans trop brusquer les choses, je lui dis gentiment qu’ici cela me dérangeais de le faire. Dans le salon, sur le canapé. "Ouais tu as raisons". "Tu veux le faire où?" dit-il. "Hum dans ma chambre tu voudrais?" dis-je. "Ok", répondit-il". Il se leva puis à moi aussi.
Son torse était long mais pas très musclé, il était mince et grand. Ses cheveux lui couvraient la moitié du visage. "On y va?" dit-il. "Oui oui pardon je te suis". Puis il me pris la main, du moins le poignet. On entra dans ma chambre, je ferma la porte. "Ça va Jessica?". "Oui oui c’est bon" dis-je.
Je m’assis en premier sur le coin du lit, recoiffant mes cheveux derrière mes oreilles. Il se colla à moi. "Tu es trop belle". "Laisse moi te touché s’il te plaît". Il remis sa main sur ma jupe. Je gémissais. Il descendit plus bas, arrivant au bout de la jupe, il entra sa main en dessous de celle-ci.
J’en pouvais plus. Il toucha ma cuisse. Il l’avait bien en main. Il appuya un peu et remonta vers mon intimité. Ça devenais vraiment excitant. Je pouvais pas m’empêchée de gémir à chaque monté de sa main vers mon sexe. Je mouillais sur le coup et il s’en rendit compte. Il dit juste "Hum j’adore". Ça y est il arriva vers mon sexe. Il toucha ma petite culotte et pu sentir la mouille à travers celle-ci. "C’est trop bon Jess".
Il appuya avec son pouce à proximité de mon bouton puis appuya sur mon intimidé, sur les lèvres de ma chatte. "Ahhhh putain…" dis-je. C’était trop tard pour arrêté. Plus rien ne pouvait nous arrêtez. J’allais le faire.
J’allais baisé avec mon frère.